Ecologie générale 2 (kahwaji)
Ecologie générale 2 (kahwaji)
Ecologie générale 2 (kahwaji)
Kahouadji
Chapitre I :
Caractérisations des écosystèmes naturels :
Définition :
Un biotope (ou milieu) se décompose en autant d’écosystèmes qu’il y a de groupes d’êtres vivants y
vivant en communauté مجتمعات
Les écosystèmes sont bien organisés, Ils sont fondamentalement structurés dans l’espace-
temps, Leurs éléments dépendent les uns des autres dans leurs évolutions et leurs
fonctionnements. Leurs interactions sont portées par des flux de matière et d’énergie.
Les critères de l’évolution normale d’un peuplement pionnier ou juvénile d’un écosystème vers une
biocénose mature : جنيني
Ils se caractérisent par un faible recyclage des ressources, relativement peu d’espèces (faible
diversité), peu d’interaction entre elles, sauf la compétition pour les ressources.
En revanche, les écosystèmes juvéniles ont une productivité élevée (en termes de biomasse).
C’est précisément ce que cherche à réaliser l’agriculture intense industrielle moderne en faisant
régresser les milieux qu’elle transforme vers le stade d’écosystème juvénile.
Le stade mature
Il se caractérise par un fort taux de recyclage des ressources, une productivité nette faible,
mais une forte résilience (retrouver ses propriétés initiales après des perturbations) et durabilité
sur long terme.
Climax
En écologie, le climax est un état théorique dans lequel un sol ou une communauté végétale a
atteint un état d’équilibre stable et durable avec les facteurs édaphique et climatique de milieu.
Tant que les composantes (T,lumiere...) du Mais dès que la biocénose est entrainée hors du champ de
milieu ou biotope sont maintenus à des niveaux ses capacités de stabilisation c à d dès qu’il y est
tolérables par la biocénose .celui-ci dans un état perturbation, on peut assister soit à un glissement vers un
de stabilisation. autre cycle stable ou dans le pire des cas à une
disparition.
Les relations d’ordre alimentaire jouent un rôle important dans le fonctionnement des écosystèmes.
On appelle chaîne trophique, une suite d’êtres vivants dans laquelle certains mangent ceux qui les
précédent dans la chaine avant d’être mangés par ceux qui les suivent.
Celles qui commencent par les végétaux vivants qui sont divorés par les herbivores.
Celles qui commencent par de la matière végétale ou animale morte et plus ou moins
décomposée qui est consommé par les détritivores.
Les détritivores : ils se nourrissent de matière organique morte végétale ou animale, et
fragmentent cette matière de plus en plus finement, facilitant ainsi l’action des
décomposeurs.
Les décompenseurs : ce sont les bactéries et les champignons, ils décomposent les
résidus organiques, et les minéralisent (transformation de la matière organique en sels
minéraux). Les produits de cette dégradation sont le gaz carbonique, les nitrates et les
phosphates qui sont à nouveau réabsorbés comme nourriture par les végétaux.
Nb : stratification verticale décrit comment la biomasse est distribuée en fonction de la hauteur (terrestre) ou
de la profondeur (aquatique) dans un écosystème. التصنيف الرأسي
Le flux de la matière dans un écosystème :
Un lièvre, herbivore, mange le feuillage du sapin/la matière contenue dans ce feuillage est alors
transférée au lièvre…
La matière passe donc sans cesse d’un état à un autre, elle est toujours en circulation dans un
écosystème.
Le flux d'énergie est plus important, avec un taux de renouvellement élevé, c'est-à-dire la production
biologique (ou productivité) qui lui correspond.
Les éléments indispensables à l’édification de la cellule vivante sont sans cesse transformés en
matière biochimiques (glucides, lipides, acides aminés…) ou absorbés sous forme d’ions
inorganique par les végétaux autotrophes puis utilisés par les hétérotrophes.
Ainsi un écosystème est caractérisé par les échanges cycliques de matière qui s’établissent
entre le biotope et la biocénose et qui constituent des cycles biogéochimiques.
Ces échanges entre les éléments inorganiques et la matière vivante se déroulent dans les
écosystèmes et concernent des éléments essentiels comme l’eau, le carbone, l’azote, le
phosphore, le soufre et les métaux.
