BATOLOGIE 2e Doctorat

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Batologie 2ème doctorat 1

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ANESTHESIOLOGIE (Professeur KILEMBE)


1) Quels sont les objectifs de la prémédication ?

particulier les changements de la fréquence et du rythme


cardiaque.

sorte l’incidence et les conséquences d’une aspiration


(inhalation) dans les voies respiratoires qui entraînent une
inhibition ou une prévention des réactions hypersensibles

2) Quels sont les effets pharmacologiques du thiopental sue la


fonction respiratoire et quelles en sont les conséquences ?
- la dépression de la fréquence respiratoire avec apnée :
diminution de la fréquence respiratoire, diminution de
l’amplitude. Ventiler si apnée si apnée sup. à 30 sec., l’apnée
dépend de la dose et de la vitesse d’administration.
- Réflexes laryngé et respiratoire actifs : laryngospasme,
bronchospasme (asthme)

3)Quelles sont les causes de la non décurarisation ?


- intensité du bloc (blocage très profond
- état acido-basique et électrolytique : acidose
respiratoire, alcalose métabolique.
- Atteinte de la fonction rénale et hépatique
- Interactions des agents médicamenteux :
Antibiotique : lincomycine, clindamycine
Lithium
Benzodiazépine
sulfate de magnésium
- hypothermie
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- myasthénie grave

4) Dans la réalisation d’une anesthésie simple par inhalation


d’une vapeur anesthésique, deux conditions doivent être
remplies. Quelles sont ces conditions ?
Deux conditions : - le gaz inspiré doit contenir les molécules de
l’anesthésique et une concentration suffisante de l’oxygène
pour le maintient de la vie. – il faut aussi que le toxique expiré
puisse être éliminé (CO2) et qu’il ne soit pas en grande
concentration à l’inspiration suivante.

5) Les circuits anesthésiques modernes fournissent un mélange


de gaz frais provenant d’un système d’alimentation ; quels
sont les éléments qui constituent ce système d’alimentation ?
- sources de gaz
- le manodétendeur (pression dans la bouteille)
- le débitmètre
- un ou plusieurs vaporisateurs

6) L’emploi de suxaméthonium (succinyl-choline), une molécule


pourtant très simple, est limité par ses effets délétères et ses
complications : lesquels ?
- fasciculation musculaire
- douleur musculaire
- élévation du potassium sérique
- élévation de la pression intraoculaire
- effet cardiovasculaire : bradycardie, trouble de
rythme (arythmie ventriculaire)
- effet respiratoire : augmentation des secrétions
bronchiques, bronchospasme.

7) Quel antidote et comment l’utiliser pour combattre les effets


indésirables des morphinomimétique ?
- Antidote : Naloxone.
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Utilisation : donner le naloxone en IV à la dose de 0,1mg


toutes les 2 à 3 minutes
jusqu’à ce que la respiration reprenne, suivie d’une dose
équivalente par voie IM afin de maintenir des concentrations
plasmatiques optimales de naloxone pour une longue
période.

8) L’ionogramme sanguin est indispensable avant l’anesthésie


chez tout patient sous diurétique. Qu’en pensez-vous ?
Oui, car la plupart de diurétique provoque une hypokaliémie qui
accroît l’incidence d’arythmie pendant l’anesthésie.

9) Quelles sont les complications de l’intubation


endotrachéale ?
- traumatisme des lèvres, dents, langue, larynx et cordes
vocales.
- Intubation oesophagienne
- Vomissement ou régurgitation avec aspiration pulmonaire
- Laryngospasme et bronchospasme.
- Bradycardie ou tachycardie ou HTA (surtout indésirable ds la
cardiopathie, …)
- Obstruction totale résultant d’une hernie ballonnée et de
vomissement ou du sang, plicature du tube.

10) La Kétamine est l’une des drogues anesthésiques la plus


couramment consommée en RDC. Quels sont les avantages et
les inconvénients ?
Avantages :
- soluble dans l’eau, solution stable et de longue durée
- pas irritant et peut être utiliser en IV
- il n’y a pas des réactions d’hypersensibilité et il n’y a pas
non plus de libération de l’histamine.
- Effet sympathicomimétique de grande importance sur le
système cardiovasculaire :
Augmentation du débit cardiaque
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Légère augmentation de résistance vasculaire


périphérique et du pouls.
- même à des doses infracliniques, elle entraîne une analgésie
somatique et viscérale
- provoque un relâchement des mx bronchiques d’où utiliser
en cas d’asthme.
Inconvénients : agitation : rêve, hallucination

11) Le suxaméthonium est un curare d’action rapide


et brève. Quelles sont les circonstance dans lesquelles on peut
observer un bloc prolongé et que faire ?
- les circonstances sont :
diminution de la pseudocholinestérase de 25 à 30%
pdt la grossesse,
baisse de pseudocholinestérase de 20% par prise de
contraceptifs oraux,
administration de sulfate de magnésium pour traiter la
préeclampsie,
certains anticholinestérase : les gouttes ophtalmiques
prolonge la durée du bloc
poison à phosphate organique
procaïne et propanidide sont dégradés par le
pseudocholinestérase
pseudocholinestérase anormales transmises de
manière génétique dans la forme homozygote
- Que faire :
Administration d’une solution commerciale de
pseudocholinestérase.
Plasma frais congelé
Ventilation assistée
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12) Pourquoi au cours de la prémédication doit-on


rechercher obligatoirement la diminution de l’anxiété ?
L’anxiété peut déclencher aussi des réactions autonomes et
métaboliques indésirables à même de provoquer des défenses
négatives pendant l’anesthésie.

13) La prémédication standard à atropine a été


abandonnée. Quelles sont ces raisons ?
L’atropine produit l’inhibition de la fonction parasympathique,
donc il y a exacerbation de la fonction orthosympathique, d’où
tachycardie.

14) Malgré l’abandon d’une prémédication


systématique par un anticholinergique, il existe des
circonstances cliniques où le recours à un agent
anticholinergique est exigé ; lesquelles ?
- prévention des réflexes oculocardiaques (chirurgie du
strabisme)
- prévention de la bradycardie pendant l’induction à
l’halothane et au suxaméthonium chez l’enfant.

15) Comment prévenir les réactions d’hypersensibilité


possible au cours de l’anesthésie ?
- inhibition partielle des bloqueurs H1-R : prométhazine
- bloc effectif de H2-R
- associer les 2 types de bloqueurs. Exemple : prométhazine
et cimétidine entraînant prévention d’une éventuelle
histamino-libération

16) Quels sont les avantages de l’atropine sur le


glycopyrrolate ?

17) Pourquoi la solubilité d’un gaz ou d’une vapeur


constitue-t-elle un phénomène important ?
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Le passage d’un gaz ou de vapeur obéit à la loi de solubilité de


gaz et vapeur :Henry (1803). Un gaz peut se dissoudre dans du
liquide et ce phénomène est important parce que les
anesthésiques vapeur et gazeux sont transportés en solution
dans le plasma vers le cerveau et les organes autres où ils sont
en solution dans les tissus fluides des ces organes

18) Quels sont les facteurs intervenant dans la


solubilité d’un gaz ou d’un vapeur anesthésique dans un
fluide ?
Ces facteurs sont :
- la pression partielle de ce gaz en équilibre avec ce fluide
- température ambiante
- la nature du gaz et la nature du fluide

19) Quel est le facteur majeur qui influence la


distribution dans l’organisme d’un gaz ou vapeur anesthésique
en solution ?
- coefficient de partage

20) Quels sont les principes qui régissent la


diffusion d’un fluide dans l’organisme ?
- diffusion de gaz : dans une aire donnée, les molécules d’un
fluide en forte concentration diffuse vers la zone où il y a
faible concentration de ces molécules. Zone à forte diffusion
vers la zone à faible diffusion. Ce mouvement va se
poursuivre jusqu’à ce que le gradient de concentration entre
les secteurs sera nul, d’où phénomène de diffusion, c’est la
conséquence d’un mouvement moléculaire.
- Loi de diffusion de Fick : à température constante, le niveau
de diffusion d’une substance à travers une unité de surface
perpendiculaire au gradient de diffusion est proportionnelle au
gradient de diffusion : Q = D x A x ∆P/d
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21) Citez et définissez les paramètres qui


interviennent dans la pharmacocinétique des anesthésiques
intraveineuses.
- Vd : volume de distribution : Vd = Qtotal - C.
Vd = rapport entre la quantité totale d’un médicament dans le
corps (Q) et la concentration de ce même médicament dans le
sang ou plasma (C)
- Clearance : facteur que régit la physiologie rénale :
créatinine et urée
La clearance d’une drogue en provenance du sang ou plasma :
taux d’élimination par toutes les voies (foie et rein) diviser par
la concentration de la drogue. Cl= E.R/C
- Demi-vie : temps nécessaire à la concentration plasmatique
de baisser de 50%.
- Effet des maladies : les pathologies qui modifient la façon
dont le médicaments sont distribués ou éliminés, vont
influencer la concentration finale qui atteint les récepteurs
- Biotransformation et élimination au niveau du rein, foie

22) Quelles précautions pratiques doivent être prises


en considération par l’anesthésiste en salle d’opération, dans
l’administration des anesthésiques intraveineuses.
La masse du malade est l’élément le plus important pour
déterminer la dose. Le patient doit être pesé avant
l’intervention et son état de santé doit être évalué. Pour des
raisons de pratique si la prise de poids est impossible il faut
estimer de préférence sous-estimer parce que les petites doses
supplémentaires peuvent être administrées au malade qui ne
dort pas. Si le poids est sur-estimé, un surdosage peut se
produire.
Les posologies doivent être revues à la baisse pour les
vieillards, les malades choqués très atteints
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23) Quels sont les signes d’une décurarisation


incomplète ?
- respiration superficielle
- trémulation des bras
- incapacité à lever la tête et à serrer fermement la main

24) Que faire en cas de bradycardie provoquée par la


néostigmine à la fin de l’anesthésie ?
Il faut ajouter l’atropine tout en ne dépassant pas une dose
totale de 3 mg

25) Comment vérifie-t-on le bon fonctionnement des


bouteilles de gaz, des débitmètres et des vaporisateurs ?
Bouteille de gaz :

26) Pourquoi doit-on s’assurer du bon fonctionnement


de la valve expiratoire dans le système Magill (système A de
MAPLESON) ?
La valve expiratoire doit fonctionner facilement et s’ouvrir
facilement pendant l’expiration car si elle ne s’ouvre pas
directement, elle va engendrer des pressions élevées dans les
voies aériennes. Le CO2 va s’accumulé et le travail respiratoire
va augmenté anormalement.

27) Quel est le minimum requis pour la surveillance


peropératoire par monitorage électronique ?
Le minimum requis est :
- enregistrement continue de l’ECG
- évaluation de la concentration de l’oxygène
- mesure de la gazométrie
- ECG indique tout simplement les événements électriques et
non l’état de la circulation, sert à détecter les désordres
électriques et prendre les mesures qui s’imposent.
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28) La présence d’un moniteur électronique


peropératoire n’exclut par la surveillance clinique par
l’anesthésiste. Quels sont ces paramètres cliniques ?
- couleur de la peau
- température
- pulsation
- diurèse
- PVC

29) Quelles sont les cause des artéfacts de l’ECG en


période peropératoire.
- électrode détachée
- mauvais contact entre électrode et le corps
- interférence entre les électrodes
- mauvaise prise terre
- diathermie si l’appareil de l’ECG n’avait pas était construit
suivant les normes de protection.

30) Pourquoi, avant l’induction anesthésique, réalise-


t-on l’administration de l’O2 à 100% ?
L’administration de l’oxygène à 100% à l’aide d’un masque bien
adapter au visage du patient entraîne une augmentation de la
réserve d’oxygène dans la capacité fonctionnelle résiduelle d’un
sujet en bonne santé et dans ces circonstances une apnée ou
une obstruction totale des voies aérienne d’au moins 5 minutes
peut être toléré avant l’apparition de l’hypoxie.

31) Comment assure-t-on la perméabilité des voies


respiratoire au cours de l’anesthésie ?
Le maintient de la perméabilité des voies respiratoire au cours
de l’anesthésie se fait soit par masque soit par de tube
endotrachéal.

32) Pourquoi les dimensions du masque d’anesthésie


sont d’une grande importance ?
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Si le masque est trop large, l’espace mort va entraîner une


accumulation de CO2 surtout chez le tout petit enfant. Si le
masque est trop petit, il ne va pas parfaitement recouvrir le nez
ou la bouche et les anesthésiques inspirées vont être diluées
avec l’air ambiant, aboutissant à une anesthésie superficielle et
imprévisible.

33) Quelles sont les indications d’une intubation


endotrachéale ?
- assurer la perméabilité des voies respiratoires
- maintenir la ventilation quand on a utiliser le myorelaxant
- prévenir l’inhalation des vomissements , du sang ou de tout
autre corps étrangers
- chirurgie du coup et de la tête
- laryngospasme
- diminution de l’espace mort (surtout chez les enfants)
- longue intervention chirurgicale

34) Dans quelles circonstances l’intubation


endotrachéale peut s’avérer très difficile ?
- chez un patient avec un cou cour, musclé ou obèse.
- Chez le patient avec une mâchoires inférieures courtes
- Chez le patient avec une mâchoires supérieures proéminente
et/ou des incisives en protusion
- Chez le malade incapable d’ouvrir la bouche.
- Contracture du cou
- Cou immobile
- Les abcès, les hématomes et les tumeurs du pharynx et du
larynx.

35) Quels sont les stimuli chirurgicaux les plus forts à


éviter au stade léger de l’anesthésie générale ?
- incision de la peau
- dilation anale ou cervicale
- manipulation de foyer de fracture
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- traction du péritoine ou des organe interne


- gonflement de la vessie
- stimulation de la cornée

36) Quels sont les signes d’un niveau d’anesthésie


générale jugé excellent ?
- absence de clignement des yeux
- pupille en myosis et en position centrale
- relâchement des membres et des muscles

37) Pourquoi doit-on réduire la posologie des


barbituriques (comme le thiopental) chez les patients
souffrant de la malnutrition ou de l’insuffisance hépatique ?
On doit réduire la posologie à cause de l’orientation de la
fraction libre active de thipental.

38) Le thiopental provoque une chute de la PA. Dans


quelles maladies intercurrentes, chez un patient devant subir
une intervention chirurgicale, son application est réservée ?
- Défaillance cardiaque
- Lésion valvulaire
- Sclérose aortique
- Tamponnade cardiaque
- Péricardite
- Anémie sévère

39) Le propofol (Déprivan®) offre beaucoup


d’avantages par rapport au thiopental, lesquels ?
- très rapide récupération des fonctions psychomotrices et de
la connaissance après la dose d’induction d’ou son utilisation
en chirurgie ambulatoire.
- A cause de l’absence de l’effet d’accumulation, la drogue
peut être employé en perfusion pour le maintien de l’hypnose
dans la technique de l’anesthésie balancée
- Moins d’excitation
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- Très peu de nausée et vomissement


- Pas des lésions tissulaires en cas d’injection extravasculaire
ou injection intra-artérielle.

40) Quels sont les effets bénéfiques du Midazolam par


rapport aux autres Benzodiazépines ?
- au pH des solutions organiques des modifications se passent
dans la molécule, la rendant liposoluble et lui permettant de
traverser la barrière hématoméningée et de déclencher des
effets cliniques
- du fait qu’il soit soluble dans l’eau le Midazolam n’a pas
besoin d’être préparer dans certains solvant tel que le
propylène-glucol qui provoque la douleur à l’injection et les
complications veineuses
- malgré sa demie-vie relativement courte, l’effet clinique est
plus lent que prévu.

41) Citez une propriété pharmacologique qui


rapproche le bromure de Pancuronium (Paviclon) des
catécholamines.
Il est un sympathicomimétique donc on aura une augmentation
de la TA, du pouls et du débit cardiaque (effet
cardiovasculaire.)

EXAMEN D’ANESTHESIOLOGIE Ière SESSION le 02


Décembre 2009(2007-2008)

1. Quels sont les facteurs qui influencent le niveau du bloc ?


2. Que faire devant un bloc prolongé au suxaméthonium ?
3. Quels sont les examens de routine à réaliser au cours de la
VPA ?
4. Que faire lors qu’on doit induire une anesthésie chez un
patient sous anticoagulants oraux ?
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Anesthésiologie locorégionale (Professeur EKUTSHU)

1.Quels sont les facteurs qui modifient l’action des


anesthésiques locaux ?
- La nature du produit
- Voie d’administration : endroit et technique
d’administration
- La composition de la solution anesthésique (dose, volume,
concentration, vasoconstriction)

2. Quel est l’intérêt cde la dose test ?


 détection du passage de l’aiguille ou plus rarement le
cathéter, dans l’espace sous-arachnoïdien avec risque
de rachianesthésie totale
 détection de la ponction accidentelle par l’aiguille ou un
cathéter d’une veine péridurale.

3. Quelles sont les précautions qu’il faut prendre chez la


femme enceinte si vous faites une rachianesthésie ?
- réduire la dose, - la patiente sera placée en
décubitus latéral gauche, - Eviter la position assise.

4. Quels sont les points de repère de bloc plexique pour les


membres supérieurs selon les principes de Dupré et Danel
- veine jugulaire externe
- bord interne du chef claviculaire du muscle trapèze
- le sommet du triangle de Sédillot formé par les chefs
sternal et claviculaire du muscle sterno-cléido-
mastoïdien et la clavicule.

5. Quelles sont les complications le plus couramment


rencontrées en cas de bloc plexique du membre supérieur
par voie supra claviculaire ?
- le pneumothorax
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- anesthésie du phénique
- anesthésie du stellaire
- ponction vasculaire (aspiration soigneuse et répétée
indispensable)

6. Quel est le point de repère pour pratiquer la


rachianesthésie lombaire?
- la ligne horizontale passant par le milieu de l’espace
inter-épineux, joignant le bord supérieur des deux crêtes
iliaques, qui passe par l’apophyse L4 ou l’espace L4-L5,
pas au dessus de L2-L3, sauf indication particulières
(clinique de la douleur) .

7. Quelles sont les structures qu’on traverse lors d’une


rachianesthésie ?
- épiderme
- derme
- tissus sous-cutanés
- canal rachidien
- espace sous arachnoïdien
- bouton dermique
- segment sus-épineux
- dure-mère
8. citer les complications de la rachianesthésie
HTA, malaise vagal, lombalgie, rétention urinaire, céphalée
persistante, méningite, déficit neurologique (syndrome de
l’artère spinale antérieure)
9. quelle est la différence sur le plan des résultats
en cas d’anesthésie avec la solution cde dupivacaïne
à 0,125 et la solution à 0,5 PR)
- Bupivacaïne 0,25%]bloc sensitil
- Bupivacaïne à 0,5% ]
10. pourquoi faut-il diminuer le volume de produit à
injecter au cours d’une rachianesthésie chez la
femme enceinte ?
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- à cause de la toxicité fœtale, car chez le fœtus le %


de liaison protéique est < à 50% à celle de la mère ce qui
entraîne le risque de toxicité fœtale.
11. peut-on réaliser une rachi en scellé avec un
produit hypobare ? justifiez-vous.
- Rachi en scelle est une anesthésie basse ou
l’innervation basse ; abdomen, membre infér.
Vasomotricité sont présentes
- Non, du fait que les anesthésiques utilisées dans ce
cas sont moins denses que le liquide céphalo-rachidien,
surnageant dans l’espace sous-arachnoïdien dont elles
vont occuper les zones les plus élevées pour une position
donné.
12. Quels sont les éléments qui influencent le
niveau d’une rachianesthésie ?
- la densité de la solution : hyperbare, hypobare, ou
isobare
- l’espace ponctionné : L4-L5 pour une anesthésie du
périnée, L3-L4 pour la chirurgie abdominale basse et celle
des membres inférieurs
- la position du patient durant l’injection et
immédiatement après l’injection. En décubitus dorsal, la
courbure lombaire convexe en avant influence le
cheminement de l’anesthésique.
- La dose d’anesthésie locale injectée (le niveau s’élève
avec l’augmentation de la dose)
- Le barbotage
- Le volume injecté
- La vitesse d’injection
- La taille du sujet
13. Quelles sont les contre indications d’une
rachianesthésie ? justifie votre réponse.
- hypovolémie
- affections démyélinisantes de la moelle et des nerfs
périphérique,
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- malformation vertébrale, patient céphalalgiques,


- sujets jeunes (sauf prématurés)
14. Quelles sont les circonstances d’apparition de
rachianesthésie totale
15. Conduite à tenir devant une rachianesthésie
total ?
16. Citer 4 circonstances d’affection pouvant
compromettre l’état de l’enfant à la naissance (l’état
de mort apparente)
- hernie diaphragmatique
- incompatibilité foeto-maternel
- obstruction des voies respiratoire
- prématurité
17. Qu’est ce que la Réanimation ?
- ensemble des moyens mis en œuvre pour la
diagnostique et le traitement des situation aigue
médicales, chirurgicale ou traumatique faisant courir un
risque vital à court et moyen terme.
18. Qu’est-ce que l’anesthésie locale et
locorégionale
- anesthésie locale : absence de toute sensation sur un
site donné de l’organisme
- anesthésie locorégional : absence de toute sensation
sur toute une région du corps
19. combien des sortes des techniques connaissez
vous ?
3 (trois) sortes de technique
- anesthésie de surface
- anesthésie par infiltration
- anesthésie par conduction
20. comment expliquez-vous la survenue des
convulsions en cas d’une anesthésie locale ou
locorégionale ?
- Les anesthésiques locaux traversent la BHM et cela à
des doses moyennes entraînant ainsi une stimulation
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diffuse, par dépression des mécanismes


- centraux d’inhibition au niveau du SNC et cela ]
convulsion
21. Pourquoi faut-il préparer les matériels pour une
anesthésie générale au cours d’une anesthésie
locale ou locorégionale ?
Pour prévenir un échec en cas d’anesthésie loco-régionale
et/ou prévenir une complication éventuelle.
22. Citer 2 grands groupe des anesthésiques locaux,
un exemple pour chaque groupe
- groupe ester : Dibucaïne, procaïne, tétracaïne
- groupe amide : lidocaïne, bupivacaïne, étidocaïne,
Mépivacaïne.
23. Quels sont les adjuvants des anesthésiques
locaux ?
Epinéphrine (adrénaline), Ephédrine, La clonidine, les
dérivées morphiniques tels que fentanyl et la morphine
24. pourquoi la pression artérielle doit-elle chuter
en cas d’une anesthésie médullaire ?
- la paralysie des nerfs sympathique qui provoque
l’élargissement du lit vasculaire (vasoplégie) avec baisse
de la pression artérielle
25. Comment s’assurer après intubation que la
sonde trachéale est bien en place ?
- Vérifier que la sonde d’intubation est en place : à
chaque insufflation le thorax se soulève symétriquement
et à l’auscultation de l’hémithorax droit, puis gauche, on
entend le passage du gaz insufflé. Aucun bruit aérique
n’est constaté à l’auscultation de l’épigastre.
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SANTE PUBLIQUE

Professeur MUNYANGA
1. objectifs de l’organisation des services de santé
et médecine communautaire : organiser les services de santé
en RDC, gérer rationnellement la santé des communautés.

