Tga - Preparation A L'examen - Economie Circulaire
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CONTEXTE PROFESSIONNEL
Vous effectuez une période de formation au sein de l’entreprise FAVI. FAVI est une
entreprise spécialisée dans la fabrication de pièces techniques. Elle intervient principalement
dans le secteur automobile en qualité de sous-traitant. Vous êtes placé(e) sous l’autorité de
Monsieur Thierry MARECHAL, Directeur Technique.
FAVI propose ses services aux grands groupes automobiles et équipementiers du secteur.
Elle produit en autres des turbines de pompes à eau, des systèmes de freinage, des
connecteurs de batterie, des commandes internes de boites de vitesses assemblées etc…
FAVI a toujours placé la recherche et le développement comme une priorité. Forte d’un
effectif de 31 ingénieurs, techniciens et dessinateurs, elle travaille pour vos projets et
sur plusieurs thématiques :
2. Rappelez l’intérêt pour une organisation de s’investir dans une démarche de RSE
(Responsabilité Sociale de l’Entreprise).
3. Définissez la notion de sous-traitance.
Dans une interview donnée le 17 avril, le directeur général de Renault précise ses ambitions
pour l'usine de Flins (Yvelines). En transformant le site en pôle de recyclage, le constructeur
espère générer plus de 1 milliard d'euros de chiffre d'affaires dans l'économie circulaire.
Renault compte générer plus de 1 milliard d'euros de chiffre d'affaires dans l'économie
circulaire, grâce notamment à la transformation de l'usine d'assemblage de voitures neuves
de Flins (Yvelines) en un pôle de recyclage. La conversion du site fait partie des principales
décisions du plan de restructuration du constructeur automobile français déficitaire.
« Notre ambition, d'ici à 2030, consiste à réaliser [à Flin] davantage de chiffre d'affaires qu'en
y assemblant des voitures [...] et de générer plus de 1 milliard d'euros de chiffre d'affaires
dans l’économie circulaire », a déclaré le directeur général du groupe, Luca de Meo, dans un
entretien avec Le Journal du dimanche publié le 17 avril.
Le groupe a confirmé fin 2020 son intention d'arrêter l'assemblage de véhicules neufs à Flins
en 2025, créant à la place la première usine européenne d'économie circulaire dédiée à la
mobilité. Le nouveau site, dénommé « Re-Factory », accueillera des activités de recyclage
d'organes mécaniques, de reconditionnement de véhicules d'occasion et de batteries
électriques, et de démantèlement de voitures.
Source : www.usinenouvelle.fr 18/04/2021
BMW vise 50 % de ventes en électriques dès 2030 au niveau mondial et surtout met
l'accent sur l'économie circulaire, avec le recyclage des batteries.
Une batterie est un élément complexe composé d'un châssis en métal, de lithium et d'autres
métaux qui ont la particularité d'être, pour certains, fortement éligible au recyclage. Une
économie circulaire mise en avant par le thème de l'IAA 2021 chez BMW : "RE:THINK,
RE:DUCE, RE:USE, RE:CYCLE".
A la conférence annuelle BMW, le patron du groupe, Oliver Zipse, a expliqué que les
émissions de CO2 seraient réduites de 200 millions tonnes d'ici 2030. Et dans la grande
pagaille des annonces de groupes automobiles ces derniers mois sur la décennie en cours,
celle de BMW met l'accent sur le cycle complet, de la production à l'usage du véhicule.
Avec la nouvelle génération de batteries, BMW prévoit de réduire leur empreinte à la
production de l'ordre de 50 % par rapport à la génération actuelle. Energie renouvelable
dans les usines, nouvelle chimie dans les batteries et recyclage seront à l'ordre du jour pour
BMW qui donne l'exemple de l'iX30 : le SUV aurait ainsi 30 % d'aluminium recyclé, et 50 %
de nickel recyclé. Rappelons par ailleurs que les fameuses "terres rares" ne sont désormais
plus indispensables pour les moteurs électriques.
D’ici 2040, le suédois Volvo prévoit de créer des boucles de recyclage fermées pour « les
matériaux à fortes émissions », tels que l’acier et l’aluminium, « tout en favorisant le
remanufacturage, la réparation, la réutilisation et la remise à neuf des pièces. » Le
constructeur veut aussi augmenter la part de matériaux recyclés et d’origine biologique dans
ses voitures d’ici 2025, avec un minimum de 25 % de plastique recyclé ou d’origine
biologique, 40 % d’aluminium recyclé et 25 % d’acier recyclé.
Des économies attendues de 100 millions d’euros et 2,5 millions de tonnes de CO2
Ces solutions doivent entraîner à partir de 2025 près de 100 millions d’euros d’économies,
ainsi qu’une réduction des émissions de CO2 de 2,5 millions de tonnes. Elles participeront
ainsi à l’atteinte d’un autre objectif du constructeur, à savoir la neutralité carbone d’ici 2040.
Toutefois, « cela implique de repenser toutes nos activités et nos approches de travail »,
indique Anders Kärrberg, responsable du développement durable mondial chez Volvo Cars.
L’entreprise a déjà débuté cette transition. En 2020, elle aurait remanufacturé près de
40 000 pièces, dont des boîtes de vitesse et des moteurs, évitant l’émissions de 3 000 t de
CO2. Elle aurait également recyclé 95 % de ses déchets de production dont 176 000 t
d’acier, soit – 640 000 t de CO2 émises.
Par ailleurs, Volvo s’intéresse aux applications de seconde vie pour les batteries de ses
véhicules électriques. Le constructeur s’est associé à la société BatteryLoop, filiale du
groupe suédois Stena Recycling, qui utilise des batteries de Volvo pour stocker de
l’électricité produite à partir d’énergie solaire. « À partir du mois d’avril, ce système
alimentera les bornes de recharge pour voitures et vélos électriques d’Essity, spécialiste
suédois de l’hygiène et de la santé, dans son centre d’affaires à la périphérie de Göteborg »,
annonce-t-il.
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ANNEXE C
FICHE D’ANALYSE DU DOCUMENT 6
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