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Achraf Chabir

SYNTHESE DE BIOLOGIE
1.1.1. Les glucides

Sous le terme générique de "glucides", on retrouve, entre autres, ce que


l’on appelle communément les sucres. Les glucides peuvent être
subdivisés en plusieurs catégories :

1. Les monosaccharides, dont les plus connus sont certainement le


glucose, le fructose et dans une moindre mesure le ribose. Leur
formule générale est de la forme C n H 2n 0 n . Ainsi, le glucose a
pour formule C 6 H 12 O 6 . Ci-dessous, une représentation linéaire
de deux isomères de glucose.

2. Les polysaccharides, qui sont un polymère (une grande chaine) de


monosaccharides. On distinguera :

o Des petits polymères composés de l’assemblage de quelques


monosaccharides. Le plus connu d’entre eux est
certainement le saccharose, le sucre de cuisine que vous
connaissez tous, qui est un polymère composé d’un glucose
et d’un fructose. Le lactose est un autre cas bien connu
(polymère composé d’un galactose et d’un glucose).
o De très grands polymères composés de très nombreux
monosaccharides. Trois nous intéressent plus
particulièrement : l’amidon (chez les végétaux) le glycogène
(chez les animaux) est une molécule résultant de
l’assemblage de 10 000 à 100 000 unités glucose ; la
cellulose est une molécule composée de 15 à 15 000 unités
glucose.

Rôles des glucides :

• Le glucose est le "carburant" du vivant. C’est sous cette forme que


les glucides peuvent, via la respiration cellulaire, produire de
l’énergie.
• Les glucides jouent également un rôle de stockage énergétique,
sous forme d’amidon chez les végétaux (ex : céréales, châtaignes,
pommes de terre, ...) de glycogène chez les animaux. En cas de
besoin, ces molécules peuvent être facilement dégradées en
glucose, qui servira à produire de l’énergie.
• Chez les végétaux particulièrement, la cellulose joue un important
rôle structurel. En effet, elle est un composant de la paroi cellulaire
et de façon plus générale du bois.
• Enfin, de nombreux polysaccharides, fixés à la surface de la
membrane cellulaire, jouent un rôle dans la "communication" de la
cellule avec son environnement externe.

1.1.2 Les lipides

Les lipides sont une vaste famille de molécules présentant des propriétés
très différentes. On se limitera aux trois catégories suivantes :

• Les triglycérides sont ce que l’on appelle communément les


graisses (quand elles sont solides à température ambiante) ou les
huiles (quand elles sont liquides à température ambiante). Les
triglycérides sont des molécules hydrophobes, et donc insolubles
dans l’eau.
• Les phospholipides, qui composent les membranes cellulaires sont
quant à elles des molécules dites amphiphiles, c’est-à-dire
présentant à la fois une extrémité hydrophobe (qui est repoussée
par l’eau) et une extrémité hydrophile (qui est attirée par l’eau).
Cette propriété est à la base de la structure en bicouche des
membranes cellulaires, comme le rappelle l'illustration ci-dessous.

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• Différents métabolites, parmi lesquels les stéroïdes, dont certains
que vous connaissez probablement : le cholestérol, la testostérone,
les œstrogènes, ...

Rôles des lipides :

• Les triglycérides sont une forme de stockage énergétique très


efficace : à titre de comparaison, 1 gramme de triglycérides fourni
9 kilocalories, soit plus du double de 1 gramme de glucides ou de
protéines. Lorsque l’organisme absorbe plus d’énergie qu’il n’en
consomme, celle-ci est stockée sous forme de triglycérides qui
forment ce que vous connaissez sous le nom de bourrelets,
poignées d’amour, ...
• Les triglycérides jouent également un rôle de protection, qui peut
être d’ordre thermique (production d’une couche de graisse qui va
protéger du froid par exemple) ou mécanique (nos organes les plus
importants sont entourés d’une couche de graisse qui joue un rôle
d’amortisseur contre les chocs éventuels).
• Les phospholipides ont un rôle structurel : leur propension à
s’organiser en bicouche en milieu aqueux détermine les propriété
de la membrane cellulaire : fluidité, perméabilité sélective,
déformabilité, ... En ce sens, cette propriété des phospholipides a
probablement été déterminante dans l’apparition de la vie.
• Enfin, les lipides ont un rôle métabolique important : régulation
métabolique (voir le rôle des hormones par exemples), transport
de composants liposolubles, ...

