Pour Le Peuple Par Le Peuple 1
Pour Le Peuple Par Le Peuple 1
Pour Le Peuple Par Le Peuple 1
Sommation
À tous les « fonctionnaires », à tous les comptables « publics », à toutes les
personnes travaillant pour la république française, à toutes entités agissant
pour cette société, NOUS, le peuple souverain, nous vous sommons de cesser
immédiatement toutes activités néfastes à l’encontre de la population, sous
peine de la prise en compte judiciaire par le peuple de votre collaboration
choisie et assumée, au Crime contre l’Humanité en cours.
Vous qui travaillez pour l’entreprise république française présidence en étant rémunérés par
le PEUPLE, par la NATION, lisez bien ce document, votre responsabilité personnelle est
pleinement engagée…
Ce document est édicté pour informer le peuple de choses très graves, parfois
criminelles que subit la population depuis trop longtemps.
Certaines preuves sont tirées des écrits et des recherches de Juristes, de simples
citoyens, de médecins, de journalistes indépendants, d’internautes, de lanceur d’alertes
souhaitant faire éclater la vérité sur cette escroquerie monumentale, ces crimes
perpétuels contre le peuple, contre l’humanité.
Avant-Propos
Il est primordial de commencer par rappeler que, nous sommes l'un des seuls pays
au monde où la population a la souveraineté nationale. Ce qui signifie qu’un
gouvernement « si légitime », exerce par et pour le peuple. Pour cela, nous devons
donner mandat à des représentants du peuple pour qu'ils nous représentent. Ce mandat
n'est pas un blanc-seing, mais un engagement à respecter nos droits de l’homme et les
intérêts fondamentaux de notre Nation. La Nation, c'est le peuple.
Nous arrivons à la fin d’une longue période de destruction de la Vie Humaine par la trahison
des Droits de l’Homme et du Citoyen et donc la trahison de la Constitution par nos
gouvernements successifs : ils ont détourné la force publique contre le peuple qui la finance
jusqu’à un Crime contre l’Humanité sans précédent.
2/ Ce document et ses annexes (à partir de la page 43) qui indiquent comment est mise
en pratique le détournement des lois par le « système » mafieux en place. Ce dossier est
riche en exemples concrets. Il permet de dérouler l’organisation sournoise, structurée
eu haut lieu des pouvoirs politiques et économiques, pour nous faire croire en une
« légalité constitutionnelle », appliquée et non négociable. Ils noyautent les postes clés
de la République, afin de maintenir une mafia de l’ombre : elle spécule sur la
récupération, à chaque maillon de la chaine de mensonges et à l’aide d’huissiers
illégaux, les valeurs réelles produites par les citoyens respectueux de la vie d’autrui.
3/ Un rapport édicté par Sylvie Charles démontrant qu’ils ont instauré un terrorisme
d’Etat contre le peuple, en détournant la fonction publique de ses objectifs légitimes, la
corruption au sein des tribunaux, le blanchiment d’argent, la trahison et l’incompétence
des politiciens, les institutions créées même à l’intérieure de notre république.
https://www.illegal-en-france.com/pages/le-jour-j-est-arrive.html
Pour rendre plus simple la lecture, des preuves détaillées prouvant certains faits, sont
disponibles à la fin du document dans les annexes.
Cet Organisme dit gouvernemental ne peut pas promulguer, ni appliquer de Lois Pénales ou
toute autre Loi répréhensible contre la population. Il ne peut que créer et appliquer que des
règlements intérieurs qui sont tenus de se conforter au DROIT DES CONTRATS. Ce dernier
exige des accords écrits et signés et une transparence totale.
Cette société commerciale a perdu son statut de souveraineté en utilisant des documents
commerciaux, entre autres, ceux de la banque centrale Européenne. Elle ne se diffère donc
pas d’une simple société privée. Les faux membres du gouvernement ne sont que les
dirigeants de cette entreprise et sont donc liés par les Lois internationales qui régissent les
sociétés privées, ce qui signifie que s’ils ont l’intention de contrainte un individu à une
performance spécifique basée sur leurs statuts, leurs règlements intérieurs, leurs règles
internes, cette société et ses dirigeants, comme toute société privée, doivent être détenteur
d’un contrat valide ou d’un accord commercial entre eux et celui à qui des exigences
d’exécution sont faites. Il en est de même pour toutes les affiliations, dites publiques, centre
des finances publiques, URSSAF, ANTAI ou tout autre organisme affilié.
