Mémo LRH
Mémo LRH
Mémo LRH
définition :
Les cancers du cavum sont toutes les tumeurs malignes développées au niveau du tissu de recouvrement des parois du
cavum (arrièrecavité des fosses nasales).
Ce sont des tumeurs d’origine épithéliale = épithéliomas = carcinomes
le carcinome épidermoide indifférencié de type nasopharyngé (UCNT) + fréquent.
C’est un cancer radio et chimiosensible
très mauvais pronostic 30 % de survie a 5 ans.
Épidémiologie :+++
Asie du sud-est +++, Alaska Facteurs viraux : virus Epstein Bar (EBV) constamment
bassin méditerranéen ( Afrique du nord) associé (sérologie EBV interet dgc et pnc)+++
très rare en france et usa
Age : à tout âge surtout :entre 40 et 50ans et Facteurs génétiques : présence des allèles HLA
entre 10 et 20ans ( HLA A2 enchine, B5 en algérie)
Sex-ratio : Homme+++ Facteurs environnementaux :
NON alcoolo-tabagique+++ professions exposante au : plastique, caoutchouc
Produits de combustion (fumée , charbon) Infections
rhinopharyngées à répétition.
Niveau socioéconomique bas.
Facteurs alimentaires :
- les nitrosamines : carcinogènes présents dans les aliments à
base de salaison (viande séchée et salée) dans le soja
- Les mycotoxines : trouvés dans les céréales stockées dans
de mauvaises conditions.
- Les aliments très épicés.
anatomo-pathologie :
➢ Siège:
surtout la région tubaire et la fossette de Rosenmüller
parfois la paroi postéro supérieure (toit)
choanes ou bord postérieur duvomer .
➢ Macroscopie: 3 formes :
-bourgeonnant ou ulcérobourgeonnant
- ulcérant
- infiltrant ( induration)
examen complémentaires :
bilan d’extension :
1. Radiographie du thorax (métastases pulmonaires)
2. Echographie abdominale (rate, foie, rein)
3. Scintigraphie osseuse
4. Scanner thoracique
5. Rx des segments osseux douloureux
6. Rx des sinus
7. Bilan ophtalmologique (fond d’œil, motricité oculaire, mesure de l’exophtalmie)
8. Panoramique dentaire (examen stomatologique)
classification TNM : pas de QCM
T N M
◆ T1: tumeur confinée au nasopharynx ◆ N0: pas d ADP palpable ◆ M0: pas de métastase
◆ T2: extension vers les tissus mous de l’oropharynx ◆ N1: gg unilatéral < 6 cm au- dessus ◆ M1: métastase à
et/ou le nez des clavicules distance
T2a: sans extension para pharyngée ◆ N2: gg bilatéraux , < 6 cm au dessus
T2b: avec extension para pharyngée des clavicules
◆ T3: envahissement des structures osseuses et/ou ◆ N3:
sinus para -nasaux * N3a: > 6 cm
◆ T4: envahissement intracrânien et/ou nerfs * N3b: extension dans les creux sus
crâniens et/ou orbite et/ou hypo pharynx et/ou fosse claviculaires
infra temporale
Evolution :
l’extension endocrânienne, exocrânienne, métastases (osseuses, viscérales, extra cervicales).
Traitement :
pronostic :
Bon Mauvais
• UNCT ( radiosensible) • Ostéolyse de la base du
• absence de récidive et métastase crâne
Examen clinique : à comprendre
2.Etiologies :
virale bactérienne
➢ Adénovirus ➢ Streptocoques: SBHA+++
➢ HSV-1 ( herpes simplex virus de type 1) ➢ Haemophilus influenzae.
➢ EBV ( Epstein-Barr virus, virus de la mononucléose ➢ Staphylocoque.
infec) ➢ Fusobacterium necrophorum.
➢ RSV (virus respiratoire syncitial) ➢ Mycoplasma pneumoniae.
➢ Myxovirus ➢ Corynebacterium diphteriae.
Les germes anaérobies ont souvent une action pathogène
associée
• transmission : arérienne
signes fonctionnels :
• Fièvre inconstante.
• Odynophagie.
