La Trahison de Manon

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L'infidélité représente toujours le côté matérialiste de Manon.

Manon Lescaut est


un roman de la passion de Des Grieux et Manon. Cet extrait met en valeur la lettre de
Manon qui représente sa fuite et sa trahison de Manon. Dans le premier axe de ce
commentaire, nous étudierons l’obsession de l'argent de Manon. Dans le deuxième
axe, nous montrerons que Des Grieux est un héros tragique. Dans le dernier axe, nous
expliquerons la dimension tragique.

L’obsession de l'argent de Manon se réside dans son amour passionnel pour Des
Grieux ou pour l’argent ? ambigu ! et son immoralité.

L'amour passionnel de l'argent se manifeste dans le désir du luxe de cette dernière.


L'interrogation « crois-tu qu'on puisse être tendu lorsqu'on manque de pain ?» renvoie
à l'impossibilité de vivre sans argent qui suggère le besoin constant de renouvellement
du le plaisir. La connotation des deux adjectifs coordonnés « riche et heureux » associe
à l'attitude exigeante de Manon envers le luxe d’une vie tant voulue par cette dernière
et renvoie à l’idée que l'argent est l'unique chose que qui rend compte le bonheur à la
vie de Manon. Cette dernière est prête à toute trahison parce que seule la jouissance de
l’instant présent compte pour elle. La périphrase « le ménagement de notre fortune »
révèle la pauvreté des deux amants et dévoile que Manon ne supporte pas la misère.
Elle ne lui reste que recherche autre source d'argent : cela souligne la prise l’emprise
de par l'argent dans la vie de celle-ci. C'est une prise emprise qui se manifeste dans
l'indifférence de Manon par pour l’argent. La proposition indépendante «la faim me
causerait quelque méprise fatale » renvoie au besoin nécessaire pour de l'argent :
l'amour de Manon pour l'argent est plus fort que celui pour Des Grieux. Elle ne peut
pas vivre agréablement un instant, si elle craint un manque. L'attitude matérialiste se
manifeste dans l'impossibilité de continuer à cette relation puisque ce dernier perd
toute sa fortune : son goût pour le luxe et le plaisir qui la poussent à abandonner son
amant.

L’immortalité de Manon se manifeste dans son obsession par pour l'argent : cette
obsession lui permet à de recourir à des artifices. Ainsi, elle a besoin de jouer
l’hypocrite devant Des Grieux. La proposition indépendante «je travaille pour rendre
mon chevalier riche et heureux » est associée à la stratégie de Manon : elle veut le
(ainsi que se convaincre aussi) convaincre que sa trahison est causée de l’infortune.
Manon change son infidélité à en une preuve d'amour : elle porte le masque de
l’hypocrite pour affirmer à celui-ci sa sincérité affaiblie pour par la trahison. L'attitude
de cette dernière envers l'amour met en valeur sa trivialité : le groupe nominal « sotte
vertu » renvoie à un instant de ridicule envers l'infidélité qui compare à l'aisance
matérielle. Son amour aveugle pour l'argent lui permet de mettre l'amour sa passion
pour Des Grieux dans un statut inférieur dans une position inférieure : la périphrase «
tombe dans mes filets » est une expression de trivialité contre aux les valeurs morales.
Manon proteste de son amour et justifie son infidélité. Le nom commun « travail » a
une connotation péjorative qui désigne la prostitution et justifie l’abandon de cette
dernière : elle quitte Des Grieux pour vivre avec un autre homme. Celle-ci traduit la
figure de courtisane par son recours aux moyens immorales immoraux pour vivre dans
le luxe : elle pense à ses intérêts d’où : elle peut semble servir son projet sans donner
aucune importance aux sentiments de Des Grieux.

Des Grieux se place, ainsi, en héros tragique qui ne peut supporter le poids de ses
émotions.