Par conséquent, tous les textes édictés et parus sur Légifrance ne sont que des règlements
intérieurs d’entreprise appelés Lois, Décrets, Ordonnances, Statuts, Codes… pour dissimuler
leur véritable nature et c’est une violation des droits de l’homme et de la souveraineté
nationale.
L’application de ces statuts, de ces règlements d’entreprises par les agents employés de cette
société et chargés de leur application, sont des actions illégales à l’encontre du peuple
SOUVERAIN et ces agents sont donc personnellement responsables de leurs actes.
Afin de faire respecter ses exigences appelées Lois…, le gouvernement et leur agent doivent
être disposés à présenter le contrat ou l’accord commercial comme preuve avant de tenter
toute poursuite devant les tribunaux. Tribunaux, également des entreprises privées non
inscrites au RCS et sous la responsabilité de l’employé dénommé « ministre de la Justice »
de l’entreprise REPUBLIQUE FRANCAISE PRESIDENCE.
C’est un détournement gigantesque d’argent public par des entreprises privées, des
assoiffés d’argent et de pouvoir avec la complicité des banques et de toutes les entités
qui s’y rattachent, totalement déshumanisés. Ils n’ont même pas l’excuse de la maladie
mentale, investis qu’ils sont par une idéologie raciste choisie et un mépris absolu, dont
les perversions, le cynisme et la structure mentale, ont leurs racines concrètes dans le
NAZISME !
Mais ces individus immatures, peu exigeants et dépourvus de structure morale, ont provoqué
sciemment des drames humains, avec des conséquences criminelles tout aussi gigantesques, à
l’échelle de la planète… En France, c’est un « Crime contre l’Humanité », à leur charge
directe ! Leur trahison du Droit et le détournement de la force publique contre ceux qui la
financent, ont été une source de violences immondes, avec pour conséquence mesurable et
déjà établie, des millions de victimes éliminées socialement et/ou décédées.
Le 16 janvier 1947, Vincent Auriol est élu comme premier président de la IV république. Ce
même jour, la France est devenue entreprise. Vous pouvez vérifier sur le lien ci-dessous,
entreprise, mais non enregistrée au RCS.
https://www.infogreffe.fr/entreprise/republique-francaise-presidence/100000017/360d7aa6-
cf17-4908-a67b-b2aaa433ea3e
La mise en société de notre pays, n'a fait l'objet d'aucune concertation du peuple, d'aucun
référendum et est cachée de tous depuis lors. Et il ne fait aucun doute que les français de
l'époque n'aient jamais été informés, ni même consultés. Le fait que la IVème République ne
soit enseignée qu'en Terminale mais que rien n'indique la « privatisation » ressemble à s'y
méprendre à de la dissimulation.
En changeant le statut de notre pays, cela a non seulement changé tout au niveau des
décisions prises par les « pseudos » représentants politiques et leurs gouvernements (y
compris l'adhésion à l'Union Européenne et le retour dans l'OTAN), non seulement cela
change la réalité du statut des fonctionnaires (tout corps d'état) qui travaillent désormais pour
un Consortium et non la Nation, mais pire encore : cela impose aux français nés après la date
du 16 janvier 1947 « un statut comptable» si l'on peut résumer ainsi.
Pour le Consortium République française, NOUS le Peuple Souverain, ne sommes qu’aux
yeux des pseudos élus, des « BIENS MOBILIERS » passant sur les grilles comptables de la
Or, l’entreprise REPUBLIQUE FRANCAISE PRESIDENCE n’en émane pas, ce n’est pas
une Nation, mais simplement une entreprise qui cherche à tout posséder.
