Période 3 Exos
Période 3 Exos
Période 3 Exos
Chloé et Suzie quittent l’école et vont prendre le car. En chemin, Chloé se moque de Suzie qui se vexe.
« Pourquoi tu m’as dit ça ? » lui ai-je demandé. « Maintenant, je suis triste, moi... »
Et puis, je me suis dépêchée de monter dans le car et je suis allée tout au fond du fond, près de la fenêtre.
Dans le car, les enfants parlent du métier qu’ils feront plus tard. Suzie, elle, n’arrive pas à se décider.
« Euh... Moi... je serai un super héros, » a dit doucement Guillaume. « Et je sauverai les gens qui seront en
danger.... »
Et moi, j’ai bondi de ma place parce que c’était la plus chouette de toutes les idées ! J’ai hurlé :
« Moi aussi ! Moi aussi , Guillaume ! C’est trop bien ! Moi aussi, je veux sauver les gens qui sont en
danger ! »
Mais alors, ce crétin de Valentin s’est levé aussi.
« Copieuse ! » a-t-il crié. « Tu ne fais que copier les autres! »
D’après Barbara Park, Suzie la chipie, La pipelette bavarde - Pocket jeunesse
Chloé vexe Suzie en se moquant d’elle. Suzie est furieuse. Elle monte dans le car rapidement. Elle
va se mettre loin des autres. Elle écoute les enfants qui discutent des métiers. Mais elle ne veut pas
participer à la conversation. Alors Guillaume parle du métier de super héros. À ce moment, Suzie bondit.
Elle est d’accord avec Guillaume !
voudrais guérir je
3 Colorie le sujet en bleu, colorie en vert les CC (indique CCT, CCL, CCM) et
le COD en jaune :
des roses rouges - l’hélicoptère militaire - des lions courageux - ce bijou original - le
cheval sauvage - sa nouvelle copine - les ordinateurs neufs
CM1
Suzie et les métiers
Chloé et Suzie quittent l’école et vont prendre le car. En chemin, Chloé se moque de Suzie qui se vexe.
« Pourquoi tu m’as dit ça ? » lui ai-je demandé. « Maintenant, je suis triste, moi... »
Et puis, je me suis dépêchée de monter dans le car et je suis allée tout au fond du fond, près de la fenêtre.
Dans le car, les enfants parlent du métier qu’ils feront plus tard. Suzie, elle, n’arrive pas à se décider.
« Euh... Moi... je serai un super héros, » a dit doucement Guillaume. « Et je sauverai les gens qui seront en
danger.... »
Et moi, j’ai bondi de ma place parce que c’était la plus chouette de toutes les idées ! J’ai hurlé :
« Moi aussi ! Moi aussi , Guillaume ! C’est trop bien ! Moi aussi, je veux sauver les gens qui sont en
danger ! »
Mais alors, ce crétin de Valentin s’est levé aussi.
« Copieuse ! » a-t-il crié. « Tu ne fais que copier les autres! »
D’après Barbara Park, Suzie la chipie, La pipelette bavarde - Pocket jeunesse
Chloé vexe Suzie en se moquant d’elle. Suzie est furieuse. Elle monte dans le car
rapidement. Elle va se mettre loin des autres. Elle écoute les enfants qui discutent des métiers.
Mais elle ne veut pas participer à la conversation. Alors Guillaume parle du métier de super héros.
À ce moment, Suzie bondit. Elle est d’accord avec Guillaume ! Elle dit qu’elle a envie de sauver
des gens. Elle hurle ! Valentin intervient. Il traite Suzie de capricieuse. Alors, elle est plus en co-
3 Colorie le sujet en bleu, colorie en vert les CC (indique CCT, CCL, CCM) et
le COD en jaune :
des roses rouges - l’hélicoptère militaire - des lions courageux - ce bijou original -
le cheval sauvage - sa nouvelle copine - les ordinateurs neufs
CM2
L’oiseau déniché
Au Moyen Âge, un garçon vient de dénicher un jeune faucon, ce qui est totalement interdit par le seigneur du
château, le sire Guilhem.
Martin repensa à sa mère qui l’avait mis en garde. Mais il avait tellement envie de posséder un oiseau qui lui
appartiendrait, un oiseau magnifique qui ne tuerait que pour vivre et qui ne se poserait sur le poing que pour obéir
à l’amitié.
« Tu sais bien que c’est un privilège réservé au seigneur, Martin, et que tu n’as pas le droit de dénicher ces
oiseaux ! »
Martin avait passé outre. Il désirait tant avoir un compagnon de jeux qui ne serait qu’à lui ! Et s’il avait choisi un
faucon au lieu d’une corneille ou d’une tourterelle, c’était pour le plaisir d’apprivoiser un animal difficile, un oiseau
de proie. Le seigneur en avait bien assez pour ses chasses !
Au pied de la colline, dans une ruine que personne ne visitait, l’enfant cacherait son faucon. Il lui construirait une
cage. Nul ne le saurait jamais. Jamais !
Le sire Guilhem, au même instant, se doutait-il qu’un jeune serf avait transgressé sa loi ?
