Introduction Memoire
Introduction Memoire
Introduction Memoire
AMP : ampoule
ATCD : les antécédents
ASP : radiographie de l’abdomen sans préparation
PEC : photophorèse
TDM : tomodensitométrie
PO : post-opératoire
CHU : centre hospitalier universitaire
PPO : péritonite post-opératoire
NFS : numération formule sanguine
NA+ : sodium
K+ : potassium
TRT : traitement
TLT : télé thorax
BG : globule blanc
T° : température
TA : tension artérielle
SD : syndrome
BMR : bactérie multi résistantes
VS : vitesses de sédimentation
AEG : altération de l’état général
Sc : sécurité sociale
INS : insuffisance
VVP : voie vineuse périphérique
Résumé
Introduction
La péritonite aigue généralisée est une inflammation et/ou infection aigue du péritoine
qui peut être localisée ou généralisée.
Elle est le plus souvent secondaire à une perforation d’organe digestif et/ou à la
diffusion d’un foyer septique intra-abdominal.
Elle occupe la 3éme place des urgences en chirurgie digestive en Afrique après les
occlusions et les appendicites aiguës.
De nos jours, la coelioscopie occupe une place importante dans la prise en charge
(diagnostic et thérapeutique) des péritonites.
Cependant, il peut être amélioré par une prise en charge urgente et multidisciplinaire,
associant un diagnostic précoce, une laparotomie, exploratrice en urgence et une
réanimation précoce et bien adaptée.
Aux USA : selon une étude effectuée en 2009, 17% des appendicectomies ont été
compliquées de péritonite avec une mortalité de 0.4% et une morbidité de 0.31% à 5.1%
En ASSIE : RAMACHANDRAN, AGARWAL. En 2004 ont signalé dans leur étude qu’en
cas de défaillance multi viscérale au moment de l’intervention, le pronostic peut
atteindre 70 à 80% de décès.
En AFRIQUE : selon une série d’études réalisées en 2005 et 2006, cette fréquence
variait de 28,1% au Congo à 49% au Niger avec une mortalité de 20.98% et une
morbidité de 49%
En TUNISIE : SAKHRI en 2012 a noté que les patients ayant des facteurs de risque
(âge supérieur à 65 ans : tares associées ; signes de choc) doivent bénéficier d’une
geste chirurgical simple et rapide
En France : cette affection a connu une régression notable avec une faible mortalité en
raison de la maitrise des malades pouvant se compliquer de péritonite. Dans les pays en
voie de développement par contre, la morbidité et la mortalité liées à cette affection
demeurent encore très importantes faisant d’elle un réel problème de santé publique.
Au MAROC : M’BIDA et COLL en 2010 ont remarqué que le pronostic peut être amélioré
par une prise en charge urgente et multidisciplinaire, associant un diagnostic précoce,
une laparotomie exploratrice en urgence et une réanimation précoce bien adaptée.
La phase conceptuelle
La problématique
Qu’est-ce que la péritonite ? quel est le rôle de l’infirmier devant la péritonite (pré et
post-opératoire) ? Existe-t-il des mesures préventives ?
Revue littérature
Définition :
En anatomie, le péritoine est une membrane séreuse (c-à-d qu’elle contient une fine
couche de liquide) dont la fonction est de tapisser entièrement l’intérieur de la cavité
abdomino-pelvienne et d’envelopper en totalité ou en partie ou en partie les organes qui
y sont contenus.
« C’est une membrane d’épaisseur variable, très fine à la surface des viscères mais
pouvant devenir plus épaisse, notamment lorsqu’elle est siège d’une inflammation »
Elle est formée de deux couches, deux feuillets, pouvant se superposer : le péritoine
viscéral et le péritoine pariétal.
Description du péritoine :
Le péritoine pariétal : une couche externe qui adhère aux parois abdominales
antérieur et postérieur
Le péritoine viscéral : une couche interne qui tapisse les organes abdominaux. Il
se forme lorsque le péritoine pariétal se réfléchit de la paroi abdominale aux
viscères.
