Technique de Brasage, Soudage Et D'oxycoupage 2023

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TECHNIQUE DE BRASAGE,

SOUDAGE
&
D’OXYCOUPAGE

Préparation et rédaction

❖ Mr. EL HAJIFI CHEGDALI


Formateur ISTA BENI-MELLEL
FROID ET GENIE THERMIQUE

❖ Mr. KNOUZI MOHAMMED


Formateur ISTA INEZGANE
FROID ET GENIE THERMIQUE

Module M104

Edition 2023
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I. Façonnage du cuivre

1) Introduction :

Afin de relier les divers organes frigorifiques et de permettre le transport du fluide frigorigène, les installations
de froid et de climatisation sont réalisées en tube cuivre. Ces tubes sont en cuivre à 99.9 suivant la norme
EN1412. Réaliser sans aucune soudure par étirement du métal, ils sont vernis à l’intérieur pour réduire les
pertes de charge par frottement.

Les tubes frigorifiques ont les dimensions exprimées en pouce (1= 25.4 mm) et non en système métrique
comme les tubes utilisés en plomberie, l’épaisseur est aussi plus élevée (de 0.8 mm à 1.25 mm) car les
pressions de services sont plus fortes surtout depuis l’apparition des nouveaux fluides. Ils sont livrés
déshydratés et bouchonnés en couronne nue à isoler ou pré-isolée ou encore en barre.

2) Formes :

Les tuyaux de cuivre en froid et climatisation existent sous deux formes :

Cuivre recuit en couronne de 15 à 50 mètres.


Cuivre écroui en barre de 4 à 5 mètres.

Tubes suivant leur type


Tube recuit
Utilisation Forme

✓ Cintrage à froid.
✓ Pose facile.
✓ Pour les petites installations de
climatisation.

Tube écroui
Utilisation Forme
✓ Utilisé plutôt en apparent.
✓ Fixation par collier ou sur chemin
de câble.
✓ Cintrage à chaud.

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3) Dimensions des tubes frigorifiques :

Pour calculer le diamètre extérieur ; il faut ajouter au diamètre intérieur deux fois l’épaisseur :

Diamètre intérieur en
Désignation Epaisseur en mm Poids au mètre en kg
mm

14 0.800 4.75 0.122

38 0.762 8.00 0.185

12 0.889 10.90 0.293

58 1.016 13.84 0.418

34 1.067 16.92 0.528

78 1.143 19.94 0.686

4) CORRESPONDANCES D’UNITES :

Pour tubes cuivre de CLIMATISATION :

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Outils de travail :
• La coupe du tube : s'effectuera à l'aide d'un coupe tube. Il ne faut jamais utiliser de scie à métaux pour
couper le tube, car la coupe ne serait pas d'équerre et les bavures importantes. A l'aide du coupe tube, on réalise
une coupe d'équerre nécessaire pour les opérations de dudgeonnage.

Coupe tube jusqu’à 118 mini coupe tube 316


- Utilisation :

Le tube est coupé à la dimension voulue à l’aide du coupe tube IL est recommandé d’utiliser un tube non bosselé
et coudé. Il faut tracer un repère autour du tube en appuyant la lame du coupe tube contre la surface et en tournant
lentement. Ensuite, le tube est soigneusement coupé en tournant la poignée de l’outil après chaque tour. La lame
coupe le tube peu à peu. Si la poignée est tournée trop rapidement, la coupe sera de mauvaise qualité.

Exemples de tubes coupés

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• L'ébavurage consiste à retirer les bavures résultantes de la coupe du tube. On doit ébavurer l'intérieur et
l'extérieur du tube. Les bavures ne doivent pas pénétrer dans le tube. Pour cela on placera toujours
l'ébavureur sous le tube à ébavurer. Il est interdit de souffler dans le tube pour chasser les bavures.
EBAVUREUR

• Le dudgeonnage du cuivre consiste à utiliser une petite longueur droite pour réaliser une partie conique
sur laquelle on pourra adapter un écrou raccord pour assurer l'étanchéité sur les éléments à visser. La
quantité de cuivre à utiliser sera égale à 2mm.

