Ait Issad Hassina
Ait Issad Hassina
Ait Issad Hassina
Filière : Informatique
Spécialité : Réseaux, Mobilité et Systèmes
Embarqués.
Présenté par
Hassina AIT ISSAD
Lilia TERKI
Thème
Chapitre II
Le Protocole ZigBee
II-1 Introduction ................................................................................................................. 16
II-2 Historique ...................................................................................................................... 16
II-3 la norme IEEE 802.15.4 ................................................................................................. 17
II-4 Définition ...................................................................................................................... 17
II-5 Les entités réseaux ......................................................................................................... 17
II-6 La topologie ................................................................................................................... 19
II-7 les couches de protocole ZigBee .................................................................................... 20
II-8 Interface ZigBee ............................................................................................................ 23
II-8-1 Présentation du Xbee .................................................................................... 23
II-8-2 Les principales Caractéristiques du Xbee ..................................................... 25
II-8-3 Communication avec le module Xbee .......................................................... 27
II-8-4 Modes de Communication ............................................................................ 27
II-8-5 Modes de fonctionnement ............................................................................ 29
II-9 Comparaison entre les différentes technologies sans fils................................................. 31
II-10 Conclusion ................................................................................................................... 31
Chapitre III
Conception et Réalisation
III-1 Introduction ................................................................................................................. 32
III-2 Un réseau d’éclairage public traditionnel ...................................................................... 32
III-3 Conception d’un plan du réseau de gestion d’éclairage ................................................. 35
III-3-1 L’architecture ............................................................................................ 35
III-3-2 Fonctionnement du réseau .......................................................................... 35
III-3-2-1 Fonctionnement générale du réseau ............................................ 35
III-3-2-2 Gestion d’allumage ..................................................................... 38
III-3-3 Vue matériel ............................................................................................. 39
III-3-3-1 L’Arduino ................................................................................... 39
III-3-3-1-1 La carte Arduino Due ................................................ 40
III-3-3-1-2 Caractéristiques techniques de la carte ....................... 40
III-3-3-1-3 Avantages du microcontrôleur ARM Cortex-
M3 ............................................................................. 42
III-3-3-1-4 Applications ............................................................. 42
III-3-3-2 un écran LCD ............................................................................. 42
III-3-3-2-1 Les broches de l’écran .............................................. 44
III-3-3-3 Un capteur de mouvement ........................................................... 44
III-3-3-3-1 Caractéristiques ......................................................... 45
III-3-3-4 Capteur de luminosité................................................................... 45
III-3-3-5 Xbee ............................................................................................ 46
III-3-3-6 Le schéma de câblage des composants de notre système ............... 46
III-4 Conception logicielle .................................................................................................... 48
III-4-1 L'environnement de programmation Arduino .............................................. 48
III-4-2 X-CTU ....................................................................................................... 49
III-4-3 Développement du software ........................................................................ 50
III-4-4 Le programme principal .............................................................................. 52
III-4-5 La librairie arduino_Xbee .......................................................................... 55
III-4-6 La librairie LiquidCrystal ............................................................................ 55
III-5 Tests et Résultats .......................................................................................................... 55
III-6 La comparaison du système proposé avec le système classique ..................................... 58
III-7 Conclusion .................................................................................................................. 61
Annexe
Bibliographie
Liste des Figures
Le concept de ville intelligente n’est pas une finalité en soi, mais un moyen pour
arriver à atteindre des objectifs, tel que le maintien ou l’amélioration de la qualité de vie des
habitants, le développement durable, l’économie des ressources ou encore la mobilité durable.
Notre problème se focalise sur l’éclairage public, qui est responsable d’une partie
prédominante des dépenses énergétiques d’une ville, ces pertes énergétiques engendrées par
cet éclairage peu agile sont énormes. A titre d’exemples pendant la nuit, nos routes sont
éclairées parfois sans interruption à pleine puissance pour nous permettre de circuler en toute
sécurité, qu’on soit piéton, cycliste, automobiliste, etc. Cet éclairage permanent représente un
réel confort pour l’usager mais est un vrai point noir dans le budget des communes et des
gestionnaires de réseau de distribution et afin d’apporter une solution à ce problème nous
avons déployé un réseau de capteurs sans fils, dont lequel on intègre dans chaque lampadaire
des équipements intelligents capables de gérer l’éclairage.
Dans cette optique, nous avons organisé notre mémoire de la manière suivante :
Chapitre I : est consacré pour but de donner un aperçu général sur les
villes intelligentes.
Chapitre II : est consacré à l’étude du standard de communication
sans fils ZigBee en présentant une de ses interfaces matérielle qui est le module
« XBee »
Chapitre III : nous aborderons l’approche que nous avons adoptée
pour l’analyse et la conception de notre projet de déploiement du réseau de capteurs
sans fil. En présentant les démarches de conception matérielle et logicielle.et nous
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finissons notre travail par une conclusion générale qui récapitule les points cruciaux de
celui-ci.
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Chapitre I La Ville intelligente
I-1 L’introduction
L’expression « ville intelligente » ou smart city, désigne une ville utilisant les
technologies numériques pour « améliorer » la qualité des services urbains ou réduire ses
coûts. Ce nouveau concept désigne un type de développement urbain apte à répondre à
l’évolution des besoins des institutions, des entreprises et des citoyens, tant sur le plan
économique, social et environnemental.