D’après Jean-Côme Noguès, Le faucon déniché - Pocket jeunesse
Ce garçon déniche un jeune corbeau. Il veut garder l’oisillon pour l’apprivoiser. Il place
l’animal dans une cage. Tous les jours il va le voir et le nourrit. Peu à peu, l’oiseau grandit et
il est moins sauvage. Alors l’enfant peut libérer son corbeau. Celui-ci ne vole jamais très
loin et devient l’ami du garçon. Et même, tous les deux jouent ensemble quelquefois.
le téléphone portable - des assiettes - la lourde valise - une fête - un beau mariage -
les cheveux noirs
CM1
L’oiseau déniché
Au Moyen Âge, un garçon vient de dénicher un jeune faucon, ce qui est totalement interdit par le seigneur du
château, le sire Guilhem.
Martin repensa à sa mère qui l’avait mis en garde. Mais il avait tellement envie de posséder un oiseau qui lui
appartiendrait, un oiseau magnifique qui ne tuerait que pour vivre et qui ne se poserait sur le poing que pour obéir
à l’amitié.
« Tu sais bien que c’est un privilège réservé au seigneur, Martin, et que tu n’as pas le droit de dénicher ces
oiseaux ! »
Martin avait passé outre. Il désirait tant avoir un compagnon de jeux qui ne serait qu’à lui ! Et s’il avait choisi un
faucon au lieu d’une corneille ou d’une tourterelle, c’était pour le plaisir d’apprivoiser un animal difficile, un oiseau
de proie. Le seigneur en avait bien assez pour ses chasses !
Au pied de la colline, dans une ruine que personne ne visitait, l’enfant cacherait son faucon. Il lui construirait une
cage. Nul ne le saurait jamais. Jamais !
Le sire Guilhem, au même instant, se doutait-il qu’un jeune serf avait transgressé sa loi ?
D’après Jean-Côme Noguès, Le faucon déniché - Pocket jeunesse
Ce garçon déniche un jeune corbeau. Il essaie d’apprivoiser l’oiseau. Il place l’animal dans
une cage. Tous les jours il va le voir et le nourrit. Peu à peu, l’oiseau grandit et il est moins
sauvage. Alors l’enfant peut libérer son corbeau. Celui-ci ne vole jamais très loin et devient
l’ami du garçon. Et même, tous les deux jouent ensemble quelquefois.
le téléphone portable - des assiettes - la lourde valise - une fête - un beau mariage -
les cheveux noirs - l’énorme voiture - l’armoire ancienne
CM2
Chien perdu
Un chien, perdu dans Paris, veut sortir de cette grande ville qui lui fait peur. La nuit vient de tomber.
Les lampadaires s’allument, les fenêtres s’éteignent et les immeubles se vident entièrement
de leurs habitants. Ils sortent par milliers. De tous côtés. Les rideaux des magasins se
baissent, les portes des bureaux se referment, les serrures claquent, les voitures surgissent
des petites rues avoisinantes pour venir s’agglutiner dans la grande avenue qui s’écoule
devant Le Chien, lentement, comme un très vieux glacier.
Sur les trottoirs, les piétons marchent à pas saccadés. Ils vont, seuls et silencieux, ou par
petits groupes qui parlent à voix basse. Puis les groupes se mélangent, cela devient une foule,
et cette foule disparaît lentement sous terre, avalée par une caverne noire, grande ouverte
sur l’avenue lumineuse. Cet incroyable spectacle redonne du courage au Chien. Il pense que
ces gens, comme lui, cherchent à quitter la ville. Il imagine qu’ils ont creusé des galeries
souterraines (comme le font les rats) par où l’on peut s’évader, et il décide de les suivre.
D’après Daniel Pennac, Cabot-Caboche - Pocket jeunesse
Des enfants fabriquent une grosse araignée avec du papier et du fil de fer. Ils posent la
bestiole sur le trottoir. Des gens passent sans faire attention. Mais deux petites filles ont très peur
en la voyant. Elles crient et font un bond de côté. Leur maman sursaute. Puis elle voit que
l’araignée est fausse. Alors elle rassure ses filles. Les deux soeurs et leur maman repartent en
riant.
Des enfants fabriquent une grosse araignée avec du papier et du fil de fer. Ils posent la
bestiole sur le trottoir. Des gens passent sans faire attention. Mais deux petites filles ont très peur
en la voyant. Elles crient et font un bond de côté. Leur maman sursaute. Puis elle voit que
l’araignée est fausse. Alors elle rassure ses filles. Les deux soeurs et leur maman repartent en
riant. Contents de leur blague, les farceurs renouvèlent l’opération le lendemain. Mais cette fois,
une personne en colère jette l’araignée dans une poubelle !
1 Récris le texte au passé composé : Les ruches (Ce sont Anna et Hélène qui racontent)
Un apiculteur installe des nouvelles ruches sur son terrain. Nous allons les voir. Puis
nous observons l’intérieur d’une ruche. Nous voyons les abeilles travailler. Nous prenons
de nombreuses photos. Nous remercions le propriétaire et nous partons. En rentrant, nous
faisons des beaux dessins. Nous voulons garder un souvenir de cette intéressante visite.
