Chapitre 3:: Représentation Et Codage de L'information

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Université Abdelmalek Essaâdi

Ecole Nationale des Sciences Appliquées


Al Hoceima

Chapitre 3 : Représentation et
codage de l’information
I. Codage de l’information
1. Chez l’homme
Dans la vie l’être humain utilise un système de codage pour
identifier, quantifier, qualifier les objets, les lieux, les
évènements…Ces codes lui permettent de mémoriser, traiter et
communiquer les informations. Ils peuvent être : le langage,
l'écriture, numérations, le graphisme, etc.
Chaque code respecte des règles bien définies. Par exemple, à
l'écriture correspond:
Une liste des symboles prédéfinis : L'alphabet
Des règles d'utilisations des symboles :
Plusieurs symboles (lettres) un mot
Plusieurs mots une phrase
Des règles de syntaxe pour ordonner les mots dans une phrase.

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2. Sur un ordinateur
Le codage de l’information permet d’établir une correspondance qui
permet sans ambiguïté de passer d’une représentation d’une
information dite externe (une image, un son, un texte..) à une autre
représentation dite interne (sous forme binaire, n’utilisant que des 0
et des 1) suivant un ensemble de règles précises.
Cela consiste à utiliser des moyens de formaliser l'information afin de
pouvoir la manipuler, la stocker ou la transmettre. Il ne s'intéresse pas au
contenu mais seulement à la forme et à la taille des informations à coder

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3. Codage du texte
A chaque caractère correspond un nombre binaire qui lui est propre.
Les alphabets étant différents d’un pays à un autre (nombre et type
de caractères). Dans le monde numérique, on trouve de nombreux
codages différents à savoir :
Le codage ASCII(American Standard Code for Information
Interchange) contient 128 caractères. Il a été mis au point pour la
langue anglaise, il ne contient donc pas de caractères accentués,
ni de caractères spécifiques à une langue.
Les codage ASCII étendu(ISO8859, ANSI) : ce code attribue les
valeurs 0 à 255.
Unicode (USC-2, UTF-8): un système de codage des caractères
sur 16 bits. Il regroupe ainsi la quasi-totalité des alphabets
existants (Arabe, Tifinagh, Chinios, Arménien, ...) et est
compatible avec le code ASCII.

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Tableau ASCII

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4. Codage du son
Le son dans sa forme initiale est représenté un signal analogique. Pour
pouvoir le manipuler, stocker et utiliser sur un ordinateur il faut arriver à le
convertir en valeurs numériques.
Pour ce faire, on fait appel à deux opérations : l’échantillonnage et la
quantification.
L’échantillonnage consiste à découper le signal analogique en “tranches” ou
échantillons (samples).
La quantification consiste à associer à chaque « tranche » une valeur selon son
amplitude.

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5. Codage de l’image
Une image est formée d’un ensemble de points appelés
PIXELS (Picture Element).
Chaque pixel est représenté par une valeur compris entre 0 et 255.
Une image couleur est constituée de trois matrices. La couleur d’un
pixel est déterminée par trois valeurs (r, g, b).

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6. Données numérique
Quelque soit la nature de l’information (texte, son, image, vidéo,
…), pour quelle soit utilisable par l’ordinateur elle doit être
transformé en données numérique.
On dit « numérique » (en anglais digital) une information qui se
présente sous forme de nombres associés à une indication de la
grandeur physique à laquelle ils s'appliquent, permettant les calculs,
les statistiques, la vérification des modèles mathématiques.
Le résultat de numérisation est un nombre ou une suite de nombres
représentant la grandeur mesurée.
Dans le contexte de l'informatique et des dispositifs d'électronique
numérique, numérique prend un sens précis.
Une donnée numérique est une suite de chiffres qui constituent une
représentation discrète d'un objet.
Par exemple, on peut représenter un texte par le nombre de phrases,
le nombres de mots, le nombre de caractères, le nombre de
ponctuation,…

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L’information dans le monde de l’informatique:

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II. Les systèmes de numération
1. Présentation
Un système de numération permet de représenter les nombres à l’aide de
symboles appelés chiffres. Il est définit par :
Un alphabet: ensemble de symboles ou chiffres,
La base: des règles d’écritures des nombres: Juxtaposition de symboles.
Par exemple dans le cas du système décimal, utilisé dans notre vie de tous
les jours, l’écriture des nombres repose sur 10 chiffres
{0,1,2,3,4,5,6,7,8,9}, qui représentent l’alphabet du système.
La valeur d’un nombre contenant au moins deux chiffres (par exemple 53),
est déterminé en fonction de la position de chaque chiffre (la notation
positionnelle). Prenant le chiffre 8 dans le nombre 5853, on sait très bien
qu’il s’agit de 800. Pour le distinguer on a utilisé la base correspondante
qui est 10 (la base décimale) et sa position.
Dans le système décimal (la base 10), le nombre 5853 s’écrit :