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1.1.3 Les protides

Les protides, plus communément appelées protéines, sont une famille de


molécules aux structures et fonctions extrêmement diverses. Elles
partagent cependant toutes certaines caractéristiques :

• Ces molécules sont constituées d’une ou plusieurs chaînes


polypeptidiques, c’est à dire des chaînes d’acides aminés reliés
entre eux par des liaisons peptidiques. Les protéines sont en
général des molécules assez longues (en moyenne 466 acides
aminés, mais la plus longue protéine connue en comporte 35 213 )
• Il y a vingt acides aminés différents qui peuvent entrer dans la
composition des protéines.
• La chaîne polypeptidique détermine la structure primaire de la
protéines. Cette structure primaire va elle-même conditionner les
structures secondaire, tertiaire et éventuellement quaternaire de
la protéine (cf. Fig ci-dessous). Hors, la structure tridimensionnelle
d’une protéine est en grande partie responsable de sa
fonctionnalité. Toute modification de la structure primaire est
donc susceptible d’entraîner une modification des structures de
niveaux supérieurs et donc de la fonction de la protéine.
• Une protéine est donc une chaîne polypeptidique ayant pris une
conformation (une forme) particulière, qui permet à la molécule
de devenir active.

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Rôles des protides :

Les protéines jouent un nombre important et varié de rôles :

• Structurel : Certaines protéines composent certains des tissus du


vivant. C’est le cas par exemple du collagène qui compose les tissus
conjonctifs, ou de la kératine qui compose vos ongles et vos
cheveux. En outre, le cytosquelette des cellules est également
constitué de protéines (actine, kératine, ...).
• Stockage : des protéines comme l’albumine, composant principal
du blanc d’œuf, servent de réserves d’acides aminés pour la

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synthèse de nouvelles protéines, (en vue du développement de
l’embryon de poulet dans le cas de l’albumine).
• Transport : l’hémoglobine, un composant du sang, est une protéine
qui sert au transport de l’oxygène dans l’organisme.
• Communication et régulation : c’est le cas des neurotransmetteur,
qui sont des protéines impliquées dans la propagation de l’influx
nerveux ou des hormones qui permettent de réguler différents
processus biologiques ;
• Catalyseur : un catalyseur est une substance permettant
d’accélérer fortement une réaction chimique. Dans le cas des
processus biologiques, ces catalyseurs sont souvent des protéines
: les enzymes par exemple rentrent dans cette catégorie.
• Protection : les anticorps de notre système immunitaire sont des
protéines.
• ...

1.1.4 Les acides nucléiques

Vous connaissez au moins trois acides nucléiques : l’acide


désoxyribonucléique (ADN), l’acide ribonucléique (ARN) et l’adénosine
triphosphate (ATP).

L’acide désoxyribonucléique (ADN)

Les molécules d’ADN sont constituées d’un assemblage de nucléotides,


eux-mêmes composés d’un sucre, le désoxyribose, d’un groupement
phosphate et d’une base azotée (cf Fig 1.4). Les nucléotides s’associent
pour former une structure en "échelle", dont les montants sont
constitués du groupement phosphate et du désoxyribose, et les barreaux
des bases azotées. Cette échelle est enroulée sur elle-même pour former
une double hélice.