2. Définir :
Management : c’est l’art et la science d’organiser au mieux les
ressources, les moyens dont on dispose pour atteindre les
objectifs d’une organisation noble, pour atteindre le bien être
de la population.
Ex de ressources : hôpital, véhicule
C’est donc la science et l’art d’appliquer les principes et
méthodes qui sont reconnus comme des facteurs d’efficacité
(les facteurs pour atteindre ces objectifs). C’est une sciences ds
laquelle les principes sont connus et qu’il faut appliquer pr
atteindre les objectifs qu’on s’est assignés.

Gestion : c’est un processus qui consiste en activité de


planification, d’organisation, d’impulsion, de contrôle des
ressources et des moyens.

Manager : c’est une personne (à engager pour gérer toutes les


ressources et suivre la survie de l’organisation de son
environnement en tenant compte des menaces de
l’environnement et en veillant sur l’opportunité du
management.

Gestionnaire : c’est celui qui maîtrise la gestion des


ressources, il doit savoir donc bien gérer (ressources
financières, informationnelles & comptabilité).
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Administrateur : celui qui exécute un projet ou programme


tel que écrit, il applique un projet peu importe l’environnement
et les ressources. Il doit savoir mobiliser ses ressources.

Planifier : décider aujourd’hui de ce qui doit se faire demain


pour éviter les surprises désagréables et aussi piloter l’avenir.

Médecine communautaire : selon ROEMER : définit comme


une forme de médecine orientée plutôt vers la prévention et le
traitement des affection banales, alors que les affections
compliquées sont du ressort de l’hôpital

Le service de santé de base : réseau d’établissement


sanitaire hiérarchisé à partir du même central, intermédiaire,
périphérique. Ces établissements sont tenus par des personnes
compétentes capables à amener l’institution à atteindre les
objectifs de santé pour tous.

Urgence : situation brusque qui perturbe le mode de vie d’une


population.
Catastrophe : événement qui survient et perdure
profondément le mode de vie d’une population

Désastre : catastrophe naturelle ou crée par l’homme

Réfugié : toute personne qui, suite à une perturbation de


mode de vie est obligée de fuir et d’aller habiter en dehors des
frontières de son pays

Déplacé : toute personne qui suite à une perturbation est


obligé de changer de logis et de s’installer ds 1 endroit par
rapport à l’endroit où il était .

Sinistre : toute personne frappé par 1 catastrophe avec impact


négatif sur la santé.
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Zone de santé : est une structure de planification des activité


de santé

3.donner les gpes qui constituent les moyens des ressources :


· ressources humaines
- professionnels de santé : médecins, infirmier
- non-professionnel : personne travaillant ds le secteur
hospitalier. Ex : chauffeur, nettoyeur, sentinelle de
l’hôpital
· ressources matérielles : équipement, véhicules,
instrument…
· ressources financières : argent
· ressources informationnelles : Internet
· ressources non renouvelables : temps

4.donnez et expliquez les 10 rôle d’un manager :


1) le manager est symbole : il représente et reflète
l’institution.
2) Le manager est un leader : il donne la direction d’une
organisation.
3) Il est un agent de liaison sur la ligne hiérarchique : il
doit transmettre les décision du sommet stratégique au
niveau d’opération (centre d’exécution)
4) Il est un observateur : il doit rechercher activement
les information pour prendre des décisions utiles.
5) Il est un diffuseur : il diffuse les valeurs de
l’organisation de l’institution
6) Il est un porte-parole : il peut parler au nom de
l’organisation
7) Il est un entrepreneur : il prend des risques pour le
bien être de l’organisation
8) Il est un régulateur : il trouve des solutions ds des
situation des conflits.
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9) Il est un répartiteur des ressources : il affecte les


différentes ressources
10)Il est un négociateur : il peut négocier un problème, des
opportunités, des menaces pour l’organisation.

5. objectif d’un centre de santé : est de donner les soins


curatifs, soins préventifs, soins promotionnels, soins de
réhabilitation.

6. objectifs de l’hôpital général de référence : donner les


soins de référence et de qualité : chirurgie, médecine interne,
gynéco-obstrétrique, pédiatrie ds une zone de santé, il existe
une planification (contrôle d’une organisation et une direction.
Ici les paramètres de la gestion et les 10 rôles du manager
sont applicables.

7. évolution historique du management : jadis, était gérée par


les lois de l’église, des coutumes, de tâtonnement, après la
révolution française, ce fut la théorie de la gestion et
management scientifique (TAYLOR : 1856-1915) qu’à prévalue
pr TAYLOR ; il faut une gestion scientifique ds institution se
basant sur 4 principes
1) il doit y avoir une analyse des tâches pr chq personne
travaillant ds une institution
2) la selection des pers qui doivent travailler ds une
institution sur une base des tâches analysées
3) collaboration entre directeur et travailleurs, bonne
communication entre sommet stratégique et centre
opérationnel
4) répartition des responsabilités entre employeur et
employés

8. Elément d’une organisation : 5 éléments


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1) sommet stratégique (médecin directeur) : il confond


à la constitution de la politique de l’organisation (conception
des directives et des stratégies de l’organisation.
2) Ligne hiérarchique : elle transmet les informations du
sommet hiérarchique vers le centre opérationnel et vice
versa
3) Centre opérationnel : exécute la politique, les
directives de l’organisation
4) Technostructure : elle joue le rôle d’expertise pour
appuyer le sommet stratégiques (=unité de planification)
5) Unité de support logistique : véhicules pour
déplacement

9.Sources des pouvoirs


Sources légitime : autorité (=pouvoir d’influencer l’autre à
œuvrer pour l’institution)
Pouvoir de compétence= éducation
Source de gratification=pouvoir d’autorité
Pouvoir de coercition=pouvoir de punition
Source d’identification

10. Conflits dans une organisation : sont des querelles qui


naissent soit (e) les personnes soit (e) les gpes ou personnes
ds une institution
Conflits fxnnel : n’handicape pas le fxtionnement de
l’institution. On peut le gérer
Conflitr dysfonctionnels : ils entravent le bon fxnnement
d’une institution, il faut trouver une solution.

11. causes des conflits


- ressources matérielles
- autour des objectifs
- conflit d’idéologie
- interdépendance
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- conflit de compétence, lorsque les attributions ne sont


pas claire et existence d’unité de commandement
- conflit pour 1 communication défaillante

12. Evolution des conflits


- apparition de la crise
- amplification de la crise
- confrontation
- rebondissement de la crise

13. comment résoudre une crise ?


- déterminer la nature ou la cause du conflit
- ouvrir le dialogue
- écouter attentivement les 2 belligérants
- trouver des solutions avantageuses pour les 2
personnes
- après mesures de rapprochement, faire la stratégie
d’écartement.

14. citez les étapes d’une planification opérationnelle


- identification des problèmes
- détermination des priorités
- fixation des objectifs
- élaboration des stratégies
- identification des activités
- détermination des ressources

15. Que vise la planification opérationnelle ?


Vise à bien gérer les ressources et à changer les orientations
d’une organisation dans l’avenir.

16. Dans la Médecine communautaire de quoi s’occupe ?


L’échelon périphérique :
- la prévention (pour les personnes à risque)
- la promotion
Batologie 2ème doctorat 24
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- les soins ambulatoires


L’échelon intermédiaire : joue le rôle d’administration
(=management), d’hospitalisation et de recyclage (des
infirmiers et des secouriste,…)

17. Quel est l’objectif et but de la politique sanitaire en RDC ;


santé pour tous au 21ème siècle
Tout congolais doit mener une vie socialement et
économiquement productive.

18. Problème prioritaire à résoudre en RDC


- problèmes de morbidité : VIH, TBC, malaria (maladie
prioritaire), maladies infantiles.
- Mortalité infantile (91% meurent avant 1 an) et
maternelle (taux de mortalité maternelle en RDC : 1800 à
2000 femme sur 100.000 femmes qui meurent au cours
de leurs accouchement : manque des services de santé de
qualité
- Réduction de l’espérance de vie à cause du sida, de la
pauvreté.

19. causes de ces 3 problèmes :


- ignorance on manque de connaissance
- pratique et attitude peu favorables à la bonne santé
- mauvaise gouvernance
- fuite des cerveaux
- urbanisation
- guerres, conflits et catastrophes.

20. Quelles les actions à mener pour lutter contre ces


3 problèmes ?
- lutte contre les maladies
- lutte contre la mortalité infantile en redynamisant les
activités des CPS, de vaccination, de gérer des enfants
- lutte contre la mortalité maternelle
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- aider les gens à dvper des réponses rapides aux


conflits, catastrophe et guerre

21. Principes de la politique sanitaire


- la santé est un droit et non pas une faveur
- la solidarité
- offrir des soins de santé de qualité qui soignent la
douleur et donnent satisfaction à la personne. Donc les
soins de santé doivent être efficace, efficient et réalisés
par les personnels de santé qui ont 1 formation solide et 1
expérience. En outre il faut avoir : les équipement
appropriés, les bonnes relation (e) les pers. Humaine :
médecin et malades, continuité et la globalité des soins de
santé.

22. Organisation du ministère de la santé : 3 niveaux


- le ministre : exécuté la politique du gouvernement
- le secrétaire général : coordonne les activités du
ministère.
- Les directions notamment :
1) la direction des services généraux
2) direction des hôpitaux
3) direction des gestions des médicaments et
labo
4) direction de l’équipement
5) direction des soins de santé 1aire
6) direction de l’enseignement médical
7) direction de l’étude et planification
8) programmes spécialisés qui collaborent avec
les directions
9) services spécialisés ; INRB, labo
10) santé en milieu rural (SARO)

23. Gestion du cycle de la vie par le MC


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1) Etape préconceptionnelle : on établit les besoins et


les risque à éviter :
Les besoins sont : - besoin d’ê désiré, - les procréateurs
doivent ê en bonne santé, - les procréateurs doivent être
informés sur ce qu’il doivent faire, - besoin des ressources en
vue de prendre des décision adéquates
Les risques sont : l’interruption de grossesse, - les maladies
génétiques, - les maladies congénitales, - grossesse à risque.
Les interventions : - promouvoir la santé de la reproduction
pour amener au niveau le + élevé la santé de 2 procréateur, -
assurer la formation et l’information de futurs procréateurs, -
promouvoir les examens prénuptiaux : VIH, Santé mentale,…
2) Etape fœtale (ou prénatale)
Besoins cdt° familiale (physique et psychologique)
Selon MASLOW
- besoin primaire : manger, boire, habitation
- besoin de sécurité : travail qui donne un salaire, des
sentinelles, affiliation aux services de sécurité
- besoin de socialisation : le pers doit appartenir à 1
gpe
- besoin d’auto-detrmination : besoin de lutter contre la
maladie, promouvoir la paix, faire de bien à l’autre
- accès aux soins de santé de qualité
Risques : cfr étape préconceptionnelle
Interventions essentielles : MAP des services de santé de
qualité
3) période périnatale
Besoin : maternité sans risque, - accouchement sans
complication, - surveillance post-partale
Risques : mortalité maternelle et infantile, - complication de la
grossesse
Intervention : appliquer le programme de maternité sans
risque, - améliorer la qualité des soins péri et post-nataux, -
favoriser la solidarité entre les habitant, organiser les
transfert : détecter les cas difficiles pr le référer.
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4) période infantile
Besoins : - Xce normale et dvpt de l’enfant, - protection contre
les infection.
Risque : mortalité infantile
Intervention : améliorer l’éducation de la mère, - améliorer la
qualité des soins à donner aux enfants, pesée des enfants, -
faire le plaidoyer pr reconnaître les droits des enfants, -
protéger les enfants en situation difficile shegué, enfant sorciers

5) période d’adolescence
Besoins : nutrition, affection, découvrir le monde,- recherche
l’expérience, affirmation de leur personnalité
Risque : IST et VIH/SIDA, - grossesse précoce, usage d’alcool,
des drogues, de tabac, -déviation sexuelle : homosexualité, -
délinquance juvénile, -accident de circulation.
Intervention : information et orientation de la jeunesse
Redynamiser le service de santé scolaire et surveillance
Séance d’éducation à la vie de la jeunesse.

6) période adulte
Besoin : femme : sécurité pr éviter les conséquence de la
grossesse. Homme : emploi pr soutenir la famille
Risque : chômage, accident de travail, maladie
professionnelles, + maternelle
Intervention : femme : santé de la reproduction et maternité
sans risque. Homme : reclasser le malade, rééduquer le
malade, indemniser le malade.

7) Période de 3ème âge


Problème : vieillissement, fragilité biologique, maladie
chronique invalidante, perte de la capacité productive.
Besoin : affection, service de dépistage et TTT précoce des
maladie invalidantes
Intervention : les soutenir sur le plan psychologique, surtout
les aider par 1 source de revenu (argent)
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24. classification des situation d’urgence et catastrophe.


a) catastrophe naturelles : 1° les épidémie, 2°
catastrophe de nature géophysique : éruption volcanique,
tremblement de terre, 3° catastrophe
hydrométéorologiques : ouragan, cyclone, tempête,
typhon, inondation, érosion.
b) Catastrophe d’origine humaine : accident et guerre :
sur le plan opérationnel, on parle de catastrophe aigue :
perturbation brusque de la relation (e) la communauté et
l’homme. Catastrophe chronique : qd la détérioration
est lente.

25. les phases d’une catastrophe


- phase précatastrophique : un facteur de risque qui
prédispose à un risque de catastrophe
- phase de catastrophe proprement dite : il y a
réellement perturbation du mode de vie avec impact
négatif sur la santé.
- Phase post-catastrophe.

26. Plan de contingence (ce qu’il faut lorsqu’un catastrophe


arrive.
- procéder au ramassage des blessées, donner la
priorité aux cas moins graves, puis après, puis après aux
cas + graves
- besoin de la médecine curative
- évacuation des déchets liquides
- fourniture en vivre
- besoin des abris

Objectifs poursuivis : -réduire les conséquences de la


catastrophe, - identifier les besoins et les ressources
nécessaires, - faciliter l’obtention des fonds, - permettre une
bonne coordination de l’intervention.
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Les stratégies : - multisectorialité, - partenariat, plaidoyer ou


négocier, on doit agir, convaincre qlq’un pr vous donner
quelque chose.

Activités : mettre en place un comité de coordination des


activités (généralement composé d’1 médecin et d’1
leadership).
Le comité de coordination est composé de :
- 1 médecin
- la police
- le ministre
- le représentants de l’ONU(OMS, PNUD)
Ressources : eau ; système d’évacuation des excrétas

27. Catastrophes passées en RDC


1. Accident de TIP-K
2. Eruption volcanique de NIRAGONGO
3. Séisme à Kabalo
4. Conflits kasaïen-Katangais
5. Explosion à l’aéroport de Ndjili

TIP-K : stratégie et activités


Phase post-catastrophique :
1) arriver sur place avant que le policier n’arrive, utiliser
les jeunes gens pour faire appel à la police. Ex. le
S/commissariat le plus proche
2) organiser un comité
3) mobiliser les ressources
4) communiquer à tous les chirurgiens des hôpitaux
5) réunir tous les médecins là où on va réunir les
malades
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28. Phase précatastrophique :


- Pour TIP-K : le fait qu’il ya avait un marché autour de
l’aérodrome et le manque d’entretien des avions
constituent une phase précatastrophique
- Pour NIRAGONGO : signes prémonitoires signant une
éruption volcanique. CAT : orienter la population pour
chercher refuge ailleurs.
- Idem pour 3, 4 et 5

PROFESSEUR KASHALA

Le management : c’est un processus par lequel ; on met en


place un ensemble des structures devant amener à l’obtention
des résultat.

Les structures organisationnelles : c’est ensemble des éléments


qui comprend cette organisation dont les moyens financiers,
les hommes, les machines. Comparons la gestion à une
digestion càd décomposer les aliments pour le rendre un
nutriment pour le rendre assimilable.

Rôle de gestionnaire : a pour rôle de fixer les objectifs de


rassemble et mobiliser les ressources pour parvenir au résultat
recherché dans le limite de temps, dépense d’énergie et de
coût strictement définis à la longue.

Un manager c’est un monsieur qui n’opère pas dans les a peu


près. Le gestionnaire a besoin de :
- matières
- monnaie
- man power
- machine
- méthode
- marché
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Matière : il faut que le résultat obtenus soit vendable. Le


marche constitue un élts sur lequel le gestionnaire se base.
Cette structure de marché sera secondée par des méthodes.

Machine : aide les hoes à mieux évoluer ds leur projet


+ rapides.

Man power : l’hoe est l’élt d’une organisation, l’hoe est le 1er
gestionnaire pour obtenir le résultat. Lorsque cet hoe suit la
logique et participe effectivement, on obtient un bon résultat.

Monnaie : sans argent on ne peut rien faire

Pourquoi étudier la gestion : la gestion doit être considérer


comme une activité ayant pr but la coordination des effort en
combinant les événements isolés et épars en relation. La
profession médicale s’exerce ds un environnement où il y a
d’autre personne d’où il faut appliquer le management. Le
gestionnaire ne pas arriver aux résultats s’il ne considère pas
les relation existant () les 6 M donc la gestion exige l’efficacité
et efficience.

EFFICACITE : lorsqu’on parle de l’efficacité, on voit le résultat


qu’on peut obtenir en tenant compte d’une efficience.

EFFICIENCE : lorqu’on parle de l’efficience, on voit


essentiellement le rendement donc le gestionnaire edst celui
qui vise le résultat (efficacité avec un meilleur
prix)(rdt=efficience)

La gestion est un art qui nous amène à la variabilité biologique


mais nous naissons gestionnaire car ce qu’on fait chq jrs c’est
la gestion. Lorsqu’on perfectionne cette gestion, elle devient
une science. La gestion est un art car l’hoe est doté d’un
jugement (bon et mauvais). La gestion comme science évoque
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un certain nombre des principes dotés par certaines écoles


notamment 3 écoles à partir de MBA (Master Business
administration).
1. Ecole de management scientifique
2. école de l’administration gnle
3. école de relation humaine.
1. Ecole de management scientifique
Lancée par un ingénieur mécanicien FREDERIC TAYLOR qui a
mis l’accent sur la mécanique de la gestion. Il s’est basé sur la
mesure du temps du travail ; les 2 mvts clésx de gestionnaire
Efficacité et Efficience
Ex : Pr traiter la malaria on utilise actuellement bcp de
molécules ayant différents prix : fansidar 800 fc malaxin 1000,
quinine 300, chloroquine 150. En comparant le prix, on
applique la théorie de toute chose étant égale par ailleurs car
ces différents produit nous de résultat.

Selon JONATHAN SWIFT : celui qui fait poussé des touffes


d’herbe là où il n’en poussait seul, celui là à mieux mérité de
gérer un humain que n’importe quel philosophe spectaculaire
ou constructeur de système métaphysaire

2. Ecole de management scientifique : Frédéric TAYLOR


s’est basé sur 4 choses
- mesure du temps de travail
- suppression des gestes inutiles
- notion du temps de repos
- notion de prime au rendement

Mesure du temps de travail : ungestionnaire doit mettre en tête


qu’il existe 2 gpes des gens : DOUE ET NON DOUE.
Le DOUE : est celui qui utilise moins de temps par rapport au
non doué pr accomplir sa tâche.
Le doué (optimiste) et le non doué (pessimiste) dc c’est à partir
de ces 2 gpês qu’on parvient à déterminer le temps optimum.
Batologie 2ème doctorat 33
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Suppression des gestes initiale


Nous permet de ne plus se fatiguer rapidement et permettra un
bon rendement.

Temps de Repos : il faut prendre un repos pour se reconstituer


et pour faire un rdt meilleur.

Notion de prime : a tout travail correspond un salaire. Qd il ya


prime = un bon rendement

3. Ecole d’administration générale : elle a été conçue par


HENRY FAYOL. Il définit 5 infinitifs
- prévoir
- organiser
- commander
- coordonner
- contrôler

Le gestionnaire est celui qui sait prévoir, organiser,


commander, coordonner, contrôler.
Prévoir : (=prévision)=planifier : un gestionnaire est celui qui
sait déterminer les résultat à obtenir. Actuellement le mot est
remplacer par planifier (planning)
Organiser : (=organisation) : il faut mettre en place les 6M pr
ne pas manquer le nécessaire pr aboutir au résultat.

Coordonner : le gestionnaire doit faire en sorte que les


gens (ressources humaines) travaillent en harmonie

Contrôler : le gestionnaire doit contrôler ce qui a été fait par


rapport au résultat obtenu.

Selon FAYOL, un bon gestionnaire doit avoir les qualités d’ordre


physique, intellectuelle, morale
Batologie 2ème doctorat 34
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Physique : le manager doit avoir bonne santé et une certaines


vigueurs
Intellectuel : le manager doit avoir la capacité de faire le
jugement convenable et l’aptitude à apprendre càd de la
souplesse intellectuelle.
Morale : le manager doit le courage d’accepter les
responsabilités, les assurées et se montrer digne et avoir un
tact.
Formative : le manager doit avoir une culture gnle
Tech : il doit avoir une technicité.