La quantification des cycles biogéochimiques permet de souligner l'importance
relative de la matière vivante présente sur la planète ainsi que les réserves disponibles
pour chacun de ses constituants dans le reste du globe.
Parmi la centaine d’éléments chimiques naturels, seulement 6 sont nettement plus
abondants dans le vivant que dans le non vivant : C, H, O, N, P, S.
L’H, l’Héluim, l’O et le C sont dans l’ordre les éléments les plus abondants dans le cosmos.
Sur terre cependant, ce sont l’O et le silicium qui dominent, le C venant en 14eme place seulement.
Le carbone est le constituant majeur de deux gaz à effet de serre : (CO₂) et le méthane (CH₄)
sans lequel il ne saurait y avoir de vie sur terre, son recyclage influence particulièrement la
productivité biologique (la quantité de biomasse produite) et le climat.
Le cycle global du C implique les processus qui agissent en milieu terrestre et en milieu océanique et
où interviennent des réactions chimiques biologiques (photosynthèse...) et non biologiques
C organique :
Produit par des organismes vivants.
Contient des liaisons C-C et C-H
C inorganique : (CO2 atmosphérique – celui des calcaires CaCO3 )
Pas de production par les êtres vivants
Ne contient pas des liaisons C-C et C-H
NB : -Le grand réservoir du C est constitué par les roches sédimentaires. (Partie de Lithosphère)
Au niveau des flux entre les réservoirs, ou évalue que le temps de résidence d’un atome de C est
de :4ans dans l’atmosphère, 11ans dans la biosphère, 385ans dans l’hydrosphère superficielle
(océan de 0 à 100m), Plus de 100 Ka (millier d’années) dans l’océan profond et de quelques 200
Ma (million d’années) dans la lithosphère.
Cycle de L’azote :
Azote(N) : ce gaz est le premier en importance dans l'atmosphère terrestre (78%). Il s'y trouve
sous sa forme moléculaire normale diatomique N2, un gaz relativement inerte (peu réactif).
N.B : les plantes carnivores se nourrissent par les insectes (car le sol est pauvre en azote) .
Pour obtenir de l'azote, certaines bactéries fixatrices de l'azote transforment l'azote atmosphérique
(N₂) en ammoniac (NH₃) ou en ion ammonium (NH₄⁺), ce dernier se formant particulièrement
lorsque le milieu est acide.
3 processus de base sont impliqués dans le recyclage de l’azote : fixation de l’azote diatomique N2,
nitrification, dénitrification (retour à l’azote a son état gazeux).
1-Fixation :
Elle se fait par certaines bactéries qui vivent dans les sols ou dans l'eau et qui réussissent à
assimiler l'azote diatomique N2
Effectué par des bactéries nitrifiantes, où l'ammonium est oxydé en nitrites (NO₂⁻) puis en nitrates
(NO₃⁻).
2NO2- + O2 2NO3-
Nitrite + O nitrate
Les nitrates sont la forme d'azote la plus facilement assimilable par les plantes
3-Dénitrification :
Cycle de phosphore:
Cycle du soufre :
Tout comme l’azote et le P, le soufre est un élément essentiel à la vie. A l’origine de la terre, le soufre
était contenu dans les roches ignées principalement dans la pyrite.
Le soufre est un constituant important des pétroles et de charbonne et leur combustion libère du
dioxyde de soufre SO2 dans l’atmosphère.
Les composés du soufre sont multiples, les principaux sont les suivants : Dans
Dans les systèmes aquatiques, les composés majeurs les sulfates dissoutes SO4- Dans les
Cycle de l’oxygène
Le cycle d’eau est essentiel pour que l’eau puisse rester une ressource disponible pour tout vivant.
Condensation : la vapeur d’eau circulent dans l’atmosphère va rencontrer un air plus froid et elle va
se transformer en gouttelettes
Précipitation : lorsque les conditions climatiques que sont réunies, les nuages subissent une
transformation et l’eau qui les forme regagne la surface de la terre sous forme de précipitation.
Cycle des métaux lourd (mercure « Hg » :
En absence d’activité humaine les métaux étaient relâchés dans l’environnement au rythme
auquel l’érosion les libérait.
Ces rythmes ont été considérablement modifiés par les activités minières et les
modifications de l’environnement.
Les cycles biogéochimiques se trouvaient ainsi perturbés.
Les métaux jouent un rôle essentiel de nombreux systèmes enzymatiques.