• Otalgie reflexe .
• Autres signes parfois révélateurs: douleurs abdominales, éruption cutanée, signes respiratoire: toux, enrouement et
gène respiratoire.
Signes physiques :
• amygdales augmentées de volumes, rouge vifs
• L’aspect de l’oropharynx seul n’est pas prédictif de l’atteinte au SBHA +++
4.paraclinique :
Forme Description
Blanche ou • Succèdent svt à la formes décrite en TDD.
érythémato- • Amygdales rouges recouvertes d’un exsudat pultacé, facilement décollable, ne débordant pas de la
pultacée surface de l’amygdale.
• Signes fonctionnels ++
pseudo- • Fausses membranes nacrées pouvant déborder de la surface de l’amygdale (voile et piliers).
membraneuse • 2 diagnostic a évoquer :
MNI Diphtérie
- primo infection a EBV • Exceptionnelle de nos jours, déclaration
-ADP diffuses -SPMG obligatoire
- asthénie • B corynébactérium diphteriae
-purpura du voile • les fausses membranes sont rapidement
-les fausses membranes se décollent facilement extensives et adhérentes
dgc : NFS (sd mononucléosique) cytolyse hépatique • ADP cervicales
MNI test en 1ère intention, sérologie : confirmation • coryza
• croup : toux bruyante+dyspnée
• dgc : examen directe + culture
• trt : amoxicilline pd 14j
6.Complications :
-l’évolution est favorable, possibilité de complication pour les angines bactériennes
locorégionales sont favoriser par automédication AINS
Amygdalectomie
Indications Complications
1. Hypertrophie amygdalienne responsable de : 1. Douleurs
-troubles du sommeil 2. hémorragies dans les 24h ou par chute d’escarre
-retard de croissance staturo- pondérale 3. traumatisme dentaire
-dyspnée 4. incontinence vélaire
-troubles de la voix 5. brulure de la langue
2. angine récidivante : 5 en 2 ans, ou 3 en 3 ans 6. bactériémie à H.influenzae
3. angine chronique 7. récidive des angine
4. pharyngite récidivante 8. subluxation C1 C2
5. Abcès péri-amygdalien après drainage 9. intolérance alimentaire
6. angine aigue dyspneisante
7. Sd post streptococcique
❖ Le plus souvent une rhinorrhée claire et parfois purulente + une obstruction nasale.
❖ La purulence n'est pas témoin d'une infection bactérienne.
❖ Guérison spontanée très souvent.
Rhinite du nouveau-né
Rhinopharyngite de l’enfant
Les signes cliniques : une respiration buccale bruyante à une fièvre rarement supérieure à 38,5 °C.
L’examen clinique permet de retrouver :
❖ Une rhinorrhée antérieure muco-purulente bilatérale
❖ Une rhinorrhée postérieure visible
❖ Une discrète rougeur de la muqueuse pharyngée
❖ Des adénopathies cervicales bilatérales inflammatoires et sensibles.