La cavité péritonéale : est un espace virtuel situé entre les couches pariétale et
viscérale du péritoine. La cavité est remplie d’une petite quantité de liquide séreux
péritonéal secrété par les cellules mésothéliales.
Physiologie du péritoine :
La résorption :
La superficie du péritoine est estimée à plus ou moins 2 m 2. Cette large surface lui
permet de résorber d'importantes quantités de liquide, allant jusqu'à 8 % du poids du
corps par heure.
L'expiration crée une pression négative dans les hypochondres surtout à droite, mais
dans le cul-de-sac de Douglas la pression est de 30 à 40 centimètres d'eau. La pression
de 150 centimètres d'eau efficace aux drainages non aspiratifs est atteinte lorsque le
malade tousse ou vomit.
La défense du péritoine
Définition de la péritonite :
Une péritonite est une inflammation ou une infection aigue du péritoine. On parle
de péritonite primitive lorsqu’il n’y a pas de lésion intraabdominale responsable : ex
(péritonite à pneumocoques, péritonite tuberculose : on parle de péritonite secondaire
lorsqu’il existe un foyer intraabdominal responsable de l’infection.
Elle peut être due à la perforation du tube digestif en particulier d’un ulcère
gastro-duodénal ou d’un, diverticule sigmoïdien, à une infection o l’appendice ou de la
vésicule biliaire. Elle peut aussi être consécutive à un acte opératoire abdominale.
Physiopathologie de la péritonite :
La péritonite localisée :
La péritonite généralisée :
Plusieurs facteurs peuvent néanmoins conduire à une diffusion rapide du processus
inflammatoire : un type de micro-organisme particulièrement virulent, une concentration
élevée de microorganisme ou une défaillance du système immunitaire. Dans une
péritonite bactérienne, la pathologie est principalement liée aux effets de l’endotoxine
libérée de la paroi de certaines bactéries à Gram négatif.
Classifications
Péritonite primitive :
Péritonite secondaire :
Lâchage d’anastomose.
Lâchage de suture.
Lâchage de moignon.
Péritonite post-traumatique :
Péritonite tertiaire :
Correspond à une infection intra-abdominale persistante au décours d’une
infection initiale documentée.
Il s’agit toujours d’une infection secondaire d’évolution compliquée.
La cavité abdominale est surinfection par des microorganismes peu virulents mais
devenus résistant ou des levures.
Diagnostic clinique :
Quel que soit leur origine, les péritonites aigues généralisées ont le plus souvent le
même aspect clinique. Seule la symptomatologie initiale peut être modifiée par
l’étiologie.
Anamnèse :
Signes fonctionnels :
Vomissements :
Arrêt du transit :
Signes généraux :
AEG
Facies pâle, crispé, couvert de sueurs.
Fièvre en règle élevée 39-40°c, frissons.
Pouls accéléré.
A un stade plus avancé, apparaissent les signes de choc septique avec :
Hypo TA, pouls filants, oligurie, frissons, sueurs profuses, déshydratation,
marbrures et froideur des extrémités.
Signes physiques :
Inspection :
Palpation :
Percussion :
Auscultation :
Toucher pelviens :
Diagnostic de gravité :
Les éléments de gravité d’une péritonite aigue peuvent dépondre du terrain, de l’état
clinique du patient ao moment du diagnostic, du bilan biologique, du diagnostic
étiologique et de la rapidité de mise en œuvre des mesures thérapeutiques. Ainsi on peut
dégager comme éléments de gravité :
Etat de choc.
Détresse respiratoire.
Détresse neurologique.
Biologiques :
Insuffisance rénale.
Troubles ioniques.
Insuffisance respiratoire.
Étiologique :
Péritonites stercorales.
Péritonites dues à une complication néoplasique.