Le cycle d’Hg est donné par le transport atmosphérique et les échanges entre
l’atmosphère et la surface des continents ou des océans.
11jours dans l’atmosphère, 1000ans dans les sols, 3200ans dans les océans.
Les processus industriels de haute température sont responsables d’émission importante
dans l’atmosphère, il en résulte une augmentation de la teneur
moyenne en mercure Hg de l’air et des rivières.
Ce sont les régions les plus septentrionale, en particuliers les massifs montagneux du Rif et des atlas
et les plaines (forme particulière des reliefs)littorales.
C’est un type de climat tempérée ou tempérée chaud ou subtropical de façade ou est selon les
considérations qui se caractérisée par :
Il s’agit de façade ouest, des continents entre 30° et 40° d’altitude (Californie centre de chili, région
du Cap en Afrique du sud, sud et ouest de l’Australie).
La forêt contribue
Etage infra méditerranéen : Ce domaine est caractérisé par la présence d’éléments gênés
crassulescentes (tige charnue chlorophyllienne).Crassulescentes sont aphylles, à coté
des espèces méditerranéennes.
Exemples :
Tetraclinisarticulata
Juniperusphoenicea
Quercus rotundifolia et surtout Quercus suber.
Var.sylvertris
Pistaciaatlantica
Cupressus atlantica l’espèce endémique marocaine
Il occupe une frange altitudinale compris entre 900 et 1400 dans le Maroc septentrional
et entre 1100 et 1500m dans le Maroc méridional, (Quercus rotundifolia, Quercus suber,
Quercus canariensis et Quercus pyrenaica)
Dans les zones sèches les Quercus rotundifolia cédera à ce niveau
auJuniperusphoeniceasubspphoenicea.
Il réunit :
Q. sclérophylles.
Q. rotundifolia et Q. suber.
Q. caducifoliées en relativement sèches.
Q. faginea, Q. canariensis, Q. pyrenaica.
L’étage forestier culminal au niveau duquel dans les zones humides les Quercus
caducifoliées disparaissent au profit des forêts de conifères montagnard.
Cet étage voit son plancher fluctuer entre 1800 et 2000m et son plafond varie entre
2400 et 2600m : cedrusatlantica et abies maroccana.
Etage oroméditerranéen :
Niveau inférieur : au dessus de 2300 à 2500m caractérisé par des formations pré
forestiers ou pré steppique qui sont constitués par des Q. rotundifolia. Cedrus et
Juniperusthurifera.
Les thuriféraies s’étendentsur presque tous les hauts sommets du moyen Atlas plissée et
du haut Atlas Centro-oriental celles-ci se situe en bioclimat semi-aride et subaride très
froid et extrêmement froids.
Ces peuplements qui sont dans leur ensemble pré steppiques s’intègrent aux Ephedra-
Juniperetea.
Cèdre 2830
Les écosystèmes :
Les chênaies occupent les plaines et piémonts de montagne tandis que la cédraie occupe
les zones de montagne dans le Rif et le Moyen Atlas.
Les pinèdes climatiques sont localisées dans des régions d’altitude, la seule sapinière
marocaine occupe les hauteurs du Rif occidentale dans la région de Chaouen.
Au sud l’arganeraie endémique occupe des zones semi-arides et arides et constitue avec
l’Acacia des espèces … à l’aridité.
Le cortège floristique des forêts marocains est riche en espèce d’arbuste et herbacées,
dont un grand nombre en permanence d’intérêt médicinal et aromatique.
La faune des forêts est également très diversifiée est riche en espèce d’oiseaux, reptiles,
mammifères (passereaux, singe hagot, porc épic…)
La cédraie
Les 2 espèces les plus impressionnantes, le lion de l’Atlas et la panthère ont disparu, le
1er dans les années 1920 et le 2em récemment dans les années 1980 1990
Des écosystèmes arborés peuvent s’y développer avec en plus des ripisylves (ensembles
de formation boisées présentes sur les rêves d’un cours d’eau) des arbres organisateurs
comme :
Acacia raddiana
Acacia ehrenbergiana
Balanites aegyptiaca
Maeruacrassifolia
Rhustriportitum
Les écosystèmes à chaméphytes (les bourgeons se situent près du sol) occupent les regs
(désert de pierres : étendues sahariennes à relief plat et couvertes de cailloux)ou ils
organisent des peuplements très lâches avec comme principaux éléments floristiques
des chénopodiacées (Anabasis, Nucularia).