Pour autant, l’avenir de la « smart city » n’est pas lié aux technologies mais à la
capacité qu’aura la ville de devenir intelligente en mettant en place de nouvelles formes de
gouvernance, en favorisant l’appropriation par les usagers de ces nouveaux dispositifs , en
identifiant des modèles économiques viables et en contrôlant l’usage qui sera fait des
données. La ville intelligente c’est d’abord et avant tout l’intelligence de ceux qui font la ville.
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Chapitre I La Ville intelligente
Durabilité environnementale;
Productivité;
Qualité de vie;
Infrastructure physique.
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Chapitre I La Ville intelligente
En mai 2015, l’UIT et la ville de Doubaï (Émirats arabes unis) ont signé un accord
de coopération pour faire de Doubaï la première ville au monde à assurer une gestion urbaine
efficace et durable sur la base des indicateurs fondamentaux de performance élaborés par le
groupe FG-SSC de l’UIT-T..
I-3 Définition
De nombreuses définitions de « ville intelligente » existent, et les approches «
intelligentes » ont été interprétées de différentes manières par des personnes et selon des
secteurs. Certaines définitions soulignent que des villes intelligentes sont celles « qui ont des
infrastructures physiques, sociales, institutionnelles et économiques réfléchies tout en
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Chapitre I La Ville intelligente
reconnaissant le rôle central joué par les citoyens dans un environnement durable »[13] ; elles
font référence à des caractéristiques fondamentales définies par des facteurs distincts (par ex.,
dans une perspective « raisonnée », en matière d’économie, mobilité, personnes,
environnement, mode de vie, gouvernance) ;[14] et se concentrent sur l’utilisation stratégique
de nouvelles technologies et approches innovantes pour améliorer l’efficacité et la
compétitivité des villes.[20]
Page 6
Chapitre I La Ville intelligente
classées d’après six critères principaux, liés aux théories régionales et néoclassiques de la
croissance et du développement urbain et respectivement fondés sur les théories de la
compétitivité régionale, l’économie des transports et des technologies de l’information et de la
communication, les ressources naturelles, les capitaux humains et sociaux, la qualité de vie et
la participation des citoyens à la vie démocratique de la ville.
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Chapitre I La Ville intelligente
L’accès aux données de transport en temps réel via des écrans électroniques dans
les stations, dans les wagons de métro ou dans les autobus ou encore via les téléphones
intelligents personnels permettrait aux usagers de connaître une foule d’informations. C’est-à-
dire, l’état de la circulation sur le réseau routier, le temps d’attente aux arrêts et stations de
transport en commun, les pannes et en somme une meilleure gestion des flux urbains. Une
mobilité intelligente qui serait possible grâce aux divers centres de gestion des données, aux
capteurs d’informations et aux caméras. Ainsi, les utilisateurs des transports deviennent des
producteurs de données. Une mobilité intelligente passe aussi par le développement et l’accès
aux applications qui permettront aux usagers de vivre l’expérience d’une mobilité intelligente.
Équiper les infrastructures de la ville et mettre en place des NTIC dans le domaine
de l’environnement a pour objectifs la protection de l’environnement, une utilisation durable
des ressources et la mise en valeur des milieux naturels.
Le citoyen est une importante partie prenante dans la ville intelligente. En effet, sa
participation est requise, que ce soit dans la phase de consultation en amont ou pendant la
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Chapitre I La Ville intelligente
Un réseau de capteurs sans fil est une technologie spécifique qui aide à la
création de villes intelligentes. Leur but est de créer un réseau réparti de noyaux de capteurs
intelligents qui peuvent mesurer plusieurs paramètres intéressants pour une meilleure gestion
Page 9
Chapitre I La Ville intelligente
de la ville. Toutes les données sont transmises en temps réel aux citoyens ou aux autorités
concernés.
Par exemple, les citoyens peuvent surveiller le niveau de pollution dans chaque rue
de la ville ou encore recevoir une alerte quand le niveau de radiations atteint dépasse une
certaine limite. Cela offre aussi la possibilité aux autorités d’optimiser l’irrigation des parcs
ou l’éclairage de la ville. De plus, les fuites d’eau peuvent être facilement détectées, et des
cartes dressant l’état de la pollution sonore peuvent être créées. Les poubelles peuvent aussi
être plus intelligentes, des capteurs permettant de déclencher une alarme lorsqu’elles sont
presque pleines.
Le trafic routier peut être contrôlé pour modifier l’éclairage urbain de manière
dynamique. De même, le trafic peut être réduit grâce à des systèmes détectant la place de
parking la plus proche. Les automobilistes sont informés en temps réel et peuvent rejoindre
rapidement une place libre, économisant ainsi du temps et du carburant. Tout cela réduit la
pollution et les embouteillages tout en améliorant la qualité de vie.
