Psycho

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Les définitions:

La psychologie: La psychologie est comprise comme la science de l'âme.


Actuellement, la psychologie est définie comme une étude scientifique du
fonctionnement psychique à partir du comportement de l'individu. Dans
un sens plus large, lo psychologie rassemble tout ce que t'homme sent,
tout ce qu'il pense, tout ce qu'il veut, tout ce qu'il aime, tout ce qu'il
repousse )
La personnalité: du latin persona, masque théâtral que l'acteur gardait
pendant toute la pièce), essentiellement, l'élément stable de la conduite
d'une personne, sa maniere d'être habituellement, ce qui la différencie
d'autrui. Chaque homme est à la fois semblable aux autres individus de
son groupe culturel et différent d'eux par le caractère unique de ses
expériences vécues, sa singularité, fraction la plus originale de son Moi
constitue l'essentiel de sa personnalité. La personnalité est un ensemble
structuré des dispositions înnées (hérédité, constitution génétique) et
acquises (milieu, éducation) qui déterminent l'adaptation originale de
l'individu à son entourage. La personnalité est le résultat d'un processus de
maturation complexe, évolutif et continuaui caractérise la personne dans
son unité, sa singularité dans l'originalité de con caractère et de son
comportement. C'est une organisation qui se transforme continuellement
sous l'influence de la maturité biologique (åge, puberté, ménopause) et
des expériences personnelles (conditions socioculturelles et affective..)
Le caractère: (du grec kharakter, signe gravé): en général et au figuré, ce
qui distingue un objet. Dans le langage courant, la marque d'un individu
qui s'exprime dans ses modes de sentir et de réagir; également au sens
fort, qualité particulière d'une personne ferme, décidée, constante dans
ses positions. La sociologie: C'est une science des phénomènes sociaux,
science qui ne s'intéresse à l'homme qu'en tant que membre d'un groupe
déterminé par les institutions sociales. Elle s'occupe essentiellement des
comportements d'individus pris dans la masse, étudiant les classes
sociales, les groupes économiques, les religions etc....
III- LE DÉVELOPPEMENT PSYCHOAFFECTIF DE L'INDIVIDU:
 Période prénatale: elle correspond à la phase du développement
intra- utérin du fætus, c'est-à-dire au cours de la grossesse et avant
la naissance. L'enfant est dans le ventre de sa mère, un milieu
privilégié qui le protège des agressions du milieu extérieur (froid,
faim, soif, douleur, bruit...). Il est en position fætale, cette position
apparait au cours du sommeil chez l'adulte dans certaines périodes
d'angoisse. Vers l'âge de trois mois du développement intra-utérin,
le fætus devient sensible au bruit (parole de sa mère, vibration,
télévision...) Le fætus commence à avoir des mouvements réactifs
aux stimulations du milieu extérieur. La manière physique (stress) et
mentale (enfant désiré ou pas) avec laquelle la mère porte l'enfant
influencera l'état physique du fætus ainsi que son développement: Si
la mère est anxieuse, stressée, dépressive, insomniaque, le fœtus
souffrira d'un excès de réactivité et de stress. Par contre si la mère
est détendue et heureuse, elle mettra son enfant dans un meilleur
état physique qui favorisera son développement.
 Période de la 1 enfance: phase néonatale: elle correspond à la 1ère
semaine de la vie du nourrisson qui n'a pas encore perdu son cordon
ombilical, La naissance est un moment difficile pour la femme et
pour l'enfant. => Pour la mère: elle présente une angoisse, elle a
peur de l'accouchement. Elle a peur de mourir, peur d'avoir un
enfant handicapé, peur de l'inconnu. => pour le bébé:l'accouchement
est une situation traumatisante, le bébé ressent la douleur et
l'angoisse car son système neurovégétatif est fonctionnel. II quitte
un milieu aquatique, stérile, chaud et nourricier pour sortir vers un
milieu aérien froid et agressif. (=> Pour le père: il voit dans ce bébé
l'augmentation de ses responsabilités et 54 114 un changement de
son statut. Il doit s'adapter à cette nouvelle situation. La femme qu'il
a désirée n'a plus de temps à lui réserver, car maintenant c'est le
bébé qui a besoin d'elle)
 Phase poste natale: elle s'étale de la 2è semaine de la vie du &
nourrisson jusqu'à 2 ans. On appelle cette phase le stade oral.