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2. Généralisation
Dans le monde, il existe plusieurs systèmes de numérations. Généralement,
pour un système de numération positionnel pondéré à base b et qui est
défini sur un alphabet de b chiffres :
Alphabet = {c0,c1,…,cb-1} avec 0 ≤ ci < b
La valeur d’une séquence « nombre » N = an-1 an-2 ......a1 a0 (b), est donnée
par sa représentation polynomiale :
N = an-1.bn-1 + an-2.bn-2 + ... + a0.b0
ai: est un chiffre de l’alphabet de poids i (position i)..
a0: chiffre de poids 0 appelé le chiffre de poids faible
an-1: chiffre de poids n-1 appelé le chiffre de poids fort
Pour une séquence « nombre » à virgule R avec n chiffres dans la
partie entier et p chiffres dans la partie, sa valeur est donnée comme
suit :
R = an-1.bn-1 + an-2.bn-2 + ... + a0.b0 + a-1.b-1 + a-2.b-2 + … + a-p.b-p

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3. Système de numération Informatique
Trois types de système de numération utilisés en informatique:
Le système binaire (b=2): utilisé par les ordinateurs. Ce système
utilise deux chiffres {0, 1}. Exemple : 101101, 01100110,
11111111, 10000001.
Le système octal (b=8): utilise huit chiffres {0, 1, 2, 3, 4, 5, 6,
7}. Il est utilisé en informatique pour réduire l’écriture binaire.
En effet, il permet de coder trois bits par un seul symbole.
Le système hexadécimal (b=16) : utilise 16 chiffres: {0, 1, 2, 3,
4, 5, 6, 7, 8, 9, A, B, C, D, E, F}. Il est utilisé pour réduire encore
plus l'écriture des nombres binaire. Il permet de coder quatre bits
par un seul symbole. La base hexadécimale est aussi une
puissance de 2 (16 = 24).

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III. Changement de base (transcodage)
1. Présentation
Le transcodage (ou conversion de base) est l’opération qui permet
de passer de la représentation d’un nombre exprimé dans une base
(b) à la représentation du même nombre mais exprimé dans une
autre base (b’).
Par exemple: passer d’une représentation décimale (base 10) vers
une représentation binaire (base 2) ou l’inverse.
L’écriture suivante (x)b = (y)b’ est utilisée pour dire qu’un x
représenté dans la base b est représenté par y en base b’.
Exemples : (9)10 = (1001)2 , (1001101)2 = (4D)16

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2. Tableau de correspondance entre les 4 bases

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3. Décimal vers une base quelconque et vice versa
Décimal vers une base b :
La méthode la plus simple et la plus rapide pour convertir un
nombre décimal dans une autre base est d’utiliser la méthode de
division euclidienne.
Elle consiste à faire des divisions successives par la base b
jusqu’à ce que le quotient soit égal à zéro. On écrit ensuite tous
les restes à partir de la fin et de gauche à droite, en les
convertissant en lettres s’il y a lieu (dans le cas hexadécimale par
exemple).
Une base b vers décimal: cela consiste à trouver sa valeur dans la
base concernée.
(an-1 an-2 ......a1 a0)b = an-1.bn-1 + an-2.bn-2 + ... + a0.b0

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Exemples :
36 en binaire 36 en octal 36 en hexadécimal

36 2
18 2 8 16
0 36 36
9 2 8 16
0 4 2
4 2 4 4
1 0 0
4 2
2 2
0
1 2
0
3610 = 1001002 0 3610 = 448 3610 = 2416
1

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4. Conversion binaire  octal/hexadécimal
Pour convertir de binaire vers l’octal: il suffit de regrouper les bits
par 3 (en commençant depuis la droite).
Pour convertir de binaire vers l’hexadécimal: il suffit de regrouper
les bits par quatre (en commençant depuis la droite).
L’étape qui suit dans les deux cas, est de trouver la correspondance
de chaque groupe de bits en octal/hexadécimal.
Exemple: Convertissons 01001101 en hexadécimal
Binaire 0100 1101
Décimal 4 13
Hexadécimal 4 D

Donc (1001101)2 = (4D)16

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D’autres exemples :