Page 10
Chapitre I La Ville intelligente
I-6-2 La domotique :
La domotique est l'ensemble des techniques de l'électronique, de physique du
bâtiment, d'automatisme, de l'informatique et des télécommunications utilisées dans les
bâtiments, plus ou moins « interopérables » et permettant de centraliser le contrôle des
différents systèmes et sous-systèmes de la maison et de l'entreprise (chauffage, volets
roulants, porte de garage, portail d'entrée, prises électriques, etc.). La domotique vise à
apporter des solutions techniques pour répondre aux besoins de confort (gestion d'énergie,
optimisation de l'éclairage et du chauffage), de sécurité (alarme) et de communication
(commandes à distance, signaux visuels ou sonores, etc.) que l'on peut retrouver dans les
maisons, les hôtels, les lieux publics, etc.
I-6-3 Economie d’énergie :
Les villes intelligentes sont des villes modernes, capables de mettre en
communication et de façon durable des infrastructures diverses telles que les équipements
publics, les réseaux d’éclairage, les services de transport et les services d’urgence. Ce concept
évolutif permet aux villes d’être plus efficaces et compétitives, tout en se développant dans le
respect de l’environnement.
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Chapitre I La Ville intelligente
I-7 Quelques technologies de réseaux sans fil déployées dans les Smart Cities :
Bluetooth :
La principale technologie WPAN est la technologie Bluetooth, lancée par
Ericsson en 1994, proposant un débit théorique de 1 Mbps pour une portée maximale d’une
trentaine de mètres. Bluetooth, connue aussi sous le nom IEEE 802.15.1, possède l’avantage
d’être très peu gourmande en énergie, ce qui la rend particulièrement adaptée à une utilisation
au sein de petits périphériques.
HomeRF :
HomeRF (pour Home Radio Frequency), lancée en 1998 par le HomeRF Working
Group (formé notamment par les constructeurs Compaq, HP, Intel, Siemens, Motorola et
Microsoft) propose un débit théorique de 10 Mbps avec une portée d’environ 50 à 100 mètres
Page 12
Chapitre I La Ville intelligente
sans amplificateur. La norme HomeRF soutenue notamment par Intel, a été abandonnée en
Janvier 2003, notamment car les fondeurs de processeurs misent désormais sur les
technologies Wi-Fi embarquée (via la technologie Centrino, embarquant au sein d’un même
composant un microprocesseur et un adaptateur Wi-Fi).
ZigBee :
L’irDA :
Les liaisons infrarouges permettent de créer des liaisons sans fils de quelques
mètres avec des débits pouvant monter à quelques mégabits par seconde. Cette technologie est
largement utilisée pour la domotique (télécommandes) mais souffre toutefois des
perturbations dues aux interférences lumineuses. L'association irDA ( infrared data
association) formée en 1995 regroupe plus de 150 membres.
Le WiFi :
Le WiFi (ou IEEE 802.11), soutenu par l'alliance WECA (Wireless Ethernet
Compatibility Alliance) offre des débits allant jusqu'à 54Mbps sur une distance de plusieurs
centaines de mètres.
trouver le financement :
L’une des principales préoccupations des villes est de trouver des moyens de
financement suffisants pour couvrir l’ensemble des coûts associés aux projets de création
d’une ville intelligente. Les villes cherchent également à trouver des solutions de financement
permettant de couvrir la durée du projet (à court ou à long terme).
Page 13
Chapitre I La Ville intelligente
Alors il faut trouver une approche permettant de profiter des apports du numérique
tout en limitant les risques pour les citoyens.
Page 14
Chapitre I La Ville intelligente
I-10 Conclusion :
Page 15
Le protocole ZigBee
Chapitre II Le protocole ZigBee
II-1 Introduction :
Après l’arrivée sur le marché depuis quelques années des réseaux locaux sans fil WiFi
et Bluetooth, une nouvelle technologie semble, elle aussi, promise à un bel avenir
commercial, aussi bien pour des applications grand public telles que celles liées à la
domotique, que pour des domaines plus liés aux communications sans fil en milieu industriel :
il s’agit du réseau ZigBee.
Dans ce chapitre nous allons présenter la norme zigbee en donnant un bref historique
de sa création, son architecture et ses différentes topologies. Nous allons aussi présenter une
interface matérielle très connue de la norme ZigBee, le module « XBee ».
II-2 Historique :
1998 : Dès l’arrivée des technologies sans fil Wi-Fi et Bluetooth les premières ébauches de
réseaux de type ZigBee firent leur apparition dans le cadre d’applications où les technologies
précédentes n’étaient pas utilisables. La technologie Bluetooth a beaucoup inspiré le protocole
ZigBee.
2003 : Le standard IEEE 802.15.4 est lancé. Et peu après cela, Philips abandonne la ZigBee
Alliance.
Page 16
Chapitre II Le protocole ZigBee
2004 : Au mois d’Octobre Le nombre d’inscriptions à la ZigBee Alliance devient assez
suffisant pour continuer les recherches. Le 14 décembre 2004 ils présentent les premières
spécifications de ZigBee.
2005 : A la date du 13 juin, la ZigBee Aliance publie les premières spécifications officielles
de la version ZigBee 1.0 qui sont désormais disponibles.