➔ A RETENIR :
• Obstruction nasale uni/bilatérale ou à bascule
• Pas ou peu de température
• Rhinorrhée antéro-postérieure pouvant être muco-purulente
• Durée : moyenne 8 à 20 jours
• Diagnostic : clinique, pas d'examens complémentaires
• Traitement : il est symptomatique :
- - Antalgique, antipyrétique
- Décongestionnant nasaux (Rhinofluimucil®)
- Lavage de nez au sérum physiologique
Sinusite aigue
• Atteinte infectieuse aiguë de la muqueuse d’une ou plusieurs cavités sinusiennes d'origine
Virale : Bactérienne :
-Rhinovirus -S pneumonie et pyogène
-Adénovirus -S. aureus
-Myxovirus -H. influenza
NB : toute douleur à la pression des sinus après ou pd une rhinopharyngite n’est pas une sinusite
Rappel anatomique :
• Sinus ethmoïdal présent dès la naissance
• Sinus maxillaire à 3 ans => le + fréquemment touché
• Sinus frontal à 7 ans
• Sinus sphénoïdal à 10 – 15 ans
Physiopathologie
L’infection des sinus se produit :
• Par voie nasale (rhinogène) +++ : à la suite d’une rhinite aiguë
• Par voie dentaire : propagation d’une infection dentaire avec présence possible de germes anaérobies
Sinusite de l’adulte :
Forme Clinique Scanner : indication
Nature B suspecté s’il existe 2/3 des critères majeurs : En cas de sinusite :
• Persistance / augmentation des douleurs malgré un TRT symptomatique
• Douleur typique : - unilatérale sous orbitaire ✓ Ethmoïdale, frontale et
- Augmentée en procubitus (tête penchée en avant). sphénoïdale
- Vespérale ✓ Suspicion de
Maxillaire ++ - Pulsatile. complication
• L'augmentation de la rhinorrhée et le caractère continu de la purulence ✓ Résurgence des
NB : Ces signes ont d'autant plus de valeur qu'ils sont unilatéraux symptômes
Critères mineurs : s'ils sont associés aux critères précédents, renforcent la ✓ Patients
suspicion DG immunodéprimés,
• La fièvre qui persiste au-delà du 3e jour d'évolution de la sinusite ✓ Sinusites maxillaires
• L'obstruction nasale, les éternuements, la gêne pharyngée, la toux, s'ils bloquées
persistent au-delà de 10 jr ✓ Echec de traitement à 48
heures
• Douleur localisée sus orbitaire parfois hémi crânienne, pulsatile,
augmente en procubitus
Frontale • Rhinorrhée purulente fréquente et une obstruction nasale
• Fièvre
• Risque de CMPL surtout neurologique
Sphénoïdale • Douleur diffuse profonde irradiant au vertex ou l’occiput
DG difficil • Rhinorrhée postérieure, fièvre
• CPML neurologique ++
Ethmoïdale • Douleur latéro-orbitaire interne
Rare • Exophtalmie fréquente
• Cmpl neurologique
Formes • Rebelle au Trt médical
hyperalgiques • Nécessite une ponction sinusienne
• Par ordre de fréquence : frontales +++ puis maxillaire
Chez l’enfant :
Fréquente ++, enfant > 3 ans
Maxillaire Même agent pathogène que l’adulte
• Clinique : - Subaigüe : rhinopharyngite > de 10 jr
- Aigue : rhinorrhée purulente, fièvre, œdème palpébral.
Rare mais grave, enfant 2-3 ans
Clinique : 2 formes
Ethmoïdale • Œdémateuse : (pré-septal/ fluxionnaire) : œdème palpébral fébrile
• Collecté (rétro-septal/ suppuré) : signe d’alarme :
- Ophtalmoplégie
- Mydriase paralytique (atteinte de III)
- Anesthésie cornéenne
Paraclinique : scanner seulement en stade de collection.
Complication :
Oculaire Neurologique
Ethmoidite et sinusite frontale +++ Sinusite frontale et sphénoïdale ++
- L’abcès : exophtalmie - La méningite aigue bactérienne
- Cellulite : exophtalmie, chémosis, DLR à la - L’empyème sous dural : aspect en croissant au scanner
mobilisation - Thrombophlébite : cérébrale / sinus caverneux
- Phlegmon : mm que cellulite+ œdème violet des paup - Les abcès intra cérébraux
Etude clinique
Interrogatoire : caractère de la sensation vertigineuse
➔ Rotatoire :
-Le malade précise le sens horaire ou anti horaire des objets tournant autour de lui (objectif).
-Le plus typique de ce vertige est la crise giratoire intense imposant l’immobilité, peut durer qlqs minutes à
qlqs heures
■ Le vertige rotatoire → est périphérique par atteinte des canaux semi circulaires.
■ Le vertige linéaire → par atteinte de l'utricule et le saccule
➔ Le début :
• Brutal : surtout le grand vertige où le malade est surpris n'importe où : travail, repos ou pendant le
sommeil
• Progressif : de petits vertiges fugaces qui augmentent en intensité et en fréquence ou d’une
instabilité à la marche, évoluant en quelques jours ou semaines vers un déséquilibre permanent.