L’INSEE a été désigné par le ministère de l’Économie et des Finances pour être opérateur
local pour les entités de droit français (c’est-à-dire pour la juridiction française) : fonds
enregistrés par l’Autorité des marchés financiers (AMF) et personnes morales
immatriculées au répertoire Siren. INSEE sans aucune existence légale (Annexe : Titre
IV, Chapitre 2)
La Direction générale des finances publiques, organisme privé, est enregistrée également
au registre LEI sous le numéro 969500ELHVVYO48GHJ48, tout comme la direction
générale du trésor, enregistrée sous le numéro 969500KCGF3SUYJHPV70, et ainsi faire
fructifier sur les marchés financiers l’argent extorqué illégalement au peuple, sans
contrepartie pour ce dernier.
Les cotisations sociales, argent du peuple, pour le peuple sont aussi identifiées également sur
les marchés financiers. AGENCE CENTRALE DES ORGANISMES DE SECURITE
SOCIALE enregistrée sous le numéro LEI : 9695004688W2B6R2E206 tout comme la
CADES, caisse d’amortissement de la dette sociale, organisme pour le recouvrement de
la dette sociale enregistrée sous le N° 9695004688W2B6R2E206
Le syndicat MEDEF financé par les cotisations des membres, de produits d'organismes à
gestion paritaire ou issus de conventions et accords nationaux est enregistré sur les marchés
financiers, au registre LEI sous le n° 969500GDX38JO9EUUJ28.
Comment se fait-il que l’argent public, les impôts, les cotisations sociales (à but non
lucratif), l’argent public soient sur les marchés financiers ?
La Cour des Comptes confirme ces manques de versements, ce qui confirme également que
nous faisions face à un gigantesque détournement d’argent public, argent du peuple. Argent
du peuple détourné par milliard et non reversé à la sécurité sociale.
Les banques privées, enregistrées également sur les marchés financiers, complices et actrices
de ce système crapuleux, sont concernées par la revente (titrisation) de vos créances, de vos
prêts, de vos crédits, à des investisseurs, n’hésitant pas à vous faire payer des mensualités,
vous prendre des intérêts sur des « titres » qu’elles ne possèdent plus/pas.
Elles vous prêtent de l’argent qu’elles ne possèdent pas, elles ne déplacent pas de billets,
elles ne frappent pas de pièces, elles ne déplacent pas de métaux précieux, elles saisissent
uniquement des écritures informatiques sur votre compte bancaire. Vous payez donc des
intérêts sur de l’argent qui n’existent pas.
« Titres de paiement » ou « billet à ordre » également de vos factures (eau, électricité,
impôts…) revendus par lot sur les marchés financiers. Vous ne devez donc rien, votre
créance est déjà payée.
Banques privées qui en réalité appartiennent au peuple depuis la crise financière de 2008.
Plus de 46 milliards avaient été réinjectés, argent provenant des impôts, argent du peuple,
encore une fois extorqué pour renflouer ces entreprises privées.
Cette employée de banque vous explique le principe et surtout les frais bancaires sur de
l’argent qui n’existe pas : https://www.youtube.com/watch?v=ZECXe-1KgwE
Il en est de même pour les mutuelles privées, enregistrées au registre LEI, facturant de plus
en plus chère leur service perfectible pour faire fructifier vos cotisations sur les marchés
financiers, et donc une disparition totale de notre sécurité sociale dans les prochaines années.
Mutuelles qui n’auraient pas lieu d’exister si les cotisations sociales n’étaient pas détournées
pour le profil de ces crapules.
La soif d’argent et de pouvoir dépassent toute réalité. Pendant les guerres 14-18 et 39-45,
ces individus ont promulgué des Lois, des décrets, des Ordonnances …confortablement
installés dans leur fauteuil doré. La plupart des textes édictés n’ont aucun rapport avec ces
atrocités, confirmant ainsi, que le but principal de ces guerres ne sert qu’aux profits de ces
dirigeants. Ces chefs d’orchestre n’hésitant pas à envoyer des militaires, devenus leur
esclave, massacrer la population, femmes, enfants, détruire des villes, des villages, pour un
jeu « macabre » d’argent et de pouvoir, et ceci, également au péril de la vie de ces militaires.
