La Trahison de Manon
La Trahison de Manon
La Trahison de Manon
L’obsession de l'argent de Manon se réside dans son amour passionnel pour Des
Grieux ou pour l’argent ? ambigu ! et son immoralité.
L’immortalité de Manon se manifeste dans son obsession par pour l'argent : cette
obsession lui permet à de recourir à des artifices. Ainsi, elle a besoin de jouer
l’hypocrite devant Des Grieux. La proposition indépendante «je travaille pour rendre
mon chevalier riche et heureux » est associée à la stratégie de Manon : elle veut le
(ainsi que se convaincre aussi) convaincre que sa trahison est causée de l’infortune.
Manon change son infidélité à en une preuve d'amour : elle porte le masque de
l’hypocrite pour affirmer à celui-ci sa sincérité affaiblie pour par la trahison. L'attitude
de cette dernière envers l'amour met en valeur sa trivialité : le groupe nominal « sotte
vertu » renvoie à un instant de ridicule envers l'infidélité qui compare à l'aisance
matérielle. Son amour aveugle pour l'argent lui permet de mettre l'amour sa passion
pour Des Grieux dans un statut inférieur dans une position inférieure : la périphrase «
tombe dans mes filets » est une expression de trivialité contre aux les valeurs morales.
Manon proteste de son amour et justifie son infidélité. Le nom commun « travail » a
une connotation péjorative qui désigne la prostitution et justifie l’abandon de cette
dernière : elle quitte Des Grieux pour vivre avec un autre homme. Celle-ci traduit la
figure de courtisane par son recours aux moyens immorales immoraux pour vivre dans
le luxe : elle pense à ses intérêts d’où : elle peut semble servir son projet sans donner
aucune importance aux sentiments de Des Grieux.
Des Grieux se place, ainsi, en héros tragique qui ne peut supporter le poids de ses
émotions.
L’attachement de Des Grieux envers Manon crée dans laquelle une sorte de
dimension tragique : cette dimension produit un fait effet sur le chevalier à cause du
destin injuste et de son aveuglement envers la personne qu’il aime.
Le destin se charge de bouleverser la vie des deux amants : l'abandon de son amante
crée un malheur qui menace le bonheur de ce dernier. L'apostrophe « Dieu d’amour »
renvoie à un état religieux qui éprouve rend compte d’un sentiment injuste et de la
révolte chez le narrateur. Le verbe « adore » désigne l’idéalisation de la bien-aimée et
le bonheur qu’elle engendre et met l'accent sur l'amour de Manon envers le chevalier.
Cela montre que la séparation se fait par voire à cause du le destin puisque les deux
personnages comportent partagent les mêmes sentiments d'amour. La coordination «
car j'ignore encore aujourd’hui parce qu’elle espèce de sentiment je fus alors agite »
associe à l'idée que Des Grieux vit dans une inquiétude permanente, dans la peur d'une
nouvelle trahison de Manon : le destin offre à ce dernier une vie pleine du malheur. La
proposition subordonnée relative substantive « qu'elle peines cruelles on sent à se
séparer de ce qu'on adore » renvoie à l’état confidentiel de Des Grieux et dévoile qu'il
est déçu de la séparation volontaire de son amante. Le destin utilise compte l’incendier
pour troubler sa vie. La coordination «je l'adore compte là-dessus, mais laisse-moi
pour quelque temps, le ménagement de notre fortune » désigne un instant du de
désarroi qui met celui-ci dans devant l’hauteur le du danger prévu. Le destin joue un
rôle important dans la vie de Des Grieux car il est cause de la séparation et l’état
pathétique du chevalier. Cela dévoile que le narrateur a le cœur percé de par
l’accablement de son destin.
Des Grieux représente l'image d'un amoureux qui est la victime de son amour. La
proposition indépendante «il faudrait avoir perdu l'esprit pour s’y exposer
volontairement » montre que la vie sans Manon est insupportable : celle-ci symbolise
le bonheur pour chevalier. La phrase courte « l’on a peine à se les biens démêler à soi-
même » traduit un instant de trouble, de perdu perdition et d'inquiet d’inquiétude qui
produisent une menace sur le bonheur de Des Grieux. Cela souligne l'aveuglement de
ce personnage : le narrateur est aveuglé par son amour car il évite la vie sans amante.
La location nominale « peine cruelle » renvoie à la douleur qui exprime dévoile son
attachement envers l’être aimé. La proposition subordonnée relative substantive « ce
qu'on adore » désigne l'amour de ce dernier et montre que les qualités de l'amour du
chevalier est sont incompatibles avec son milieu lequel ? il faut développer davantage
cette idée !. Le narrateur n'a des soucis que dépasser le cœur de Manon. La
coordination « elle m'aime, je le veux croire, mais ne faudrait-il pas l’écriai-je »
dévoile que Des Grieux se met à chercher des excuses pour légitimer la sortie furtive
de qui ? : il aime trop Manon pour ne pas pouvoir l'accuser d'une telle trahison. Ce
dernier pense que le bonheur est toujours lié à Manon : il n'ose pas un instant rester
sans retrouver à son amante.