Les ergs (ou dunes de sable sahariennes) sont plutôt pauvres en végétation et en faune,
sauf dans certaines biotopes (vallées humides, steppes océaniques, oasis…)
Les acaciaies :
Le genre acacia est représenté au Maroc essentiellement par 3 espèces :
Acacia ehrenbergiana
Acacia raddiana
Les arganeraies :
Les Cocciféraies :
Le chênekermés (Q. coccifera) est limité aux régions les plus septentrionales du pays :
rif, béni snassen et une seule station non loin de Taza vers le sud.
Les Cupressaies
Les cératoniaies
L’oléastraies
Il est souvent en mélange avec d’autres espèces dit essences comme le lentisque, les
filaires, le tizra et le doum.
Le genévrier oxycédre
Maroc
La 3 eme espèce étant limitée à quelques rares ilots dans le rif central et occidental alors
que les 2 autres sont relativement fréquentes dans le paysage forestier marocain
Les pistaciaies :
Actuellement, il ne forme plus de peuplements purs mais est mélange fréquent avec le
thuya deberbérie.
Les sapinières
L’espèce abies pinsapomaroccana endémique du Maroc est rare, cantonnée aux seules
montagnes calcaires du Rif occidental aux environs de Chefchaoun, ou ses peuplements
n’excédent guère 6.000ha de superficie et sont généralement infiltrés de cèdres, de
chêne oude pins avec très souvent un sous bois comparable à celui de la cédraie.
Les subéraies
Le chêne liège (Q. suber) qui occupe une superficie de près de 384.200ha est une
essence remarquable au sein de nos forêts vu ses rôles écologiques et socio-
économiques.
Les thuriféraies
Les thuriféraies d’une superficie de 30.000 ha environ sont des formations pré
steppiques avec essentiellement de vieux sujets pouvant atteindre des dimensions
importantes jusqu’à 5m de diamètre.
Les tétraclinaies
Le cortège floristique du sous bois est aussi très riche: cistes, lavandes, genets, romarin,
alfa, doum…
: Le chênezéen(Quercus canariensis)
Steppes à alfa
Les nappes à alfa (Stipa tenacissima) recouvrent des superficies très vastes estimées à
plus de 2 millions d’ha en particulier dans la portion orientale du Maroc.
Steppes à armoises
Les armoises (Artemisiaspp) constituent des formations qui occupent de très vastes
étendues dans la portion orientale du Maroc préfèrent coloniser les sols riches
étant occupés par les nappes à alfa.
Steppes épineux :
Parmi les menaces les plus récurrentes et les plus classiques qui présent sur la viabilité
des zones humides :
La pollution
Le surpâturage
La surexploitation des ressources
Le dérangement de la faune
La chasse excessive et invasive.
Les catastrophes naturelles (érosion, incendies…).
Mais certains chercheurs pensent qu’un tiers de l’écosystème au Maroc, qui compte plus
de 4500 espèces végétales dont 500 endémiques des centaines d’autres animales et
médicinales rares, est en voie de disparition.
Le domaine forestier marocain couvre une superficie de 9 millions ha dont 5,8 millions
boisés.
La croissance démographique
La pression exercée sur les ressources naturelles
La sécheresse
L’usage abusif du droit de jouissance
Les incendies (destruction de 300ha par an).
La cédraie du moyen atlas la plus grande en méditerranée en pâtit gravement.
Il en va de même pour l’arganeraie du sud ouest
Si bien qu’en réalité le Maroc importe actuellement plus de ¾ de ses besoins
en bois.
La délimitation
L’homologation
L’immatriculation.
Et ensuite y pratiquer une gestion rationnelle du droit d’usage et de propriété.
Quintessence du réservoir génétique abritant les 2/3 des plantes et un bon 1/3 des
espèces animales, le domaine forestier du Maroc est l’élément fondateur de la richesse
écologique du pays puisque en son sein s’élaborent les grandes cycles de l’eau, ressource
précieuse.
Le surpâturage en prime :
Paysages défigurés
Ecosystèmes dénaturés
Forêts dégarnies
Biodiversité banalisée
Sol écorché
Lessivages catastrophiques
Destruction irrémédiable.