A-t-on réellement besoin d’une armée ? Armée destinée uniquement pour ces chefs
menant des « faux » conflits entre eux même pour un « jeu » déjà organisé dans le but de
posséder plus et toujours plus, de faire le plus de morts possible… morts comptabilisés en
« nombre » pour afficher clairement leur tableau de chasse.
Ces dirigeants sans scrupule, n’hésitent pas à se présenter chaque année, devant les
monuments aux morts pour célébrer les armistices. Monuments dont l’inscription « morts
pour la France » pourrait être remplacée par « morts pour notre jeu macabre ».
C’est une honte et vraisemblablement une mise à mort programmée d’avance par ces
individus, manipulant et formant des gens, devenus militaires, pour défendre, non pas la
France, mais les besoins de richesses et de pouvoir de ces chefs d’orchestre.
Ce virus “modifié” avait-il le droit de traverser l’Atlantique pour des expériences qui
peuvent présenter un danger pour l’humanité ? Certaines manipulations opérées en
laboratoire sur des virus, peuvent s’avérer être dangereuses, que cela soit sur l’influenza
responsable de la grippe ou les coronavirus responsables du rhume ou de ce qui a été appelé
en 2020 “la Covid-19”.
En 1975, ils ont commencé à chercher à modifier ce virus en l’inoculant à des animaux
(Chiens et porcs), mais en 1990 des problèmes surviennent dans les élevages industriels se
rendant compte, que le coronavirus, en tant qu’agent infectieux, crée des problèmes Gastro-
intestinaux.
C’est sur cette base, que quelques années plus tard, Pfizer dépose le brevet du premier vaccin
à base de protéine de pointe (Spike) contre le coronavirus… stupéfiant, Non ? Nous a-t-on pas
annoncé, en 2020, que la protéine de pointe était nouvelle, que le problème venait de là ? Pfizer
qui n’a jamais acheté les votes de l’assemblée nationale pour le coronavirus…n’est-ce pas !
Pfizer c’est rendu compte que le vaccin ne fonctionnait pas contre le coronavirus qui est très
malléable, qui se transforme, change et mute très rapidement.
Toutes les publications issues de recherches scientifiques indépendantes faites sur les
vaccins contre le coronavirus entre 1990 et 2018 prouvent que le coronavirus échappe à la
stimulation vaccinale. Une thèse défendue rapidement par le professeur Didier Raoult qui,
avant tout le monde, a observé la mutation des coronavirus à l’été 2020, confirmant l’analyse
préliminaire (théoriquement bien connue de la science), lorsque le ministre de la Santé
Olivier Véran ou d’autres professeurs comme Karine Lacombe affirmaient de façon
surréaliste que cela n’existait pas.
En 2002 l’université de caroline du nord, à Chapel Hill, a déposé le brevet clone infectieux
de coronavirus dont la réplication est défectueuse (The mRNA Vaccine "model" is patented
as "an infectious, replication defective clone". Krisopher M. Curtis, Boyd Yount, U S, Patent
7, 279, 327, April 2002), dont la définition démontre qu’il s’agit bien d’une arme destinée à
En avril 2003, le CDC (Centres de prévention et de contrôle des maladies) aux USA, décide
de déposer le brevet sur le premier coronavirus SARS isolé chez l’homme, en téléchargeant
une séquence provenant de Chine (SARS-COV 2003-2004), ceci, en encore une fois, en
violation des traités sur les armes biologiques et chimiques en vigueur aux États Unis.
L’office Américaine des brevets l’a rejeté par deux fois, jusqu’à ce que le CDC décide de
corrompre l’office pour qu’ils passent outre l’examinateur des brevets et délivre finalement
le brevet SARS en 2007.
La RT-PCR, test utilisé pour identifier le risque associé au coronavirus, a en fait été identifié
comme un acte de bioterrorisme lors des évènements parrainés par l’union Européenne en
2002 et 2003, à Bruxelles et dans toute l’Europe…oui il y a 20 ans !
En 2005, ce pathogène est spécifiquement qualifié de plate-forme technologique pour le
bioterrorisme et les armes biologiques.