Poignée de l’étrier

L’étrier

Les mors

Pour réaliser la pièce ci-contre, on a donc utilisé une longueur développée égale à lalongueur L de la pièce
+ 2mm pour le dudgeon.

Exemple :
Pour réaliser une pièce droite de 200mm qui comporte un dudgeon à chaque
extrémité,on doit couper une longueur droite qui correspond à 200+2x2=204mm.

Une Dudgeonnière

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• L'évasement consiste à porter le diamètre intérieur d'un tube à celui de son diamètre extérieur sur une
longueur de 10mm, on peut donc ensuite emboiter les tubes qui avait la même section. Cette opération va
donc consommer une longueur droite égale à 10 mm.
Pour réaliser la pièce ci-contre, on a utilisé une longueur développée totale de
L+10mm. Les 10mm correspondent à la pénétration du cuivre dans l'emboiture.

Exemple : Pour réaliser une pièce droite de


200mm qui comporte un évasement, on doit
couper une longueur droite de200+10=210mm

• - Pince à évaser : Pour réaliser un évasement on utilise une pince à évaser.

Utilisation :

• Utiliser tube recuit ou Chauffer l’endroit à Travailler

• Ebavurer l'intérieur et l'extérieur du tube

• Elargir jusqu’à la butée

• Conçue également pour des tubes

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• Le cintrage : est une opération qui consiste à réaliser un changement de direction du tube sans avoir à
lecouper et à ajouter une pièce supplémentaire. Pour cintrer le tube, on utilise
- Ressort à cintrer : Permet de cintrer le tube cuivre à la main sans écrasement sensible.

- Présentation :

- Utilisation :
Placer le ressort sur la partie à cintrer, le milieu sensiblement sur l’axe.
Prendre appui en A et faire pression en B et B’ avec la main, cintrer progressivement sans à –coups.
Rayon minimum de cintrage : 3 fois le diamètre extérieur du tube à cintrer.

- Dégagement du ressort :
Cintrer le tube à angle légèrement plus aigu que l’angle désiré, puis ouvrir légèrement. Faire tourner
ensuite le ressort dans le sens inverse de son enroulement.

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Cintreuse à levier : -Permet de cintrer des coudes réguliers et courts jusqu’à180° sans effort. Le tube
n’est ni marqué, ni écorché, ni aplati.
- Des reprises sur le galet permettent de choisir l’angle Du coude désiré.
- Chaque diamètre du tube nécessite un modèle permettant l’introduction du tube à n’importe quel point.

Diamètre extérieur du Rayon au centre du tube


tube

1/4 14
3/8 24
1/2 38
5/8 56
3/4 76
7/8 76

- utilisation :
1- Positionner le tube à cintrer comme indiqué sur la figure 1.
2- S’assurer que le tube est bien tenu par le guide.
3- Mettre la poignée mobile dans la position indiquée sur la figure.
4- Tirer sur la poignée dans la direction de la flèche jusqu’à l’angle désiré.

Remarques :

- Si l’origine de la mesure se trouve à gauche, positionner son extrémité sur La graduation L (Lef ).
- Si l’origine de la mesure se trouve à droite, positionner son extrémité sur La graduation R (right)

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- Calcul de développement :
- Définition : Le calcul d’un développement permet de connaître la quantité de cuivre Nécessaire pour
réaliser une pièce en cuivre. Ce calcul se fait à partir de la Fibre neutre.

Etudions un cintrage pour connaitre la quantité de cuivre nécessaire à cette opération...

Soit une pièce de longueur L1 et L2. Les côtes sont données à l'extérieur du tube. Cette pièce peut se décomposer
en 3 parties : deux longueurs droites AB et CD, et un cintrage BC.