 Stade oral: Il occupe la 1 année de la vie. On distingue classiquement
un stade oral primitif qui est le stade de la succion. A ce stade
l'enfant ne différencie pas son corps de celui de sa mère. Il n ya pas
de différence entre intérieur et extérieur. C'est la phase dyadique
mère-enfant Le but pulsionnel de l'oralité est d'attirer en soi,
incorporer, introjecter. Plut tard entre 6 et 12 mois prévaudra la
morsure, du fait de l'apparition des dents; c'est le stade sadique oral
La mère n'est pas vécue comme un objet total, mais comme des
parties morcelées. L'enfant est entièrement dépendant de cette
relation sans laquelle il ne peut vivre. Le sevrage au stade actif est
vécu comme une punition. L'enfant est vécu par son entourage
comme agressif, mais à son tour il se sent agressé par une privation
infligée, Privé du lait et de la chaleur du corps maternelle, assis
devant elle et nourrit par une cuillère. Le sevrage est le conftit
Couflet spécifique de la 1tre année.
 Stade anal : c'est la période où se développe tout l'apparell
neuromusculaire. L'enfant commence à avoir un meilleur contrôle de
ses sphincters et c'est le moment de l'apprentissage de la propreté.
Ayant plus de possibilité d'action, l'enfant cherche plus de liberté, on
dit que c'est l'âge du "NON".Son opposition de plus en plus claire aux
parents correspond surtout à son désir d'agir seul. Sur le plan anal,
l'enfant est maintenant capable de retenir ou de laisser aller ses
excréments. Il peut donc dans ce domaine aussi s'opposer à ses
parents Les selles deviennent symboliquement des cadeaux que
l'enfant accepte ou non de faire aux parents. Toute cette période
surtout en ce qui concerne la propreté est donc particulièrement
délicate. Le contrôle extérieur exercé par les parents doit servir
avant tout à rassurer l'enfant et non à brimer ses premières
manifestations d'autonomie. En effet un contrôle trop rigide peut
amplifier les sentiments de honte et de doute que l'enfant
commence à connaître.
 6-Stade phallique: Lors du stade phallique, la zone érogène devient
la zone génitale: pénis chez le garçon, clitoris chez la fille. A ce stade,
l'enfant connait mieux son corps. Il est maintenant capable de
reconnaître les différences physiques entre son père et sa mère et de
savoir qu'il est un petit garçon ou une petite fille. D'ailleurs les
parents par leur façon de vêtir l'enfant, les jeux qui lui proposent et
leurs attitudes envers lui encouragent cette différenciation. - a) chez
le petit garçon: l'enfant s'intéresse à ses organes génitaux externes
et manifeste une certaine fierté pour son pénis. Il peut prendre
plaisir à se masturber pendant quelques temps. Ce problème
disparait habituellement sans problème si les parents n'adoptent pas
une attitude culpabilisante. D'autre part le garçon adopte un
comportement très actif, bruyant, parfois agressif et il s'identifie à
son père. bjchez la petite fille: elle développe une fierté qui n'est pas
liée à ses organes génitaux, mais à tout son corps, bien qu'elle
traverse aussi une période masturbatoire qui passe le plus souvent
inaperçue.La petite fille développe une certaine coquetterie dans sa
coiffure et ses vêtements. Elle est plus habile que son frère dans les
activités qui demandent de la finesse. Elle s'identifie à sa mère, mais
elle perçoit l'absence du pénis comme dévalorisante. Il s'agit là d'une
blessure narcissique qui entraine un sentiment d'infériorité, la mère
est tenue pour responsable de la castration.Le stade phallique est
caractérisé par l'instauration d'une nouvelle relation d'objet qui
cesse d'être "duelle" pour devenir "triangulaire", ce que Freud
nomme "complexe d'Oedipe".