802.15.4 est utilisé par de nombreuses implémentations basées sur des protocoles
propriétaires ou sur IP (Internet Protocol), comme le ZigBee et le 6LoWPAN. [19]
II-4 Définition :
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Chapitre II Le protocole ZigBee
Les RFD (Reduce Function Device) : sont des entités allégées dans un objectif de
moindre consommation énergétique et de moindre utilisation mémoire pour le
microcontrôleur. Ils sont généralement des nœuds terminaux du réseau (End-Device).
1. Le coordinateur :
2. Les routeurs :
Ces modules disposent de toutes les fonctions d’un module End-Device (dispositif
terminal du réseau) avec en plus des fonctions de haut niveau utiles pour étendre le réseau.
Ils permettent :
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Chapitre II Le protocole ZigBee
3. Les End-Devices :
Ce sont tous les modules terminaux comme les capteurs, actionneurs… Ils ne
sont actifs que sur changement de leurs états ou sur réponse à une trame, leurs consommation
est donc très faible et ils peuvent tout à fait être alimenté par des piles ou des batteries.
II-6 La Topologie :
Le réseau ZigBee est un réseau maillé sans fil. Chaque nœud (module) doit s’identifier
avant de rejoindre le réseau.
La norme IEEE 802.15.4 met en place les topologies suivantes :
Topologie étoile :
Dans cette configuration, la pièce maîtresse, celle par qui tous messages transitent,
est le coordinateur (PAN coordinator). Il joue en quelque sorte le rôle de passerelle. Dans
cette topologie, les dispositifs sont très simples et n’embarquent qu’une couche simplifiée du
protocole Zigbee. Le coordinateur est en général fixe et alimenté pour garantir le
fonctionnement du réseau.
Les dispositifs sont capables de dialoguer directement entre eux s’ils sont à
proximité ou bien d’utiliser le coordinateur pour contacter un dispositif à plus longue
distance. Dans cette topologie, les dispositifs sont plus compliqués et intègrent entièrement le
protocole Zigbee. Une mécanique de tables de liaison permet également à chaque dispositif de
jouer le rôle de coordinateur, permettant à deux dispositifs éloignés de dialoguer par
l’intermédiaire d’un élément à portée.
Avec l’aide d’une couche réseau et d’un système de routage des paquets de
données, il est possible d’élaborer des topologies plus complexes. La technologie ZigBee
propose une couche réseau permettant de créer facilement de telles topologies grâce à des
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Chapitre II Le protocole ZigBee
algorithmes de routage automatique tels que le cluster tree (arborescence de cellules) ou les
réseaux maillés mesh.
Pour un protocole sans-fil, il est indispensable de définir à la base quelles seront les
fréquences d’émission et de réception des signaux, avec quels débits seront envoyés les
signaux et quel sera le type de modulation et de codage numérique des informations. Toutes
ces spécifications sont contenues dans la couche physique (PHY ; Physical Layer) définie par
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Chapitre II Le protocole ZigBee
l’IEEE qui se divise en deux parties suivant la bande de fréquences utilisée (868/915 MHz ou
2400 MHz).
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Chapitre II Le protocole ZigBee
Les trames Zigbee ont une taille maximale de 128 Bytes (ou encore 128 octets)
incluant l'overhead du protocole. Il y a donc au total de la place pour 104 octets de données.
MPDU (MAC Protocol Data Unit) = MHR (MAC HeadeR) + MSDU (MAC Service
Data Unit) + MFR (MAC FooteR)
MHR (MAC HeadeR) :
Le champ Frame Control indique type de trame MAC et spécifie le format
du champ adresse
Le champ Sequence Number assure l'ordre à la réception et permet
l'acquittement des trames MAC
Le champ adresse est variable de 0 à 20 octets en fonction du type trame
MSDU (MAC Service Data Unit) :
La trame de données permet une charge utile jusqu'à 104 octets.
MFR (MAC FooteR) :
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Chapitre II Le protocole ZigBee
Le FCS (Frame Check Sequence) assure que la trame est transmise sans
erreur.
CRC sur 16 bits
Les modules XBee sont des circuits de communication sans-fil qui se basent sur la
norme ZigBee, fabriqués par l'entreprise Digi International. Ils ont été certifiés par la
communauté industrielle ZigBee Alliance en 2006 après le rachat de MaxStream par Digi
International.
Il existe plusieurs catégories de modules. xbee standard a une puissance
d’émission de 1mW avec une portée de 10 à 100 mètre (série 1 et 2) et le xbee pro dispose
d’une puissance d’émission de 60mW avec une portée pouvant aller jusqu’à 1000 mètres.il
existe différents types d’antennes du module : filaire, chip… ect.
Ces modules existent en plusieurs séries (S1, S2, SPO). Les modules de séries
différentes ne peuvent pas communiquer entre eux.
Le module XBee se monte sur une carte à l’aide d’un support (Interface de
programmation USB alimentée par câble USB) permettant de connecter ses 20 broches
comme le montre la figure suivante :
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Chapitre II Le protocole ZigBee
La figure suivante présente une vue interne du module XBee. Etant connecté à
un circuit présentant une liaison série asynchrone, le module utilise le « buffer DI » pour
stocker les données transmises par ce circuit via le port DI. Ce flux de données est contrôlé
par le signal CTS de la manière suivante : lorsque le buffer DI ne dispose que d’un espace
libre de 138 bits, CTS est mis à 1 afin de signaler au circuit d’arrêter l’envoi de données. Il est
remis à 0 que lorsque le buffer DI dispose de 276 bits d’espace mémoire libre.