Sur le schéma ci-dessus, RC représente le rayon de cintrage (donné par la cintreuse) et Rt le rayon du tube. Le
but de l'exercice est de déterminer la longueur développée de cette pièce pour savoir quelle longueur de cuivre il
faut couper pour la réaliser.

Commençons par déterminer les longueurs droites AB et CD.


AB = L1-Rc-Rt
CD = L2-Rc-Rt
Maintenant il faut déterminer la longueur nécessaire au cintrage...

La longueur développée totale sera donc égale à AB+BC+CD.

Reprenant l’exemple de cintrage ci-dessus avec les valeurs suivantes :


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Exercice d’application :

L1= 100 mm
L2= 110 mm
Le tube utilisé est 5/8.
Calculer la longueur développée LAD de la pièce frigorifique

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1. DEFINITION &PRINCIPE :
a) Définition : le soudage OA est un assemblage
thermique à l’aide d’un chalumeau et de 2 gaz.
(Réservé aux épaisseurs inférieures à 3mm, il est
encore très utilisé en chauffage sanitaire.)
b) Principe : deux gaz l’acétylène et l’oxygène ,
mélangés dans un chalumeau créent une flamme qui
permet la fusion de l’acier.

La température de la flamme atteint environ 3000°C à


l’extrémité du dard, permettant le soudage de la plupart des
matériaux.
On distingue :
➢ Le soudage autogène : le métal de base et d’apport sont de même nature et
entrent en fusion.
➢ Le soudage hétérogène : le métal d’apport est différent du métal de base
qui lui aussi peut être différent il n’y a pas fusion des pièces à assembler.
Tel le soudo-brasage.

2. INSTALLATION DE SOUDAGE :
Une installation de soudage comprend :

➢ Une source d’oxygène.

➢ Une source d’acétylène.

➢ Des détendeurs, des systèmes de sécurité (dispositifs anti-retour), un chalumeau.

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a) Détail du matériel :

➢ Détendeurs : Permettent de détendre les gaz de la pression de stockage (dans les


bouteilles) à la pressiond’utilisation.

➢ Chalumeaux : Permettent de mélanger les gaz afin d’obtenir une flamme conforme à de
bonnesconditions de soudage.

➢ Buses : Permettent de changer le débit des gaz en fonction de l’épaisseur et de la position


de soudage.

NB : Le choix de la buse du chalumeau varie en fonction de l’épaisseur de la tôle : il sera pour


l’acier de 100 litres/mm d’épaisseur.
Le Ø du métal d’apport sera égale à l’épaisseur du métal à assembler.

Détail d’un chalumeau

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Dans la profession ce sont les chalumeaux « Basse Pression » qui sontcouramment utilisés.
Selon les travaux à exécuter on utilisera des chalumeaux soudeurset chauffeurs ou des chalumeaux découpeurs.

b) Mise en œuvre du soudage.


Le soudage oxyacétylénique se rencontre essentiellement sous forme manuelle. La qualité de
l’assemblage est donc conditionnée par le choix des paramètres suivants :

• Réglage du chalumeau, débit et rapport oxygène/acétylène.

• Vitesse d’avance du chalumeau.

• Positionnement et orientation du chalumeau. On distingue, en fonction de l’épaisseur, le


soudage à gauche (le plus fréquent) et le soudage à droite.
c) Classification des chalumeaux soudeurs ou chauffeurs :

Type de chalumeau Débit d’acétylène desbuses Observations

n°: 00 de 10 à 63 L / h
Le plus utilisé dans laprofession
n° : 0 de 63 à 400 L / h
Généralement utilisépour chauffer
n° : 1 de 250 à 1 000 L/h

n° : 2 de 1 250 à 4 000 L/h

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d) Renseignements techniques sur les gaz :
 L’ oxygène :
Oxygène : O² gaz comburant.
Ogive blanche : contenance : 2 , 7 , 10m³ , pression intérieure 150 bars.

Obtenu soit par :


Liquéfaction de l’air à – 185° que l’on distille pour le séparer des autres gaz.