4. Ecole relation humaine


Elle a été lancée par un Australien ELTON MAYO. A dit qu’il faut
mettre les gens ds des conditions humaines qui ne feront pas
qu’il y ait des conflits entr’eux. Donc une entreprise il faut
pouvoir dvpper un atmosph propice à la production et tenir
compte des relations qui doivent exister entre le protagoniste.

B. GESTION COMME ART


Au-delà des pcpes scientifique, il ya des considération liées à
l’institution du manager. Certains disent que la gestion est un
art (85%) et science (15%). Le gestionnaire doit créer un
climat où les gens se sentent à l’aise. Ds la gestion coe Art, on
parle davantage de Leader ship dc le gestionnaire est un leader
càd un hoe qui doit conduire les hoes pr obtenir les résultat
mais d’autres disent que le leader est celui qui rend les hoe des
responsables au chgt. Le leader est celui qui fait exécuter en
chef et fait des chefs de véritable agents de chgt.
NB : ds cet art de diriger, il y a 2 auteurs WARREN BENNIS ET
BURT NANNUS qui ont écrits un livre intitulé « Diriger les
meilleurs secrets » ds lequel ils dénoncent 4 domaines de
compétence nécessaire pr tout leader parmi lesquels :
- ralliement par la vision
- transmission du vouloir dire
- confiance par le positionnement
Batologie 2ème doctorat 35
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- autodeploiement par l’auto-image positive.


Selon ces deux auteurs, ces 4 domaines concernent
essentiellement les aptitudes aux rélations interpersonnelles :
savoir faire, savoir être et le faire .savoir .

1. Ralliement par la vision :


Le leader doit avoir une vision , le ralliement par vision, dc il
faut qu’il y ait les adeptes qui doivent se rallier à la vision de
leader. Martin L King.

2. Transmission du vouloir dire :


Càd qd vous avez une vision et que vous êtes convaincu de
cette vision, il faut la transmettre aux membres de l’entreprise
pr discuter et trouver un même point de vue. Bref la
transmission du vouloir dire doit amener à 1 communauté de
vue et une communauté de compréhension qu’abouti au
ralliement.

3. Confiance par position


La confiance implique la responsabilité, la constance, la fiabilité
et le crédibilité. La crédibilité répond aux exigences suivantes :
- ce que les gens pensent de vous
- ce que les gens veulent

4. Autodvpt par autoimage positif


Si vous vibrez plus ds votre entreprise vous recevez des
réponses positive. Pour un manager ceci veut dire que qd vous
avez une idée et que vous voulez la défendre, il faut la
considérer coe meilleur et chercher en assurer la défense et en
être convaincu.
On a un effet Wallenda ds l’autodvpt par autoimage posit.
Wallenda était un américain vivant à Newyork mais sa passion
était le Funambule (sport de l’équilibre à de haute distance.
Mais +tard il a commencé à douter sur ses compétences et il a
trouvé des raisons sur poteaux. Wallenda finit par conclure que
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le doute est un ennemi qu’il faut combattre ds la réalisation


d’une entreprise. Sur ce le gestionnaire doit avoir la sagesse
émotionnelle faire montrer la compétence qui st de 5 ordres :
1) savoir prendre les gens pr ceux qu’ils sont et non ce que
vous voulez qu’ils soient.
2) Savoir aborder les relations et les problèmes en
s’attachant plus au présent qu’au passer.
3) Savoir porter à ceux qui st proches là même, attention
courtoise qu’à des étrangers et des connaissance.
4) Savoir faire confiance aux autres même si le risque paraît
grand et bannir la suspicion
5) Savoir agir sans l’approbation contraire ni la
reconnaissance des autres.

Le plan est le résultat d’un processus de planification. La


planification prend naissance ds les besoins et moyens qui st
les votre
N.B les besoins de planification sont ILLIMITES et moyens
sont LIMITES. Ds cet environnement interne et exter il ya des
forces et les faiblesses mais le comportement stratégique
voulait arriver à ce que les faiblesse soient anéanti. La base
doit exécuter les décisions qui ont été prise par le sommet. La
base doit planifier les opérations = planification opérationnelles.
Au niveau intermédiaire on a la planification tactique.
Selon le niveau où l’on se trouve la planification se fait sur un
temps determiné.
Au sommet ==== décision à long terme (5ans) au niveau
intermédiaire===décision à moyen terme (3 ans)
au niveau de la base ==== décision à court terme (1an)

Planification sanitaire

L’OMS a introduit le documents = processus de gestion


(processus gestionnel qui évalue les indicateurs de santé. Les
raison que l’OMS a évoquées sont de 2 ordres : 1) la
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planification sanitaire permet d’ajuster les moyens aux fins de


detreminer les priorités, de n’est pas s’embarquer ds des
programmes longs qui risqueraient d’être interrompus en cours
de route, de rationaliser les services de santé pour en révéler
l’éfficacixté et l’efficiensce. 2) la planification sanitaire doit être
intégrer à la planification socio-économique générale.

Les approches de la planification sanitaire sont aux nombre de


3:
1) Planification sanitaire se caractérise par les objectifs qui
sont définis en terme d’unité de service. Ces objectifs
traduisent d’une part la disponibilité de service de santé et
d’autre part l’utilisation de ses services.
2) Planification sanitaire vise l’amélioration de la santé.
3) Planification sanitaire vise l’utilisation rationnelle du
service disponible.

SPPB : système de planification de programme budgétaire : a


été lancé par monsieur Mac NAMARA qui est parti d’un constat
de la disponibilisation des budget=== plan=== programme
pour une année déterminée, mais avec une telle procédure on
est bloqué ds nos plans et nos programmes par la qté d’argent
disponible. De ce fait Mac NAMARA n’a pas était d’accord pour
un tel type de fxment pdt une année car ceci empêche le
dvpment sectoriel. Il a voulu une vision en long terme traduite
par les plans lesquels à leur tour sont traduits par les
programmes en fonction desquelles on aura voter un budget.

En quoi consiste le PPBS ?


1) Planification
2) Programmation
3) Budgetisation
4) Système

Planification
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C’est une activité de prise des décisions en ce qui concerne :


- objectifs de l’organisation
- changement de ses objectifs
- ressources nécessaires
- politique relative à l’acquisition, à l’utilisation et à la
mise à la disposition de ces ressources
le planificateur va se faire aider par un certain nombre de
techniques :
- analyse des systèmes
- recherche opérationnelle

programmation : c’est la traduction des ressources ds le


programme exécuté

budgétisation : on les étends sous-forme de ressources à


utiliser ds un temps fixe

Système :

2. rationalisation de choix de budget : a mis au point


1) analyse de objectifs
2) analyse des moyens
3) relation entre moyens et objectifs
4) mise au point de programmes alternatifs
5) évaluation des moyens nécessaires
6) prise des décisions
7) exécution de la décision
8) contrôle

3. CENDES-PAHO : ( centre des études de dvpt)


l’école américaine à mis au point des critères pour la
détermination des priorités qui sont au nbre de 4 :
1) ampleur du problème (Magnitude) M
2) vulnérabilité : V
3) transcendance (importance) : I
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4) coût : C
ces 4 cfritères découlent d’une formule
P=f(M x V x I)/C

1. ampleur du problème : c’est l’approche épidémiologique


qui pourra être traduite par la fréquence et l’incidence. C’est
cette fréquence qui doit préoccuper la planification.
2. vulnérabilité : qd on parle de vulnérabilité on se met du
côté des moyens dont on dispose pr résoudre les problème
3. transcendance : c’est l’importance que la population
accorde aux problème
4. le coût :

4.Méthode de PERT

elle permet au gestionnaire :


- de suivre cette évolution (évaluation)
- de revoir les programme établis (révision)
NB : il y a 2 gdes catégories des méthodes de PERT
1° méthode en diagramme
2° Méthode en réseau

L’établissement de diagramme de GANT permet de suivre les


activités qui se sont déroulées ds 1 moment précis. Ce
diagramme ne permet pas de voir l’antériorité et la postériorité
des activité càd il n’y pas des relation de l’interdépendance. Ds
cette relation subséquente et les relations antéséquentes qui ne
peuvent être représenter ds un diagramme, d’où il faut le
représenter ds un réseau. Ds l’établissement du réseau il y a le
chose la plus fondamentale appelée activités critiques=activités
pr lesquelles le temps de réalisation doit être calculer. La notion
de l’activité critique tient compte de ce qu’on appelle le temps
de réalisation. Ds la réalisation d’une activité il ya ce qu’on
appelle temps pessimiste et temps optimiste (temps prenant le
moins de temps) dt la différence donne le temps moyen.
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Entre les 2 temps il ya ce qu’on appelle le battement ou


flottement ; négatif ou positif
(négatif) implique la situation critique qui risque de mettre en
difficulté la réalisation des projets.
(positif) le gestionnaire doit être toujours entouré de flottement
positif pour ne pas être surpris.
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CHIRURGIE SPECIALE
Professeur MUTOMBO DA PUNGU

1. Cal vicieux :
a) définition et traitement préventif ?
Déf : est un cal mal formé soit par excès d’os nouveau (volume
excessif) c’est le cal exubérant ou hypertrophique, soit par
orientation défectueuse.
Traitement préventif : la nécessité d’un traitement initial
correct du fracture

b) cals vicieux diaphysaires ? (classification,


conséquences fonctionnelles pour chaque type)
le cal vicieux angulaire : réalise diverse déformation : valgus,
varus, recurvatum ou flexum
csqce fxnelle :
Membre supérieur : minime sauf lorsqu’il siège au niveau de
l’avant bras ou elle peuvent géner la prono-suppination
Membre inférieur : - ils peuvent rompre les axes mécaniques de
fxnement des articulation sus et sou-jacentes. – ils causent des
douleurs et ménancent les articulation d’une arthrose
ultérieures.

Le cals vicieux en décalage : perturbent l’axe mécanique du


membre inf. ainsi que la marche et se complique d’une arthrose
future, aux membres supérieurs ils gênent la prono-suppination

Le recurvatum : très nocif aux membres inférieur. Celui de la


jambe retentie sur la cheville, celui du fémur sur les 3
articulations principales du membre inf.

Les cals vicieux en chevauchement : entraînent un


raccourcissement du membre concernés et une inégalité de
membre. Aux membres inf. il retenti sur les articulations avec
boiterie à la marche.
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Le cal vicieux en baïonnette : qui préservent l’axe de membre


sont sans conséquence.

2. Maladie de Legg Purthes Calve : mécanisme, biologie,


évolution radiologique au stade initial, traitement ?
Mécanisme : elle survient par la nécrose du noyau céphalique
du fémur.
Radiologie initial : interligne articulaire est élargie, le
métaphyse est déminéralisée et à la zone polaire supérieure de
l’atteinte, on voit quelque érosion.
Traitement : mettre la tête fémorale en décharge afin d’éviter
les déformations et permettre le remaniement osseux
harmonieux.

3. Résection articulaire simple. C’est quoi ? quelles sont les


indications ?
Est le fait de retrancher une de deux épiphyses laissant une
articulation ballante
Indication : Epiphyse très usée, ankylose épiphysaire.

4. Que savez-vous des orthèses et des prothèses externes


et quelles sont les indications de prescription ?
Orthèse : sont des appareils en matériel métallique relié aux
membres ou rachis pour bloquer les mouvements inopportuns
(membre) soit corriger les mouvements (rachis)
Indication : en cas des mouvement anormaux, scoliose
Prothèses externe : sont des appareil fabriqués en cuire ou
matériel plastique qui permettent de remplacé tout un membre
qui fait défaut.

5. Testing musculaire : cotation, intérêt de cet examen


Cotation : elle se fait suivant le code internationale de Merlin
Mines de 0 – 5
Cote 0 : aucune contraction
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Cote 1 : ébauche de contraction sans mouvement


Cote 2 : contraction visible ne s’opposant ni à la pesanteur, ni à
la résistance.
Cote 4 : contraction diminue mais s’opposant à la pesanteur et
à la résistance
Cote 5 : contraction normale
Intérêt : permet de suivre l’évolution d’une affection
neurologique et le progrès de la rééducation.

6. Exostose : complication, signe radiologique et traitement


Complication : déformation du membre par le retard de
croissance du cartilage atteint. Luxation de l’articulation
voisine.
Radiologie : - au début une ombre paraosseuse contenant des
calcifications.
- exostose mature sous forme d’une excroissance implanté sur
l’os de forme sessile ou pédiculé avec les aspect suivant :
spicule, crochet, baguette, porte-menteau.
Traitement : - exérèse chirurgicale large et totale de toute
exostose arrivée à maturité.
- exérèse également de toute exostose volumineuse,
douloureuse, gênante et qui croit rapidement car risque d’une
transformation maligne.
- Exostoses multiples : réséquer celles qui germent.
Complication : bursite, fracture, accident de compression
nerveuse ou vasculaire, accrochage d’un tendon,
dégénérescence sarcomateux, déformation du membre, retard
de croissance de l’enfant, luxation de l’articulation voisine et
une arthrite.

7. Dystrophie embryopathie : étiopathogénie.


Défaut d’un membre ou une partie du membre, anomalie par
excès (doigt surnuméraire)
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8. mouvements anormaux. Qu’entendez vous par là ? que


traduisent –t-ils ? quelles articulations sont les plus concernées.
Mvts anormaux : sont des Mvts qui surviennent à l’occasion
d’une rupture de ligament de soutient soit à l’occasion d’une
destruction des épiphyse.
Traduction des mvts : une mobilité exagérées, un mvts de
latéralité, un ballottement.
Articulation concernées : genou, coude, cheville.

9. Définir :
Arthroplastie : c’est une intervention qui consiste à enlever les
épiphyse détruites et les remplacées par prothèses internes.

Séquestre : il s’agit d’un fragment d’un os mort dépourvu de


toutes connections avec l’os avoisinant.

Résection d’un os : consiste à couper l’os en deux endroits


(proximale & distale), enlever la partie intermédiaire et la lésion
que cette partie contient.
Indication : les lésions destructives, infectieuse ou
dégénérescence, tumeur maligne…

Curetage osseux : consiste à ouvrir l’os ou trépanation,


débarrasser le foyer de toutes les secrétions et tous les tissus
morts jusqu’à arriver à l’os sain caractérisé par le saignement.
Le curetage laisse en place une cavité qu’il faut combler.
Indication : - ostéite, ostéomyélite chronique avec suppuration
et séquestre, - tumeur bénignes

Arthrodèse : c’est une fusions deux épiphyses

Ankylose : est la suppression des mouvements d’une


articulation par fusion osseux ou fibreuse.
10. Tumeur à myéloplaxes : Nosologie, évolution, image Rx,
traitement ?
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Nosologie :

Evolution : peut subir une transformation maligne (10-15%)


Image Rx : tumeur envahissant la corticale, pouvant la
repousser et présente des trabecules == aspect de nid d’abeille
Traitement : chirurgical : exérèse large de la tumeur

11. Signes distingtifs entre T. maligne et T. bénignes en


général au plan anatomopath, clinique et radiographie.
Anatomopathologie
TB : bien limitée, se localise sur un ou plusieurs os, dvpt lent et
ne donne pas des métastase
TM : elle n’a pas des limites nettes, son volume croit
rapidement au niveau de l’os, rompt la corticale et envahi les
parties molles, elle envahi les autres parties de l’os et envoie
des métastases à distances (foie, pancréas, autres os)

Clinique :
TB : douleur vague sauf en cas de compression du nerf sensitif,
une tumefaction qui croit lentement sans signe inflammatoires.
- A un stade avancé, signes de compression vasculaire ou
nerveuse
- La peau est normale
- Etat général reste excellent
TM : 2 symptômes majeurs :
- Douleurs devient rapidement aigue, tenace, par calmée par
le repos ou antalgique courant
- Tuméfaction : augmentation rapide du volume et
compression des vaisseaux et nerfs
- Observe : * la peau recouvrant prend un aspect
inflammatoire, * le muscles du secteur st atrophiés, * fracture
pathologique, * état général est rapide abaissé
(amaigrissement, anémie, et parfois fièvre), * pas
d’adénopathies satellites.
Radiologie
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TB : n’est pas pathognomonique


- plus fréquent, image ostéolytique (lacune homogène)
- ostéocondensation des quelques tumeurs
- le cortex est généralement intact, quelque fois refoulé
amincie et offre un aspect soufflé,
- les corticales sont rarement rompues
- absence des Rx périostées
- les tissus mous environnants sont intacts
TM :
- image d’une lésion maligne
· zone de lyse mal limitée avec les bords flous
· image de condensation
· aspect mixte
- rupture de la corticale
- envahissement des parties molles par les tumeurs

12. Maladie de Kahler : exploration biologique, traitement ?


Exploration biologique :
a. Perturbation hématologique et humorales
- anémie, hyperleucocytose avec neutropénie, thrombopénie,
très peu ou pas de plasmocytes dans le sang circulant.
- VS très augmenté
- Et surtout hyperprotidemie (100-150g/l) liée à une forte
augmentation de globulines au dépends des fractions alpha 2 et
bêta globulines

A. Electrophorèse : montre qu’il s’agit de fraction alpha 2-


globuline augmentée et bêta globuline augmentée.
B. L’immunoélectrophorèse, il
s’agit Ig anormal sécrétant les plasmocytes path le %
Alb/globuline est inversé.
C. Ponction sternale e t celle de crête iliaque :
plasmocytose importante
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D. Présence dans les normes des 40%à 70% des cas de la


protéine thermosoluble de Berce Jones.
E. Fx rénale : Albuminurie, Azoterie, leucocyturie
importante, hématurie microscopique positive.
F. Quant aux éléments du
métabolisme osseux, la phosphorémie, la calcurie et la
PAL, sérique et normales. Par contre il existe une
hypercalcémie.
. Traitement

il est palliatif et Apporte de longue mission. Il porte :


1. la Réaction thérapie :, Est utilisé dans les formes
localisée et les atteintes vertébrales
2. La chimiothérapie à l’aide du Melphalan de la de
la cyclophosphamide.
3. Corticoïdes : Prednisolone à forte dose au début de
la maladie.
4. Médication symptômatique : contre l’Anémie,
la douleur, les infections et des troubles orthopédiques
contre les fractures et les déformations.

13. Pseudarthrose septique : principe de T3


Rép : L’attitude actuelle vise dès le début la guérison de
l’infection et l’éradication des lésions d’ostéite.
→ Contre l’infection : Administrer les ATB Appropriées et à
forte dose en, fer et post op. Prolonger par longtemps ce t3
en x 6 sem à 2 mois voir plus.
→ Le T3 des lésions osseuses compte :
-au début de l’intervention : Excision des fistules et de tous
les tissus non infectés et ablation d’implants,
antérieurement placés sur l’os.
-une decorciction ostéo- periostée
-une reperméabilisation du canal médullaire et un
nettoyage Abondant du foyer.
Une greffe spongieuse si une décortication ostéopériostie
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Une contention solide par


un fixateur externe à compression.
* la fermeture de la plaie sur un clarin aspiratif avec possibilité
en cas de suppuration massive d’installer un système
d’irrigation succin avec solution d’ATB.

14. Périarthrite scapulo-humerale : formes cliniques,


traitement.

Rép : formes cliniques :

1. Epaule touloucieuse simple : elle correspond à 1èr simple


tendinite accompagnée d’usine et parfois de perforation du
tendon du sus-epineux.
2. Epaule aigue hyperatique, elle est due à
ne poussée décalcification. L’Epaule est très douloureuse, les
mouvements fortement limités, les calcifications peuvent
évoluer vers a résorption spontanée.
3. Epaule pseudo-paralysée. Elle survient à la suite d’un
traumatisme ou d’un effort violet. Elle se réduit par une
sorte d’Ankylose due à une capsule rétractile associé à la
lésion de la coiffe et des calcifications du sus-épineux.

Traitement

Il st médical dans la plupart de cas :


Analgésiques, Antiinflammatoiresq, physiothérapie, infection
locales de xylocaïne et de corticoïdes dans les formes très
douloureuse.
-chirurgical : est indiqué pour :
réparer la
coiffe des rotateurs rompus(dans l’epaul’pseudoparalysie)
extraire d es calcifications dans
la forme hyperalgéque persistante
réinsérer le long. Biceps en cas de rupture.
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15. Kyste solitaire de l’os. Images radiologiques.


Rép : Montre 3 images caractéristiques (triade de beck)
- une lacune claire transparente de forme ronde ou ovalaire
de structure habituellement homogène mais parfois trabéculée.
- Lacune est limité par une corticale amincie et bien dessinée
(aspect en coquille d’œuf)
- La Ligne claire occupée par le cartilage de conjugaison est
bien visible.
En plus
- L’os environnant st sain, sans réactions périostée.
- Le pole diaphysaire du kyste est tantôt simplement flou
diversifié (fond de conquetier)

16. sténose du canal vertébral : causes, manifestations


cliniques.

Causes.
a. congénitales : diminution de tous les diamètres avec
pédicules courts. L’Achondroplasie en est une cause importante.
b.Acquise : Hypertrophie des articulations postérieures ou du
ligaments jaune arthrose du corps vertébral, des articulations
zygophysaires ou de disque : spondylosthésie, paget osseux,
tumeur.

Manifestations cliniques

- douleurs du bas du dos de type mécanique parfois simple


faiblesse d’une jambe quelque fois les douleurs ont l’allure
d’une lombosciatique.
- Claudication intermittente (plus évocateur) : la douleur
apparaît une certaines distance de la marche et elle intéresse
parfois toute la jambe. Elle augmente en marchant et aussi
par la position en hyperlodose, elle est calmé par le repos et
par la flexion en avant du dos qui élargit le canal, d’où le ma la
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de marche penché en avant. Par contre les efforts n’influencent


pas la douleur comme c’est le cas dans l’hernie discale.

17. Différences entre scoliose vraie te attitude scoliotique.

Réponse : scoliose vraie : on appelle scoliose une déviation


latérale et permanente de l’axe rachidien avec rotation des
corps vertébraux. La rotation détermine une gibbosité (bosse)
par saillie en arrière des costiformes lombaires ou de côtes.