Par ailleurs, le buffer DO est utilisé pour stocker les données envoyées par un autre
module XBee par exemple. Lorsque le buffer DO atteint sa capacité maximale, toute donnée
envoyée par voie RF est perdue. Ce flux est également contrôlé par le signal RTS : lorsqu’il
est au niveau haut, les données restent stockées dans le buffer DO et elles ne sont transmises
via le port DO que lorsqu’il est au niveau bas.
Page 24
Chapitre II Le protocole ZigBee
II-8-2 Les principales caractéristiques du XBee:[4]
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Chapitre II Le protocole ZigBee
Les paramètres par défaut de la liaison série sont les suivants : 9600 bauds, pas de
parité, pas de contrôle de flux, 8 bits et 1 bit de stop.
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Chapitre II Le protocole ZigBee
Mode Transparent : les données sont directement envoyées/reçues par le module. Aucune
information détaillée n’est nécessaire pour la construction des trames.
Mode API (Application Programing Interface) : permet de contrôler plus finement la
configuration des modules aussi bien en réception qu’en émission de trame. Il faut
construire ses propres trames et les envoyer au module, permet également d’entrer dans le
détail des trames reçues.
Dans le mode API, toutes les données entrantes (sur la broche Din) sont mises
sous forme de trames qui définissent des opérations ou des événements sur le module.
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Chapitre II Le protocole ZigBee
Page 28
Chapitre II Le protocole ZigBee
Le module XBee peut être dans l’un des modes suivants :
Mode scrutation :
Mode transmission :
Mode réception :
Lorsqu’un paquet est correctement reçu et que son adresse correspond au
paramètre MY (l’adresse source de 16 bits) du module, les données sont mises dans le « Serial
Transmit Buffer ».
Mode commande :
Le module se met dans ce mode lorsqu’on a besoin de lire ou de modifier les
paramètres du module. Dans ce mode toutes données reçues sont interprétées comme étant
des commandes.
Mode veille :
Le mode veille n’est supporté que dans les « End Device », car les routeurs et les
coordinateurs participent au routage de données et qu’ils sont supposés être alimentés par
secteur.
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Chapitre II Le protocole ZigBee
Transmission réussie
Oui
Oui
Mode Adresse du Transmission de
Veille réseau Route connue données
connue
Nouvelle
transmission ?
Non Non
Oui
Adresse du
réseau Route trouvée
trouvée
Non
Non
Données ignorées
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Chapitre II Le protocole ZigBee
La figure ci-dessous montre la différence entre les technologies de communication sans fils
Zig Bee, Bluetooth, Wifi :
Toutes les caractéristiques du protocole ZigBee sont bien adaptées aux systèmes embarqués.
En effet, le protocole ZigBee se distingue des autres protocoles par ses faibles besoins en
mémoire, ce qu’est favorable pour son implémentation. De plus, il présente une durée de vie
très importante qu’est de l’ordre de plusieurs années, ainsi qu’un très large nombre de nœuds
à supporter dans son réseau. Enfin, ce protocole convient parfaitement aux applications
nécessitant une faible vitesse de transfert de l’ordre de 250 Kb/s.
II-10 Conclusion :
Dans ce chapitre nous avons donné une brève définition de la norme 802.15.4.
Ensuite, nous avons présenté les principaux points du protocole Zig Bee qui s’appuie sur cette
norme notamment son architecture, ses topologies et les différents éléments qui forment les
réseaux ZigBee.
Par la suite, nous avons expliqué les modes de communication des modules
Xbee. Puis, nous avons fini par une petite comparaison entre les technologies sans fil.
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Conception et Réalisation
Chapitre III Conception et Réalisation
III-1 Introduction
Dans l’éclairage public traditionnel, nos routes sont éclairées parfois sans
interruption et à pleine puissance pendant la nuit pour nous permettre de circuler en toute
sécurité, qu’on soit piéton, cycliste, automobiliste, etc. (de 06:00 H de soir jusqu’à 07 :00 H
du matin et en dehors de ces heures l’extinction des lampadaires) voir la figure suivante :
Cet éclairage permanent représente un réel confort pour l’usager mais est un vrai
point noir dans le budget des communes et des gestionnaires de réseau de distribution. Afin
d’estimer la consommation de ce système on a utilisé les résultats du site web [15] (un site qui
se spécialise dans le calcul des heures de lever et de coucher du soleil) pour la willaya de
Alger Voir le tableau suivant :
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Chapitre III Conception et Réalisation
le système classique
l'hiver Printemps l'été l'automne
lever du soleil 08:00 07:00 05:45 07:00
coucher de soleil 17:50 18:50 19:45 18:15
nombre moyen d'heures éclairées 13:50 12:10 10:00 12:45
nombre moyen d'heures éclairées
dans un mois 415:00:00 365:00:00 300:00:00 382:30:00
nombre moyen d'heures éclairées
dans une saison 1245:00:00 1095:00:00 900:00:00 1147:30:00
Nombre moyen d'heures éclairées
dans une année 4387:00
Tableau III-1 : les heures de fonctionnement du système classique.