Depuis l’eau par électrolyse.

L'oxylithe est un composé chimique solide friable de couleur bleuté, qui se


dissout au contact de l'eau en libérant de l'oxygène.

Sécurité :
ne pas graisser ni huiler les vannes , canalisations ou raccords d’oxygène .

ne jamais aérer l’intérieur d’une pièce ou d’un réservoir avec de l’oxygène.(


danger d’incendie ou d’explosion ).

Ouvrir les vannes d’ ¼ de tour pour les fermer plus vite en cas d’incendie.

 L’ acétylène :
Acétylène : C²H² gaz carburant
Ogive marron : contenance : 2 , 8m³ pression intérieure 15 bars emmagasiné
dans l’acétone.

Obtention :

On utilise comme matière première le calcaire et le coke ou du charbon de


bois. Dans un four à haute température (1700 ºC minimum) chauffé par un
courant électrique passant dans le milieu réactionnel en fusion, il se produit
du carbure de calcium. Placé dans des générateurs le carbure réagit avec l’eau
pour produire l’acétylène.

Sécurité :
ne pas exposer les bouteilles à la chaleur ni au soleil.

Utiliser les bouteilles debout liées ou inclinées au moins à 30° par rapport à
l’horizontal.

Ouvrir les vannes d’ ¼ de tour pour les fermer plus vite en cas d’incendie.

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e) Renseignements techniques les manomètres détendeurs :
Manomètre Manomètre
d’utilisation bouteille

Filetage de la
Bouteille :
- pas à gauche
Protection pour acétylène.
- pas à droite
pourl’oxygène.

Sortie pour
utilisation
Vis de réglage

Sécurité :

• Purger la bouteille avant de raccorder le détendeur

• Dévisser la vis de réglage après utilisation pour éviter l’éclatement de la membrane

• Ne jamais graisser les manomètres

• En cas d’utilisation intense ne pas dégivrer les manomètres avec une flamme
utiliser un réchauffeur ou de l’eau chaude

• Réglage du manomètre d’oxygène : 1 à 1.5 bar pour la


pression de service.
• Réglage du manomètre d’acétylène : 0,2 à 0,5 bar pour la
pression de service.
f) Les tuyaux :
Les tuyaux sont en caoutchouc souple et fortement toilés pour être
résistants.

Ils existent deux diamètres 6x11 et 9x16. Il y a deux couleurs de


tuyaux :

rouge pour acétylène et bleu pour l’oxygène.

Sécurité :
Ne jamais intervertir les tuyaux dans le montage, car le caoutchouc étant imprégné
d’acétylène peut s’enflammer au seul contact de l’oxygène sous pression.

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Éviter les contacts des tuyaux avec des produits gras qui dissolvent le caoutchouc, les
projections d’oxyde qui les brûlent et les chutes de corpslourds qui peuvent les cisailler.
g) Accessoires : Raccords rapides :

Ils facilitent le montage et le démontage. Leurs diamètres, couleurs et formes de


raccord différents évitent toute inversion des deux gaz

h) Accessoires : Raccords anti-retour de flammes :

Les clapets anti-retour sont des


accessoires de sécurité.

Si la longueur des tuyaux est


supérieure à 20 ml il faut deux
jeux de raccords anti-retour de
flamme (un au détendeur et un
au chalumeau).Les tuyaux
sont maintenus aux tétines des
raccords par des colliers à
oreilles ou des colliers «
Serflex » spécifiques.

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i) Mise en route et arrêt du poste :
➢ Mise en route d’un poste :
1) Vérifier que les vis de détente soient desserrées.
2) Ouvrir les bouteilles ou vannes ¼ de tour.
3) Régler les pressions d’acétylène et d’oxygène.
4) Allumer le chalumeau.