 COMPLEXE D’ŒDIPES :
: L'ÂGE DE 5 À 6 ANS EST LE SOMMET DE CETTE PÉRIODE , C'EST L'ÂGE DU COMPLEXE D 'EDIPE . A CET AGE ,
L' ENFANT SE CENTRE DAVANTAGE SUR LES AUTRES POUR OBTENIR DES SATISFACTIONS .1-CHEZ LES
GARÇONS, ILS VEULENT ÊTRE PROCHES DE LEUR MAMAN ET VOIR LEUR PAPA COMME UN OBSTACLE . ILS
VEULENT GRANDIR POUR RESSEMBLER À LEUR PAPA ET PLAIRE À LEUR MAMAN. PARFOIS , ILS PEUVENT
AUSSI RESSENTIR DES SENTIMENTS CONTRADICTOIRES ENVERS LEURS PARENTS .
2-CHEZ LA PETITE FILLE: CETTE PÉRIODE EST PLUS CONFUSE ET PLUS COMPLIQUÉE SEXUELLEMENT . ELLE A
UNE CERTAINE DIFFICULTÉ À S' IDENTIFIER À SA MÈRE , CAR LES ORGANES GÉNITAUX INTERNES NE SONT PAS
VISIBLES ET ELLE N 'A PAS ENCORE LES SEINS COMME CELLE -CI. LA PETITE FILLE EST DONC DÉÇUE ET ELLE EN
VEUT Å SA MÈRE . PAR CONTRE ELLE EST ATTIRÉE VERS SON PÈRE ET SOUHAITE SURPASSER SA MÈRE DANS
L' AMOUR DE CE DERNIER . ELLE ÉPROUVE DONC DE LA CULPABILITÉ POUR SES SENTIMENTS DE DÉCEPTION
ET DE RIVALITÉ . DANS DE BONNES CONDITIONS , CETTE CULPABILITÉ EST AUSSI REMPLACÉE PAR UNE
IDENTIFICATION À LA MÈRE .
B-PERIODE DE LATENCE: Après cette explosion de la sexualité, s'ensuit une période de
grand calme et d'oubli. Cette curiosité sexuelle est remplacée par un interet pour le
monde extérieur. L'école encourage et développe ces nouveaux champs d'intérêt.
L'enfant se fait des amis de son âge, et dépense beaucoup d'energie à accomplir un
certain travail et à participer à des activités de groupes. Le danger de cette période,
est que l'enfant se sente inférieur et désespéré de ses capacités d'être au même
niveau que les autres dans une même activité. Il est donc important de ne pas exiger
de lui des P performances qui le dépassent.
 REMANIEMENT DE L'IMAGE DU CORPS: L'adolescent trouve quelques
difficultés à se situer par rapport à l'enfant qu'il était la veille et
l'adulte qu'il est entrain de devenir. Un des problèmes
psychologiques fondamental qu'il doit affronter est celui des
modifications corporelles. Le jeune doit se resituer par rapport à son
corps qui remet en jeu l'image de lui-même. L'espace de son corps
ayant changé si brutalement, l'adolescent est dans son image
physique à la recherche d'un sentiment d'identité qui le fondrait
comme sujet. A cet âge, le jeune va parler plus avec des
comportements psychomoteurs qu'avec les mots. La verbalisation
est trop difficile, là apparaissent alors des troubles de
comportement: fugue, agression, délinquance, vols, viols, troubles
alimentaires, sexuels (autoérotique, homosexualité), suicide.