La figure III-2 représente le nombre moyen d’heures éclairées dans une journée de l’hiver, de
printemps, de l’été et de l’automne.
14:24
12:00
09:36
nombre moyen d'heures
07:12 éclairées
04:48
02:24
00:00
l'hiver printemps l'été l'automne
Page 33
Chapitre III Conception et Réalisation
350000
307160
300000
250000
200000 la puissance anuelle du
153580
150000 système classique en
KWH
100000
50000
0
quartier route urbaine
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Chapitre III Conception et Réalisation
III-3 -1 L’architecture :
L’architecture de notre réseau est montrée par la figure suivante :
Puit
Nœud 3 Nœud 1
Nœud 2
Nœud N
Service de control
Dans le cas d’une défaillance, une trame contenant l’adresse du nœud défaillant
est envoyée par le coordinateur vers une station de contrôle (où elle sera affichée).
Le fonctionnement des nœuds de notre réseau dans une autoroute urbaine est
résumé dans l’organigramme de la figure III-5, et dans un quartier est résumé dans
l’organigramme de figure III-6.
Page 35
Chapitre III Conception et Réalisation
Lampadaire éteint
Non
Oui
Lumière<seuil
?
Non
Non Oui
alumée ? Renvoyer une trame au
coordinateur
Attendre un délai
Page 36
Chapitre III Conception et Réalisation
Oui
Non
Lumière<seuil ?
Oui
Trame du
* Oui
coordinateu
r
Mouvement ?
Oui
Non
Non Alumée
100% ?
Non
Éteindre le Lampadaire
Oui Allumer à 100%
Trame
arrivée ?
Non
Diffuser une trame vers
les lampadaires voisins
Attendre un délai
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Chapitre III Conception et Réalisation
Etat initial
Attendre un délai
NON
OUI
Tous les nœuds
ont répondu
Comme il est décrit précédemment par les organigrammes, c’est en fonction de la lumière du
jour et du mouvement qu’on allume et on éteint les lampadaires :
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Chapitre III Conception et Réalisation
Un écran LCD.
Intégration d’une
carte arduino +
XBee + PIR +
LDR +
III-3 -3 -1 L’Arduino :
C’est une plate-forme open-source d’électronique programmée qui est basée sur
une simple carte à microcontrôleur, et un logiciel, véritable environnement de développement
intégré, pour écrire, compiler et transférer le programme vers la carte à microcontrôleur.
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Chapitre III Conception et Réalisation
Arduino peut être utilisé pour développer des objets interactifs, pouvant recevoir
des entrées d’une grande variété d’interrupteurs ou de capteurs, et pouvant contrôler une
grande variété de lumières, moteurs ou toutes autres sorties matérielles.
Les projets Arduino peuvent être autonomes, ou bien ils peuvent communiquer
avec des logiciels tournant sur votre ordinateur (tels que Flash, Processing ou MaxMSP). Les
cartes électroniques peuvent être fabriquées manuellement ou bien être achetées pré-
assemblées ; le logiciel de développement open-source peut être téléchargé gratuitement.
Page 40
Chapitre III Conception et Réalisation
VIN : L’entrée de voltage à la carte Arduino quand elle utilise une source
1 d’énergie externe.
Remarque :
La carte Arduino DUE fonctionne en 3,3V. Tous les pins acceptent donc un
maximum de 3,3V, si vous injecter une tension supérieure comme du 5V, cela peut être
destructif pour la carte.
Page 41
Chapitre III Conception et Réalisation
Un noyau 32 bits qui autorise des opérations sur 4 octets dans un seul cycle
1 d’horloge.
Une vitesse d’horloge de la CPU de 84Mhz
96 Ko de SRAM
512 Ko de mémoire Flash pour le code
Un contrôleur DMA qui peut soulager la CPU lors des tâches intensives en
1 mémoire.
Page 42
Chapitre III Conception et Réalisation
Page 43
Chapitre III Conception et Réalisation
Page 44
Chapitre III Conception et Réalisation
Page 45
Chapitre III Conception et Réalisation
III-3 -3 -5 Xbee :
Le module XBee est relié à la carte arduino selon le schéma de la figure
Page 46
Chapitre III Conception et Réalisation
Page 47
Chapitre III Conception et Réalisation
Barre de menu
Le moniteur série
Console d’affichage
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Chapitre III Conception et Réalisation
une BARRE DE BOUTONS qui donne un accès direct aux fonctions essentielles du
logiciel et fait toute sa simplicité d'utilisation,
un EDITEUR (à coloration syntaxique) pour écrire le code des programmes, avec
onglets de navigation,
une ZONE DE MESSAGES qui affiche indique l'état des actions en cours,
une CONSOLE TEXTE qui affiche les messages concernant le résultat de la
compilation du programme
III-4-2 X-CTU :
X-CTU est une application multi-plateforme libre conçu pour permettre aux
développeurs d'interagir avec des modules RF Digi grâce à une interface graphique simple à
utiliser. Il comprend de nouveaux outils qui facilitent la mise en place, la configuration et le
test de modules RF XBee.