· attitudes scoliotiques ou scoliotiques fonctionnelles


comportent une déviation de la C.V coe de scoliose structurale
mais la deviation disparaît en position assise ou couchée. De
plus elle ne s’accompagne ni de rotation vertébral ni par
conséquent de gibbosité.

Causes
a)
- 80 % sont idiopathiques et se rencontrent chez les
adolescents avec prédominance féminine
- 20 % sont dues :

· à des affections neurologiques et neuromusculaires


poliomyélite, maladie de Friedrich, la myopathie,
neurofibromatose, la syringomyélie, etc..
· à des maladies infectieuse (mal de pott), des tumeurs et des
traumatismes
b) Chez l’enfant de 8-10 ans : mauvaise position de travail par
exemple inclinaison permanente du rachis, une mauvaise
vision.
Inégalité de longueur des nombres inférieurs.

18. Signes cliniques à l’examen physique d’un patient atteint de


hernie discale L5-S1.
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- une limitation de la flexion vertébrale et une contracture des


muscles des gouttières vertébrales et une amyotrophie.
- des points douloureux précis au niveau des EIV concerné et
un signe de la sonnette positif
- impossibilité de se tenir sur les talons par déficit du jambier
antérieur (sciatique L5)
- impossibilité de marcher sur la pointe des pieds par déficit
du triceps sural (sciatique S1)
- un warsserman, les points de valleix et la manœuvre de
laségue positifs.

Complication d’une scoliose thoracique.

- Troubles ventilatoires et cardiaques


- Complications nerveuses par compréhension radiculaire ou
médullaire.

19. Ostéomyélite aigue : évolution des lésions, clinique, signes


radiologiques.
Evolution des lésions (4 stades)
- Phase d’invasion vet de congestion locale : il y aura 1
exsudat de la région métaphysaire qui parvient ds l’espace
s/périosté et détermine l’abcès s/périoste (qui entraine la
fistulisation)
- Stade 2 : Phase de nécrose extensive : la nécrose peut
atteindre l’os diaphysaire et s’accompagne d’1 suppuration
intraosseuse. Ds ces cavités on a des fragments d’os mort qui
biagne ds du pus ayant perdu toute connections avec du tissu
osseux normale, sequestres (=os mort isolé ds l’os sain). Si le
séquestre est petit : possibilité de rehabilité par bourgeons
conjonctivo-vxaire et entraine une régénération si le séquestre
est important : entretienne l’infection. L’épiphyse est pr la plus
part de cas épargnée
- le cartilage est sans vx d’où une barrière à infection
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- le réseau de vx épiphysaires et métaphysaire st distincts,


pas de communication. Toute fois cette épiphyse est atteinte
si :
· l’infection contourne le cartilage et de proche en proche
atteint l’épiphyse
· l’infection perfore le cartilage de Xce atteint l’épiphyse
· si le cartilage de Xce est en situation intracapsulaire.
Stade 3 : Phase de réparation
Grâce à l’ostéogène RX, l’os se rétablit, les cavités nécrotiques
sont nettoyées et comblées avec l’os néoformé. Avec un bon
traitement, les récidives peuvent survenir
Stade 4 : complication
Clinique :
le début est généralement brutal, marqué par :
- des signes généraux graves : fièvre, frisson, agitation ou
prostration
- des signes fxnels sévères : D+ atroce, continue, pulsatile
entraînant une insomnie
Inspection : membre immobile en attitude vicieuse antalgique,
tuméfaction de la région mais la peau garde son aspect normal
Palpation : la région métaphysaire est chaude, la pression avec
un seul doigt entraîne une douleur très vive se manifestant
surtout le pourtour de l’os ; douleur circonférentielle,
caractéristique d’une inflammation de l’os
Lorsqu’on essaie de mobiliser l’articulation voisine avec
prudence, elle est immobilisable pcq indemne d’infection

Signes radiologique : normal ds le 10 premiers jours de la


maladie soit un petit décollement périosté
RX fait 2-3 sem plus tard on aperçoit : une rx périostée
manifeste, des géodes rares, surtout une ostéoporose
(déminéralisation)

Ostéomyélite secondaire chronique : définition, lésion


principales, images Rx, traitement.
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Définition : elle fait suite à une forme aigue connue soit qui
évolue sans transition mais peut apparaître des semaines, des
mois plus tard après que le 1ère épisode soit constituée comme
guéri, forme plus fréquente.

Les lésions principales


- lésions d’ostéonécrose s/f des géodes lesquelles contiennent
les séquestres du pus.
- Hyperostose : qui intéresse le périoste et l’os central. Au
niveau du périoste elle forme une gaine autour de l’os initial,
tandis que l’os central comble les cavités en même temps
provoque une obturation du canal médullaire.
- Formation des fistules, ds lesquelles s’éliminent les
séquestres et les pus. Elles peuvent être limitées et qlq fois
intéressées tout l’os ds l’ostéomyélite pandiaphysaire.

Images radiologiques
- les zones lacunaire contenant parfois des séquestres
- images d’ostéosclérose (condensation) intéressent l’os
central.

Traitement
1° Médical : est fait avant mais surtout après le traitement
chirurgical. 3 volets :
- TTT médicamenteux : ABT bactéricides, plusieurs semaines,
voir plusieurs mois.
- Immobilisation du membre par un appareil plâtré
- Soins locaux
2° TTT chirurgical : un curetage osseux pour évacuer les tissus
nécrosés, le pus et les séquestres.

20. syndrome du canal carpien. Symptômes cliniques et


traitement (en 4 ligne)
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Paresthésie ds le territoire du médian à la main, manifestation


surtout nocturne, augmentée par le frid, douleur qui irradie
vers le coude et épaule.
TTT : Palliatif : infiltration de xylocaïne. Physiothérapie :
ionisation locale avec des corticoïdes. Atèle palmaire, repos.
TTT : Chirurgical : ouverture et section du canal et traitement

21. sarcome ostéogénique. Schéma du traitement


- une résection osseuse segmentaire important de la tumeur et
conservant le membre
- une polychimiothérapie anticancéreuse intensive pré et post-
opératoire
- un traitement général : lutter contre l’anémie et contre une
hypercalcémie éventuelle : corticothérapie si besoin.

22. épiphysiolyse fémorale supérieure. Classification selon


Judet
- stade 1 : modification structurale sans glissement
- stade 2 : glissement (déplacement) de la tête de moins
d’un par rapport au col
- stade 3 : le déplacement dépasse 1/3
- stade 4 : déconnexion complète de la tête (elle survient ds le
cas brusques).
Traitement.
- Fixation de la lésion par des vis ou des broches après s’il y a
lieu, réduction du déplacement.
- Au stade IV, tenter une réduction orthopédique en urgence,
puis fixer la lésion.

23. que conseillez vous à une jeune femme présentant un cal


vicieux hypertrophique de la clavicule ?
nous conseillons à cette dernière une résection des cals
exubérant de la clavicule pour des considération d’ordre
esthétique.
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24. Gonarthrose : citez les images radiologiques et traitement


Images RX : interligne articulaire pincé ou aboli, une
ostéocondensation des plateaux tibiaux et des condyles
fémoraux + géodes ostéophytes marginaux
Traitement : Palliatif : Anti inflammatoire, cortisone in loco,
antalgique
Traitement : Préventif : correction chirurgicale de toute
déviation (ostéotome)
Gonarthrose avancée : arthropathie ou arthrodèse
Arthrose fémoro-patellaire : la patéllectomie est à déconseiller

25. indiquez le trajet des abcès migrateurs provenant d’un Pott


L5-S1 (en 4 lignes)
se développent en postérieur, d’autres descende dans le petit
bassin, suivent la gaine du pyramidal du bassin, traversent
l’échancrure sacrotique et se terminent dans la fesse au regard
du grand trochanter. Ils descendent parfois le long du fémur
jusqu’au creux poplitée.

26. Ds quelles affections effectue-t-on le test d’Adson-Leriche ?


Décrivez comment il est réalisé et le résultat (en 4 lignes)
Dans le syndrome de la cote cervicale. Le cou en hyperflexion,
le patient tourne la tête du côté malade, bloque la respiration
en inspiration profonde, ce qui entraîne une fermeture de
l’espace interscalénique, en même temps le patient porte le
bras en abduction ou en retropulsion. Ce qui entraîne la
fermeture de l’espace costo-claviculaire. Prendre
immédiatement le pouls radial et le comparer à celui d’avant ce
test.

27. Causes des paraplégies d’origine pottique


- Ds les phénomènes de compression : par abcès
intrarachidien, un œdème inflammatoire, une esquille osseuse
ou une arête d’un corps vertébral effondré et déplacé en
arrière
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- une pachydéméningite caséeux peut aussi mais rarement et


tardivement être un agent de compression.
- des troubles circulatoires médullaires
- des lésions de myélite (très rares)

28. complication d’une scoliose thoracique (en trois lignes)


- troubles ventilatoire et cardiaque
- complications nerveuses par compression radiculaires ou par
compression médullaire
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MEDECINE INTERNE
DIABETOLOGIE (Dr KASIAM)

1.Mr KISA âgé de 39 ans, mariée et mère de 7enfants,


secrétaire de BRALIMA, présente :

Sur le plan clinique, essentiellement, un tour de taille de 89 cm,


poids=65Kg, taille=163cm ; le traitement associé à une longue
histoire de fatigabilité et d’épisodes de polyurie, sur un fond
d’ATCD d’hospitalisation pendant 2 ans dans l’unité de
nutrition/pédiatrique depuis son âge de 3mois.

Sur le plan paraclinique : une glycémie à jeun d’hier 125 mg%.

Q/

A. diagnostic complet (diagnostic différentiel)


B. mise au point complète à proposer.

2.Patient Ben, 36 ans, il a été amené par le membre de sa


famille pour fléchissement de l’état de conscience.

A l’examen physique : coma stade III, polypnée, haleine fétide,


légère déshydratation extracellulaire, PA=100/40 mmHg, T°
36,5°C, poids=102Kg, taille= 1,67m.

Q/

A. Diagnostic complet
B. Proposition de traitement

DIABETOLOGIE (Prof. BIELELI)

1.Au cours d’une infection intercurrente, un patient amené en


urgence, présente une glycémie de 148 mg%, sans corps
cétoniques dans les urines, faut-il lui donner un supplément
d’insuline ? Si la glycémie est de 200mg% avec présence de
corps cétoniques.
Batologie 2ème doctorat 58
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ENDOCRINOLOGIE (Prof. DITU)

1.Dr. Vous êtes consulté à Kinshasa, par un patient, âgé de 32


ans, rentrant de Johannesburg où il a subi une
hypophysectomie totale pour une acromégalie.

Comment allez-vous faire sa PEC, diagnostic et thérapeutique ?

RHUMATOLOGIE (Prof. MBUYI)

1.De la classification des maladies rhumatismales, se dégage 2


grands groupes.
a. Lesquels sont-ils ?
b. Donnez les caractéristiques différentielles de ces 2
groupes :
 Plan anamnestique,
 Plan clinique,
 Plan paraclinique

GASTROENTEROLOGIE (Prof. MBENDI)

1.Mr X, âgé de 54 ans, vous consulte pour hématémèse,


ATCD : ictère en 2003, transfusion en 1978.

Examen physique, on lui note :

 Hépatomégalie sensible à bord inférieur tranchant,


 Une ascite et un ictère,
 Une splénomégalie et une circulation collatérale

a. Diagnostic le plus probable,


b.Citez les complications retrouvées chez ce patient
c. Quelle est la cause probable de cette maladie

GASTROENTEROLOGIE (Prof. MANGWELE)


Batologie 2ème doctorat 59
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1.Que savez-vous de maladies de laxatifs, au point de vue de :


 Nosologie,
 Généralités,
 Clinique

GASTROENTEROLOGIE (Dr. MUZEKE)

1.Quel est votre diagnostic et traitement devant une jeune


femme de 28 ans, ATCD d’appendicectomie, suivie pour une
diarrhée récurrente, fébrile, vespérale avec douleur
abdominale.
L’examen clinique révèle une douleur à la FID et fléchissement
de l’état générale.
Examens complémentaires :
 GB=12.500/mm 3
 FL=Neutrophiles : 35%, Lymphocytes : 60%, Monocytes :
2%, Eosinophiles : 3%, Basophile : 0%
 VS=30mm/heure

BATS DE RHUMATOLOGIE
1. Manœuvre de Patrick
But : permet de mobiliser l’articulation sacro-iliaque
Technique : Le patient en décubitus dorsal, si on veut
examiner la sacro-iliaque du côté gauche, on plie le genou
droit, on met le talon sur genou controlatéral. On appuie
avec la main droite la hanche gauche et en même temps on
appuie le genou droit. Le patient aura mal au niveau du pli
inguinal, région fessière. Patrick positif
Pathologie : sacro-iliite
2. Facteurs rhumatoïdes :
Sont des auto-anticorps de type IgM dirigé contre les Igs qui
se comportent comme des Ag, ces facteurs sont surtout les
IgM, mais peut être aussi d’autre types Ig.
3. Définir le signe de TIETZE
Batologie 2ème doctorat 60
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C’est une forme exta-articulaire de la goûte due à une


inflammation du cartilage condro-costal.
4. Signe de TINEL
Met en évidence le syndrome du canal carpien. Il consiste à
percuter la face antérieure du poignet, le malade va
ressentir une décharge électrique au niveau des doigts sauf
le petit doigt.
5. Syndrome de REITER
Syndrome caractérisé par la triade symptomatologique
constituée de l’atteinte articulaire, urogénitale, oculaire.
6. Définir le CREST
C’est une variante de la sclérodermie ou C : calcinose, R :
syndrome de REYNAUD, E : Trouble de la mobilité
oesophagienne, S : sclérodactylie, T : télangiectasie

7. Syndrome de canal carpien


Syndrome caractérisé par la douleur de type neurogène mise
en évidence par le signe de TINEL
8. Syndrome de FELTY
Syndrome caractérisé par une splénomégalie + arthrite
rhumatoïde + leucopénie

9. définir cellule L.E


C’est une polynucléaire qui a phagocyté le noyau d’un autre
polynucléaire à l’intérieur duquel on trouve une structure
nucléaire décoloré appelée cellule L.E

10. Définir TOPHUS


Sont des nodules qui se présente au niveau ou la crise de la
goûte a commencé. Ces nodules sont formés des cristaux
d’urates des dimensions variables. Ces nodules peuvent
s’ulcérer mais ne suppurent jamais.

11. Définir VESPERTILIO


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Manifestation cutanée observée en cas de LED qui s’étend en


aile de papillon sur le dos du nez et sur les pommettes,
dessinant le fameux masque du loup.

12. Définir EFICA


E : élargissement interarticulaire, F : Flou des berges
articulaires, I : irrégularité des berges articulaire, C : Onde
de condensation articulaire, A : aire de calcification.

13. Facteur de HASERICK


Anticorps anti-nucléaire responsable de déchromatisation du
noyau de la cellule qui est à la base de la formation de la
cellule LE.

14. Maladies liées à l’HLA B27+


- Spondylarthrose ankylosante
- Syndrome de REITER
- Maladie de Crohn
- Maladie de Wipple

15. Maladie liée à l’HLA DR4


- Arthrite rhumatoïde

16. maladies non liées à l’HLA B27


- RAA
- sarcoïdose
- Arthropathie inflammatoire liée à l’hépatite A et B
- Virus VIH
- Infection au mycoplasme
- Infection herpétiforme
- Arthrite de lyme
- Arthrite filarienne (loa-loa)

17. Quelles sont les conditions pour qu’il y ait


calcification
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- présence de collagène type1


- présence d’une concentration suffisante en calcium et
phosphore.
- présence de phosphatase alcaline.
- présence des donneurs d’énergie (ex ATP)
- présence de protéine non collagènique
- présence de glycoprotéine ayant l’affinité avec le calcium et
phosphore
- présence de vitamine D

18. Donnez les manifestations periarticulaires de


l’arthrite rhumatoide.
- Ténosynovite
- Bursite
- kyste de baker
- Pseudothrombophlebite

19. Donnez les mannifestations extrarticulaires de


l’arthrite rhumatoide.
- Nodule sous-cutanées
- Peau atrophique
- Ongles fandillés et cassant
- Amyotrophie
- Kératoconjonctivite et Splénoméglie.

20. Définir Auto-anticorps Anti-SMITH


Anticorps contre les protéines acides nucléaires qui sont
pathognomoniques du LED.

21. Définir une connectivite intriguée


C’est une association des signes et des symptômes cliniques
similaires à ceux de LED, sclérodermie, polymyosite avec des
titres soluble surtout pour les anticorps antinucléoprotéines

22. Définir la sclérodactylie


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C’est la sclérose du tissus conjonctif marqué par la


paresthésie des doigts, des crampes qui s’accompagnent des
troubles vasomoteurs = Syndrome de RAYNAUD.

23. Les critères intervenants dans le diagnostic SPA

de la colonne dorso-lombaire ou lombaire.


Limitation des mouvements de la colonne
Limitation de la colonne thoracique
Modification radiographique

24. Citer 5 arthropathies inflammatoires


R.A.A
Syndrome de REITER
Arthrite rhumatoïde
SPA
Arthrite réactionnelle

25. Citer 4 maladies à composante héréditaire


SPA
LED
Arthrite rhumatoïde
Goûte
Syndrome de MARFAN

26. Citer 3 maladies ou le collagène augmente


Arthrite rhumatoïde
Maladie de Paget

27. Citer 4 maladies fréquentes chez


Les enfants : RAA, Arthrite chronique juvénile, anémie SS,
certaines synovites post-rubéoleuses.
Adultes : SPA, Goûte, Arthrite rhumatoïde
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Personnes de 3ème âge : arthrose, ostéoporose,


polymyalgie rhumatismales, chondrocalcinose.
Selon sexe : Femme : LED, sclérodermie, polymyosite
Homme : goutte, spondylarthrite ankylosante,
syndrome de REITER, PAN

28. Citer 3 particularités entre l’arthrite chronique


juvénile et arthrite rhumatoïde
Dans l’ACJ on a 3 modes de survenu : Mode oligo-articulaire,
polyarticulaire et systèmique.

29. Citer les 5 formes classiques de polymyosites


- polymyosite de l’adulte
- Dermatomyosite de l’adulte
- Myosite associée aux tumeurs
- Myosite de l’enfant
- Polymyosite + dermatomyosite associées aux autres
connectivites.

30. Donner la signification des abréviations suivantes


MCTD : mixed connective tissue disease
HLA : Human lymphocyte antigen

31. Définir s yndrome de SHARP


Polymyosite + dermatomyosite associée aux autres
connectivites appelées connectivites intriguées
32. Raideur rhumatismale
C’est l’impossibilité temporaire de mobiliser une articulation.

33. Traitement de la goutte + traitement de fond


Traitement simple : comprimé de colchicine, 1èr jour : 3mg--
---- 3X1Cé/jour
ème
2 et 3ème jour : 2mg -------2X1Cé/jour
4ème jour jusqu’à la fin de douleur : 1mg---------1Cé/jour
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Traitement de fond : - un repas hypocalorique, hypolipidique,


hypouridique
- supprimer l’alcool, prendre beaucoup d’eau le soir après
prise des médicaments.
- Médicament : Alloperinol 300 mg/jour ou probénecid 1500
mg/j

34. Quel type d’Ag anti nucléaire spécifique au LED


Anticorps anti ADN natif

35. Définir le syndrome de GOURGEROT-SJÖGREN


Syndrome caractérisé par une kératoconjoctivite sèche + AR

36. Définir
Col de Cygne : c’est une hyper-extension de IPP et une
hyper-flexion de IPD
Pouce en Z : c’est une hyper-extension de IP et une hyper-
flexion de MP
Déformation en boutonnière : c’est une hyperextension
des IPD et hyperflexion des IPP
Déformation en maillet : une hyperflexion des IPD

37. Ostéopé nie


Perte physiologique de l’os

38. Manifestation cutanée de l’Arthrite réactionnelle


Kératodermie blennorragique, onycholysis, érythème
noueux, balanite circinée, exocervicite, aphtose bucco-
génitale, épisclérite, uvéite antérieure.

39. Quelles sont les 3 traits d’union de microorganisme


de l’arthrite réactionnelle
- Sont de gram négatif
- Possède liposaccharide
- Possède de peptido-glucane
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40. Manifestation préliminaire ou précoce de l’arthrite


rhumatoïde
Atteinte des articulations des mains et des pieds surtout les
MP et les IPP. Au niveau des MP, celles 2ème et 3ème MP qui
sont beaucoup plus atteints. Douleur inflammatoire + raideur
matinale qui commence dans la 2ème moitié de la nuit

41. Quels sont les facteurs déclenchants et génétiques


de l’arthrite rhumatoïde
Facteurs déclenchants : climat froid, ménopause, vives
émotions, traumatisme, infection
Facteurs génétiques : déficit en complément, en Ig, facteur
HLA DR4.

42. Donner les différents critères qui classifient


l’arthrite rhumatoïde.
- Raideur matinale supérieure à 1 heure
- Arthrite de supérieur 3 articulations
- Arthrite des mains
- Symétricité des atteintes articulaires est simultanée
- Nodules rhumatoïdes
- Facteurs rhumatoïdes

43. Citer 4 manifestations extra-articulaires de la


polyarthrite rhumatoïde
- Pleurésie
- Péricardite
- Nodule sous cutané
- Fibrose pulmonaire

44. Donner 2 arguments en faveur de l’origine auto-


immune dans l’arthrite rhumatoïde.
- Facteur rhumatoïde
- rôle jouer par la cellule présentatrice de l’Ag
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- Ac antinucléaire

45. Définir SAPHO


S : synovite, A : Acné, P : Pustule, H : hypérostose, O :
ostéite

46. Donner les manifestations exta-articulaire et


diagnostic différentiel de l’ACJ
Manifestations
- Fièvre
- Eruption cutanée
- adénosplénomégalie
- iridocyclite
- péricardite
Diagnostic différentiel :
- Sacro-iliite
- anémie falciforme
- SPA
- maladie de WISLER-FANCONI

47. T3 et diagnostic différentiel de polymyalgie


rhumatismale
3
T : corticoïde comme prednisolone : 30 mg/jour
Diagnostic différentiel :
- arthrite rhumatoïde
- SPA
- maladies néoplasiques
- dermatopolymyosites
48. T3 de LED ou connectivite
Corticoïde (Prédnisolone) 30mg/jour cé de 5mg. 6x5mg/jour.
Un T3 très long mais commencer par la dose de 7,5mg/ jour.