Traitement :
But :
La réanimation
Antibiothérapie
Généralement une association est faite entre les Beta-lactamines, dirigés contre les
aérobies et les anaérobies. Les imidazoles, dirigés contre les anaérobies et les
aminosides (Gentamycine) contre les aérobies.
La suppuration pariétale.
Hémorragie et hématome.
Dénutrition Cancer
Les facteurs liés au terrain
Immunodépression
Age avancé
Défaillance d’organe
Antécédents médicaux
Péritonite stercorale
Perforation colique
Présence de lésions étendues ou de
lésions associées.
Agent infectieux
Anaérobies, facteurs liés à la prise en charge
Retard à l’intervention
Antibiothérapie initiale a adaptée
Les Hypothèses
Des mesures de protection peuvent diminuer les risques de la péritonite ?
Le rôle de l’infirmier devant la péritonite pré et post-opératoire, et le traitement
vacant à l’hôpital est-il susceptible de soigner la péritonite ?
Le but de l’étude
Type de l’étude :
Milieu de l’étude :
Cette étude a été réalisé dans l’unité des urgences de l’hôpital régionale de Tanger et
sur le service chirurgical de la clinique Nakhil – Tétouan.
La population de l’étude :
La population de cette étude a intéressé chez tous les patients qui présente la
péritonite.
L’échantillonnage :
Nous avons inclus dans cette étude tous les patients âgées, adultes et les enfants
inférieures de 15 ans, admis pour une péritonite aigue généralisées diagnostiquée sur un
ensemble d’éléments cliniques et paracliniques et hospitalisés au service de chirurgie de
CHU MOHAMED 5 à Tanger.
La saisie et analyse des données ont été saisies et analysées avec le logiciel « Epi info »
version 7, le traitement de texte a été fait sur le Microsoft « Word » version 2019. Le
test utilisé a été celui de KHI² avec comme seuil de valeur signification pour p<0.05.
Questionnaire :
Le questionnaire a été gérer aux cas examinés pour la péritonite pour rassembler les
éléments et les données quant à les antécédents, la prise en charge et leur
caractéristiques sociodémographiques….
Étude de cas :
2- L’examen clinique :
Patient avec une altération de l’état générale et abdomen très sensible,
contracture abdominale, fièvre, respiration superficielle.
3- L’examen paraclinique :
Examen biologique :
o NFS : GB 14000mm³
o Hématocrite : 41%
o Urée : 0.65g/L
o Créat : 10mg/L
o Glycémie : 1.63g/L
o Ionogramme : Na+ : 133.8ml/L K+ : 3.67ml/L
o Groupage : B+ positif
4- L’examen radiologique :
TLT : normale
Le diagnostic du chirurgien : la péritonite appendiculaire généraliste et décidera
de faire une intervention alors l’infirmier doit être préparer le patient :
o L’installation du malade dans une chambre
o Vérifier le dossier du malade et complète le bilan biologique et
radiologique.
o Préparer le patient à l’acte opératoire
o Préparation psychologique pour faciliter les tâches de l’intervention.
o Préparation du champ (rasage, désinfection la région opératoire).
1ère heure
: cette surveillance est établie en fonction de prescription du médecin
anesthésiste et chirurgien :
TRT :
o Claforan 1g : 4 fois/j
o Flagyl 500mg : 3 fois/j
o Azantac 1 amp : 3 fois/j
o Perfalgan 1g
1er jour :
o Réfection du lit
o Les constantes : T° 37.3 – TA 12/9 – pouls 104
o TRT
2ème jour :
3ème jour :
o Changement de pansement
o Le patient est repris le transit
o Les constantes : T° 37 – TA 10/7 – pouls 80
4ème jour :
5ème jour :
6ème jour :
o Changement de pansement
o TRT
Hommes 50 61 67 178
- Douleur abdominale 2éme jour 12
Femmes 30 43 40 113
- Vomissement 2éme jour 16
- Total
Hypersécrétion gastrique 291
2éme jour 19
- Diarrhée 4 jour
éme
12
- Météorisme abdominal 3éme jour 11
- Contracture 3éme jour 11
- Défense 3éme jour 5
- Matité des flancs 5éme jour 9
- Tympanisme 3éme jour 7
- Cri du douglas 3éme jour 5
La fièvre ainsi que le choc septique et les frissons ont été les signes extra-
Tableau 3 : répartition des patients opérés pour la péritonite selon leurs sexes.