 3-L'ADOLESCENT UNE ENTREE ET UNE FIN: 4 c'est la fin de l'enfance
avec ce qu'il avait de bon, de sécurisant, dans la nostalgie du
souvenir. Retrouver la chaleur de la dépendance, voilà ce dont rêve
l'adolescent de temps à autre, voilà ce que ne sera jamais plus. c'est
l'entrée chez les adultes, l'autonomisation dans la découverte de son
identité individuelle et sociale. Abandonner ses parents, mais dans le
même temps reconnaître qu'on leur doit tout ce que l'on est. Cette
séparation de laquelle, il faut renaître plus grand, plus fort, pour
donner la vie, pour recommencer de nouveaux liens parentaux en
inversant les rôles.
 LA PUBERTE: stade génital A cette période toutes les tendances
sexuelles infantiles réapparaissent. La source pulsionnelle est la zone
génitale pubère. L'attirance pour les parents du sexe opposé est
remplacée par l'attrait pour des compagnons du même age, des stars
de cinéma, ou des personnages de romans. Brusquement déferlent
dans le corps de l'adolescent des hormones que l'on qualifie de
sexuelles d'une manière passive, car l'adolescent n'a rien choisi. Chez
la fille, les seins gonflent, les poils poussent, les régles surviennent.
Cela ne va pas sans troubles, sans gêne, sans inquiétude même si
l'adolescente a été prévenue. Chez le garçon, les érections avec les
premières éjaculations, la poussée des poils, la mue de la voix qu'il
ne reconnait plus. Comment assumer tous ces changements, si vite,
si fort? Tous ces bouleversements accroissent crainte, et désir, avec
en arrière plan le pouvoir de procréation.
 L'importance du groupe pour l'adolescent: Le groupe d'adolescents
'est une sorte de continuation de l'enfance, en même temps qu'il
représente un engagement dans la vie adulte. Ce groupe est souvent
constitué de jeunes qui se connaissent depuis longtemps: camarades
de classe, jeunes dont les parents habitent le même immeuble ou le
même quartier. Le groupe va présenter pour l'adolescent le moyen
de parvenir à satisfaire ses pulsions en même temps qu'il l'utilisera
pour investir le champ social de l'adulte et se protéger contre une
société dont il ne peut encore accepter les règles.
 VI-ASPECTS PSYCHOLOGIQUES DE LA VIEILLESSE:La vieillesse est la dernière
période de la vie, et jusqu'à il y a peu de temps, elle n'a guère intéressé les
médecins et les psychologues. La vieillesse se définit comme senescence de
la personnalité et se divise habituellement en deux stades: période
d'involution ou pré - senescence (de 45 à 65 ans) la senescence proprement
dite (au delà de 65 ans)( 1-L'état physique: )c'est la déficience progressive
des organes et de leurs fonctions. Les possibilités et la rapidité d'adaptation
du vieillard s'en trouvent diminuées. Sa dépendance existe mais elle est
relative. (2-L'état intellectuel: )Certaines aptitudes sont touchées plus ou
moins précocement. Mais d'autres fonctions telles que l'aptitude à
apprendre et surtout à mieux utiliser les choses apprises sont non seulement
conservées plus longtemps, mais peuvent encore se développer jusqu'à un
âge avancé. Ces faits nous montrent qu'il ne faut pas voir dans la vieillesse
un simple affaiblissement global de l'intellect, mais un nouvel équilibre des
fonctions mentales. (3-Vieillesse et image du corps:) Le vieillard se trouve
diminué, son image d'homme s'effrite. Il se plisse, sc ride, se rétracte non
seulement physiquement mais aussi moralement et affectivement. Cette
dévalorisation est la vraie maladie de la vieillesse. Le corps vieillit: les
cheveux sont blancs, le dos se voûte, le pas traine. C'est en terme de perte
qu'il faut voir la vieillesse. C'est une atteinte au narcissisme .