X-CTU comprend tous les outils dont un développeur a besoin afin de manipuler
rapidement les modules XBee. Il comprend aussi des caractéristiques uniques comme une vue
graphique du réseau, qui représente graphiquement le réseau XBee avec la force du signal de
chaque connexion, et le générateur de trames API XBee, qui contribue de manière intuitive à
construire et interpréter ces dernières [10].
Dans ce projet, XCTU est utilisé pour configurer les modules Xbee, parmi les
paramètres inclus :
PAN ID, 64 bits addresses, Baud rate, API enable.
On a Trois modules Xbee : deux comme des nœuds routeur et un comme coordinateur. Leurs
paramètres sont listés par le tableau de configuration
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Chapitre III Conception et Réalisation
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Chapitre III Conception et Réalisation
La librairie LiquidCrystal
La librairie arduino_Xbee
La librairie arduino_Xbee Capture de
Le programme principal la lumière
Le programme principal du Des noeuds
coordinateur
Capture du
mouvement
o Le programme principal
o La librairie arduino_Xbee
o La librairie LiquidCrystal
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Chapitre III Conception et Réalisation
Notre application est constituée de deux programme : un pour les routeurs qui permet de :
void setup()
{Serial.begin(9600);
pinMode(lum, INPUT); // configurer lum comme une entrée
}
void loop()
{ int vallum = analogRead(lum) ;
Serial.print(" Reading lum = ");
Serial.println(vallum);
}
int mov = 8;
void setup()
{Serial.begin(9600);
pinMode(mov, INPUT); } // configurer mov comme une entrée
void loop()
{ valmov =digitalRead(mov) ;
Serial.print(" Reading mouv = ");
Serial.println(valmov);}
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Chapitre III Conception et Réalisation
xbee.send(zbtx);
Un extrait de code utilisé pour que le lampadaire réponde à une vérification d’une
panne :
xbee.send(zbtx);
Un extrait de code utilisé pour que le lampadaire diffuser une trame de vérification
d’une panne :
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Chapitre III Conception et Réalisation
xbee.send(zbtx);
#include <LiquidCrystal.h>
LiquidCrystal lcd(12, 11, 4, 5, 6, 7);
void setup() {
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Chapitre III Conception et Réalisation
fonctionnalités supplémentaires pour une utilisation dans des croquis, par exemple, travailler
avec le matériel ou la manipulation de données.
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Chapitre III Conception et Réalisation
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Chapitre III Conception et Réalisation
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Chapitre III Conception et Réalisation
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Chapitre III Conception et Réalisation
Le tableau qui suit représente un récapitulatif sur le nombre moyen d’heures d’allumage à
forte puissance et à basse puissance.
le nouveau système
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Chapitre III Conception et Réalisation
14:24
12:00
nombre moyen d'heures
09:36 éclairées du nouveau
système
07:12
nombre moyen d'heures
04:48 éclairées
02:24
00:00
l'hiver printemps l'été l'automne
L’estimation de l’énergie consommée par les lampadaires dans les deux cas par notre système
par rapport à l’ancien système nous a menés au résultat de la figure III-26
250000
la puissance anuelle du
200000 187740 nouveau système en KWH
153580
150000 la puissance anuelle du
106657,5
système classique en
100000
KWH
50000
0
quartier route urbaine
D’après les résultats montrés par la figure précédente, on constate que la consommation
énergétique est réduite à 31% dans un quartier et à 39% dans une route urbaine.
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Chapitre III Conception et Réalisation
III-7 Conclusion :
Par la suite nous sommes passés à la description logicielle où nous avons présenté
les environnements de programmation et de configuration, l’allure générale de l’application
réalisée.
A la fin nous avons donné une comparaison avec l’ancien système d’éclairage
après avoir fait quelques tests.
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Conclusion générale
L’objectif de notre étude est de donnée une solution possible pour une commande
optimale de l’éclairage public et pour la réduction de la consommation d’énergie dans le
cadre d’une ville intelligente utilisant les nouvelles technologies d’information et de
communication. Cette réduction de la consommation répond à plusieurs impératifs :
économiser l’électricité, diminuer les coûts, limiter les émissions de gaz à effet de serre et
réduire les impacts de la pollution lumineuse sur l’environnement nocturne : ne pas éclairer
moins, mais éclairer juste.
Ce travail nous a permis de découvrir un nouveau concept est celui de la ville intelligente,
et de manipuler une jeune technologie très prometteuse qui est le ZigBee, et enrichir nos
connaissances et améliorer notre expérience dans le système embarqué.
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Technologies de l'information et de la communication (TIC) :
(transcription de l'anglais information and communication technologies, ICT) est
une expression, principalement utilisée dans le monde universitaire, pour désigner le domaine
de la télématique, c'est-à-dire les techniques de l'informatique, de l'audiovisuel, des
multimédias, d'Internet et des télécommunications qui permettent aux utilisateurs de
communiquer, d'accéder aux sources d'information, de stocker, de manipuler, de produire et
de transmettre l'information sous toutes les formes : texte, musique, son, image, vidéo et
interface graphique interactive (IHM). Les textes juridiques et réglementaires utilisent la
locution communications électroniques.