49. Quelle est l’unité fonctionnelle de l’OS


C’est l’ostéon.
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50. A quoi est dû la dureté de l’os ?


Est dû par la présente de l’hydroxyapathite

51. La croissance en longueur et en épaisseur de l’os


se fait par quoi ?
La croissance en longueur se fait à partir de virol
La croissance en épaisseur commence à partir d’une lamelle
périostale
La destruction commence à partir de l’endostéome

52. A quelle maladie rhumatismale fait penser les


prodromes suivants ?
Iritis : arthrite réactionnelle
Aphtose buccale…: arthrite réactionnelle
Néphrolithiase………… :
Urétrite non bact. : Syndrome de REITER et arthrite
réactionnelle
Uvéite récidivante …: Syndrome de REITER
Ulcération génitale …: Syndrome de REITER, SPA, maladie
BECHET
Ulcère cutané………… :
Erythème en aile de papillon : LED, polymyosite,
dermatomyosite
Extrémité froide et humide :
Tophus ….: goutte
Nodule sous-cutané ….. : Arthrite rhumatoïde
Nodule cutané : périarthrite noueuse, goutte
Purpura : Arthrite infectieuse, périarthrite noueuse
Hyperkératose…:

53. Test de Schober


Pathologie : SPA
But : mesure de la raideur de la colonne lombaire
Technique : le patient étant debout, on regarde le dos du
patient, on voit les points de venus, on prend la ligne qui unit
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les épines iliaques antérosupérieures et à l’aide d’un mètre


ruban on mène une perpendiculaire de 10 cm au milieu de
cette ligne. Puis demander au patient de fléchir le tronc sans
fléchir les genoux, la distance s’allonge normalement de 5
cm, si la distance est < à 5 cm ; il y a raideur de la colonne
lombaire

54. Donnez les signes d’appel de syndrome de SHARP


- Polymyosite
- Dermatomyosite
- LED

55. Citez 5 arthropathies que vous connaissez.


- Arthopathie dégénerative ex : Arthrose
- Arthropathie auto-immune ex : LED
- Arthropathie métabolique ex : goutte
- Arthropathie Réactionnelle ex : Syndrome de REITER
- Arthropathie inflammatoire ex : Arthrite Rhumatoide

56. Citez les maladies rhumatismales les plus


fréquentes chez la femme.
- Coxarthrose
- Ostéoporose post ménopausique.
- Arthrose
- Arthrite rhumatoide.

57. Donnez 2 arthropathies dans les quelles on


trouve le syndrome de GOURGEROT .
- Sclérodermie
- Arthrite rhumatoide

58. Expliquez le test de WASLER ROSE et LATEX.


Wasler rose : Utilise les GR du mouton récouvert des Ig M +
serum du malade, comme les Ig M Ont des propriétes
Antigéniques vont se lier avec les Ig du malade et former un
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complexe. Comme dans le serum il y a le Complément , ce


dernier va lyser les GR d’où sortie de l’Hb et on va la dosée et
la mésurée. La dilution se fait Sur le tube 1/64.
Latex : Utilise les particules du latex qui sont des
macromolécules révetues des Ig . On le met ensemble avec le
serum supposé contenir Facteur rhumatoide, ce qui va
entrainer l’agglutination. La dilution se fait sur le tube 1/32

59. Donnez les caractéristiques de l’arthrite


réactionnelle.
-Intéresse les articulations des membres inférieurs.
-Posséde des manifestations extrarticulaires.
-A un bon pronostic.

60. Quels sont les élements qui conférent la grande


stabilisation à l’articulation.
-Ligaments(isolés et spécialisés)
-Tendons
-muscles
61. Donnez le traitement de la SPA
-Inhibiteurs de la cyclo-oxygénase 2
-Kinésithérapie
-Demander au malade de dormir sur un plan dur.

62. Donnez le traitement de l’arthrite rhumatoide.


-Education du malade
-Medicaments : - Corticoides à petite dose début 30mg
cé de 10mg 3x1cé /j - - Apres 10 jours,
faire le sévrage, cé dosé 5 mg : 3x2cés/j
-Moyens Physiques(exercices)
-Moyens chirurgicals.

63. Donnez les signes radiologiques précoces de


l’arthrite rhumatoide.
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pas des signes radiologiques précoces mais avec une


bonne radiologie on peut voir un simple gonflement des
tissus mou

64. Donnez la différence entre arthrose et Arthrite


rhumatoide du point de vue radiologique.
ARTHROSE : Les manifestations radiologiques sont déjà là au
moment où la personne vient en consultation caractérisées

Arthrite réactionnelle
Inflammation stérile de l’articulation survenant à distance de
l’infection
Facteurs déclenchants :
- infections ORL
- infection urogénitales
- infections tractus digestif
Classification de l’A. Réactionnelle
Elle est basée sur la présence ou non de HLA B27.
Présence de HLA B27
Gpe. Avec HLA B27 : à qui l’on trouve des infections de la
sphère urogénitale
Gpe. Avec HLA B27 : infections gastro-intestinales
Sans HLA B27
RAA, sarcoidose, infection mycoplasma, arthrite de lyme,
arthrite filarienne
Pronostic :
Souvent bon : résolution toute seule, intermittente ;
récidivante, parfois devient chronique

ENDOCRINOLOGIE
Professeur DITU
1. Partant de la tête vers le pieds, citez toutes les maladies
endocriniennes susceptibles de provoquer un diabète sucré :
Hypothalamus :
a) hypercorticisme tertiaire
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b) hyperthyroidie tertiaire
c) hypergonadisme tertiaire.
Hypophyse :
a) acromégalie
b) syndrome hyperprolactinemie
c) maladie de cushing
d) somatostatinome
Thyroïde :
a) hyperthyroïdie primaire
Pancréas :
a) Glucagonome
Surrénale :
a) gigantisme
b) aldosteronome
c) phéochmocytome
d) syndrome de cusching
e) syndrome adrenogénital ou surrénalo-génital

2. Patient âgé de 35 ans souffrant d’acromégalie vient de subir


une hypohysectomie réalisée avec succès par le Dr.
BELTCHIKA. Que conseillez-vous pour le suivi thérapeutique de
ce patient’ en terme médical, posologie et durée de TTT.
On peut conseiller à ce patient un traitement de substitution
pluri hormonal.
Pour la fonction surrénalienne
Ne jamais corriger l’insuffisance thyroïdienne avant
l’insuffisance surrénalienne. R/ acétate d’hydrocortisone ou
Acétate de la cortisone, dose moyenne = 15-25 mg/j P.O,
se donne 2/3 le matin et 1/3 le soir. En cas de stress, donner
l’hydrocortisone injectable : 100-300mg/j
Pour la fonction thyroïdienne : R/levo-thyroxine ou L-Thyrox S/
100-175 μg/j.
Pour l’insuffisance sexuelle : R/Testosterone forme retard :
TESTOVIRON retard inj.
S/200-400mg toutes les 3 ou 4 semaines.
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3. Patient âgé de 30 ans souffrant de la maladie de Basedoow.


Comment sera le profil de ses concenttration sanguine pour
pour les hormones suivantes : T4, TSH, HCTH, T3, Insuline.
T4 : augmenté
T3 : augmenté
TSH : diminué
ACTH : augmenté
Insuline : diminué

1. Examen complémentaire : VS, cholésterol, glycémie

2. Examen de confirmation : 1) dosage hormonale


HPaire, ACTH, FSH, TSH, LH… 2)dosage hormonale de
glande périphérique, T3, T4, œstrogène, oestradiol.

3. Examen de recherche étiologique : a) imagerie : RX


crâne simple, scanner cérébral, scintigraphie,
artériographie, IRM

4. traitement :
- RXpie in loco avec Y99
- RXpie externe en utilisant le rayon gamma émit par
cobalt 60.
- Restitution hormonale si Sydrome d’hyposécrétion
post thérapeutique : corticoïde, hormone sexuelle.

5. Pronostic : mauvais si le Tum augmente de vol, cela


entraine l’HTA, coma, mort. Si la Tum est près de la tige
pituitaire, elle entraîne la compression de tige
Hypophys partielle d’où faire la substitution hormonale.

MALADIE DE CUSCHING

Etiopath : Adénome basophile secréte bcp d’ACTH qui agir au


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couches.
Glucocortic et minéraloc

Hypersecrétion de glucoprot

e
VX hémorragie
: pilosité abondante,
apparution des acnés

TABLEAU CLINIQUE (Maladie de cusching)

a) trouble morphologique : obésité faciale et tronculaire,


obésité de type centrale, nuque de Buffle, les membre su et
infé épargnées par cette adiposité, b) les vergetures :
abdomen, plante et cuisse, c) hypertricose : pilosité
abondante : tronc, menton, genou, lèvre inf, ombilic pubis,
chez la femme : hirsutisme 4) troubles cutanés : peau sèche,
amincie, fragile, acné sur le visage

ACROMEGALIE :
Survient chez le sujet adulte. Caractèrisée par hypertrophie des
extrémités de membre, fait sailli
Etiopath : hypersecrétion GH
tissulaire chez l’adulte dont le cartilage deXce est déjà soudé et
calcifié, aussi hyperplasie et hypertrophie aux endroits
sensibles, mains, pieds, viscère
Cause : adenome eosinophile de l’H°PA, hyperplasie de la
cellule somatotrope de l’H°PA.
TABLEAU CLINIQUE : a) déformation morphologique ou
physique, b)signe de compression tumorale intracrânienne, c)
trouble métabolique associée, trouble endocrinienne associée.
DEFORMATION MORPHO-PHYSIQUE
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Au n°du visage : faciès acromégalique


Bouche : dent espacée, langue grosse, gène la parole,
deglutition difficile
Extremité : main en battoire, doigts gros et cylindrique difficile
à porter la bague. Pieds elargi.
Peau :hypertrophie de la melanocyte ; acné sur le visage
hyperpigmentation :MELANODERMIE.
Squelette : épaississement des os du crâne (table ext)
élargissement du sinus fronto-maxillaire
Cage thoracique : hypertrophie des cartilages costaux
CV : élargissement des vertèbres, cyphose cerv-dorsale
Membre : hypertrophie du tissu mou, os de carpe, et
deformation des phalanges de la main
Pied : épaississement de tarse, deformation des orteils
Articulation : épaississement du cartilage articulaire
Viscère : hypertrophie pharynx, splénomégalie, hépatomégalie,
hypetrophie corde vocale, dolicomégacolon
SIGNES DE COMPRESSION : 1° céphalée fronto retro-
orbitaire, 2° HTIC (céphalée, vomissement en jet),
3°Bradycardie
Main
Fond d’œil : oedeme papillaire :baisse de l’acuité
V,
VI) diplopie, anisocorie, ptose palpéb. Perte de reflexe
photomoteur, strabisme, nystagmus conver et div.
Trouble endocrinienne : Homme : baisse libido, impuissance,
gynécomastie. Femme : oligoménorrhée avec cycle
anovulatoire,frigidité, stérilité, galactorrhée non perpuerale
Tble Thyroide : goitre, hyperthyroid
Tble corticosurr : hypercorticisme, hursitisme
Tble métaboli Diabète sucré, glucosurie, phosp inorga
augmente 0,5-5mg% au lieu de 3,5mg%

NANISME HYPOPHYSAIRE
Sd hypopituitarisme partielle survenant chez le préadolescent
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ou chez l’adolescent caracterisé par des troubls morphologiques


et des troubles génitaux pcq’il ya hyposecrétion de GH et
gonadotrophine
Etiopath :
trouble de Xce., c) attei

Facteurs étiologiques : a)Tum hypophysaire


(craniopharygiome), b)fibrose idiopathique de l’hypophy
c) Maladies infiltratives de l’enfance (Mdie de Hand Schuler
Christian) (dépôt excess. Choléstérole ds la crâne)
Clinique :petite taille, persistance de cartilage de Xce, trouble
morpho avec une gerodermie, trouble génitaux (hyperplasie
des organes génitaux, absence d’apparution des organes gén.
Extern., changement de voix, baisse de coeff. Intell.
Diagnostic différ. : 1°:nanisme thyroidienne, 2°Etat
d’infantilisme, 3° cardiopathie, 4°infantilisme intestinale,
infantilisme diabetique, 6°nanisme par insensibilité ou
résistance à l’action de GH
Examen : supra : N

HYPOFX DE L’HYPOP ANT

MALADIE DE SIMMONDS

Survient chez un jeune adulte et caractérisée par l’insuff


hypophysaire globale, se manifeste par amaigrissement
extrème : cachexie (cachexie de simmonds)
Etiopath : destruction avancée de cellule de l’H°PA il s’ensuit
une hyposecrétion de stimulus hypophysaire :
Clinique : hypopituitarisme, hypothyroidie secondaire,
hypogonadisme secondaire, trouble métab, hypoglucém,
Hypoprolactinémie, baisse GH
Facteur de Tbles : 1) adénome hypophysaire, adenome
basophile, adénome eosinophile, 2) inflamm spécif :TBC,
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sarcoidose, lymphome Hodgkin


Etiologie : Nécrose ischemique, artèriosclérose, thrombose
septique d’1 sinus caverneux, choc hypovolémique secondaire.
Autres étiol : hypophysectomie, métastase KC, KC sein,
anévrisme, fracture de la base du crâne.
Clinique : 1)Insuff glandulaire surrénalienne : adynamie
mxaire, hypotension, anémie, perte de poils axilaire.
2) insuff thyroid : apathie, bradycardie, lenteur intellect,
lenteur de la parole, somnolence, hypothermie, anémie
hypochrome, 3) insuff génitale : baisse libido, azoospérmie,
impuissance sexuelle, chute de poils, anémie. Chez le femme :
hypooestrogènemie, Tble règle, frigidité, atrophie de glande
mammaire, stérilité feminine 4) signe d’hyposecrétion GH :
hypoglycémie, Prolactine : atrophie de la glande mammaire,
absence de la production du lait maternel
Diag différentiel : 1°Anorexie mentale, 2°états hypoglycémies
sévères, 3°insuff surrénalienne, 4° Sd de Sheehan
Evolution : très lente pdt 10-20 ans. Pronostic reservé car mort
peut survenir soit à cause d’une crise aigue d’insuff surrénal
Traitement : supra : dépend de l’étiologie
- Si Tum : RXpie, ablation
- Si infla : ABpie approprié.
- Si processus infl. Non spécifi : corticothérap.
Substitution hormonale. Acétate de cortisone 15-20mg%
fractionné pr corrigé l’insuff surrénal P.O, se donne 2/3 le
matin et 1/3 le soir. Insuff.
Pour la fonction thyroïdienne : R/levo-thyroxine ou L-Thyrox S/
100-175 μg/j.
Pour l’insuffisance sexuelle : R/Testosterone forme retard :
TESTOVIRON retard inj.
S/200-400mg toutes les 3 ou 4 semaines.
Chez la femme : créer 1 cycle par Ethyloestradiol 20-50 μg/j
pdt 3 semaine jusqu’à l’obtention de l’hgie de privation puis
relayer par progesterone s/f d’acétate métroxyprogesterone
100mg PO/j/5jrs. Chez d’autre femme on passe au TTT qui vise
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à stimuler les ovaires R/Humegon= à FSH 75-150 UI/IM/J/10J


et on donne une hormone pr provoquer l’ovulation en donnant
HCG=à LH 5000-10000 UI/IM/J 2jrs x 3

SYNDROME DE SHEEHAN

Circonstance d’apparition : insuff. Hypophys globale survenant


chez une femme adulte suite à 1 accouchement difficile
compliqué d’1 hgie importante avec collapsus soit d’un choc
toxi-infectieux et 1 hypotension et irritation au n° de l’H°PA qui

hypophysaire à la période post-partum, difficulté d’allaiter,


atrophie du sein, trouble de règles s/f d’aménorrhée,
hypotension, adynamie mxaire, hypoglycémie, atrophie de
l’endomètre
Traitement : substitution hormonale : voir Simmonds

GOITRE SIMPLE
Complication : compression de la trachée (goitre plongeant)
d’où dyspnée, compression de l’œsophage (dysphagie),
compression du nerf recurent (dysphonie), compression vxaire
interressant le territoire de la VCS et genant le passage du
sang (œdème du visage), processus inflamm=strimite (DD
thyroide), dégénérescence kystique de goitre, dégénérescence
maligne, etat d’hypothyroidie.
Examen : confirm : imagerie, scintigraphie, dosage horm
2°Orientation : glycémie à jeun ou provoquée, lipides totaux,
métabolisme de base, 3°Bilan d’extension : RXthorax :
recherche goitre plongeant, RX thyroi à blanc, scintigraphie :
nodule isofixiant
Traitement : a)°Goitre endémique : 1° chercher à éliminer les
facteurs goitrigène alimentaire, 2°voir s’il y a mariage cosguin,
3°enrichir l’alimentation et H2O de bessoin en iode,
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4°administrer direct d’I2 s/f de solution huileuse retard Lipiodol


500-1000 mg IM/mois prevalence chez l’enfant et femme
enceinte, 5°thyrectomie partielle
b) Goitre sporadique :
1. Anamnèse : éliminer les amiments goitrigène ou
médicamenteux, 2°Lugol 3 à 4x 10à15gtte/j, 3°Levothyroxine
100-170 μg/j, 4°thyrectomie

HYPERTHYROIDIE PRIMAIRE

Hyperactivité thyroidienne : anxiété, nervosité, logorrhée,


tachycardie, palpitation cardiaque, hypersudation,
thermophobie, tremblement digital

MALADIE DE BASEDOWN

Signes majeurs : goitre diffus élastique bilatéral et


symétrique et hypervxrisé : souffle systolique à l’ausculation,
thrill à la palpation
Signes oculaire : élargissement de la fente palpébrale,
exophtalmie, protusion ant du globe oculaire. Exophtalmie
maligne modérée inf 20mm, sévère sup à 20mm
Cardiovxaire : tachycardie, pouls regulier, intoxication du
myocarde, choc de pointe, HTA, insuff cardi terminale, Tble
vasomoteur, bouffée de chaleur, tremblement digital
Signes mineurs : AEG, Tble psychique, tble neuromxaire s/f
de paresthésie, hypereflexie, tble digestif(sialorrhée,
épigastralgie, vomissement diarrhée rebelle aux
antidiarrhéique, hépatomégalie, tble génitaux, transpiration
abondante, tâche de Vitiligo, hyperthermie, thermophobie

EXAMEN COMPLEMENTAIRES
examen de confirmation, 2°dosage de T3 T4 augment, TSH
baisse= hyperthyroidie, 3°Dosage PBI augmenté, 4°
métabolisme de base augmenté, 5°captation thyroid de radio Ig
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augmenté, 6°reflexogramme, 7°excretion urinaire du radio I2


ds les urines de 24-48h basse, 8°glycémie à hyperglycémie,
9°lipides totaux baisse, 10°réticulocyté augmenté, 11°GB
normal, tdce à leucopenie, 12° FL à Lymphocytose.
examen de recherche étiolo : 1°dosage autoAC
(autoAntiC TSH), 2°radioimmuno TSH, TRF, 3° scintigraphie
bthyroidienne
Bilan d’extension
1) ECG, 2)examen oxophtalmique
Diagnostic différent. : 1°hyperthyroidie 2aire

paranéoplasique, 4°tumeur ovarienne, 5°métastase massive,


6°hyperthyroidie iatrogène, 7°thyrotoxicose transitoire
Traitement : déprimer l’hyperstimulation de la thyroide en
utilisant les antithyroidien de synthèse.
Leur mécanisme : -bloque la synthèse de T3, T4 en empêchant
l’organisation de l’iodure, bloque la secrétion de T3, T4, -bloque
la conversion péripherique de T4 en T3
Médicaments :1 Dérivé de la thiodure : Propulthiodure cé de
500mg, dose d’attaque 3x100mg/j, dose d’entretien :
2x50mg/j, ds certain cas graves : 200-600mg/j
2° Derivé de l’Imidazol : méthimazole (capazol=strumazol cé
10mg DA 3x10mg/j, DE 5à 10mg/j/1an en cas d’hyperthyroïdie
grave 30-60mg/j
neomercazol co 1mg :3x10mg/j, carbemazol co
10mg=3x10mg/j
Effets secondaires: allergie, rash, erruption, 2) intolérance
digestive : vomissement, 3)hémato : leucopénie,
agranulocytose, 4) angine à répétition, 5)toxicité hépatique,
6)effet goitrfigène de médicament

Traitement exophtalmie maligne :


1° port de lunette fumées, 2°instiller la solution de
méthylcellulose à 10% + diuretique (esdrex 50 mg/j pdt +rs
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sém pr baissé l’œdème retro-orbitaire. On peut associer


corticoïde (prednisone 60-100mg/j, chez d’autres malades ;
chirurgie, tenter de raprocher les 2 paupières=tersoraphie.
Vise à decomprimer la cavité orbitaire.
Traitement myxoedème prétibial
1°diuretique R/ Esidrex, 2°pommade à application locale ou
corticoïde

GASTRO ENTERO
Prof. MBENDI

1. Marqueur biologique de l’hépatite virale P25 :


Ag HBC, DNA virale circulant, DNA polymerase, Ag HBC présent
ds les hépatocytes.

2. Symptomatologie de la cirrhose : elle est fait de 3


phase :1°la plus longue est assymptomatique, 2°asthénie et
altéraytion de l’état général, 3°phase de complication liée à
l’insuff hépat, HTportale, dégénérescence, ascite, hémorragie
digestive, encéphalopathie

3. Etiologie de la cirrhose :
Alcoolisme à 80%, virus B, C, D, G, cirrhose biliaire 1aire et
2aire, hépatite chronique autoimmune, maladie héreditaire,
stéatose, affection hémodynamique, éffection cardiaque, cause
idiopathique.