➔ sa durée et la fréquence des vertiges précédents
➔ Évolution :
➔ Signes d'accompagnement :
• Les signes cochléaires associés : -Acouphènes (+/-sensation de plénitude d'oreille)
-Surdité de perception / transmission
• Les signes végétatifs associés : Troubles digestifs : nausées, vomissements, sueurs froides, pâleur….
Troubles neurologiques : céphalées svt occipitale
Trouble cardiaque : tachycardie…
➔ Antécédents :
Personnels :
• Traumatisme : fracture du rocher ⇒ origine centrale /Iatrogène (chirurgie l'otospongiose ⇒ vertiges pst op
• Infectieux / médicament ototoxique : aminoside.
• Terrain du malade : vasculaire (HTA) ; allergie, migraine, psychique, psychologique.
• Mode de vie : profession : alpinisme ; plongé sous-marine…
Familiaux : surdité familiale / hérédité vasculaire
Examen clinique : la recherche des 3 signes vestibulaire spontanés
Nystagmus : le regard direct ou sous lunettes de Frenzel (qui supprime la fixation oculaire)
• Un signe objectif confirmant l’atteinte des voies vestibulaire
• Il est du au fait que le vestibule a pour rôle la fixité du regard
• C’est l’apparition au niveau des globes oculaires de secousses synergiques et rythmés, se succédant suivant
une phase lente (d’éloignement) et une phase rapide (de rappel) → détermine le sens du nystagmus
Déviation segmentaire :
recherché au membre supérieur yeux fermé
Evalue tous les organes de l’équilibre, Indiqué devant chaque trouble de l’équilibre
1- Epreuve Des index : bras tendu et index horizontaux + pieds joints
2- Epreuve Romberg : bras le long du corps + pieds joints
3- Epreuve de marche aveugle (babinski-bell) : en étoile ou piétinement (le 3eme test)
Examen complémentaire :
1- Manœuvre déclenchant le vertige : réalisé en fin d’examen vestibulaire (désagréable pour le malade)
DIX et HALLPike ++ : après avoir éliminé une lésion cervicale
Chez patient assis en décubitus rapide + extension de la tête
POSITIVE en cas de VPPB
Signe de la fistule : pression tragienne du coté opposé au nystagmus
Positive en cas de fistule labyrinthique
2- Vestibulaire calorique :
➔ Introduction de l’eau dans le CAE a une T° de 7° sup a celle du corps (44) ou inferieure (30)
En refroidissement : la secousse lente suit les mvt du liquide dans CSC
En réchauffement : provoque l’inverse
➔ Epreuve rotatoire
➔ Electronytstagmographie
➔ EEG : suspicion de SD central
3- Examen de la cochlée : acoumétrie, audiométrie
4- Autre examen : PEA / EEG / Radio du CA / SCANNER / IRM / PL : si SEP / FO / biologie.
Diagnostic différentiel : les faux vertiges
• Epilepsie
• Hypotension orthostatique
• Neurovégétative
• Psychique : hauteurs
• Phénomène oculaire
Diagnostic étiologique :
2. Épidémiologie:
Facteurs de risque d’oma chez l’enfant :
• jeune enfant, pic vers 9 mois 1. ATCD familiaux d’otites à répétitions
• Hiver++ 2. vie en collectivité
3. conditions socio-économique défavorisées
4. tabagisme parental
5. première OMA précoce
3.Etiopathogénie :
4.clinique :
En général suspectée devant :
-Otalgie intense + fièvre > 38,5° =
• fièvre + otalgie de l’enfant
Pneumocoque,
• fièvre persistante > 3jours après rhinopharyngites - Syndrome otite + conjonctivite= H. Influenza.
• Au cours des maladies infectieuse : scarlatine, • Otite cloisonnée : bombement localisé a la « pars
rougeole tensa » en postéro-sup, ou a la membrane de
• perforation accidentelle schrapnell ( atticite)
• otite myringite bulleuse : d’origine grippale,
phlyctène sur le tympan, favorise l’inflammation
6.Complications aiguës :
1. Mastoidite
3. labyrinthite
6. abcès cérébral
les séquelles :
1. Perforation tympanique miniscule
2. dysfonctionnement tubaire
4. cophose
7.Traitement :
OMA purulente Cas particulier
• Pas d'indication d’antibiotiques locaux. Si résistance de 48h ou otite-conjonctivite ⇒ germe
• AMOXICILLINE en 1 re intention. particulier : H. influenzae
indication : trt : amoxicilline + acide clavulanique
• Enfant < 2 ans Amoxicilline pd 8 à 10 j
• > 2 ans si symptomatologie bruyante : Amoxicilline
pd 5j
indications de la paracentèse :
Otite externe
Rappel anatomique : ++
• Organe médian et mobile avec MVT de déglutition, Formé de cartilage, ligament, muscle.