Il existe quatre bases azotées différentes : l’Adénine, la Thymine, la


Guanine et la Cytosine. L’Adénine s’associe toujours avec la Thymine
grâce à deux liaisons hydrogènes et la Cytosine et la Guanine sont réunies
par 3 liaisons hydrogène. La force des liaisons hydrogène n’est égale qu’à
environ 1/20 de celle des liaisons covalentes au sein de la molécule
d’ADN ; la fragilité de la liaison entre les bases azotées de chaque échelon,
au milieu de la molécule d’ADN, est la propriété essentielle de celle-ci.
C’est en effet cette propriété qui permet à l’ADN de s’ouvrir en deux, et
de permettre les mécanismes de transcription.

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Localisation et forme de l’ADN.

La majeure partie de l’ADN est contenue dans le noyau cellulaire. Chaque


cellule du corps humain continent 46 molécules d’ADN correspondant
aux 46 chromosomes. C’est ce que l’on nomme le génome. Le nombre de
molécules d’ADN est variable selon les espèces, mais constant pour une
même espèce (ex : 8 chromosomes chez la drosophile, 78 chez le chien,
...). Comme ces molécules sont identiques au sein de chaque cellule d’un
organisme pluricellulaire (à l’exception des gamètes), on décrit le
génome d’un organisme par la séquence des bases azotées des molécules
d’ADN d’une cellule. Le génome humain, dont la plus grande partie du
décryptage date de 2001, est constitué de plus de 6 milliards de paires de
nucléotides.

Dans le noyau, l’ADN peut prendre différentes formes en fonction du


cycle cellulaire (cf Fig ci-dessous). Pendant l’interphase, il se présente
sous la forme de chromatine, longs filaments enchevêtrés. Chaque
filament est constitué d’une molécule d’ADN associée à des protéines, les
histones. Au moment de la division cellulaire, les filaments se condensent
et s’épaississent pour former des chromosomes. Chaque chromosome
apparaît comme constitué de deux entités, appelées, chromatides,
réunies en un point nommé centromère. Les deux chromatides étant la
réplique l’une de l’autre.

Même si les cellules d’un organisme ne montrent pas toutes le même


aspect et qu’elles remplissent des fonctions différentes suivant le tissu
qu’elles constituent, elles contiennent toutes, à l’exception des cellules
reproductrices, les mêmes molécules d’ADN et donc la même information
génétique.

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Formes de l'ADN :

L’acide ribonucléique (ARN)

L’ARN est également un polymère de nucléotide, mais composé d’un seul


brin, contre deux pour l’ADN. De plus la base azotée Thymine est
remplacée par de l’Uracicle (U). Enfin, contrairement à l’ADN qui se
trouve exclusivement dans le noyau, l’ARN peut également être trouvé
dans le cytoplasme, sous forme d’ARN de transfert (ARNt ) par exemple,
ou comme composant des ribosomes.

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L’adénosine triphosphate (ATP)

L’ATP est une molécule qui a comme caractéristique principale une


énorme capacité de stockage d’énergie. La cellule utilise cette
caractéristique de la manière suivante :

• Lors de la respiration, la cellule "brûle" du glucose, ce qui libère de


l’énergie. À partir d’adénosine diphosphate (ADP) et de phosphate
inorganique (P i ), la cellule stocke cetté énergie sous forme d’ATP,
ce qui peut être symbolisé par la réaction suivante :

ADP + P i + Energie → ATP

• Lorsque la cellule a besoin d’énergie (exemple pour contracter les


cellules musculaires lors de d’un effort physique, la cellule
décompose l’ATP en ADP et en phosphate inorganique, ce qui
permet de libérer l’énergie stockée.