4. Diagnostique de la cirrhose :
- Diagnost de certitude : biopsie qui peut se faire par
laparotomie (anapath) percutané
- Diag d’orient :
* échohépatique : foie echogène, présence des nodules,
diamètres de la veine porte sup à 9 mm en cas d’HTP.
* Stigmate d’insuff hépatocellulaire : proteine totale , albu,
prothrombine, fibrinogène
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- Diag étiolo : alcool : gamma GT, VGM augmenté,


hépatite B : Hbs, Ag
hépatite C, AC antivirus Hépatite C biliaire : AC
antimitochondrie, échographie, ferritine augmenté,
seruloplasmine augmenté,

5. Classification de CHILD-PUGH
Paramètres 1 2 3
clini & bio
biluribine 1- 2-3 <3
1,3mg/dl
albumine >35 28-35 C28
ascite Absente Discret et Modéré
inconstant et
constant
Prothrombine > 50 40-50 < 40
encéphalopa Absent Stade 1 Stade 3
et 2 &4

Total : classe A : 4-6

Classe B : 8-9

Classe C : 10-15

Classification d’OKUDA permet d’estimer le pronostic des


patient en utilisant 4 critères : - taille de la tumeur dépassant
50% du volume de foie, -présence d’ascite, -le taux d’album
sérique < 30g/l, -taux d’alb sup. à 30 mg/l

Il ya 3 stades

1°absence de ces critères

2° sprésence d’un ou de 2 critères


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3° présence de 3 ou 4 critères

la moyenne de survie de malades non traité est :

- 8 mois pour le Kc de stade 1

- 2 à 3 mois pr le Kc de stade 2

- qlq semaine pr le Kc du stade 3

Marqueurs tumoraux :

- antigène carcinoembryonaire :se voit svt ds le KC


digestif mais peut aussi accompagné les adénocarcinome de
l’estomac, sein, bronche et utérus

- CA19-9 : antigène circulant carbohydrate qui se comporte


coe antigène carcinoembryonnaire

- CA15-3 : antigène circulant préferentiel au cours du cancer


du sein.

Traitement et complication de l’ascite :

a) bilan préopératoire, poids diurèse, T°, ionogramme sg et


urine, créatinine, appréciation hépatique recherche d’un
poussée évolutive de la cirrhose, dépistage d’un foyer infectieux
pulm, encéphalopathie. B) surveillance clinique et biologique
régulière ; but : apprécier l’efficacité du TTT et déceler les
complications.

1).répos, 2.) Régime alimenatire : -restriction sodée, l’apport


sodé doit être inf. à 500 à 600 mg de Na+ (0,8 à1gr Na+)

-restriction hydrosodée : ingestion quotidienne inf. à 1l d’eau,


elle s’impose ds 2 circonstances :*existance de
potamine,*existance d’une hyponatrémie. 3) les diuretiques, 4)
ponction évacuatrice.
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Complication : hyponatrémie, hypokaliémie, gynécomastie,


réduction de la libido, impuissance sexuelle chez l’homme,
irregularité menstruelle chez la femme, insuff rénale,
encéphalopathie, crampe mx fréquent au cours du TTT.

GYNECOLOGIE

Professeur YANGA

Et Dieu créa la femme.... L'amour toujours

1. Classification anatomoclinique de tumeur ovarienne

A. Tum kystsique

A.1. Kyste fxnel :

- folliculaire

- luthéinique

A.2. Kyste organique

A.2.a Cystadénome

A.2.b Kyste dermoide


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A.2.c Kyste endocriniens : Tum. Granulomateuse et thèque


interne, - tumeur solide

2. Kyste fxnel : nait au n° de l’ovaire par hyperfonctionnement


hormonal du tissu épithélial de l’ovaire (surtout corps jaune) : 2
types

a) KF d’origine épithélial du follicule de Degraf avant ovulation

Etiol : production important d’œstrogène, Clinique : c’est 1


Kyste cyclique ; apparaît avant les règles et disparaît après les
règles. Hypermenorrhée, bcp de glaire cervical à l’examen, T°
basale inf à 37°C.

b) KF luthéinique : se manifeste cliniquement par : troubles des


règles : hypomenorrhagie, pas de glaire cervicale, T° basale
sup à 37°, persistance du corps jaune

3. Kyste organique : s’accompagne de svt de la stérilité ou


féminisation précoce. – chez la petite fille : règles régulière,
seins bien développés, poils pubiens. Chez la grande fille il y
déféminisation, virilisation, - A la 3ème âge il y a :
rajeunissement inquiétant, réveil de libido, glaire normale,
redressement des seins, humidification du vagin

4. Influence de la grossesse sur le myome : le myome


augmente rapidement de volume pdt la grossesse :
conséquence : nécrobiose, Torsion.

Influence de Myome /Etat gravido puerpérale :

Sur la grossesse il ya accouchement prématuré car il ya :


défaut de pointure, mauvaise vascularisation, compression,
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épine irritative. RCIU.

A terme : il ya torsion axiale de l’utérus gravide.

Au cours du travail on a : dystocie dynamique, dystocie


mécanique, risque de la RU, Hgie, rétention du placenta.

Dans la suite de couche : retention du placenta, atonie, maladie


thromboembolitique.

Dans la suite de couche lointaine : retard d’involution utérin,


infection de myome intracavitaire.

5. Synéchies : résultat d’une mauvaise pratique d’obstétriciens


et gynécolo. = symphyse intrautérine=adhérence
intrautérine=syndrome de CHERMAN.

Déf : c’est l’accolement total ou partiel de la paroi utérine soit à


1 traumatisme ou à une maladie infectieuse.

Etiol : curetage ds le post-partum, après les règles, abortif,


intempestifs, myomectomie, césarienne.

Causes médicales : TBC

Signes cliniques : -trouble de règle, aménorrhée,


hypomenorrhée, -dlrs cyclique, -hypomnorrhée associé à la
dysmenorrhée, -stérilité 2aire à 1 curetage, -avortement à
répétition, -accident au cours de l’avortement.

6. Dans quel cas on aura la douleur cyclique s’il ya synéchie ?

C’est lorsque la synéchie est totale au niveau du col.

TTT : 1°voie basse : pr de synechies non chirurgicale


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-dilatation au bougie d’Egart, - laisser en place 1 DIU ou 1


stérilet, -donner les pillules pdt 4 mois pr favoriser la
prolifération de la muqueuse.

2°Voie haute : ciel ouvert=ventre ouvert

-forage pour former 1 autre cavité utérine

Examen paraclinique : 1°RX, Coelioscopie, HSG, Echo,


Hystéroscopie, test hormonal.

7. Malformation du vagin

-Absence du vagin et cloisonnement vaginal

Absence du vagin : provient de l’absence des canaux de Muller.

Clinique : le diagnostic est fait par le médecin, famille le


partenaire. Souvent à la puberté 80% et après le mariage 10-
20%, l’absence peut être partielle ou totale.

Anamnèse : aménorrhée primaire, impossibilité d’accomplir


l’acte sexuel, douleur pelvienne, stérilité.

8. Forme ou types :

1. syndrome de Rekitanski Custer Heuser : absence


du vagin, utyérus représenté par des cornes rudimentaires,
ovaire petits parfois normaux, trompe + ou – formées.

2. absence congénitale isolée du vagin : ovaire,


utérus et trompe normaux. Vagin est absent à 50% ou en
totalité

3. le syndrôme de féminisation testiculaire de


Morris : pas de vagin, pas d’utérus, présence d’un testicule
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dans la region inguinale ou ds la racine de grandes lèvres : ces


sont des femme illusion, elles sont en générales jolies avec une
poitrine très enviables

cloisons :

a) cloisons longitudinales ou antéro-postérieure : complète


2 cols et 2 vagin qd c’est et incomplète et perforé

b) cloisons transversales : complète ; elles sont bruyante et


incomplète ou perforé.

Professeur NGUMA

1. classification clinique de cancer du col selon FIGO.

Tient compte de 3 élts :

Clinique, Histologie, Radiographie.

5 stades :

stade 0 : stade précancéreux ; carcinome in situ.

Clinique ne montre rien

Biopsie : cancer intraépithélial.

Stade I : Stade Ia et Ib

Ia : infraclinique, pas des manifestations

Clinique : ni objective, ni subjective, pas d’hémorragie

Biopsie donne un carcinome microinvasif càd présence de


cellules cancereuse au delà de la couche basale mais pas en
profondeur.
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Ib : hémorragie de contact

Clinique :utérus indolore, paramètres libre et souple, dôme


vaginale souple et libre, pas d’extension au niveau des organes
voisins

Biopsie : carcinome invasif vrai

Stade II : palpation en dehors du col au TV. NB :le TV se fait


s/anesthésie chez les obèses.

Stade IIa : extension du cancer au niveau de la paroi vaginale


càd le cancer s’étend ds la zone occupée par le 2/3 sup du
vagin

Satde IIb : l’induration se trouve au niveau des paramètres et


n’atteint pas la paroi pelvienne (d’1 côté ou de l’autre)

Stade IIIa : l’induration atteint complètement la paroi vaginale


ou atteint la paroi pelvienne.

Stade IIIb : commence à atteindre l’arbre urinaire ; uretères ;


hydronéphrose

Satde IVa : atteinte locorégionale des organes pelvienne


voisins au col (vessie, rectum) induration au niveau de la
vessie et/ou rectum

Stade IVb : Présence de métastase à distance.

2. Diagnostic différentiels : se fait en fx de observation


loco-régionales

- leucorrhée

- hémorragie
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1. cervicite chronique

2. polype, myome récent, condylome.

3. carcinome glandulaire

4. TBC

3. Diagnostic

I. moyens d’orientation

1. Moyens de depistage systèmatique

- frottis oncologique càd on prélève les cellules avec


spatule AYRES qu’on étale sur lames et qu’on fixe avec l’alcool
éther

2. anamnèse

3. examen clinique

4. examens paracliniques

- biopsie

- coloscopie

- test de SCHILER : conciste à badigeonner le col.


L’endroit où le col se sera pas coloré traduit la perte de
substance d’où présence de cancer

- hystéroscopie ou cervicohystéroscopie

II. Moyens d’extension

- TV
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- Paraclinique : UIV, Echopelvienne, scanner classique,


IRM, cystoscopie

4. Traitement

En fx du stade et certaines situations particulières (âge, besoin


de conception)

Stade 0

TTT est soit classique, soit concervateur

Conservateur : tient compte de l’élt de besoin de conception :


surveillance accrue (frottis oncologique)

- amputation du col (verticale ou horizontale).

- Conisation

- Laserothérapie

· Femme âgée : CAT : hystérectomie totale ou


intrannexielle (personne jeune)

· Si ménopause : CAT : hystérectomie total et radiculaire

Satde I : hystérectomie totale radicale avec curage


ganglionnaire.

Stade IIa : Hystérectomie totale radiculaire élargie avec curage


ganglionnaire. (techn. De WERTHEM.

5. Traitement combiné (RDC + amérique)

Stade I à IIa :

1. radium thérapie + repos de 6 semaines


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2. opération de WERTHEM (hystérectomie totale radicale


élargie avec curage gglinnaire juste après le repos.

3. cobaltothérapie juste après 6 semaines de guérison.

Stade IIb :

- chimiothérapie

- radium thérapie + cobalto thérapie

Stade III :

- chimiothérapie

- radium thérapie + cobalto thérapie

- radiothérapie.

6. Vulve : classification TNM

T1 : diamètre inférieur à 2 cm, Tumeur in situ

T2 : diamètre supérieur égal à 2 cm, tumeur in situ

T3 : atteinte des organes voisins (urètre, vagin)

T4 : tumeur en profondeur atteignant l’os ischion

N0 : pas des ganglions

N1 : ganglions perceptibles mais moue

N2 : ganglions perceptible, fermes et mobiles

N3 : ganglions perceptibles dures et immobiles

M1 : métastase en profondeur

M2 : Métastase à distance

Stade 1 : T1 N0 ou N1
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Stade 2 : T2 N1

Stade 3 : T3, N0 ou N1 ou N2

T1, N2

T2, N2

Stade 4 : T4, N3, M

Si N2 pour tous T = stade 3

Si N3 pour tous T = stade 4

Traitement : Préventif : hygiène, bon TTT de MST bénigne.

Curatif : si TIS :

- enlever la tumeur, - badigeonner la tumeur de produit


chimiostatique, -Laserothérapie, vulvectomie.

- Phase invasif : TTT carcinologique en fx du possibilité


locale, chirurgie plastique (vulvectomie avec curage gglionaire)
+ chimiothérapie (métotrexate + adryamycine.

7. Vagin : classification :

Stade 0 : Tumeur in situ, TV : normal

Stade 1: induration strictement au n° de la paroi vaginale svt


postérieure, baisse de l’élasticité.

Stade 2 : invasion de tissu avoisinant jusqu’au n° du col et


périnée

Stade 3 : atteinte de la paroi pelvienne et du ligament large.


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Stade 4 : locorégionale : muqueuse vésicale et rectal atteints,


EG baisse.

8. TTT : en fx du stade : tumeur in situ : biopsie +


surveillance. Au stade invasif ; stade 1 ou 2 : chirurgie et
RXthérapie.

Chirurgie : si le Kc est dans la partie sup. du vagin on fait


l’hystérectomie radicale + annexe et ovaire. Si gglion
atteints : RXTTT profonde ; colbatothérapie.

Si KC se trouve ds la partie inf. on fait 1 TTT pareil au TTT Kc


de la vulve : vulvectomie élargie on enleve la partie proximale
du vagin atteint.

Satde 3 et 4 : RXthérapie : cobaltothérapie.

8. Cancer du col + grossesse

1ère trimestre : arrêter la grossesse puis chimiothérapie et


radiothérapie

2ème trimestre : prolonger la grossesse, césarienne,


radiothérapie, hystérectomie

3ème trimestre : césarienne, TTT cancereux.

N.B :TTT en rapport avec le stade du tumeur

9. Cancer du col restant

Femme à haut risque : surveiller le col restant car il y a


probabilité de récidive.

Stade 0 : enlever le col


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Si au stade IIa : radiumthérapie intracavitaire et faire


laparotomie ou la coeliochirurgie.

10. Classification histogénétique d’1 cancer de l’ovaire

- Carcinome ovarique

- Les sarcomes

- Tératome malin

- Dysgerminomes

- La tumeur hormonale fonctionnelle

Professeur ZINGA

1. Courbe de température : - mise en évidence à priori


d’une ovulation, -évoquer une insuffisance lutéale.
2. Etude de la glaire : on cherche à voir si la glaire a
tous les caractéristiques prés ovulaire, ex en cas de test
post-coïtal, on évalue la présence de spermatozoïde leur
comportement et leur survie
3. biopsie de l’endomètre : voir si la date coïncide avec
la date clinique, si existe une inflammation de l’endomètre, si
existe hyperplasie.
4. coelioscopie : diagnostic et traitement de stérilité
féminine organique et fonctionnelle.
5. HSG : exploration de la cavité utérine et de la
trompe dont elle explore la perméabilité, et précise le siège
et le degré d’obstruction.
6. Dosages hormonaux :
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II. test de schiller : indication, principe et intérêt


a) principe : l’épithélium malpighien du col contient du
glycogène. Lorsqu’il est normal et est soumis à une
imprégnation oestrogénique suffisant, il se colore en brun
par la solution de lugol.
b) Intérêt : étude de la coloration du col après une
application d’une solution de lugol.
c) Indication : -localisation des lésions et guide la
biopsie, -métrorragie, en particulier saignement de contact, -
si col apparaît anormal à l’œil nu

III. Citez les indications de HSG (au moins 3)


1. stérilité
2. recherche endométriose
3. diagnostic de douleur pelvienne
4. diagnostic des malformations congénitales

IV. coelioscopie : indications


1. examen ultime de l’exploration organique et
fonctionnelle de l’infertilité
2. exploration en cas de –suspicion d’1 GEU, -masse
ovariennes, -Cancer ovarienne tordu.

V. citer quelques paramètres exploités dans l’étude du


spermogramme.
-Nbre, motilité, % des spermatozoïdes anormaux

VI. Biopsie de l’endomètre


Indication :
- infertilité pour dater l’endomètre,
- dlrs et troubles menstruels : a) spanioménorrhée :
hyperplasie et atrophie. b) Menométrorragie : hyperplasie
endometriale simple, hyperplasie adenomateux, polype
endomètriale, myome sous muqueux, atypie cellulaire,
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cancer de l’endocol.. c)dlrs d’aménorrhée


perimenopausique : insuffisance oestrogénique

VII. Technique : généralement le prélèvement se fait par un


gynécologue soi t par un médecin en ambulatoire au cour
d’une consultation classique au préalable (date de naissance,
dernier règle, jour du cycle). TV pour vérifier l’orientation de
l’utérus, désinfection vulvovaginale, poser le spéculum, mettre
la pince de POZZI sous le col, traction vers le bas pr réaliser
l’angulation utérine, introduction de l’hystéromètre pour évaluer
la longueur de l’utérus, introduction de la currete ds la cavité et
prélèvement d’un coup sec, fixation du prélèvement ds le
formol pr l’anapath.
Resultat :
- La maturation de l’endomètre : en phase folliculaitre
l’endomètre est proliferative en raison de l’abondance de la
mitose, en phase luthéale la muqueuse prend la forme
secrétoire.
- Endométrite en cas d’infection
- Hyperplasie qui traduit un déséquilibre hormonal

VIII. courbe de Température : but : mettre en évidence à


posteriori une ovulation.
Techni : prendre la T° tous les jours (rectal, buccale, s/ avec un
thermomètre à Hg, le matin au reveil avant toute activité à la
même heure de preference. Ecrire la T° sur une feuille et noter
le J1 du cycle.
Résultat : 1)courbe de T° normale : biphasique
Phase folliculaire : T° est basse entre 36,6-36,7
Phase d’ovulation : la T° s’élève de 5 à 8 dixièmes entre 24-
48h.
Phase lutéale : T° supérieure à 37° durant au moins 14 j
plateau thermique
2) Courbe anormale : monophasique pdt tout le cycle,
biphasique : influence lutéale
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Indication de la courbe de T°
- déterminer la période de fertilité
- dépister le trouble de l’ovulation
- programmer les explorations fonctionnelles
- en cas de retard de règles
- ds un traitement d’inducteur de l’ovulation en jugeant les
résultats

IX. Hystéroscopie : examen de la cavité utérine. Intérêt


diagnostic et TTT.
Tech : distendre au préalable par un milieu gazeux ou liquide.
Résultat : normale : permet de voir le défilé cervical, cavité
utérine orifice tubaire.
Diagnostic pathol. : hyperplasie, polype muq ou fibreux,
myome s/muq, synéchie, malformation, pathologie de l’ostrium

X. Echographie : précise l’anatomie des différents organes


pelviens et leurs pathologies éventuelles. Examen pr le
monitorage de l’ovulation, surveillance de la croissance
folliculaire de l’endomètre, de la vascularisation utérine
dépistage du risque d’hyperstimulation et de la grossesse
multiple, détermine l’implantation de l’œuf, son caractère
unique ou multiple et précise le pronostic
Prof. KITENGE

1. Définissez la Grossesse ectopique ?


Grossesse qui se développe sur n’importe quel tissu outre que
la muqueuse qui tapisse la cavité utérine. Au départ la
grossesse est ectopique pcq’elle commence au niveau du tiers
externe da la trompe.

2. Donnez les différentes localisations de la GE.


Interstitielle, isthmique, ampullaire, infundibulaire, ovarienne,
abdominale, cervicale, intraligamentaire, corne utérine.
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3. Pathogénie de la GE
Est mal connue, mais on sait que la trompe joue un rôle
important par laquelle la GE survient de façon étonnante chez
les femmes traitées pour stérilité et TBC génitale.

4. Evolution ou terminaison possible de la GE tubaire ?


Se fait vers : la môle tubaire, l’avortement tubaire, rupture
tubaire ou une érosion tubaire. (MARE)
a) Môle tubaire : est un œuf mort retenu dans les parois tubaire
entouré des caillots de sang.
b) Avortement tubaire : est une rupture intratubaire créant un
orifice par lequel l’œuf glisse dans la cavité
abdominale=avortement tubo-abdominal.
c) La rupture tubaire : est le résultat de l’érosion par le
trophoblaste ainsi que la surdistension de la paroi tubaire
par l’accroissement du volume de l’œuf.
d) l’érosion tubaire : quand la paroi tubaire au lieu de céder à la
poussée de l’œuf et d’éclater, cède lentement à sa poussée et
l’œuf glisse lentement sans perdre ses attaches avec la trompe
dans la cavité abd.

5. Donnez la symptomatologie da la Grosse tubaire non


rompu et quels sont les examens cliniques et paracliniques,
diagnostic.
Sympt. : Retard des règles, Métrorragie, douleur qui siège ds
l’un de cadran de l’abd., irradiation vers dos, hanche, cuisse
correspondant.
Autres manifestations : lipothymie, tendance à la syncope,
signes subjectifs et objectifs de la gestation.
Clinique : anamnèse : stérilité antérieure svt traitée, GE, 1 ou
+++ avortement provoqués, intervention gynéc pour GE.
Examen gynécol : D+ unilatérale à la palpation, utérus
augmenté de volume, ramolli, l’existence d’une masse latéro-
utérine sensible ou douloureuse.
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Examen générale : pâleur, conjonctives décolorées,


accélération du pouls, ballonnement sus-pubien, légère
élévation thermique.
Examen paraclinique : 1) hémogramme : FS=anémie,
leucocytose 15.000. 2) test de grossesse : dosage de
B1SP1glycoprotéine, protein I ou PAPPL-C. 3) RXAAB face et
profil, 4) échographie, 5)coelioscopie.

6. Traitement de la GE
Chirurgical : opération d’urgence. Les modalités différent
suivant les stades évolutifs, le passé gynéc et obstrét.,
maternité, l’état tubaire controlatéral.
a) la réanimation : remplissage vasculaire
b) TTT chirurgical : conservateur : salpingectomie partielle
avec reimplantation tubaire, mutilant : salpingectomie
totale.