1 1 0 1 1 1 0 1 1 1 2 = (?)8
1 1 0 1 1 1 0 1 1 1 2 = 15678

1 5 6 7
1 1 0 1 1 1 0 1 1 1 2 = (?)16
1 1 0 1 1 1 0 1 1 1 2 = 37716

3 7 7

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IV. Codage des nombres entiers et réels
1. Présentation
La représentation des nombres sur un ordinateur est
indispensable pour que celui-ci puisse les stocker, les
manipuler.
Le problème c’est qu'un nombre mathématique peut être infini
alors que la capacités mémoires de l’ordinateur sont limitées.
Dans un l’ordinateur, la représentation des nombres est réalisé
sur un nombre de bits prédéfini.
Le nombres de bits peut être différent en fonction du type de
nombre : nombres entiers et nombres réels.
D'une manière générale, un codage sur n bits pourra permettre
de représenter des nombres entiers naturels compris entre 0 et
2n-1.

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2. Codage des entiers
Un entier relatif est un entier pouvant être positif/négatif. Il faut
donc coder le nombre de telle façon que l'on puisse savoir s'il s'agit
d'un nombre positif ou d'un nombre négatif, et il faut de plus que les
règles d'addition soient conservées.
Pour ce faire, sur n bits prédéfinis, on réserve un bit pour représenter
le signe. Ce bit s’appelle bit de poids fort et il se trouve au début et à
gauche de la case mémoire. S’il est égale à 0 le signe est positif s’il
est à 1 le signe est négatif.
Bit de poids fort
Le fait d’utiliser que le bit de poids fort (méthode en signe et valeur
absolue) pour faire la différence entre positif-négatif n’est très
efficace.
Deux méthodes ont été proposées par la suite : la méthode de en
complément à 1 (CA1) et la méthode en complément à 2 (CA2).
Le CA1 n’est plus utilisé les ordinateurs modernes, il a été remplacé
par CA2.

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Complément à deux (CA2): soit à représenter un nombre négatif (-
X) en binaire.
Présentons son équivalente positif (+X) en binaire.
Complémentons à 1 chaque bit (Système de complément à 1)
c’est-à-dire on inverse, on remplace les zéros par des 1 et vice-
versa.
Ajoutons 1 (la représentation obtenue +1)
Exemple : on désire coder la valeur -5 sur 8 bits. Il suffit :
d'écrire 5 en binaire : 00000101
de complémenter à 1 : 11111010
d'ajouter 1 (11111010 + 1) : 11111011
La représentation binaire de -5 sur 8 bits est 11111011

NB: pour n bits, l'intervalle des valeurs qu'on peut représenter en


CA2 est compris dans l’intervalle –(2n-1)<= N <=(2n-1 -1).

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3. Codage des nombres à virgule (réels)
On sait donc comment sont stockés nos nombres entiers dans
un ordinateur. Néanmoins, les nombres entiers ne sont pas les
seuls nombres que l'on utilise au quotidien : il nous arrive d'en
utiliser à virgule.
Il existe deux systèmes pour coder des nombres à virgule en
binaire: La virgule fixe et la virgule flottante.
Les nombres à virgule fixe sont ceux qui ont un nombre limité
et fixe de chiffres après la virgule.

Partie entière Partie


fractionnaire

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4. Codage des nombres en virgule fixe
Pour convertir un nombre à virgule fixe en binaire, voilà les étapes à
suivre :
Coder la partie entière sur p bits (division successive par 2)
Coder la partie fractionnaire sur q bits en exécutant les étapes
suivantes :
Etape 1: multiplier la partie fractionnaire par 2.
Etape 2: extraire la partie entière et mettre à côté
Etape 3: répéter les étapes 1 et 2 jusqu’à ce que la partie
fractionnaire restante soit nulle ou le nombre de bits q est atteint.
Question : la valeur décimale d’une représentation binaire à virgule
fixe s’obtient comment?

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Exemple : la représentation du nombre 4.2510= B2 en
binaire sur un système à virgule fixe :
410 = 1002
0,25 * 2= 0,5 = 0 + 0,5
0,5 * 2 = 1,0 = 1+ 0,0
donc 4,2510 = 100,012
Exercice : Coder (7.875)10 , (0.12)10 et (5.3)10 avec p = 8 et q = 8

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5. Un nombre à virgule flottante en Binaire
Les ordinateurs modernes utilisent un standard pour coder les
nombres à virgule flottante : la norme IEEE 754.
Cela consiste à représenter un nombre réel par : +/- M.be
un signe (égal à −1 ou 1),
une mantisse (aussi appelée significande)
un exposant (entier relatif, généralement borné).
Une base (2, 8, 10, 16, …)
Exemple :

Pour coder cette écriture scientifique en base 2, il faut donc


coder: la mantisse, l'exposant de la puissance de deux et un bit
de signe.

