UE 2.9 Sujet

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UE 2.

9 REMOBILISATION DE CONNAISSANCES – Promotion 2020/2023


QCM 1. Les cellules tumorales
A. Peuvent être visibles au microscope
B. Ont la capacité de se diviser de façon illimitée
C. Ont la capacité d’échapper à l’apoptose
D. Possèdent la capacités d'invasion et de métastases
E. Sont très sensibles aux inhibiteurs physiologiques de la croissance cellulaire

QCM 2. Par rapport à une cellule normale, une cellule en transformation cancéreuse
peut présenter :
A. Une taille supérieure
B. Une taille inférieure
C. Un noyau de taille et de morphologie anormales
D. Un rapport noyau / cytoplasme diminué
E. Un rapport noyau / cytoplasme augmenté

QCM 3. Notions de génétique


A. Un gène suppresseur de tumeur est un gène qui, à l’état normal, active la prolifération cellulaire
B. Le gène p53 est un oncogène
C. Un oncogène est un gène qui ralenti la prolifération cellulaire
D. Un gène mutateur est impliqué dans la réparation de l’ADN
E. Lorsqu’un gène mutateur est altéré, les erreurs de l’ADN ne sont plus réparées

QCM 4. Les différents types de cancers


A. Un carcinome est une tumeur maligne dérivant des fibroblastes
B. Un sarcome est une tumeur maligne dérivant des cellules épithéliales
C. Un lymphome est tumeur maligne dérivant des cellules lymphoïdes
D. Un mélanome est une tumeur qui dérivent des mélanocytes
E. Une tumeur germinale est une tumeur dérivant des cellules somatiques

QCM 5. La progression du cancer


A. Une rupture de la lame basale est observée dans le cas d’un cancer infiltrant
B. Un carcinome est un cancer infiltrant
C. Un cancer in situ présente un grand risque de métastase
D. Un cancer in situ est une tumeur maligne limitée, sans franchissement de la lame basale
E. L’envahissement des ganglions lymphatiques constitue un facteur pronostique important

QCM 6. Une extension métastatique d’une tumeur primitive d’un cancer pulmonaire se localise
préférentiellement au niveau :
A. De l’encéphale
B. De l’os
C. Du péritoine
D. Des surrénales
E. De la peau

QCM 7. Les examens qui permettent d’affirmer le diagnostic de cancer sont :


A. L’examen anatomopathologique d’une biopsie
B. L’analyse histologique d’une pièce opératoire
C. Le dosage des marqueurs tumoraux
D. La scintigraphie osseuse
E. Le TEP scan

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QCM 8. La consultation d’annonce vise à :
A. Informer le patient sur le diagnostic de sa maladie
B. Informer le patient sur les décisions thérapeutiques prises en réunion de concertation pluridisciplinaire (RCP)
C. Informer le patient sur son parcours personnalisé de soin
D. Donner obligatoirement le diagnostic à la famille
E. Articuler les temps médicaux et les temps soignants

QCM 9. Dans les modes de vie, les facteurs favorisants du cancer sont :
A. La consommation d’alcool
B. Le soleil
C. La pratique sportive
D. Le tabagisme actif
E. Le tabagisme passif

QCM 10. Parmi les facteurs ci-dessous lesquels sont les principaux facteurs de risques du cancer colo-rectal ?
A. Un antécédent familial proche (1er degré) de cancer colorectal
B. Un antécédent personnel de polype adénomateux
C. Un antécédent personnel d’adénocarcinome du côlon.
D. Une maladie inflammatoire chronique de l’intestin (MICI)
E. Un régime riche en fibres

QCM 11. Un cancer colo-rectal doit être recherché devant :


A. Une occlusion intestinale
B. Un syndrome rectal
C. L’apparition de sang dans les selles
D. La négativité du test immunologique de dépistage
E. Une rétention aiguë d’urines

QCM 12. Au niveau du sein, les signes repérables par la patiente sont :
A. Une asymétrie
B. Un nodule (ou « boule »)
C. Des douleurs
D. Une rétractation
E. Un grain de beauté

QCM 13. Le cancer du col utérin :


A. Est dépisté par le frottis cervico-utérin
B. Est, dans la majorité des cas, un carcinome épidermoïde
C. Est traité par radiothérapie et chimiothérapie concomitante pour les stades avancés
D. Peut-être prévenu par la vaccination anti-HPV chez l’adolescente et l’adolescent
E. La présence du virus HPV (Human Papilloma Virus) est retrouvée dans moins de 20% des lésions infiltrantes du col
de l’utérus

QCM 14. Le cancer de la prostate :


A. Peut être suspecté au toucher rectal
B. Est diagnostiqué grâce aux biopsies prostatiques réalisées sous échographie par voie transrectale
C. Est diagnostiqué grâce aux P.S.A., marqueur spécifique de la prostate
D. Peut présenter une symptomatologie proche de l’adénome de la prostate
E. Est le plus souvent symptomatique

QCM 15. Les soins oncologiques de support


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A. Correspondent à l’ensemble des soins de soutien aux soignants
B. Englobent tous les soins de prévention des complications
C. Permettent de soulager la souffrance du patient
D. Ont autant de valeur que les thérapeutiques
E. Comportent la prise en charge nutritionnelle du patient

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