7. qu’entendez-vous par rupture tubaire, avortement tubaire,


hématosalpinx, grossesse abdo secondaire ?
a) hématosalpinx : est une poche sanguine à paroi
mince remplie de caillot à l’intérieur de la trompe.
b) Grossesse abdo.sec. : Lorsque l’œuf peut se
réimplanter après avortement tubo-abdominal ou à partir de
la grossesse ovarienne.
c) Rupture tubaire : est le résultat de l’érosion par le
trophoblaste ainsi que la surdistension de la paroi tubaire par
la croissance de l’œuf.

8. donnez la déf., la clinique et le terme de Missed


abortion ? (l’avortement) :
a) l’avortement est l’expulsion du produit ovulaire
pesant moins de 500gr ou à défaut un fœtus âgé de moins
de 22 semaines d’aménorrhée.
b) Missed abortion : est la rétention pdt plus de 2 mois
d’un fœtus mort in utero.
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Cause : on n’en connaît pas mais il semble qu’il soit dû à une


anomalie du mécanisme endocrinien responsable des
contractions utérines qui peuvent donc expulser le
fœtus mort.
Clinique : arrêt de croissance utérine
Sympt : hemorragie de peu d’existence
TTT : forte dose d’œstrogène + ocytociques (10 à 50UI pour
contracter l’uterus.

9. Qu’entendez-vous par avortement et donnez la


classification :
Avortement : cfr N°8
Classification : 2 types : avortement spontané et provoqué.
Avort provo. :- avort. Thérapeutique ou eugénique, -avort.
Criminel ou clandestin, - IVG.
Avort.thérapeutique : provoquer ds le but de soustraire la mère
du danger que la grossesse est censé lui faire courir.
Avort.spontané : est celui qui vient de lui-même en dehors de
toute entreprise locale ou générale.
Avort. Clandestin : est l’interruption volontaire d’une grossesse
non désirer de manière clandestine non autorisée par les
dispositions légales.
IVG : est un avortement sur ordonnance utilisant le PGE2 ou
pillule RU 486 dans les pays où l’avortement a été légalisé.

10. qu’entendez vous par avortement spontané et en


combien de temps se déroule t-il ?
Expulsion sans raison apparente d’1 fœtus mort, vivant ou
mourrant, selon l’âge de la grossesse, on a l’avortement
précoce et tardif.
Précoce : intervient entre 10-12ème S
Tardif : intervient entre 13ème S
C’est dans l’avortement précoce qu’on trouve 2 phase :-
menace avortement, - avortement proprement dit.
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11. donnez la différence entre l’avortement spontané et


avortement provoqué du point de vue clinique, pronostic,
avenir et social ?
clin : l’essentiel ds l’avortement spontané est de trouver sa
cause tds que l’avortement provoqué, c’est la surveillance de
ses suites qui s’imposent.
Pronostic : -av spont : évolution bénigne
-av. prov : complication
Avenir : la répetition de l’av prov dépend du mobile
La rép de l’avort spont fait parti du caractère même
de l’avortement.
Social : av.spot est une maladie
Av prov est la suppression volontaire d’1 embryon.

12. quelles sont les causes de l’avortement spontané ?


réponse : MIGEMIV
causes : mécaniques, immunologiques, génétique,
endocrinienne, métaboliques, infectieuses, vasculaires.

13. béance cervicale fxle:


c’est une manifestation clinique de la béance survenant en
l’absence de tout facteur étiologique sans support anatomique
(provoqué par l’épreuve fxle de la grossesse)

14. donnez les accidents hémorragiques d’une grossesse


ectopique ?
hematosalpinx, hématocèle retroutérine, hématocèle
latéroutérine, hématocèle peritubaire, inondation péritonéale.

15. Donnez les signes cliniques et TTT de l’avortement


provoqué ou volontaire ?
Clinique :
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Signes fxnels : 1) hémorragie : simple suitement, sang rouge.


2) écoulement du liquide amniotique, 3) douleur continue
hypogastrique et lombaire

Signes généraux : 1) atteinte de la face, 2) pouls rapide, 3)


hypothermie

Signes physiques
-Col utérin (long ou court, fermé ou ouvert)
-Le doigt perçoit une partie du fœtus ou le cotylédon
-isthme normal, distendu
-corps utérin augmenté de volume.

16. complications de l’avortement provoqué et TTT


1) complications immédiates : hémorragie, perforation
utérine lors de l’introduction de la bougie ou curette pour
dilater le col, mort subite.
2) Complications modérées : hémorragie modérée,
infection utéro-ovulaire, pelvipéritonite, abcès du douglas,
salpingite, phlegmon du ligament large
Complication générale : septicémie, choc bactériemique.
3) Complication à long terme : stérilité, troubles
menstruels, lésions inflammatoire chroniques résiduelle,
conséquence obstetricales psychiques, sequelle
psychiques : obsession, hallucination, agitation
TTT : -compenser l’anémie avant toute manœuvre,
-évacuation utérine avant.
1) avant l’expulsion :
- hémorragie cataclysmique : curettage immédiat
- hémorragie minime : - R/antispasmodique +AB
- examen complet pr confirmer si la grossesse vit
encore ou non.
2) après l’expulsion : curettage pour arrêter l’hémorragie.
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17. Quelles sont les conséquences obstétricales de


l’avortement provoqué ?
-grossesse ectopique, avortement à répétition ou
accouchement prématuré, insertion basse du placenta, placenta
acreta, rupture utérine par désunion d’une cicatrice ancienne.

18. Donnez les complications de l’interruption médicale de la


grossesse ?(IVG)
Toutes les complications de l’avortement provoqué sont
possibles mais à un moindre degré.
a) complication per-opératoire : destruction de la
protection du contenu, fausse route crée par la bougie
d’hegar, hémorragie, mort subite
b) complications secondaires : hémorragie par rétention
placentaire, hemopéritoine, infection immédiate.
c) Complication tardive : rétention ovulaire négligée,
endometrite, septicémie.
d) Complication à long terme : stérilité, trouble
menstruels, lésion infl. Chronique, conséq obstét.
Psychiques

19. Quelle est la différence entre une môle et un


choriocarcinome ?
Môle : œuf pathologique caractérisé par la formation des
villosités kystiques et par un processus d’une hyperplasie de
l’épithélium et des dystrophies du tissu conjonctif et par un
dysfonctionnement vasculaire.
Choriocarcinome : tumeur maligne du placenta dvpée au
dépend de l’épithélium du chorion ovulaire et envahissement de
l’organisme maternel. Elle est topographiquement primitive et
histologiquement secondaire à l’utérus pcq c’est la
cancérisation de l’utérus par un tissu étranger vivant.

20. Donnez les caractéristiques micro et macrosc de l’œuf


molaire ?
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Macroscopie :
-masse formée d’une multitude de vésicule dont la taille varie
() 2mm à 3cm, - ne se communiquent pas entre elles, -elles
sont relié par des fins filaments, -leur confluence évoque une
grappe de raisin, -elle st parfois recouvertes d’1 caduque
épaisse appelée MOLE ENCAPSULEE.
Microscopie : les villosités plantaire normales sont centrées sur
un axe conjoctivo-vascu et on observe une artériole noyée et 1
veinule ds un tissu conj dense.- elle est volumineux,
avasculaire, la couche cellulaire de langhans et
plasmodiale(activité proliférative intense), augmentation du vol
par la surdistension du liquide à l’intérieur, les villosités
s’organisent autour des couches conjonctives, œdème
important.

21. Donnez les signes cliniques de la grossesse molaire ?


étiologie ?
a) Etiologie : malnutrition au cours de la grossesse,
grossesse fréquence en âge avancée, TBC génitale
b) Cliniques
Signes fxnels : hémorragie nau cours du 2ème et 3ème mois (+
important utérus en accordéon), exagération des signes sympt
de la grossesse,
Troubles digestifs : nausée, vomissement, sialorrhée
Troubles nerveux : insomnie, agitation, crampes, trouble
psychiques.
Trouble rénaux : albuminome
Signes généraux : pâleur, vertige, anémie, amaigrissement
(toxémie av 23ème S), œdème léger, sels biliaires dans les
urines.
Signes physiques : utérus plus gros, que l’âge de la grossesse
(utérus en accordéon), évacuation des grappes de raisin
(avortement molaire en cours), sgt inf trop bombant, kyste
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lutéinique bilatéraux, douleur, hémoptysie, embolie pulmonaire,


dyspnée.

22. Donnez les différentes formes cliniques de la grossesse


molaire ? Diagnostic, diagnostic différentiel ?
Forme : - monosymptomatique, -môle morte, -môle partielle, -
môle embryonné, -l’altération molaire
Diagnostic :paraclinique : -ECG fœtal, -les ultrason à BCF, -
Echotomographie :cavité utérine remplie :image en flacon de
neige, augmentation de HCG, diminution de PAP (isoenzyme)
Diagnostic différentiel : ménace d’avortement, grossesse
ectopique gestose émetisante, Néphrite (présence d’albumine
ds les urines)
TTT : évacuation utérine, ocytocique, ATB, surveillance
biologique par dosage de HCG.

23. Quel est le diagnostic différentiel entre la môle et la


menace d’avortement ?
Menace d’avortement : col long et fermé, suintement
serosanguinol, petite metrorragie, retard de chgt utérin ou pas,
douleur médiane, HCG : normal
Môle hidatiforme : métrorragie, EG alteré, gros utérus, kystes
ovariens, HCG sup 80.000UI, utérus en accordéon, hémorragie
(2° et 3° semaine) mois.

24. quelle est l’évolution d’un môle hidatiforme ?


Généralement vers le 4ème mois, la môle se termine par un
avortement annoncé par des hémorragies.
Les caractéristiques : avortement hémorragique altérant l’EG,
avortement parcellaire, môle morte svt expulsée.
Malgré les complications, une môle traîtée, guerit ds la majorité
de cas : disparition des kystes lutéiniques lentement, suitement
sero-sang lent, durée prolongée des kystes lutéiniques par
rétention des résidus.
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25. Quelles sont les suites ou la surveillance d’une môle


hidatiforme ?
C’est une période de surveillance qui est clinique et biologique.
Clinique :la guérison est de règle au bout de 7-8sem,
Disparution de tous les signes
Biologie : dosage hormonal pdt 2ans : 1ère année : dosage tous
les 3 mois, 2ème année : dosage de ICG tous les 6 mois, après
la négativation de ICG,

26. quels sont les signes cliniques d’un choriocarcinome


Signes fxnls : hémorragie (1er signe et le + important), elle est
indolore, irrégulière.
Signes généraux : anémie, amaigrissement, dyspnée
Signes physiques : utérus peu augmenté de vol., consistance
molle et col entr’ouvert, kystes ovariens.

27. donnez les formes cliniques d’une choriocarcinome & ses


complications ?
a) Formes : choriocarcinome succédant à un accident ou
avortement d’apparence banal,
Formes suivantes les symptômes : forme aigue, hémorragique,
forme dominée par des métastase.
Forme tardive
Suivant le siège : chorioc des trompes, chor.ectopi.
Môlen maligne.
b) complications : métastases pulmonaires, métastase
vaginales.

28. TTT du choriocarcinome :

a) TTT médical :
- methotexate : 2x10-30mg/sem/3-6 semaines. –Actinomycine
D en cas d’echec de MTX ou en cas d’IR 7-12 μg/Kg/5j
b) TTT chirurgical : Hystérectomie + castration
c) Rxthérapie si échec de la chimiothérapie.
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29. Comment se déroule le mécanisme physiopath de


l’infection au cours de la grossesse ?
L’œuf jouit d’une 2 protection : méc et biologique.
- la protection méc est assurée par le bouchon muqueux
cervical contre les infections ascendantes, le placenta contre
les bactéries d’origine sanguine.
- La protection biol se fait par les AC maternel qui passent
chez le fœtus dès l’établissement de la circulation foeto-
maternel.

30. Choriocarcinome circonstance d’apparition


Tumeur rare das les pays occident. 1/15000 grossesse elle
assez fréquent en Asie 1/1300 grossesse. Elle ne peut être que
primitive mais ds bcp de cas après avortement molaire. HERTIG
pare de 50% de cas survenant après 1 avortement molaire tdq
25% de cas est une complication d’un avortement banal, 22%
après 1 accouchement et 2,5% après une grossesse ectopique.
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EXAMEN DE REANIMATION Ière SESSION 2007-2008


1. Pourquoi utilise t-on l’adrénaline dans la réanimation
spécialisée ? Quelles en sont les voies d’administration ?

2. Quelles sont les modifications physiologiques de la


ventilation artificielle ?

3. En cas d’une intoxication médicamenteuse, quel est le


traitement épurateur ?

4. Critères de transport d’un patient en cas de catastrophe

EXAMEN DE NEUROLOGIE Ière SESSION le 15 Décembre


2009(2007-2008)

PROF KAZADI

Landu âgée de 12 ans souffre d’une oto-mastoïdite droite avec


fièvre et hallucination audio-visuelle humaine. Elle présente en
outre un déficit partiel moteur gauche.

Examinez le sur le plan :

Reflexe ostéotendineux (ROT) :


Reflexe bicipital (RB) :
Reflexe rotulien (RR) :
Reflexe achiléen (RA) :
Reflexe cutané plantaire (RCP) :
Diapason
Weber :
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EXAMEN DE NEUROLOGIE 1ère SESSION 2007-2008


(15Déc 2009)

PROF. KAYEMBE

SERIE A

1.Prise en charge (diagnostique et thérapeutique) d’un AVC de


nature occlusive (ischémique) d'un patient ayant présenté un
accident ischémique transitoire (AIT) dans le territoire
basilaire.

2.Une patiente de 37 ans, mariée, mère de 4 enfants,


paysanne, travaillant au champ situé près d’une
gallérieforestière le long d’une rivière.

Plaintes :

 Depuis 3 mois, fatigue généralisée, amaigrissement, fièvre


persistante malgré la prise d’antipaludéens et
d’antipyrétiques ;
 Depuis un mois, apparition d’une somnolence diurne et
d’insomnie.

Antécédents :

 Opérée d’appendice à l’âge de 18 ans ;


 Souffre souvent de malaria.

Examen neurologique :

 TA : 11/7cmHg, FC : 80bpm, T° : 38°C


 Conscience lucide,
 Fonctions intellectuelles : dyskinésie, langage lent,
ralentissement idéomoteur,
 Atteinte du nerf VII central gauche,
 Nuque raide en fin de flexion,
 Barré positif au niveau des membres supérieurs et
inférieurs gauche
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Question :

Donner :

 Les diagnostics (syndromiques, topographiques,


étiologiques, nosologiques) ;
 La conduite à tenir (CAT) :
- Du point de vue diagnostic,
- Du point de vue thérapeutique.

SERIE B

1.Prise en charge (diagnostique et thérapeutique) de la


Toxoplasmose cérébrale

2.Un malade de 58 ans amené en urgence aux soins intensifs


par sa mère

Plaintes :

 Depuis ce matin, fatigue conscience obnubilé, bouche


déviée tirant vers la gauche ;

Antécédents :

 HTA depuis 15 ans (souvent aux environs de 180/120


mmHg) ;
 Diabète depuis 10 ans.

Examen neurologique :

 Conscience obnubilé, ne peut s’exprimer (difficilement dit


qu’il a des céphalées intenses et nausées ++)
 Atteinte du nerf VII inférieur droit,
 Barré et Mingazzinipositifsà droite.

Question :
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Donner :
 Les diagnostics (syndromiques, topographiques,
étiologiques, nosologiques) ;
 La conduite à tenir (CAT) :
- Du point de vue diagnostic,
- Du point de vue thérapeutique.

SERIE C

1.Prise en charge (diagnostique et thérapeutique) de la


Méningo-encéphalite due à la TBC

2.Une jeune fille de 20 ans, antécédents sans particularités, se


présente pour une fatigue musculaire intense et généralisée dès
le moindre effort, vision floue et difficulté de respirer.

Examen clinique :

 Ptose palpébrale surtout à l’œil droit,


 Dyspnée,
 A l’examen de la motricité de façon symétrique difficulté
croissante à exécuter les épreuves de Barré et Mingazzini.

Question :

Donner :

 Les diagnostics (syndromiques, topographiques,


étiologiques, nosologiques) ;
 La conduite à tenir (CAT) :
- Du point de vue diagnostic,
- Du point de vue thérapeutique.
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PROF KAZADI

1.Landu âgée de 12 ans souffre d’une oto-mastoïdite droite


avec fièvre et hallucination audio-visuelle humaine. Elle
présente en outre un déficit partiel moteur gauche.

Examinez-le sur le plan :

Reflexe ostéotendineux (ROT) à droite et à gauche


 Reflexe bicipital (RB) :
 Reflexe rotulien (RR) :
 Reflexe achiléen (RA) :
Reflexe cutané plantaire (RCP) à droite et à gauche
Diapason à droite et à gauche
Weber à droite et à gauche

2.Qu’attendez-vous des examens suivants :


 CT-Scan de mastoïde
 EEG
 Ponction lombaire (Protéines totales, éléments)

EXAMEN DE NEUROLOGIE 2e SESSION 2007-2008 (26 Mai


2010)

PROF. KAYEMBE

SERIE A

I. Définir :
a. Sommeil paradoxal
b. Démence

II. Différence entre l’épilepsie essentielle (idiopathique) et


épilepsie symptomatique.
Décrivez-en la prise en charge
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a. Du point de vue du bilan paraclinique


b. Molécules (médicaments) à utiliser

III. Citez les manifestations ou entités neurologique du


SIDA

PROF KAZADI

Robert se sent, depuis quelques mois, ivre à la marche.

La marche est …………………………………………………….et tirée vers la


droite

Il décompose le demi tour…………………………………………….et tombe


(Vrai ou Faux)

Le nystagmus y est………………………………………………………….

Le Romberg y est présent (Vrai ou Faux)

La marche est fauchante à gauche

La parole est…………………………….

Les reflexes ostéotendineux sont……………………à droite


et…………………………..à gauche et le tonus…………………….à droite et
……………………………………………..à gauche

Localiser la lésion :
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EXAMEN DE MEDECINE AERONAUTIQUE

1. A 4500 m d’altitude l’hypoxie hypoxique est compensée


incomplètement. Citez et expliquez brièvement les
principaux facteurs respiratoires, cardiovasculaires et
sanguins qui y contribuent.

2. Donnez les effets des G positifs sur l’organisme humain en


vol.

3. Décrivez le mécanisme pathogénique de la thrombose


veineuse profonde en voyage aérien.

4. Quels sont les risques en vol et les mesures aéromédicales


recommandées pour le transport aérien des affections
cardio-vasculaires évolutives et / ou sévères ?

5. Donnez les paramètres et les principes de composition de


l’équipe médicale de convoyage aéromédical a cours de
l’EVASAN collective
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Examen de chirurgie spéciale D2 Bm Ière session (30


nov. 2009)

I. ORTHOPEDIE (Prof MUTOMBO DA PUNGU)


1.Mal de Pott :
Les lésions anatomiques ;
L’évolution et complications

2.L’ostéomyélite chronique :
Les lésions anatomiques ;
Les signes radiologiques ;
Décrivez brièvement les 3 temps de Papineau.

II. DIGESTIVE (Dr VEYI)


1. Les indications de chacune des méthodes thérapeutiques
de la perforation d’un ulcère gastrique ;
2. Expliquez la kystoanastomose en cas de pseudo kyste du
pancréas, quand on sait que le kyste n’a pas de paroi
propre

III. NEUROCHIRURGIE (Dr BELTCHIKA)


1. Citez les lésions qui relèvent de la neurochirurgie

IV. CARDIO-VASCULAIRE (Prof MUSHEGERA)


1. Les signes radiologiques thoraciques de la sténose mitrale
2. L’étiopathogenie de la thrombose veineuse

V. PEDIATRIQUE
1. Les manifestations de l’occlusion néonatale et 5 étiologies
fréquentes
2. Le principe de CAMPBELL :
Enoncé
Application clinique et para-clinique
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3. La maladie de Hirschprung : quelles sont les


caractéristiques cliniques, embryologiques et à l’imagerie.
4. Pourquoi considère t-on la luxation congénitale de la
hanche et le pied bot comme urgence thérapeutique
néonatale ?