La colère de Des Grieux se manifeste dans un monologue intérieur. En effet, il


dévalorise les défauts de Manon à travers l'adjectif « ingrat » qui qualifie le
personnage de son amante et désigne le méfiant la méfiance de ce dernier envers celle-
ci. Cet méfiant La méfiance du narrateur réside dans l’échec de Manon d’être une
amante fidèle. La proposition indépendante « ingrate se croit à couvert de mes
reproches » est une expression qui révèle le mécontentement du chevalier : il est
embarrassé devant l'infidélité de cette dernière. Le narrateur ne peut pas supporter la
trahison : il a est l’impression que Manon rit à devant sa simplicité voire sa naïveté.
Ainsi, Des Grieux reproche l'ingratitude de Manon par son recours à son sacrifice : la
construction causative « pour satisfaire ses petites humeurs et ses caprices » renvoie à
un instant de regret et d'incertitude envers l’être aimé et montre que ce dernier exige
un changement d'attitude envers elle. Cela donne un tour animé et violent aux
réflexions de Des Grieux. La trahison de Manon met le personnage du chevalier dans
le cadre de la colère : il garde toute sa lucidité pour critiquer le caractère de cette
dernière.

L'accès de La colère se transforme en une profonde douleur. Le lyrisme pathétique


de Des Grieux paraît au moment de découvrir la trahison de son amante. La
proposition subordonnée relative « qui me serait difficile à décrire » associe à
l'impossibilité de définir ses sentiments de la douleur et montre à quel point il est
blessé car celui-ci veut vivre un amour fondé sur la fidélité du cœur et du corps.
L'interrogation « Que me reste-t-il à faire pour elle après toute ce que je lui ai
sacrifié ?» renvoie à une déception, une douleur qui justifient la blessure du chevalier :
il souffre à cause de l'infidélité de Manon. Ce dernier est rattrapé par son passé car il
sacrifice son succès, sa réputation et sa fortune pour une [ingrate]. La proposition
subordonnée complétive « qu'il devait y entrer la douleur » désigne la douleur et le
chagrin de celui-ci et produit un effet pathétique qui redouble la tonalité tragique :
l’amour pour le narrateur est réglé par la raison qui provoque la vertu. Le registre
pathétique accorde une fonction dans la vie de ce dernier : il se plonge dans une
atmosphère tragique dont il ne se défait jamais à cause la trahison de Manon.

Le monologue traduit ainsi le dilemme tragique du personnage amoureux. Des


Grieux virent vit un déchirement intérieur entre son amour et l'infidélité de Manon :
l'apostrophe « ingrate » traduit une grande indignation et une incrédulité qui sont en
opposition avec la passion. La phrase courte « elle appréhende la faim » renvoie aux
sentiments de colère et de haine et montre que cette réflexion est causée de par la
jalousie de Des Grieux au moment de découvrir que l'argent est plus important dans la
vie de Manon que lui. Les deux noms coordonnés « de la jalousie et de la honte »
révèlent à l'idée que la jalousie est provoquée par le fait que le chevalier éprouve des
sentiments d'amour au personnage de Manon. Le verbe « aime » renvoie à un instant
de méditation sur l’état amoureux qui exprime dans la métonymie de Des Grieux par
l'adjectif « heureux ». L’abandon de son amante se mêle encore à celui de la
possessivité. Le conflit intérieur de Des Grieux marque par l'opposition entre deux
sentiments contradictoires : l'amour et la haine et exprime une prise de conscience de
Des Grieux de son destin tragique mais surtout, dans l’immédiat, de sa fuite, une fuite
de l’être aimé.

L’attachement de Des Grieux envers Manon crée dans laquelle une sorte de
dimension tragique : cette dimension produit un fait effet sur le chevalier à cause du
destin injuste et de son aveuglement envers la personne qu’il aime.