• Composé de : le cartilage thyroïde, le cartilage cricoïde sur lequel repose les cartilages aryténoïdes et le
cartilage épiglottique.
• Se divise en 3 étages :
L’étage sus-glottique : sa principale composante est l’épiglotte.
La glotte : contient les cordes vocales.
La sous-glotte (cricoïde)
• Rôle du larynx :
La phonation
La respiration
La déglutition
Diagnostic positif :
Motif de consultation :+++
Diagnostic différentiel : ++
➔ Dyspnée d'origine nasal : dyspnée inspiratoire qui cesse l'ouverture de la bouche
➔ Dyspnée d'Origine pharyngée : végétation adénoïde (l’enfant), hypertrophie amygdalienne (adulte), abcès.
néoplasie.
➔ Dyspnée trachéo-laryngée : hypertrophie du thymus chez l'enfant
Les cancers et les infections spécifiques (tuberculose, syphilis), kyste chez l'adulte
➔ Dyspnée pleuro-pulmonaire : (pneumothorax, broncho-pneumopathie, tumeur.)
Pas de modification de la voix ou de la toux,
Pas de cornage, ni tirage
Dyspnée expiratoire à type de polypnée avec battement des ailes du nez.
➔ Dyspnées obstructives bronchiques / asthmatiformes : Dyspnée expiratoire + « weezing » + Râles sibilantes
➔ Dyspnée en rapport avec une maladie générale : Dyspnée non obstructive, polypnée ou tachypnée.
(Cardiopathie, maladie nerveuse, métabolique, malformations congénitales).
Diagnostic étiologique : basé sur : les ATCD, l’examen clinique, Laryngoscopie directe et indirecte.
Chez l’enfant : +++
DG évident devant :
• SD de pénétration (présence d'un témoin) pathognomonique de l’inhalation de CE
Apparait chez l’enfant sain, lors d’un apéritif
Clinique : toux quinteuse brutale parfois jusqu’à l’asphyxie
• Sinon II faudra le rechercher par l'interrogatoire
Evolution variable :
Inhalation ➔ Soit laryngo-trachéale : le + grave (le larynx de l’enfant est plus petit que celui de l’adulte)
de CE : Clinique : dyspnée laryngée intense + tirage + cornage
Soit : une asphyxie aigue
Urgence TRT : Extraction du CE : la Manoeuvre de Mofenson est préférée / Heimlich
vitale
➔ Soit CE Trachéo-bronchique : moins grave, le plus frqt
Age < 2 ans Clinique : dyspnée expiratoire + wheezing/SG de drapeau + cornage + toux
Infection à répétition dans la même localisation
TRT : extraction par endoscopie bronchique (manœuvre de Heimlich CI risque remobiliser le CE)
La papillomatose laryngées :
La laryngoscopie indirecte > lésion en grappe de raisin.
La laryngoscopie directe pour l'épluchage biopsique à la pince
Le protocole thérapeutique associe une destruction des papillomes au laser et l'injection locale d'antiviraux.
Les risques de récidive sont très fréquents
Chez le nouveau-né (< 1 mois) :
Le stridor laryngé congénital : bruit inspiratoire due à la flaccidité du cartilage laryngé
• La laryngo-malacie (LM) : ++
• Les paralysies (récurent) laryngées congénitales, traumatiques (obstétrical forceps) ou idiopathiques
• Malformation…
Chez l’adulte :
Inhalation de corps étranger
Progressif Laryngite chronique, TBC, Syphilis, TM bénigne, KC du larynx, sténose cicatricielle (infectieuse / intubation)
Classification : ++