5. NEUROCHIRURGIE (Docteur BELTSHIKA)


6.
7.
8. Citez et commentez les complication de l’HIC ?
9.
10. a) complications circulatoires c.f.r la
réaction de CUSHING
11. b) complication encéphalique
mécanique
12. 1. Hernie cingulaire
13. 2. Hernie temporale
14. 3. La hernie du cervelet ou tonsulaire
15. 4. La hernie centrale
16. C) Complications occulo-visuelles
17. 1) La diplopie
18. Due à la compression du nerf oculomoteur externe
(N .VI) contre l’arrête > du rocher
19. 1) mydriase areflectique
20. Du à la compression du Nerf III contre la clinoide
post.
21. 2) l’œdème papillaire
22. L’ H.T.C.I entrave aussi le drainage veineux de la
veine ophtalmique et produit la stase et l’œdème
papillaire.
23.
24. d) complication osseux crânienne
25.
26. 2. importance de l’enseignement de la
Neurochirurgie.
27.
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28. Premièrement : tout médecin même généraliste


sera souvent jugé par la justesse de son diagnostic et la
rapidité de sa décision et surtout dans le cas chirurgicaux
(y compris la neurochirurgie) où l’urgence impose une
ligne de conduite ferme rapide judicieuse et sans appel.
29.
30. Deuxièmement : l’enseignement de la
neurochirurgie suscite des vocations futures à la
neurochirurgie et autres disciplines (neuroanesthésie-
réanimation, neuroradiologie, neuropathologie, neurologie,
psychologie-kinesiste).
31. Rappel historique de la neurochirurgie
32.
33. 3. Physiologie de l’œdème vasogènique dans HTIC
34.
35. théorie d’œdème vasogénique (par rupture de la
B.H.E)
36. Les jonctions serrées des cellules de l’endothélium
capillaire réalisent une cloison étanche entre le sang et
l’espace extracellulaire cérébrale (barrière, sang, cerveau)
37. Physiologiquement, différents mécanismes
spécifiques de transfert permettent le passage de
la B.H.E.
38.
39. Ex : diffusion passive, diffusion facilitée ; diffusion
active, et le transport vésiculaire (pinocytose).
40. Au cours d’un trauma. Crânio-encéphalique par
exemple, la B.H.E
41. Peut être anatomiquement détruite lors de la lésion
mécanique initiale mais sa perméabilité peut également se
trouver modifier (ouverture fonctionnelle de la B.H.E).
42. Cette ouverture fonctionnelle est sous l’action de
certaines substances telle que la sérotonine et
la bradykinine.
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43. Cette perméabilité est également élevée par


l’ischémie ou du fait d’une vasodilatation majeur. Ces
ouvertures fonctionnelle et /ou anatomique de la
B.H.E vont permettre le passage des macromolécules
(protéines) et d’eau dans l’espace extracellulaire. Cette
inflation en eau dans l’espace extracellulaire réalise
l’œdème vasogénique.
44. L’importance de ce transfert d’eau est déterminée
par le gradient de pression existant entre le secteur
sanguin et tissulaire.
45.
46.
47.
48.
49. 4. Hybernothérapie ?
50.
51. Cette méthode vise la diminution de la consommation
d’o2 en diminuant tous les métabolismes de l’économie
générale. Ce procédé assez lourd sur le plan de nursing
est indiqué dans le cas d’H.T.C.I associée à des gros
dérèglements neurovégétatifs.
52. Il a l’avantage de diminuer la P.I.C et le volume
cérébral
53.
54. 5. Polytraumatisé ?
55.
56. Polytraumatisé =blessé présentant simultanément
au moins 2 lésions traumatiques majeures qui affectent
les territoires ou des systèmes différent retentissant l’une
sur l’autre dans le sens de la potentialisation et sont
susceptibles de menacer le pronostic vital immédiat.
57.
58. 6. composante de la boîte crânienne ?
59.
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60. composée par la voûte cranienne et la base et


tapissée en dedans par une épaisse enveloppe = dure
mère
61.
62. 7. contenu encéphalique ?
63. 4 secteurs le subdivisent
64.
65. 1. secteur tissulaire : c’est le parenchyme
comprenant les cellules gliales et neuronales. Il est
incompressible et représente plus ou moins 20% du
contenu encéphalique.
66. 2. secteur liquidien : c’est le liquide d’imbibition
extra et intracellulaire. Il représente à lui seul 60% du
contenu encéphalique.
67. 3. secteur sanguin : est l’ensemble du lit vasculaire
tant artériel que veineux. Il représente 10 %
68. 4. secteur du L.C.R : représente 10 % du contenu
encéphalique.
69.
70. 8. Physiopath de l’HTIC ?
71.
72. L’H.T.I.C débute à chaque fois qu’il y a un
déséquilibre entre le contenant et le continu. Le
déséquilibre survient soit quand le contenant devient petit
pour un contenant normal (craniosténose) soit quand le
contenu prend de l’expansion alors que le contenant
crânien est demeuré normal. C’est le cas dans la majorité
des cas.
73.
74. Le syndrome de l’H.T.I.C a pour base soit l’inflation
de l’un ou l’autre fluide à l’intérieur du crâne (L.C.R, sang
et liquide d’imbibition) soit l’accroissement du capital
tissulaire (tumeur) ou soit l’addition d’une masse
étrangère (épanchement sanguin ou liquidien, abcès,
kyste parasitaire, granulome, etc.) Dans les 2 derniers
Batologie 2ème doctorat 121
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cas, on parlera d’un processus expansif intracrânien ou


d’une néoformation intracrânienne.
75.
76. 9. examen complémentaire en cas d’HTIC ?
77.
78. a) Ponction lombaire et
l’encéphalographie formellement contre-indiquer : on peut
faire s’il existe de signes méningés, alors prendre de
précaution
79. - avoir un accès veineux
80. - coucher le malade en décubitus lat.
81. - prélever une quantité mineure de LCR (1 ou 2
goutte)
82. b) Radiographie du crâne simple et le fond d’oeil
83. c)Echoencéphalographie, Electroencéphalographie,
scintigraphie
84. d)EEG
85. e) ventriculographie
86. f) Mesure de la pression intrâcrânienne
87. g) Scanner
88. h) I.R.M
89. Devant tout cas d’HTIC :
90. - scanner cérébral
91. - résonance magnétique nucléaire
92. - l’angiographie
93.
94. 10. diag différen. De l’HTIC
95.
96. - affections hépatobiliaire (à cause de vomissement)
97. - affection psychiatrique ( trouble psycho-affectives)
98. - affections méningées (des troubles toniques
99.
100. 11. Eléments qui déterminent le pronostic d’HTIC ?
101. a) l’altération de la conscience
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102. b) les signes neurovégétatif (pouls, respiration,


température
103. c) les signes neurologique (mydriase bilatéral,
babinski bilatéral, trouble tonique et abolition des réflexes
cornéens.
104.
105. 11. Attitude thérapeutique de neurotraumatisme ?
106. Plaie pinctiforme : exporation sous-jacente pour
exclure la fracture de la voûte ds quel cas, il faut orienter
le malade en hospitalisation pour observation (minimum
72 heures)
107. Plaie franche : suture simple pour une plaie linéaire.
108. Plaie contuse : parage chirurgical
109.
110. 12. etiopath des abcès du cerveau ? clinique, diag,
traitement ?
111. Sont des lésions relativement fréquentes qui
relèvent de 3 étiologies principales suivants :
112.
113. - les infections D.R.L. en particulier, les suivantes et
otises chroniques
114. - Les états infectieux septicémie, méningite,
dilatation des bronches.
115. - Les cardiopathies congénitales avec shunt D-G
116.
117.
118.
119.
120.
121. CLINIQUE
122.
123. Elle est bien souvent celle d’une tumeur qui
évoluerait rapidement et de crise parfois intermittente des
céphalées paroxystiques. Des signes de localisation qui
accompagnent l’H.T.I.C soit fonction du lien du dvpt de
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l’abcès (hémiplégie, aphasie, hémianopsie ou crises


convulaires).
124.
125. DIAGNOSTIC
126.
127. Lorsque le Concept infectieux est évident, le
diagnostic est facile mais très souvent la fièvre est
absente. l’ hyper leucocytose sanguin peut même
manquer. Le scanneur montre bien les abcès s/f d’une
hypodensité périphérique du derme. Il montre aussi la
localisation, le volume et m’importance de la coque de
l’abcès.
128.
129. TRAITEMENT
130.
131.
132. Le traitement de l’abcès du cerveau doit être
déterminé par une surveillance très attentive du mode
dans un service de neurochirurgie. L’exérèse chirurgicale
de l’abcès sous couvert des antibiotiques et du
traitement anti œdémateux était de règle.
133.
134. Avec l’utilisation facile du scanner, la ponction, les
antibiotiques (localement et par voie générale suivant
antibiogramme.) suffisent.
135. Les scanners successifs permettent de suivre la
régression te la disparition de l’abcès dans plus de la
moitié des cas.
136. L’abcès se reconstitue ou s’il existe une brèche
durmeriene il faut intervenir chirurgicalement pour faire
l’ablation et supprimer la fistule.
137. Un traitement antiépileptique est nécessaire
pendant tous les ois car les cicatrices d’abcès sont
volontiers épileptogènes.
138.
Batologie 2ème doctorat 124
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139. 13. Manifestation clinique des tumeur du cerveau et


examen complémentaire
140.
141. 1. H.T.C.I : Elle impose des investigations
neurologiques en niveau neurochirurgie. diagnostic
différentiel neuropalu.
142. 2. Epilepsie : elle est souvent
d’apparition tardive glissée ou focalisée, sensitive ou
sensorielle, un déficit neurologique suivant la crise
épileptique accroît la probabilité d’une tumeur.
143. 3. signes neurologiques déficitaires
144.
145. Ø déficit moteur (hémiparésie -
monoplégie)
146. Ø déficits sensitifs bilatéraux, unilatéraux
147. Ø Hémianopsie
148. Ø Trouble du langage
149. Ø Dysarthrie
150. Ø Incoordination unilatérale ≈ dysnétrie
ou un syndrome vernien (tumeur du cervelet, diséq.
ataxie ; du T.C)
151.
152. 4. troubles visuels
153. 5. troubles cochléovestibulaires
154. 6. troubles olfactifs : un méningiome de
la fosse ant. Peut se manifester par l’anopsie.
155. 7. Atteinte du nerf crânien ou
plusieurs nerfs crâniens
156. 8. Troubles mentaux
157.
158. Au stade de d’HTIC ou aura :
159. · Obnubilation intellectuelle, trouble de mémoire
et d’attention
160. · Confusion mentale
161. · Tableau démentiel
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162. · Syndrome frontal caractérisé de trouble de


comportement indifférence, reste autocritique, spéciale
163. ·
164. 9. Troubles endocrânien
165. Ce sont des troubles qui sont les seuls signes de la
tumeur hypophysaire mais peuvent s’observer dans les
tumeurs voisines du 3ème ventricule.
166.
167. 14. Hydrocéphalie :
168.
169. 1. Définition
170. Désigne la présence d’un excès d’eau (L.C.K) contenu
dans le S.N.C à l’intérieur et autre du cerveau et de la
moelle épinière.
171. 8. ETIOLOGIES
172. Chaque fois qu’il y a hyperproduction, gène dans la
circulation ou déficit d’absorption du L.C.R ; il y aura
hydrocéphale.
173. · Chez le NN
174. -étiologie congénitale ou malformative
175. v Agénésie d’un trou de Monro
176. v Malformation D’ARNOLD CHIARI associée au
spina bifida
177. v Sténose de l’Aqueduc de Sylvius
178. v Malformation de DANDY WALKER (absence
totale du trou de Magendi et Lushka)
179. - Etiologie traumatisme obstétricale
180. *Hémorragie sous arachnoïdienne qui peut
provoquer
181. 1. hydrocéphaile transitoire ou évolutive.
182. -étiologie Infectieuse
183. *le méninges qui conduisent à un arachnoïdite→
défaut de circulation de L.C.R .
184. Implique une hydrocéphalie communicante ou
externe.
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185. -étiologie tumorale


186. *tumeur du plexus choroïde NN et enfant.
187. · Chez l’adulte
188. →la tumeur cérébrale ou la fosse postérieure
189. Ex : tumeur de l’angle postérieure cérébelleux
190. Tumeur vernienne.
191. Tumeur hémisphérique cérébelleuse entraîne un
gène de circonstance/écoulement
192. →le traumatisme crânien
193. →les infections T.B.C méningite
194. →hémorragie s/arachn. Ou A.V.C hémorragiques.
195.
196. CLINIQUE
197. · Chez le vieillard : hydrocéphalie idiopathique
198. *chez le NN
199. -peut présenter une d’augmentation rapide du p.c
(37.5-38cm (masculin))
200. 35
.1-37.9 féminin)
201. -A 6 mois : 42.2-45.1 (masculin) 41.1-43.9 (féminin)
202. On a une sténose de l’aqueduc de Sylvius, on
aboutira à la dilatation de la portion supratentorielle du
crâne implique hydrocéphalie triventriculaire.
203. Tandisque dans la malformation de DANDY WALKER,
on aura une élévation de la protubérance occip. Externe à
distension de la fosse postérieure. Avec saillie en Chignon.
204. Un élargissement des fontanelles surtout l’antérieur
qui sera bombante.
205. Une saillie et turgescence des veines du cuir chevelu
206. La peau fine et luisante au niveau de la tête.
207. Signes de couche du soleil par déviation des yeux
vers le bas associée à un strabisme.
208. Pleurs incessants, l’enfant sera difficile à nourrir,
disproportion de la taille (e) la tête et le reste du corps.
209. Cécité par atrophie du niveau optique au stade tardif.
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EXAMEN D’ANAPATH SPECIALE D2 BM 1èreSESSION2007-


2008

I. a. Aspect microscopique de la gastrite à Helicobacterpylori.


b. Deux colorations pour mettre en évidence

II. Particularités morphologiques qui font que l’intestin émet


une décharge liquidienne importante en cas d’infection

III. Aspect microscopique de :


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a. Iléite terminale
b. Cirrhose hépatique
c. Endométrite à maturation retardée incoordonnée

IV. Qu’entendez-vous par :


a. Entropion
b. Hyperplasie endométriale
c. Peacemeal

V. Citer les types de démences que vous connaissez

VI. Donnez la classification des tumeurs nerveuses

VII. Pourquoi certains auteurs ne classent pas les tumeurs


du système nerveux en tumeurs bénignes et malignes ?

EXAMEN D’ANATOMIE PATHOLOGIQUE SPECIALE

Encercler la ou les lettre (s) correspondant à la ou les bonnes


réponses :

1. L’ectropion est caractérisé par :


A= un glissement de la muqueuse exo cervicale dans le
canal cervical ;
B= un glissement de la muqueuse endo cervicale dans la
cavité utérine ;
C= un glissement de la muqueuse endocervicale hors du
canal cervical et vers la cavité vaginale.

2. Un cycle anovulatoire est caractérisé par :


A= un endomètre prolifératif durant la phase supposée
sécrétoire ;
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B= une pseudo stratification de l’épithélium granulaire au-


delà au 17ème jour associée a l’absence des signes de
sécrétion ;
C= une hyperproduction de progestérone ;
D= une hyperproduction d’œstrogènes.

3. Une hyperplasie de l’endomètre est caractérisée par :


A= une prolifération du stroma endométriale combinée à
celle des glandes endomètriales ;
B= une prolifération du stroma seul ;
C= une prolifération des glandes endomètriale seules ;
D= la prolifération du stroma et des glandes avec
prédominance de l’une des 2 composantes.

4. Un endomètre sécrétoire d’insuffisance lutéale avec


maturation retardée coordonnée évidente est caractérisée
par :
A= l’association des phénomènes prolifératifs et
secretoire ;
B= la persistance des phénomènes prolifératifs ;
C= la survenue des phénomènes sécrétoires en retard par
rapport à la date clinique du cycle ;
D= la présence des vacuoles des sécrétions basales au
23ème jour d’un cycle de 28 jours.

5. L’endométriose est caractérisé par :


A= la présence de l’endocol dans de myomètre ;
B= la présence du tissu endomètrial dans l’épaisseur (2/3
externe) du myomètre ;
C= la présence du tissu endomètrial dans un autre tissu
ou organe que l’utérus ;
D= la présence de l’endomètre au niveau de la muqueuse
utérine.
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6. Un kyste lutéinique de l’ovaire est une formation


kystique :
A=tapissée des cellules de la granulosa et de cellules
thécales luteinisées ;
B=tapissé des cellules malpighiennes ;
C=tapissé des cellules cylindriques mucipares .

7. La tumeur de Brenner est :


A=une formation kystique ;
B=une tumeur solide de l’ovaire faite d’un stroma
fibroblastique parsemé des amas des cellules épithéliales à
noyau en grain de café ;
C=une tumeur solide de l’ovaire faite d’un stroma
fibroblastique parsemé des amas des cellules épithéliales
malpighiennes.

8. Un kyste dermoïde est :


A=un tératome ;
B=un kyste comprenant du sébum, des touffes de poils
(ou cheveux),des dents, parfois du tissu cérébral, autre
tissus divers dérivés de trois feuillets embryonnaires
différents ;
C=un kyste dont la paroi est faite d’un épithélium
malpighien soutenu par chorion renfermant les annexes de
la peau.

9. La mole hydatiforme est :


A=une complication du 3é trimestre de la grossesse ;
B=une complication du 1é trimestre de la grossesse ;
C=une complication du 2é trimestre de la grossesse ;
D= caractérisée par une dégénérescence hydropique
l’œdème extrême du stroma villositaire ;
E=caractérisée par le placenta a une grappe de raisins ;
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Pour ce groupe de questions, sauf de la 8e et la 14e, il y a


plusieurs propositions de réponses groupées sous A, B, C, D, E,
choisissez le groupe qui contient uniquement les bonnes
réponses et toutes les bonnes réponses

1. La sclérose en plaque est une maladie caractérisée


par la présence :
1) Des foyers de nécrose dans l’encéphale,
2) présence d’inclusions intranucléaires ;
3) présence des plaques séniles ;
4) présence des foyers de démyélinisation accompagnée
de gliose astrocytaire.

A= 1,4 ; B= 1 ; C= 3,4
D= 4.

2. L’hématome intra parenchymateux dit typique


survenant dans l’encéphale est : 1) d’origine artérielle
2) d’origine veineuse ;
3) accompagne l’hypertension artérielle ;
4) survient en cas d’hypertension intracrânienne ;
5) se localise le plus souvent dans le lobe occipital.
A=1, 3 B=2, 3 C=1,4 D=1

3. L’hydrocéphalie due à la toxoplasmose congénitale


est généralement une hydrocéphalie :
1) communicante ;
2) non communicante ;
3) intéresse les ventricules latéraux, le 3é ventricule et le
4é ventricule ;
4) intéresse les ventricules latéraux et 3é ventricule ;
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5) entraine une atrophie cérébrale


A=1,3 B=2, 4,5 C=2, 3,5 D=1, 3,5

4. Le module de régénération du foie cirrhotique est


fait :
1) d’hépatocytes organises en rangées simples séparées
par les sinusoïdes hépatiques.
2) d’hépatocytes dessinant des structures glandulaires ;
3) d’hépatocytes accolés les un contres les autres en amas
sans structuration précise ;
4) d’hépatocytes traverses par des travées des septa
fibreux
A=1 B=2 C=3 D=4

5. Quels sont les éléments morphologiques communs


à la schistosomiase intestinale et à l’amibiase intestinale :
1) présence d’un infiltrat inflammatoire chronique ;
2) présence de follicules ou granulome tuberculoïde ;
3) présence d’ulcérations intestinales ;
4) complication éventuelles par une glomérulonéphrite
A=1, 2,3 B=1, 3,4 C=1,2
D=1, 2, 3,4

6. Le carcinome spinocellulaire du col utérin est fait


de :
1) cellules d’aspect glandulaire
2) cellules d’aspect epidermoide ;
3) cellules produisant de la couche basale de l’épithélium
de l’exocol.
A=1,4 B=2,3 C=2, 3,4 D=1,2
Batologie 2ème doctorat 133
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7. Les tissu endomètrial d’une menstruation de


dysménorrhée membraneuse a les caractéristiques
suivantes :
1) pseudo stratification des glandes ;
2) vacuoles basales de secrétions présentes ;
3) nombreux granulocytes endométriaux présents ;
4) decidualisation du stroma ;
5) glandes petites sécrétoires à lumière étoilée :
A=3,4 B=1, 2,3 C=3, 4,5 C= D=1,2

8. Si un endomètre prélevé chez une femme ayant


des saignements en dehors des règles a les aspects
morphologiques suivants : glandes nombreuses et
fortement pseudo stratifiées, stroma très cellulaire avec
mitose, pas de sécrétion et dilatation kystique de
certaines glandes :
A=hyperplasie endometriale,
B=insuffisance lutéale
C=irregular shedding,
D=endomètrial en phase proliferative.

9. Le lichen sclerosus est la seule maladie


hyperkératosique de la vulve :
A=vrai B=faux cochez A ou B

10. Il ne peut pas y avoir d’atypies cellulaires en


dehors de l’origine cancéreuse au niveau de l’épithélium
cervico vaginal :
A=vrai B=faux cochez A ou B

11. Lesquels de ces éléments sont communs à la


panencéphalite sclérosante de Van Bogaert et l’encéphalite
trypanosomiasique :
a. gliose astrocytaire diffuse et cellules de mott ;
Batologie 2ème doctorat 134
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b. gliose astrocytaire diffuse et perivasculaire ;


c. présente d’inclusions intranucléaires et foyers
nécrotiques hémorragiques ;
d. origine parasitaire et gliose astrocytaire diffuse.

12. Le syndrome de Meigs réunit :


A=épanchement pleural, ascite, cystadénome ovarien
B=ascite, endométriose ;
C=ascite, fibrome ovarien ;
D=épanchement pleural, ascite, fibrome ovarien

13. L’encéphalite malarienne ou neuropaludisme est :


A. Une inflammation de l’encéphale par l’action
directe du plasmodium
B. Due à l’obstruction des capillaires sanguins
cérébraux par des microthrombi parasitaires
C. Caractérisée par des microinfarcissement
périvasculaires et des petites hémorragies péri vasculaires.

14. La maladie d’Alzheimer est caractérisée par :


A. Un œdème cérébral
B. Une atrophie cérébrale ;
C. Une hyperplasie des neurones ;
D. La présence de nombreuses plaques séniles ;
E.L’absence des plaques séniles.

De 15 à 17 : voici quelques néoplasmes du système


digestif :
1) Adénome pléomorphe des glandes salivaires ;
2) Adénome oxyphile des glandes salivaires ;
3) Carcinome adénoïde kystique des glandes
salivaires ;
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4) Carcinome mucoépidermoïde des glandes


salivaires ;
5) Carcinome épidermoïde ;
6) Adénocarcinome gastrique.

15. Lequel ou lesquels de ces néoplasmes présentent


des structures type vésicules glandulaires assimilées aux
plages myxoïdes ou cartilagineuses.
A= 1,2 B= 2,4 C= 1, 4,5 D= 1
E=4

16. Lequel est un néoplasme malin mais à bon


pronostic ?

A= 1 B= 3 C= 4 D= 5

17. Quels sont ceux qui montrent des signes


d’anaplasie ?
A= 1,3,5,6 B= 3,5,6 C= 1,2,3,4,5,6
D= 3,4,5,6

18. Quels sont les éléments morphologiques communs


à la schistosomiase intestinale et à l’amibiase intestinale ?
1. Présence d’un infiltrat inflammatoire chronique ;
2. Présence de follicule ou granulome tuberculoïde ;
3. Présence d’ulcérations intestinales ;
4. Complications éventuelles par une
glomérulonéphrite.

A= 1, 2,3 B= 1, 3,4 C= 1,2 D= 1,


2, 3,4

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