Définitions Unité 1+2 PC-1
Définitions Unité 1+2 PC-1
Définitions Unité 1+2 PC-1
Secousse musculaire : réponse musculaire après une excitation efficace, elle se compose de la phase de latence, la phase
de contraction et la phase de relâchement.
Mitochondrie : organite cellulaire siège des réactions d’oxydation respiratoire elle est constituée par deux membranes
(interne et externe) séparées par un espace inter membranaire et une matrice mitochondriale.
Sphères pédonculées : se sont des protéines enzymatiques, présentes au niveau de la membrane interne de la
mitochondrie et qui interviennent dans la phosphorylation de l’ADP en ATP.
La glycolyse : l’ensemble des réactions qui se déroulent au niveau du hyaloplasme en anaérobiose, permettant la
destruction partielle du glucose en deux acides pyruviques avec production de deux molécules d’ATP et 2 NADH, H+.
La chaine respiratoire : l’ensemble des protéines de la membrane interne mitochondriale qui catalysent les réactions
d’oxydoréduction permettant le flux d’électrons à partir des composés réduits vers l’accepteur final qui est l’O 2.
Respiration : dégradation complète de molécules organiques ayant lieu dans la mitochondrie et qui s’accompagne d’un
échange gazeux avec le milieu (absorption de dioxygène et rejet de dioxyde de carbone), avec la production d’une
importante quantité d’ATP.
Fermentation : dégradation incomplète du glucose en milieu anaérobique permettant une production modeste d’ATP
et la formation de molécules organiques (éthanol, acide lactique).
Fermentation lactique c’est une voie métabolique anaérobique qui aboutit à la transformation de glucose en acide
lactique au niveau du hyaloplasme.
Fermentation alcoolique : c’est une voie métabolique anaérobique qui aboutit à la transformation de glucose en éthanol
et CO2 au niveau du hyaloplasme.
Phosphorylation oxydative : synthèse d’ATP par la phosphorylation de l’ADP au niveau des sphères pédonculées en
utilisant l’énergie libérée suite à l’oxydation des donneurs d’électrons par la chaine respiratoire.
Actine : protéine musculaire constituant les filaments fins des myofibrilles. Leur mouvement relatif par rapport à la
myosine permet un raccourcissement des myofibrilles, et donc la contraction musculaire.
Myosine : protéine constitutive des myofilaments épais de la myofibrille possédant une « tête » lui permettant de se
fixer à l’actine.
ATP : adénosine triphosphate. Petite molécule formée de l’assemblage d’un sucre (ribose), d’une base azotée (adénine)
et de trois groupements phosphates. L’hydrolyse de l’ATP libère une grande quantité d’énergie. Elle est couplée à de
nombreuses réactions cellulaires comme, par exemple, la contraction musculaire.
Cycle de Krebs : suite de réactions chimiques se déroulant dans la matrice mitochondriale au cours desquelles le
métabolite organique est fixé sur un accepteur puis entièrement dégradé en dioxyde de carbone et en composés réduits
R’H2, l’accepteur étant finalement régénéré.
Fibre musculaire : cellule constitutive du muscle pouvant atteindre plusieurs centimètres de long et contenant de
nombreuses myofibrilles.
Myofilament : filament fin d’actine et filament épais de myosine responsables de la contraction musculaire. Actine et
myosine sont des protéines.
Myofibrille : structure cylindrique contractile formée de myofilaments et qui garnissent les fibres (ou cellules)
musculaires.
Sarcomère : unité structurale de la myofibrille. C’est la répétition des sarcomères qui constituent les myofibrilles,
chaque sarcomère est délimité par deux stries Z est constitué par deux bandes une claire et l’autre sombre.
Allèle : séquence nucléotidique qui représente l’une des formes que peut avoir un gène.
Locus : c’est une place précise sur le chromosome occupée par un gène qui contrôle un caractère génétique bien
précis.
Phénotype : ensemble des caractères d’un individu résultant de l’expression de ses gènes.
Mutation : est une modification aléatoire de la séquence de la molécule d’ADN qui peut toucher un ou plusieurs
nucléotides.
Les protéines : sont des macromolécules constituées par un grand nombre d’acides aminés.
L’ARNm : est une molécule formée par un simple brin qui est un polymère de nucléotides. Chaque nucléotide est
constitue par un ribose, une base azotée (A, U, G et C) et un acide phosphorique.
L’ADN : est un polymère de nucléotides. Chaque nucléotide est constitue par un désoxyribose, une base azotée (A, T,
G et C) et un acide phosphorique. Ces nucléotides forment une molécule à deux brins en forme d’hélice relié entre eux
par des liaisons hydrogène.
L'ADN : est une macromolécule très longue, constituée d'un grand nombre de désoxyribonucléotides.
La transcription : C’est une opération qui se déroule à l’intérieur du noyau et qui permet de copier l’information
génétique de l’ADN sous forme d’une molécule d’ARNm.
La traduction. : C’est la synthèse d’une protéine grâce à l’intervention de nombreux acteurs : ribosomes, ARNm,
ARNt, ATP, ribosome et acides aminés. Il y a synthèse d’un polymère d’Acides amines, dans un ordre bien déterminé
correspondant à l’information génétique.
Codon : Triplet de bases de l’ARNm qui détermine le positionnement d’un acide aminé dans un polypeptide.
Codon d’initiation : Codon correspondant à un acide aminé : la méthionine. C’est le premier codon par lequel
commence la traduction.
Codon stop : Codon qui ne correspond a aucun acide aminé. Ce codon détermine l’arrêt de la traduction, c’est-a-dire
la fin de la synthese d’un polypeptide.
La mitose : est une division cellulaire aboutissant à la formation de deux cellules identiques entre elles et à la cellule
mère au cours de la mitose il y’a transfert conforme de l’information génétique.
Nucléotide : est une molécule organique qui est l’élément de base de l’ADN ou d’ARN, il est composé d’une base
nucléique (base azotée), d’un pentose, d’une molécule d’acide phosphorique.
ADN polymérase : est un complexe enzymatique intervenant dans la polymérisation des nucléotides au cours de la
duplication de l’ADN.
Code génétique : système de correspondance entre la séquence des nucléotides de l’ARN messager et la séquence des
acides aminés dans la protéine.
La réplication : est le mécanisme de production de nouvelles molécules nucléiques d'ADN . Au niveau cellulaire, la
copie de l'ADN résulte en la formation de deux molécules filles identiques entre elles et à la molécule mère. Ce
phénomène a lieu dans le noyau au niveau des nucléofilaments, avant la division cellulaire
Le cycle cellulaire : est l'ensemble des étapes qui constituent et délimitent la vie d'une cellule. Ce cycle est composé
de plusieurs phases de croissance dans lesquelles la cellule grossit et duplique son matériel génétique (interphase) et
d'une phase où celle-ci se divise (mitose) pour donner naissance à deux cellules filles identiques (dans le cas de la
mitose).