En 2016, le SARS provenant du laboratoire de Caroline du nord, était « prêt à émerger chez
l’homme », il s’agissait du WIV1 (virus de l’institut de virologie de Wuhan), si bien qu’en
2017 et 2018, dans le cadre des travaux d’académie nationale des sciences, la phrase suivante
est entrée dans le langage courant de la communauté : « il va y avoir une libération
accidentelle ou intentionnelle d’un pathogène respiratoire », dont le mot clé est
« libération », phrase utilisée 4 fois en avril 2019, soit 7 mois avant le soi-disant patient
numéro 1.
Moderna a fait modifier son brevet pour inclure la fameuse phrase « libération accidentelle
ou intentionnelle d’un respiratoire pathogène », afin de justifier la fabrication d’un vaccin
ou plutôt une expérimentation destinée à quelque chose qui n’existait pas. C’est bien en
septembre 2019, que le monde a été informé que nous allions avoir une libération
accidentelle ou intentionnelle d’un respiratoire pathogène, de sorte qu’en septembre 2020,
il y aurait une acceptation mondiale d’un vaccin universel… mots exacts de l’académie des
sciences, dont l’objectif était d’emmener le monde à accepter ce vaccin universel et utiliser
le coronavirus pour y parvenir.
Toute cette histoire a commencé en 1965, lorsqu’ils ont décidé de détourner un modèle
naturel et de commencer à le manipuler. Aucune commission de revue institutionnel
indépendante n’a été mis en place autour du coronavirus, la moralité a donc été exclue des
contre-mesures médicales.
Une plainte a été déposée à la CPI au procureur Karim Asad Ahmad KHAN par ANTI
CORRUPTION COLLECTIF SYNDICATS ET ASSOCIATIONS
PROFESSIONNELS EUROPEENS (CSAPE).
Tous les éléments de preuves factuels convergent vers l’Etat français instigateur via l’Institut
Pasteur de sars‐cov2 et via son programme génomique 2025, démarré en 2015 dont les
chinois ne sont pas les seuls responsables; le laboratoire de Wuhan s’appuyant sur la
recherche menée par l’Inserm travaille sous la conduite des recherches de l’institut Pasteur
dont les membres du conseil d’administration de droit sont l ’Etat et un magistrat au conseil
d’Etat qui ont étouffé une information judiciaire concernant un trafic de virus de mers‐cov, la
perte présumé selon les dires de l’Institut de 2349 Tubes de SRAS( sars‐cov) et 10 tubes du
virus EBOLA entre 2015 et aujourd’hui
Étant donné la gravité des éléments contenus dans cette plainte et afin d’éviter toute
coercition visant à enterrer ces éléments, ladite plainte est rendue publique au niveau
international, y compris à l’attention des chefs d’Etats étrangers et de tout autre service
intéressé.
L’Etat français, ses institutions et ses ramifications mondiales ont joué un rôle prépondérant
dans cette mise en scène catastrophique , de délire idéologique fanatique servi par d’évidents
conflits d’intérêts et des objectifs qui violent délibérément les libertés et droits
fondamentaux, l’interdiction concernant les expérimentations sur l’Humain (code de
Nuremberg), les règles élémentaires du principe de précaution, l’interdiction du contrôle de
masse, soit, autant d’infractions relevant pourtant du droit international opposable à tous les
Etats dont la France est notamment signataire.
Certains pays ont suivi cette même voie autoritaire, le subterfuge utilisé communément pour
justifier les mesures liberticides étant l’obligation pour la population de se soumettre au test
Institut Pasteur en lien direct avec l’institut national des allergies et maladies infectieuses
d’Anthony Fauci, l’OMS, Bill Gates…, ce qui prouve encore une fois le conflit d’intérêt
pour une « Guerre » chimique contre la population mondiale, crime contre l’humanité
préméditée plusieurs années auparavant. L’OMS comme l’ONU, organisations frauduleuses,
sont au centre de toute cette tyrannie, coordonnant ce jeu macabre.
Toutes ces découvertes avérées, sont forcément contredites par des médias, des médecins
« de plateau TV », des laboratoires, complices également et en collaboration avec,
notamment l’OMS et le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus voulant mettre en place le
« pass », certificat numérique COVID au niveau mondial. OMS dont le principal actionnaire
est Bill Gates et sa Fondation.