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La norme IEEE 754 : cette norme représente les nombres à virgule
comme suit:
Pour n bits, la répartition est donnée comme suit
SM Eb M
1 bits p bits q bits
SM: signe de la mantisse
Eb :exposant biaisé. Ajout de 2p-1-1 à l’exposant pour avoir un
Eb postif.
M: mantisse normalisée
Alors pour représenter en virgule flottante on doit poursuivre les
étapes suivante:
Ecrire le nombre en virgule fixe
Ecrire la représentation en virgule fixe sous la forme 1,M.2Eb

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Exemple: (35,5)10 = (100011,1)virgule fixe =(1,000111 * 25)virgule
flottante
La nome IEEE 754 utilise deux type de codage :
un codage sur 32 bits, la norme en question utilise la répartition
suivante (8 pour l’exposant, 23 pour la mantisse).
un codage sur 64 bits, la norme en question utilise la répartition
suivante (11 pour l’exposant, 52 pour la mantisse).
Alors pour notre exemple si le (35,5)10 est codé sur 32bits voilà sa
représentation en IEEE754 :
Eb= E+ 2p-1-1=5+28-1-1=5+127=(10000100)2
1,M=1,000111 => M=00011100000000000000000

0 10000100 00011100000000000000000

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V. Opérations arithmétique
1. Addition binaire
Procédure :
Aligner les nombres selon la colonne Unité. L’addition
commence par l’unité la plus à droite et se propage vers la
gauche.
Si la somme de la colonne dépasse 2 (la base), on divise la
somme par 2, inscrire le reste de la division comme résultat, et
faire propager la valeur de la retenue.
Exemple : 1 1 2 2 3 2 2 2
Propagation retenue
On a : 1 0 1 0 1 1 0 1
0+0=0 1 1 0 0 0
0+1=1 + 1 1
1+0=1
1 0 1 0 1 1
1 1 0 1
1 + 1 = 0 retenue 1
1 0 0 0 0 0 0 0 0

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2. Addition hexadécimale
Procédure :
Aligner les nombres selon la colonne Unité. L’addition
commence par l’unité la plus à droite et se propage vers la
gauche.
Si la somme de la colonne dépasse 16 (la base), on divise la
somme par 16, inscrire le reste de la division comme résultat, et
faire propager la valeur de la retenue.
Exemple : 1 3
Propagation retenue A D
1 8
3
13+8+3+11+13 = 48 48/16 = 3 reste = 0 2 B
D
3+10+1+2 = 16 16/16 = 1 reste = 0
1 0 0

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3. Soustraction binaire
Illustration avec un exemple :

Opérande 1 1 1 0 0

Opérande 2 1 0 1

Ligne des retenues


à soustraire 1 1 1
Résultat 0 1 1 1

Calcul 1-1-1=-1 0-1=-1 0-1=-1


intermédiaire 1-1=0 10(2)+1-1-1=1 10(2)-1=1 10 (2) – 1 = 1

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4. Soustraction hexadécimale
Illustration avec un exemple :
4 3 0 8 A
7 E D F
D B A
Ligne des retenues D D 9
à soustraire 1 3 2 2
Résultat 3 9 6 1 8

4-1=3
Calcul 0-14-13-13-2=-42 8-13-11-13-2=-31 10-15-10-9=-24
intermédiaire 3-7-3=-7
3(16)-42=6 2(16)-31=1 2(16)-24=8
1(16)-7=9

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5. Multiplication binaire
Illustration avec un exemple :

1 0 1 1 0 1
X 1 0 0 1 1
1 0 1 1 0 1
1 0 1 1 0 1 .
1 0 1 1 0 1 . . . .  décalage dû aux deux 0
1 10 1 0 1 0 1 1 1

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6. Multiplication hexadécimale
Illustration avec un exemple :

2 3 0 C
1 C 2 8
1 1 8 6 0
4 6 1 8 .
1 A 4 9 0 . .
2 3 0 C . . .
3 D A C 9 E 0

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7. Division binaire
Elle est similaire à une division dans la base décimale. Le quotient partiel
s’obtient par découpage à partir de la gauche du dividende, suivant la
longueur du diviseur (partiel)
Le quotient partiel ne peut être que 0 ou 1
Si le diviseur >= dividende partiel, le quotient = 0 et le reste = le
dividende partiel
Si le diviseur < dividende partiel, le quotient = 1 et le reste=dividende -
diviseur dividende diviseur

1101 101
101
10 quotient
0011
000
reste 11

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8. Division hexadécimale
Illustration avec un exemple :

2 C16 = 4410
dividende diviseur 8*5=4010= 2816
A C 8
8
15
2 C quotient
2 8
4
reste

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