 4-Vieillesse et mort: a-Vieillesse et deuily Le deuil est une réaction normale
face à une perte. La vieillesse est un deuil, qui n'est pas une fin, mais un
nouvel équilibre à apprendre. Mais des deuils réels tel que la mort d'un
frère, d'une sœur, du conjoint sont des signes d'alarme de la propre
échéance du vieillard. Son tour approche (il a l'age).
b- Vieillesse et la mort individuelle: La mort est le terme logique de la vie.
Le vieillard prépare sa mort, elle est toujours présente dans sa tête. Il
raconte d'abord volontiers celle des autres, puis tente d'apprivoiser la
sienne: c'est notre âge de mourir, on ne sait pas où l'on sera l'an prochain?
c-Vieillesse et mort sociale: Les liens sociaux et familiaux sont limités. Le
vieillard est improductif, il n'a plus de travail à réaliser, plus rien à produire
et à gagner; et cela est mal vu dans une société de consommation. Les
femmes ne sont plus fécondes, plus capables de produire des enfants. La
famille a changé et le vieux n'a plus sa place. d- Vieillesse et mort sexuelle:
Le vieillard n'est plus sexualisé et se trouve comme souvent à égalité sur ce
plan avec l'enfant. La sexualisation des personnes âgées a été confortée par
la société invoquant l'absence de besoins sexuels chez les vieux, elle niait,
voire même culpabilisait toute activité libidinale. La société préfère un
vieillard sans besoins, sans demande. Le sufet lui- même se réfugie dans le
calme qu'on lui propose.
 des Réactions psychologiques devant une maladie grave Il existe plusieurs
stades de réactions devant une maladie grave. Ces stades sont chronologiques;
mais, il est rare que les réactions suivent chronologiquement ces stades qu'on
va découvrir. Il s'agit de 6 stades: Le choc et le refus Lorsque le patient apprend
que sa maladie est grave, il présente tout d'abord un état de choc. Il parait
hébété. Il refuse de croire le diagnostic. Il répète qu'il s'agit d'une erreur. Sa
réaction immédiate est de changer de médecin. Mais il ne se contente pas d'un
seul avis. Il cherche un autre avis. Il va de médecin à l'autre. Dans de tel cas le
médecin et l'infirmier doivent : => Communiquer le diagnostic au patient et à
sa famille de façon respectueuse et directe. ⇨Donner les informations
nécessaires concernant les symptômes de la maladie, son traitement et son
pronostic Laisser le malade après le choc s'exprimer, tout en l'assura qu'il ne
sera pas abandonné.
 La colère et l'agressivité Le patient devient frustré, irritable. Il se demande :
pourquoi moi ? Il peut se mettre en colère contre Dieu, contre le destin, contre
un ami ou un membre de la famille. Il peut se blâmer lui- même ou même se
culpabiliser. Sa colère peut toucher le membre de personnel de l'hôpital, auquel
il reproche la maladie. Le patient est difficile à soigner à ce stade. Le médecin,
qui n'aperçoit pas que cette colère est une réaction prévisible, peut l'adresser à
un autre confrère. L'attitude favorable est une réponse empathique non
défensive. Notre attitude est d'amorcer la colère. Le médecin doit également
comprendre que la colère peut représenter une tentative de maîtrise d'une
situation qui ne peut être maîtrisée.
 L'égocentrisme C'est un trait de la personnalité hystérique, une attitude de
celui qui rapporte tout à lui. Cette réaction se voit souvent chez le malade
anxieux qui est intéressé par tout ce qui se dit, tout ce qui se fait autour de lui.
Il est impossible pour ce type de patient de se mettre a la place des autres. Le
soignant doit être attentif à l'égard de ce type de patients. est appelé à
satisfaire sa curiosité et le rassurer.
 Les principes d’une relation d’aide thérapeutique 1Observer : le comportement,
les réactions face à la maladie, âge du patient , le type d’hospitalisation./2Faire
preuve d’empathie /3Être authentique /4 accepter 5 apprendre à écouter /6
reformuler

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