L'OMS a également ordonné à toutes les plateformes de médias sociaux de censurer toute
vérité sur la pandémie. Des milliers de scientifiques et de médecins ont été réduits au silence,
entraînant la mort délibérée de millions de personnes qui auraient pu facilement être sauvées
par l'un des nombreux traitements efficaces.
Test R-PCR classé comme acte bioterroriste, dont le propre créateur a clairement indiqué son
incapacité à détecter avec précision une infection, et dont il a été prouvé qu'il produisait
jusqu'à 94 % de faux positifs. D'innombrables personnes en parfaite santé ont été qualifiées
de "cas". C'était le fondement même de la pandémie : des millions et des millions de faux
cas. Sans ce test PCR inefficace, pas de pandémie.
Les crimes contre l'humanité commis par l'OMS sont d'une horreur indescriptible.
Ils ont également imposé les confinements, qui ont causé des millions de décès
supplémentaires, car un grand nombre de personnes n'ont pas pu obtenir les soins médicaux
dont ils avaient besoin d'urgence. Pendant ce temps, la toxicomanie et la violence
domestique ont explosé, la dépression et le suicide ont explosé, et des millions de petites
entreprises ont tout perdu, tandis que les méga-entreprises ont été autorisées à rester
ouvertes, leur rapportant des milliards de dollars ou d’Euros supplémentaires.
90% de ces entreprises médiatiques appartenant à une poignée de milliardaires, sont dirigées
et subventionnées, par million d’€ avec l’argent du peuple. Ils n’ont fait que détourner la vérité
par du matraquage médiatique, du lavage de cerveau, pour manipuler la
population…Manipulation provoquant la « peur » d’un pseudo virus, qui n’a pas fait plus de
mort qu’une simple grippe saisonnière et « forçant » la plupart des gens à combattre ce virus
fantôme en se faisant injecter une substance inefficace contre un coronavirus, mais bien
destinée à détruire immédiatement ou à petit feu des êtres humains.
La réponse de l’EMA :
L’EMA n’a donc pas autorisé les vaccins à prévenir les infections mais en plus
elle souligne le manque de données sur la contagiosité, en d’autres termes, les
vaccins n’ont pas été conçus pour prévenir des infections et il n’y a
certainement pas de données permettant d’affirmer que les vaccins aident à
lutter contre les infections.
Pour évaluer la sécurité des vaccins, il était essentiel pour l’EMA, que les effets
secondaires soient correctement enregistrés, et l’EMA dit à ce sujet :
« Nous nous attendons à de nombreux rapports d’effets secondaires survenant
pendant ou peu après la vaccination. » Cela signifie que les plaintes doivent
être signalées précisément dans la période initiale de la vaccination.
Le gouvernement a soutenu sa politique selon laquelle ces plaintes ne devaient
pas être signalées dans les 14 jours suivants la vaccination, car le vaccin avait
besoin de 10 à 14 jours pour devenir efficace.
Toutes les plaintes déposées au cours de cette période ont été précisément
attribuées coronavirus. Il ne s’agit pas seulement d’une fraude, mais d’une
mise en danger délibérée de vies humaines.
Nous sommes toujours aux prises d’une surmortalité massive supposée
inexpliquée.
En bref, cette information de l’EMA est dévastatrice pour la politique de
vaccination, les gouvernements savaient que le vaccin ne protègerait pas contre
la propagation du virus, mais ils n’ont pas partagé cette information avec le
public, au contraire, ils ont imposé les vaccins à la population par la peur et le
mensonge et par un matraquage médiatique, a dissimulé les effets secondaires
et a ainsi mis en danger la santé de tous ceux qui ont reçu un tel vaccin.
Les campagnes de vaccination doivent être arrêtées le plus rapidement
possible, car elles ne sont tout simplement pas sûres et ne répondent pas aux
exigences fixées par l’EMA.