ATP → ADP + P i + Energie

1.2 Transmission des caractères héréditaires : l’apport de


Mendel

1.2.1 Vocabulaire et conventions de notation

Vocabulaire

• Un allèle est une version variable d’un même gène. Par exemple, le
gène codant la forme des graines de pois possède deux allèles :
forme ridée et forme lisse. Tout individu est porteur de deux allèles
par caractère (un provenant d’un parent, l’autre du second
parent), alors que les gamètes n’en possèdent qu’un seul.
• Homozygote : se dit d’une cellule ayant, pour un ou plusieurs
caractères, les deux mêmes allèles. Par extension, on parlera
également d’individus homozygote.
• Hétérozygote : par opposition à homozygote, se dit d’une cellule
portant deux allèles différents pour un même caractère.
• Le génotype est l’ensemble de l’information génétique d’un
individu. Le génotype d’un individu est donc la composition
allélique de tous les gènes de cet individu.
• Le phénotype est la manière dont le génotype s’exprime. Il est
composé l’ensemble des caractères spécifiques observables d’un
individu (couleur des cheveux, des yeux, groupe sanguin, ...)

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• Dominant : se dit d’un allèle dont le caractère est exprimé chez les
individus hétérozygote.
• Récessif : se dit d’un allèle dont le caractère n’est pas exprimé chez
les individus hétérozygotes.

Conventions de notation

Dans la suite du chapitre, on utilisera les conventions de notation


suivantes :

• Les premiers parents du (des) croisement(s) étudié(s) sont notés


P1 et P2
• Les individus issus du croisement de P1 et P2 sont des individus
appartenant à la génération F1
• Les individus issus du croisement de deux individus F1 ou d’un
individu F1 et un individu quelconque appartiennent à la
génération F2

Les allèles sont représentés par des lettres. On choisira une lettre
rappelant le caractère dominant.

• On utilisera une lettre majuscule pour l’allèle dominant.


• On utilisera une lettre minuscule pour l’allèle récessif.
• Un génotype se note en juxtaposant les lettres correspondant aux
allèles. Par exemple, soit l’allèle "A" dominant et l’allèle "a" récessif,
le génotype d’un individu hétérozygote s’écrira indifféremment Aa
ou aA.
• Le phénotype d’un individu se notera entre crochet, où l’on placera
la lettre correspondant au phénotype exprimé. Dans l’exemple ci-
dessus, le phénotype d’un individu hétérozygote s’écrira [A].
• Pour étudier le génotype des différents descendants d’un
croisement, on utilisera l’échiquier de Punnett, encore appelé
"carré de Punnett" ou diagramme de croisements. Ce tableau fait
ressortir, en tête de ligne et en tête de colonne, les différents allèles
possibles des parents, ainsi que leur fréquence. Chaque case du
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tableau présente les génotype possibles, ainsi que leur fréquence.
À partir du génotype des descendants, il est possible de calculer la
fréquence des différents phénotypes. Le croisement de deux
parents hétérozygotes Aa permet de dresser le carré de Punnett
suivant :

Croisement des parents P1 et P2, tous deux hétérozygotes

Gamètes A (P(A) = 0.5) a (P(a)=0.5)


A (P(A) = 0.5) AA (P(AA) = 0.25) Aa (P(Aa) = 0.25)
a (P(a)=0.5) Aa (P(Aa) = 0.25) AA (P(aa) = 0.25)

1.2.2 Les travaux de Mendel et leurs résultats

Une histoire de pois

Une fleur de pois et sa carène

Mendel a choisi pour ses expérimentations de travailler sur le pois.


Plusieurs raisons ont guidé ce choix :

• Le pois est une plante présentant une nette tendance à


l’autofécondation ;
• En cas de fécondation contrôlée, la protection des plantes
"femelles" (c’est-à-dire celles dont on a ôté les étamines) est
facilitée par la présence d’une protection naturelle, la carène ;
• Avec le pois, il est facile d’obtenir des variétés pures pour certains
critères ;

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• Le pois se reproduit rapidement. Il est donc possible de mener
facilement des expériences sur plusieurs générations.

Le pois possède en outre de nombreux caractères qualitatifs (Mendel


parle de traits), bien distincts. Mendel en retiendra 7, sur lesquels il
mènera ses expérimentations.