Nous ramenons des belles photos de cette agréable journée.
notre fils aîné - un nouveau livre de contes - des assiettes à dessert - ce manteau noir qui
coûte cher - le gâteau que j’ai fait - une boîte en fer - des rideaux courts - une belle plante
verte
CM1
La beauté du paon
Dans une ferme magique, les animaux parlent. Le paon et le cochon discutent de la beauté.
- Comment ? s’étonna le cochon. Est-ce que vous n’avez pas toujours été aussi beau ?
- Oh non ! Quand je suis venu au monde, je n’avais qu’un maigre duvet sur la peau. Puis, peu à peu
je me suis transformé mais il m’a fallu beaucoup de soins. Je ne pouvais rien faire, sans que ma mère
me reprenne aussitôt : « Ne mange pas de vers de terre. Ne saute pas à cloche-pied. Ne bois pas
pendant les repas. Ne marche pas dans les flaques d’eau... ». C’était sans fin. Et je n’avais pas le
droit de fréquenter les poulets. Oh ! ce n’était pas souvent gai. En dehors des promenades que je
faisais en compagnie de la châtelaine, j’étais toujours seul. Et encore, si j’avais l’air de m’amuser, ma
mère me criait avec désespoir : « Petit malheureux, ne vois-tu pas qu’à rire ainsi et à t’amuser, tu as
déjà un air de vulgarité ? » Oui, voilà ce qu’elle me disait.
Et même encore maintenant, je suis un régime, sans parler des longues heures que je passe à ma
toilette...
D’après Marcel Aymé, Les contes du chat perché - Folio
1 Récris le texte au passé composé : Les ruches (Ce sont Anna et Hélène qui racontent)
Un apiculteur installe des nouvelles ruches sur son terrain. Nous allons les voir. Puis
nous observons l’intérieur d’une ruche. Nous voyons les abeilles travailler. Nous prenons de
nombreuses photos. Nous remercions le propriétaire et nous achetons un pot de miel. Nous
payons puis nous partons. En rentrant, nous faisons des beaux dessins. Nous voulons garder
un souvenir de cette intéressante visite.
notre fils aîné - un nouveau livre de contes - des assiettes à dessert - ce manteau noir qui
coûte cher - le gâteau que j’ai fait - une boîte en fer - des rideaux courts - une belle
plante verte
CM2
Le travail du castor
Le soir tomba sur le fleuve : comme chaque nuit, le castor travailla à l’entretien de sa hutte.
Il avait plu toute la journée et le « toit » était abîmé. Pour le réparer, le castor ramassa ou
coupa des branches sur la rive et les emporta en nageant jusqu’à son abri, aménagé sur un
petit îlot au milieu de la rivière. Il fit une entrée sous l’eau pour accéder à la chambre.
Puis le castor alla inspecter le barrage, car la pluie avait fait monter le niveau de l’eau et la
hutte risquait d’être inondée. Que de travail pour construire ce barrage ! Deux nuits entières
pour abattre un arbre en le rongeant, arracher les branches et traîner le tronc dans l’eau. Puis
il avait fallu fixer le tronc à l’endroit le plus étroit de la rivière et renforcer le barrage avec des
branches, des pierres et de la boue.
Le jour se leva. Le castor plongea et regagna son abri. Bien au sec, il s’endormit paisiblement.
D’après Susanne Riha, Nous ne dormons pas la nuit - Milan
le barrage du castor - les animaux sauvages - cette île lointaine - des bonnes nouvelles de
nos enfants - un merveilleux conte de fée - notre ancien voisin -
CM1
Le travail du castor
Le soir tomba sur le fleuve : comme chaque nuit, le castor travailla à l’entretien de sa hutte.
Il avait plu toute la journée et le « toit » était abîmé. Pour le réparer, le castor ramassa ou
coupa des branches sur la rive et les emporta en nageant jusqu’à son abri, aménagé sur un
petit îlot au milieu de la rivière. Il fit une entrée sous l’eau pour accéder à la chambre.
Puis le castor alla inspecter le barrage, car la pluie avait fait monter le niveau de l’eau et la
hutte risquait d’être inondée. Que de travail pour construire ce barrage ! Deux nuits entières
pour abattre un arbre en le rongeant, arracher les branches et traîner le tronc dans l’eau. Puis
il avait fallu fixer le tronc à l’endroit le plus étroit de la rivière et renforcer le barrage avec des
branches, des pierres et de la boue.
Le jour se leva. Le castor plongea et regagna son abri. Bien au sec, il s’endormit paisiblement.
D’après Susanne Riha, Nous ne dormons pas la nuit - Milan
le barrage du castor - les animaux sauvages - cette île lointaine - des bonnes nouvelles de
nos enfants - un merveilleux conte de fée - notre ancien voisin - mon amie - l’arbitre
sympathique, le camion qui passe dans la rue – les voitures que tu regardes
CM2