➢ Arrêt d’un poste :


1) Eteindre le chalumeau.
2) Fermer les vannes ou bouteilles.
3) Ouvrir les vannes du chalumeau.
4) Attendre que les aiguilles des manomètres reviennent à zéro.
5) Desserrer les vis de détente.
6) Fermer les vannes du chalumeau.

j) Méthodes de soudage :

La différence entre les deux méthodes concerne la direction d’avance de la flamme dans le plan
perpendiculaire à la tôle.

➢ Méthode classique, dite à gauche :


La flamme est orientée vers les parties froides et le métal d’apport est plongé par intervalles dans le
bain de fusion.
Cette technique est lente, consomme beaucoup plus de gaz, limite la pénétration, mais est d’exécution
facile et donne des soudures de bel aspect.

➢ Méthode dite à droite :


La flamme est orientée vers le bain de fusion ce qui augmente la température et donc la pénétration.
Le métal d’apport plonge en permanence dans le bain de fusion. Cette méthode est plus rapide et plus
économique que la précédente.

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k) Renseignements techniques : les chalumeaux réglage de la flamme
oxyacétylénique :

✓ Flamme neutre ou normale : c'est la flamme normalement utilisée pour le soudage.


Ledard est de couleur blanc brillant et de forme très nette en sortie de buse.

✓ Flamme oxydante : c'est une flamme avec un excès d'oxygène. Le panache et le dard
sontraccourcis. La flamme émet un sifflement. Le panache est plus lumineux.

✓ Flamme carburante : c'est une flamme avec un excès d'acétylène. Le panache et le


dardsont augmentés avec des formes irrégulières.

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✓ Description de la flamme oxyacéthylénique neutre :

l) Applications du procédé :

Avantages :

o Le faible coût des installations et l’absence d’aménagement électrique.


o La possibilité de souder dans toutes les positions et sur des préparations de qualités
moyennes. D’où son utilisation pour l’artisanat ou pour les situations de chantier.

o La possibilité d’utiliser le chalumeau pour du soudobrasage, de la chauffe ou de la coupe.

Inconvénients :

o Le soudage O.A est limité aux faibles épaisseurs (inférieure à 5 mm hors préparation de
bord).

o Cette technique est limitée à une utilisation manuelle.

o Provoque des déformations importantes.

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Le soudage oxyacétylénique n°311
FICHE
SECURITE Secteur : Structures Métalliques

RISQUES ENCOURUS
Brûlures aux mains ou sur le corps, danger d’explosion

PROTECTIONS INDIVIDUELLES

- Lunette de soudure, vêtement de travail


- Gants , chaussures de sécurité.
- Tablier, guêtres.

PROTECTIONS COLLECTIVES
- Débarrasser la zone de travail de tous
produits inflammables
- Sur chantier demander au supérieur
hiérarchique s’il y a besoin d’un permis de
feu.
- Protéger les tuyaux sur les lieux de
Passage.

CONSIGNES DE SECURITE
- Porter des vêtements de travail en coton pas de nylon, mettre les lunettes, les gants, le tablier,les
guêtres et les chaussures de sécurité.
- Allumer le chalumeau avec un allume gaz pas de briquet à gaz surtout dans les poches
- Mettre un couvre joint sur les tuyaux dans les lieux de passage. Si vous utilisez des bouteilles, celles-ci
doivent être fixées sur un chariot ou à défaut sur une rampe, ou couchées par terre cotévanne relevée à
distance du lieu de travail. Ouvrir les vannes des bouteilles que ¼ de tour.
- pour tous travaux sur ou dans un réservoir, celui-ci aura été préalablement nettoyé de son
contenu, prévoir un système d’aspiration des fumées, ne jamais aérer ou ventiler avec de
l’oxygène.
- Sur chantier demander s’il y a lieu de prévoir un permis de feu
- Evacuer les chutes de tôles, nettoyer le poste de travail.

DEMARCHES A SUIVRE EN CAS D’ACCIDENT


- Fermer les vannes des bouteilles en cas d’incendie
- Prévenir le professeur. Page 19 sur 19

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