Ville durable :
est une expression qui désigne une ville ou une unité urbaine respectant les
principes du développement durable et de l'urbanisme écologique, qui cherche à prendre en
compte simultanément les enjeux sociaux, économiques, environnementaux et culturels de
l'urbanisme pour et avec les habitants par exemple au travers d'une architecture HQE(haute
qualité environnementale), en facilitant les modes de travail et de transport sobres, en
développant l'efficience du point de vue de la consommation d'énergies et des ressources
naturelles et renouvelables. Ce sont souvent des éco-villes ou éco-quartiers cherchant à
diminuer leur empreinte écologique en compensant leurs impacts et en tendant à rembourser
leur « dette écologique ».
Le développement durable :
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Capteur: [1]
Un capteur sans fil est un petit dispositif électronique capable de mesurer une
valeur physique environnementale (température, lumière, pression, humidité, vibration, …,
etc.), et de la communiquer à un centre de contrôle via une station de base (puits, sink). Chaque
capteur assure l’acquisition des données, le Calcul des informations à l'aide des valeurs
Fritzing
Fritzing est un logiciel open-source multi-plateforme permettant de construire des
schémas des circuits que nous utilisons avec Arduino. Plusieurs vues sont disponibles : platine
d’essai, schémas électriques et circuit imprimé. Il permet aussi l’export en image pour figurer
sur internet.
Il permet un export en image, le partage. Mais surtout de sauvegarder le schéma
des connections pour reprendre plus tard un montage qui marche bien.
Aqueduc [10]:
Un aqueduc est un système de transport d'eau par des canaux couverts et des
canalisations (tuyaux) servant à amener l'eau d'un endroit, où elle est disponible et de bonne
qualité (source...), vers un autre, où elle est nécessaire (ville...) ; et ce, par le moyen de
la gravité, c'est-à-dire en utilisant la pente du terrain, comme une rivière naturelle.
Un aqueduc permet d'obtenir de l'eau courante et assez abondante sans pompe, tandis que
l'eau d'un puits doit être puisée pour être utilisée.
6LoWPAN:
est l'acronyme de IPv6 Low power Wireless Personal Area Networks C'est
également le nom d'un groupe de travail de l'IETF (L’Internet Engineering Task Force). Le
groupe 6LoWPAN a défini les mécanismes d'encapsulation et de compression d'entêtes
permettant aux paquets IPv6 d'être envoyés ou reçus via le protocole de communication IEEE
802.15.4. IPv4 et IPv6 sont efficaces pour la délivrance de données pour les réseaux locaux,
les réseaux métropolitains et les réseaux étendus comme l'internet.
UIT :
L’Union internationale des télécommunications (UIT), qui est l’agence spécialisée
des Nations Unies en charge des technologies de l’information et de la communication (TIC),
est aussi une organisation de normalisation internationale.
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Groupe spécialisé sur les villes intelligentes et durables (Groupe FG-SSC) :
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[1] : Madame HADAOUI, Cours Réseaux de capteurs sans fil, chapitre II,2014 /2015.
[2] : Giffinger, R. (s.d.). The smart city model. In European smart cities.
http://www.smart-cities.eu/model.html
[3] : Anthony AMBROGI, Jérémy THIMONT, Etude du protocole, de la sécurité et création
d’une application ZigBee, Master SSIC, 2010 - 2011, Metz University, Ile du Saulcy, 57045
Metz, France.
[4] : Jérôme Abel , XBee Arduino, Jan 21, 2013 et aussi sur URL :
http ://jeromeabel.net/ressources/xbee-arduino
[5] : Le manuel du XBee 802.15.4 :
http ://ftp1.digi.com/support/documentation/90000982_B.pdf
[6] : Harrison, C. et Donnelly, I. (2011). A theory of smart city. In Journal isss
http://journals.isss.org/index.php/proceedings55th/article/viewFile/1703/572
[7] : Article « Ensemble, construisons un avenir durable et solidaire », Octobre 2011.
[8] : Commande de l'éclairage public et mesure de la température à base de PIC18F4550
(Mémoire), 2012/ 2013.
[9]: https://github.com/andrewrapp/xbee-arduino.
[10]: www.digi.com/xctu.
[11]: http://www.supinfo.com/articles/single/1622-module-xbee-avec-arduino.
[12]: https://fr.vikidia.org/wiki/Aqueduc.
[13]: http://indiansmartcities.in/downloads/CONCEPT_NOTE_--3.12.2014__REVISED
_AND_LATEST_ .pdf .
[14]: http://www.smart--cities.eu/download/smart_cities_final_report.pdf.
[15]: www.sunrise-and-sunset.com , «Lever et coucher du soleil ».
[16]: https://www.arduino.cc/en/Main/ArduinoBoardDue.
[17]: http://tiptopboards.com/124-module-d%C3%A9tecteur-de-mouvements-infra-rouge-hcsr501-.html.
[18]: http://www.smartgrids-cre.fr/index.php?p=smartcities-caracteristiques.
[19]: Norme IEEE 802.15.4 sur Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/802.15.4.
[20]: (https://eu--smartcities.eu/) definitions from the European Commission and from the
private sector (http://www.ibm.com/smarterplanet/us/en/smarter_cities/overview/ ;
http://www.cisco.com/web/strategy/smart_connected_communities.htm).