Les gouvernements et tous les partis politiques qui le soutiennent doivent être
tenus responsables de leurs mensonges et de leurs tromperies. »
Tout ceci nous démontre bien que ces injections étaient bien destinées à
« tuer » par arme biologique, meurtres à l’échelle mondiale prouvant encore
le crime contre la population, contre l’humanité.
…Et pendant cette guerre « crise sanitaire », Mr Macron et ses collaborateurs « complices »,
ont fait passer des textes dénommés Lois et décrets les plus répréhensibles les uns que les
autres contre le peuple Français, comme ladite « Loi 2021-1040 » bafouant les droits de
l’homme, obligeant les soignants à s’injecter pour continuer à soigner, sous peine de se
retrouver suspendus, sans salaire, sans allocations chômage, sans RSA, sans droit de vivre
décemment alors qu’ils connaissaient parfaitement la situation et les effets dévastateurs de
ces injections. On ne comptabilisera pas le nombre de personnes qui ont tout perdu, qui se
sont suicidées après cela, classifié comme tel, alors que nous faisons face à un crime.
La Fondation Gates, l’une des sources de financement les plus importantes du système de
santé américain.
De la même manière, la Fondation Gates entretient des liens financiers étroits avec l’OMS.
Cette institution n’est pas, contrairement à ce que vous pensez peut-être, une simple
émanation des États et de traités internationaux. Au fil des années, elle est devenue l’outil de
communication international de ses financeurs. 80% du budget de l’OMS provient de
contributions volontaires.
https://www.liberation.fr/checknews/2020/04/17/qui-finance-l-oms_1785538/
L’engagement de Bill Gates en faveur des vaccins n’est pas nouveau. Depuis le début de son
“apostolat” auto-proclamé en faveur des populations du monde, Bill Gates insiste sur
l’éducation et la vaccination. A travers sa fondation, il a financé de très nombreuses
campagnes de vaccination. Il détiendrait par ailleurs différents brevets sur les vaccins. L’un
d’entre eux pourrait être lié au coronavirus. https://www.irishcentral.com/news/robert-f-
kennedy-jr-dr-fauci-covid19-vaccine
En 2019, la Fondation Gates a lancé un nouveau projet avec le fameux MIT de Boston.
L’objectif de ce projet est de pouvoir stocker de l’information sous la peau à travers des
“points quantiques” administrés par l’intermédiaire d’un vaccin. C’est encore une autre
initiative financée par la Fondation Gates et par l’alliance GAVI.
https://news.mit.edu/2019/storing-vaccine-history-skin-1218
Votre passeport mentionne votre adresse postale, votre taille, votre sexe et la couleur de vos
yeux. Dans certains pays on y ajoute votre religion. https://www.snopes.com/fact-check/bill-
gates-id2020/
La course aux vaccins en 2020 http://: https://www.gatesnotes.com/Health/What-you-need-
to-know-about-the-COVID-19-vaccine
« Guerre (s) », à l’échelle mondiale, comparable au massacre qui eut lieu le 10 juin 1944 à
Oradour sur glane, dans le Limousin, organisé par une branche armée des forces nazies,
composée de 80% d’Ukrainiens.
Ce qui nous emmène à novembre 2022, ou la Russie soumet un texte dénonçant la
« glorification du nazisme ». Cette lutte contre la glorification du nazisme, du néonazisme et
d’autres pratiques qui contribuent à alimenter les formes contemporaines de racisme, de
discrimination raciale, de xénophobie et de l’intolérance qui y est associée. La France
d’Emmanuel Macron, ou plutôt la société d’Emmanuel Macron et l’Union Européenne ont
signé contre cette résolution condamnant la "glorification du nazisme", impliquant donc la France
et les Français, sous prétexte que la Russie se servait de cela pour justifier cette « pseudo » guerre.
Armistice demandée récemment par l’Ukraine pour arrêter ce massacre, mais refusée par l’Union
Européenne pour ainsi, et encore une fois, tuer, massacrer plus et encore plus dans le but de
s’enrichir sur le dos des populations.