800 00 moutons paissent au sein des modestes cédraies du parc naturel d’Ifrane, soit un
troupeau 4 fois >à c qu’il devient être.
La Déforestation
La déforestation au Maroc comme dans d’autres pays du monde a atteint
des seuils intolérables.
Ce phénomène est devenu aujourd’hui plus que jamais une memo en permanence
pour l’écosystème national d’où l’urgence l’hémorragie.
En effet selon les statistiques du département des eaux et forêts la
déforestation se situe aux alentours de 3000ha par an.
Hallucinant le Rif considéré comme l’une des principales concentrations
forestières du royaume a perdu à lui seul durant les dernières décennies
du XXème siècle plus de 50% de sa couverture végétale par le phénomène
défrichement.
La forêt de chaine liège de Maâmora d’une superficie totale de 1330 ha risque
aujourd’hui de disparaitre.
La FAO avait portant tiré la sonnette d’alarme dés le début d’année 1990.
Le surpâturage le développement urbain l’élevage excessif et l’ensemble
des plantes ont contribue à réduire cet agréable espace forestier à une peau
de chagrin.
Selon les conclusions des études du centre marocain de développement des
énergies renouvelables (CDER) l’abattage et la collecte du bo pour la cuisson et
le chauffage reste le 1er facteur responsable de…
Portant plus de 30% des besoins énergétiques domestiques sont tirés de la forêt.
Les bains maures, les forges et les boulangeries figurent par les principaux
consommateurs du bois dans les villes
La plus grande partie du bois provient des forêts de cèdre et de pins qui
couvrent à peine 227000ha à peine 4% de la couverture boisée totale du pays.
Mais pour les spécialistes le taux de reboisement au Maroc qui sont de 8%
reste très faible pour pouvoir rendre les efforts de régénération de la forêt
supérieur au rythme de sa dégradation.
Les incendies
La chasse
Les systèmes locustes et lagunaires du Maroc s’étalent sur près de 0,3% des
territoires national à quoi il faut ajouter 3500 Km de coté marine et
quelques dizaines de millions de Km de fleuves.
Cependant ces systèmes sont en régression inquiétante à cause de la sur
explantation et pollution du drainage.
o Une oasis est un écosystème des régions arides qui repose sur la rareté
des ressources en terres fertiles et en eau
o L’agriculture oasienne y est une agriculture de substance …
o Ces écosystèmes subissent 5 grandes crises du milieu oasien qui révèlent
un modèle de développement inapproprié :
Crise de l’eau
Crise de palmiers
La crise agricole
La crise sociale
La crise territoriale
o L’abondant de la palmeraie entraine la disparition des cultures sous jacents et
la paupérisation affecte les familles.
o Un exode rural.
Gestion et valorisation
Gestion et conservation
o Cependant l’une ou l’autre des approches ne peut se montrer efficiente que si elle
est accompagnée.
o De mesures de sensibilisation ou éducation
o De recherche ou développement
o De coopération…
Réserves biologiques
Une réserve naturelle : protège des pertes des territoires d’une ou plusieurs
communes dont la faune la flore le sol les eaux les gisements minéraux les
fossiles présentent une importance particulière elle met en œuvre une
réglementation adaptée à une conservation de ces éléments sur une
territoire protège.
Un parc naturel régional : est un territoire regroupent plusieurs communes
qui adhérent à des objectifs communs de développement et d’aménagement
du territoire respectueux de l’environnement local, un PNR ne fait l’objet
d’auune réglementation particulière : les réglementations naturels sont
applicables.
4 zones humides marocaines ont été classes sites RAMSAR en 1950. Il s’agit du :
Réserve de Merjazerga
Réserve de Sidi Boughaba
Réserve de la lagune de khnifiss
Réserve du lac Aguelafenourir
o Ce sont des milieux identifiés par l’étude nationale sur les aires protégés
pour leurs voleurs écologique scientifique socio-économique.
Réserves de biosphère MAB
o Il concerne l’arganeraie
o Les oasis (la palmeraie)
La flore :
A coté des disparitions visant la conservation in situ des ressources vivantes le Maroc
est doté de nombreuses institutions essayant dans les limites de leurs moyens de
soutenir animaux et végétaux dans plusieurs efforts de survie.
► Jardins botaniques :
Les jardins exotiques de salé et d’essaie de rabat peuvent être pris comme exemple
Banques de semences
2 formes :