total %
hommes
femmes
38%
63%
Figure 1 : répartition des patients opérés pour la péritonite selon leurs sexes.
Année 2023
Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Aout Sept Oct Nov Dec
9 14 7 10 9 12 9 7 8 8 5 9
Tableau 4 : répartition des patients opérés pour la péritonite selon les mois de
l’année 2023 (hommes et femmes).
16
14
14
12 fevrier
12
mars
10 avril
10
9 9 mai
88 juin
8
7 7 juillet
aout
6
5 septembre
octobre
4 novembre
decembre
2
0
9
Figure 2 : répartition des patients opérés selon les mois de l’année 2023
PPO 9 0.09
AFFECTION INITIALE
45
40
35
30
25
20
15
10
5
0
EFFECTIF
31 – 40 ans 6 3 9 0.9%
41 – 50 ans 15 6 21 0.21%
Tableau 6 : répartition des patients opérés selon l’âge et le sexe de l’année 2023.
La prise en charge de la péritonite :
Péritonite communautaire
DC cliniquement évident
Non
Oui
Scanner abdominal
Drainage
Laparoscopie
Laparotomie
Si échec
La prise en charge anti-infectieux probabiliste en cas de péritonite communautaire
Péritonite communautaire
Lévofloxacine+métronidazole+gentamicine Non
ou tigécycline
Non
Signes de gravité
Pipéracilline – tazobactam+
gentamicine Oui Amoxicilline – AC clavulangique+
gentamicine ou
Ceftriaxon + métronidazode
Oui Echinocandine
la prise en charge anti-infectieux probabiliste en cas de péritonite associées aux soins
Ciprofloxacine+ métronidazode+
Non
amikacibe+ vacomycine où
Tlgécycline + ciprofloxacine
Oui Non
± amikacine ± vancomycine
Oui Echinocandine
Le rôle de l’infirmier
Les infirmières et les infirmiers sont aux premières lignes de la prestation de services
et jouent un rôle important dans les soins centrés sur le patient et ce qui concerne
l’accueil et l’orientation des malades :
Bilan :
Préparation physique :
Le matin de l’intervention :
Durant de l’intervention :
Surveiller la température.
La surveillance et réfection du pansement.
La surveillance de l’aspect des liquides de drainages et de l’écoulement.
La surveillance et changement des redons de manière régulière et avec asepsie.
La surveillance des voies veineuses périphériques (changement toutes les 72h).
Protocole antibiotique sur prescription médicale.
Surveiller l’aspect et odeur des urines.
Surveillance et action :
Surveillance et action :
Surveillances et actions :
La surveillance de la plaie :
Pansement :
Conclusion
Sa fréquence élevée dans notre pratique quotidienne nous a amené à initier une
étude sur ses aspects, cliniques et thérapeutiques. En rapportant nos résultats, nous
envisageons les mesures à prendre pour diminuer l’incidence de cette urgence
chirurgicale.
Les péritonites ont touché essentiellement les sujets jeunes de moins de 302 ans
tranche âge la plus active économiquement, dans environ de 62% le sexe masculin et
38% le sexe féminine.
Sur le plan clinique, la forme asthénique a été la plus décrit dans environ 60% des
cas. La survenue de cette forme est liée au retard à la consultation et à la prise en
charge adéquate des patients.