Dispositif expérimental

Pour rappel, le dispositif expérimental mis en place par Mendel, consiste,


pour chaque caractère étudié (forme de la graine, couleur de la graine,
...), à :

• Croiser entre elles deux lignées pures présentant chacune un


"trait" (lisse ou ridée pour la forme de la graine par exemple)
distinct et constant ;
• Observer le phénotype des hybrides F1 ainsi obtenus ;
• Reproduire les hybrides F1 par autofécondation ;
• Observer le phénotype des hybrides F2 ainsi obtenus.

Mendel répète ses expériences un grand nombre de fois. Le dispositif


expérimental utilisé est synthétisé à la figure suivante.

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Les principaux constats et les conclusions de Mendel

Dans toutes les expériences d’hybridation entre plantes de lignée pure


différant par un seul trait constant, la première génération, ou F1, est
composée de plantes présentant toutes le trait d’un seul des deux
parents.

Ces plantes F1 produisent par autofécondation une génération F2 dans


laquelle 3/4 des plantes ont le trait parental transmis aux F1 et 1/4 des
plantes l’autre trait parental.

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Mendel tire de ses observations plusieurs conclusions :

• Il fait l’hypothèse que le trait visible chez les F1 est dominant, alors
que celui qui réapparaît seulement en F2 est récessif (ou dominé).
• Il en conclut que chez l’hybride F1 le trait dominant apparent et le
trait récessif masqué sont tous deux présents et restent
distincts. La présence du trait dominant empêche l’expression du
trait récessif.
• En suggérant que les caractères sont transmis comme des unités
distinctes, Mendel introduit l’idée d’un support matériel pour
chaque caractère héréditaire ; c’est le concept de l’hérédité
particulaire. Ce support symbolisé par Mendel à l’aide de lettres
reste longtemps désigné par différents termes : facteur, unité,
élément mendélien. On sait maintenant qu’il correspond au gène
et à ses différentes formes ou allèles.
• Il fait l’hypothèse d’une séparation des deux éléments au moment
de la formation des cellules sexuelles, chacune d’elles ne contenant
que l’un ou l’autre de ces deux éléments. Il pense également que
les deux types de cellules sexuelles sont fabriqués en quantités
égales par l’hybride et que celles-ci se combinent au hasard au
moment de la fécondation.

Mendel propose d’expliquer les résultats obtenus en F2 par le modèle ci-


dessous (cf Figure). Il désigne par la lettre "A" l’élément support du trait
dominant et par la lettre "a" l’élément support du trait récessif. Lorsque
l’on croise deux hybrides F1 tous deux porteurs des éléments "Aa", on
obtient des hybrides F2 selon la clé de répartition 1AA + 2Aa + 1aa.
Comme la présence de l’élément "A" masque celle de la présence de
l’élément "a", on observe dans 3 cas sur 4 le phénotype de "A", et dans un
cas sur 4 le phénotype de "a".

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Mendel confirmera ses résultats en analysant les résultats
d’autofécondation des hybrides F2 en vue de l’obtention d’hybrides F3. Il
obtient les résultats suivants :

Cela confirme que chez l’hybride F1 le trait dominant apparent et le trait


récessif masqué sont réunis mais restent distincts ; ils se disjoignent au
moment de la formation des gamètes mâles et femelles puis se ré
associent au hasard à la fécondation. Suite à ces résultats
d’autofécondations des F2 et des générations suivantes Mendel peut
enfin tirer sa conclusion : "Il y a ségrégation indépendante des caractères
héréditaires". Cela est formulé dans la première loi de Mendel de la façon
suivante :

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Première loi de Mendel, ou loi de l’uniformité des hybrides de 1re
génération :

"Si l’on croise deux races pures distinctes par un seul caractère, tous les
descendants de la première génération, qui seront appelés des hybrides
F1, sont identiques"

Seconde loi de Mendel, dite loi de ségrégation des gamètes

"Au moment de la formation des cellules reproductrices, il y a séparation


(ségrégation) des unités distinctes qui portent les caractères différentiels,
et elles se ré associent au moment de la fécondation."

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