Le destin se charge de bouleverser la vie des deux amants : l'abandon de son amante
crée un malheur qui menace le bonheur de ce dernier. L'apostrophe « Dieu d’amour »
renvoie à un état religieux qui éprouve rend compte d’un sentiment injuste et de la
révolte chez le narrateur. Le verbe « adore » désigne l’idéalisation de la bien-aimée et
le bonheur qu’elle engendre et met l'accent sur l'amour de Manon envers le chevalier.
Cela montre que la séparation se fait par voire à cause du le destin puisque les deux
personnages comportent partagent les mêmes sentiments d'amour. La coordination «
car j'ignore encore aujourd’hui parce qu’elle espèce de sentiment je fus alors agite »
associe à l'idée que Des Grieux vit dans une inquiétude permanente, dans la peur d'une
nouvelle trahison de Manon : le destin offre à ce dernier une vie pleine du malheur. La
proposition subordonnée relative substantive « qu'elle peines cruelles on sent à se
séparer de ce qu'on adore » renvoie à l’état confidentiel de Des Grieux et dévoile qu'il
est déçu de la séparation volontaire de son amante. Le destin utilise compte l’incendier
pour troubler sa vie. La coordination «je l'adore compte là-dessus, mais laisse-moi
pour quelque temps, le ménagement de notre fortune » désigne un instant du de
désarroi qui met celui-ci dans devant l’hauteur le du danger prévu. Le destin joue un
rôle important dans la vie de Des Grieux car il est cause de la séparation et l’état
pathétique du chevalier. Cela dévoile que le narrateur a le cœur percé de par
l’accablement de son destin.

Des Grieux représente l'image d'un amoureux qui est la victime de son amour. La
proposition indépendante «il faudrait avoir perdu l'esprit pour s’y exposer
volontairement » montre que la vie sans Manon est insupportable : celle-ci symbolise
le bonheur pour chevalier. La phrase courte « l’on a peine à se les biens démêler à soi-
même » traduit un instant de trouble, de perdu perdition et d'inquiet d’inquiétude qui
produisent une menace sur le bonheur de Des Grieux. Cela souligne l'aveuglement de
ce personnage : le narrateur est aveuglé par son amour car il évite la vie sans amante.
La location nominale « peine cruelle » renvoie à la douleur qui exprime dévoile son
attachement envers l’être aimé. La proposition subordonnée relative substantive « ce
qu'on adore » désigne l'amour de ce dernier et montre que les qualités de l'amour du
chevalier est sont incompatibles avec son milieu lequel ? il faut développer davantage
cette idée !. Le narrateur n'a des soucis que dépasser le cœur de Manon. La
coordination « elle m'aime, je le veux croire, mais ne faudrait-il pas l’écriai-je »
dévoile que Des Grieux se met à chercher des excuses pour légitimer la sortie furtive
de qui ? : il aime trop Manon pour ne pas pouvoir l'accuser d'une telle trahison. Ce
dernier pense que le bonheur est toujours lié à Manon : il n'ose pas un instant rester
sans retrouver à son amante.

À l'issue de cette étude, la fuite et la trahison de Manon se manifestent dans


l’attitude obsessionnelle de l'amour qui produit le côté matérialiste où cette dernière
quitte son amant pour l'argent. L'immortalité L’immoralité représente la trivialité et les
caprices de Manon. Ce récit décrit le narrateur en tant que héros tragique à travers la
colère et le lyrisme pathétique causés par de la trahison. Cette trahison se manifeste
dans le dilemme tragique qui traduit la jalousie envers l’être aimé. Mais c'est aussi un
récit met en valeur la dimension tragique de cette scène. Cette dimension justifie dans
le destin injuste qui sépare les deux amoureux et qui traduit le narrateur comme une
victime de son amour puisqu'il évite la vie sans Manon. La passion va mettre le
narrateur dans le vice jusqu’à devient un criminel pour satisfaire les désirs de son
amante.

Pensez à revoir la conclusion selon le nouveau plan que je vous ai proposé !

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