La laparotomie a' été pratiquée dans tous les cas. Elle a permis de réaliser la
technique chirurgicale appliquée à l'étiologie. C'est ainsi que pour les perforations
iléales typhiques, l'iléostomie a été choisie dans 73% des cas pour minimiser les risques
de fistule intestinale liée à la suture dans un milieu septique. L'évolution post-opératoire
s'est compliquée essentiellement de suppuration intra-abdominale ou pariétale du fait
de la septicité du liquide péritonéal. La mortalité reste élevée malgré les efforts de
réanimation.
Recommandations
Aux autorités :
A la population :
Eviter l’automédication
Consulter immédiatement devant tout cas de douleur abdominale.
Bibliographie :
https://www.sante-sur-le-net.com/maladies/hepato gastro/péritonite.
Mémoire online.
https://www.medicalib.fr/blog/peritonite-causes-et-traitements/.
https://www.kenhub.com/fr/library/anatomie/peritoine-et-cavite-peritoneale.
https://revue-mir.srlf.org/index.php/mir/article/view/1147
https://scholar.google.com/scholar?q=p%C3%A9ritonite+post+op
%C3%A9ratoire+traitement&hl=fr&as_sdt=0&as_vis=1&oi=scholart
https://www.scribbr.fr/memoire/tfe-infirmier-exemples/
https://fmt.rnu.tn/wp-content/uploads/2022/08/57-peritonite-aigue.pdf
https://paramedz.com/infirmier-memoire/role-de-li-d-e-dans-les-soins-pre-
postoperatoire-suite-a-une-peritonite/#google_vignette
http://ecn.bordeaux.free.fr/ECN_Bordeaux/Maladies_et_Grands_syndromes_files/
RDP_2005%20peritonite%20aigue%20275.pdf
https://radiopaedia.org/articles/peritoneal-ligaments
https://fmedecine.univ-setif.dz/Cours/2-P%C3%A9ritonites%20aigues.pdf
https://info.medadom.com/symptomes/peritonite
https://www.santemagazine.fr/sante/maladies/maladies-appareil-digestif/peritonite-
tout-savoir-sur-cette-urgence-chirurgicale-1059668
https://www.doctissimo.fr/html/dossiers/mal_au_ventre/15969-peritonite.htm
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6430839/
Les annexes
Annexe 1 : Fiche d’exploitation
Identité :
Nom : …………………………………………………………
Prénom : …………………………………………………….
Sexe : ………………………………………………………….
Age : …………………………………………………………….
N° d’entrée : ……………………………………………….
Date d’entrée : …………………………………………….
Motif de consultation :
Les Antécédents
Médicaux :
Chirurgicaux :
Si oui laquelle………………………………………………………….
Autres : …………………………………………………………………….
Toxiques :
Tabagisme chronique □ oui □ non
Alcoolisme □ oui □
non
Autres……………………………………………………………………….
Etude clinique :
1. Signes Fonctionnels :
Autres :
Autres……………………………………………………………
Signes Généraux :
- Autres………………………………………………………………
Signes Physiques :
Inspection :
Palpation :
Percussion :
Examens complémentaires :
Examens radiologiques :
Si faite : résultats :
Epanchement :
Autres : foie, rate, pancréas, rein……………………………………………………….
Scanner abdominal : □ Fait □ Non fait
Résultats :
Pneumopéritoine □ oui □ non
Epanchement liquidien □ oui □ non
Infiltration péri appendiculaire □ oui □ non
Diverticulite □ oui □ non
Autres……………………………………………………………………………….
Opacification digestive : □ faite □ Non faite
Examens biologiques :
Hémogramme :
Traitement médical :
Autres…………………………………………………………………
Traitement chirurgical :
Traitement étiologique :
Appendicectomie □
Bi vagotomie phlooplastie □
Drainage : ………………………………………………………………………….
Evolution Post-opératoire :
Complications :
Complications locales :
Complications générales :