Un blanchissement d’argent sans précédent via l’Ukraine par l’augmentation de tout et par
l’absorptions d’argent du peuple, vous imposant également des restrictions car l’Etat français n’a
plus d’argent mais étrangement des milliards sont reversés depuis plus de 2 ans pour financer leur
conflit, des contrats faramineux pour enrichir ces mafieux et poussant Poutine à détruire
complètement l’Ukraine pour que BlackRock se charge de reconstruire ce pays pour en faire un
phare mondial de la puissance du capitalisme. Le contrat pour la reconstruction du pays serait de
400 milliards, reste à savoir si à la fin de l’histoire, de ce massacre, l’Ukraine sera Russe ou
Américaine.
https://vk.com/wall637561844_61?fbclid=IwAR34SzaT8BKio0Jso6q-
OAuvQvIHIs3SVbCIKRE2glS65_y8MHNrIcBAllc
Un réseau souvent orchestré par des organisations Franc-maçonnes, satanisme occulte, qui
s'infiltre dans toutes les sphères officielles de nos sociétés, dans le but d'aveugler, de lier et
de contrôler spirituellement tous ceux qui ont une position d'influence, aux perversions
pédophiles. Des offices culte dont la plupart des victimes sont fournies et vendues par des
élus, des politiciens, des hauts fonctionnaires, des magistrats, des médecins, offrant ainsi, à
ces « pourritures » des cérémonies ou se pratique secrètement « sadisme et satanique ».
Des kidnappings institutionnels avec séquestration d’enfants, devenant des esclaves sexuels,
organisés aussi par l’aide sociale à l’enfance (ASE), organisation criminelle par des
intervenants sociaux n’hésitant pas à soustraire des enfants à leur parent avec la complicité
de magistrats et de médecins, enfants qui deviendront des « proies » de ce jeu ignoble. Aide
sociale à l’enfance, organisation gérée par les présidents du conseil général et financée par
les départements et les impôts directes et indirectes, donc par le peuple, involontairement
complice d’alimenter financièrement un réseau de criminels.
Ces réseaux excitent depuis des décennies, certaines personnes ont voulu dénoncer ces
atrocités, comme une capitaine de gendarmerie qui avait commencé à écrire un livre sur le
sujet en menant sa propre enquête, elle fût retrouvée immolée…
Ces organisations doivent cesser immédiatement, cela ne doit plus exister, nous devons agir,
en mémoire également de toutes les personnes qui ont tenté de dénoncer tout cela,
organisation protégée par ces mêmes dirigeants participants à tous les autres crimes en bande
organisée.
L’OMS et les Nations Unies ne sont pas en reste, et ceci, encore une fois, financé par
Bill Gates. Elles s’attaquent maintenant aux enfants avec leur programme d'éducation
sexuelle dans les écoles du monde entier. Les autorités éducatives ont pour instruction de
« Une grande partie de nos magistrats exerce des activités extra-légales pour une structure
administrative hybride, anticonstitutionnelle appelée le CNAPS, le Conseil National des
Activités Privées de Sécurité. Une partie d'entre eux s'occupe du recrutement de ces agents,
et veille à bloquer les dossiers pouvant mettre en cause cette organisation. Une autre partie
veille à protéger les activités illégales du gouvernement : terrorisme, détournement de fonds
publics, traître des êtres humains, pédophilie, prostitution, placements abusifs, politique
sanitaire subversive ...sans oublier les conséquences du management par la peur exercée
dans nos institutions.
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La Cour des comptes a tiré la sonnette d'alarme en février 2018 dans son rapport sur le
CNAPS sur les points suivants : recrutement d'agent avec des casiers judiciaires, accès des
fichiers de la police par ces Agents, prise de la gouvernance du Ministère de l'Intérieur par
le CNAPS
Le CNAPS est une structure hybride sous la tutelle du Conseil d'Etat et de la Cour de
Cassation, l'ancien préfet hors cadre, Monsieur Jean-Louis BLANCHOU en est le délégué
interministériel.
Les agents du CNAPS ont le port d'arme, le droit de fouiller les bagages, et de procéder à la
palpation.
Encore une mission qui pose un problème sur la légitimité des actions du CNAPS, le CNAPS
autorise l'exercice de mission de sécurité privée sur le territoire français par des pays
étrangers sans qu'ils aient la nécessité d'avoir un établissement en France.
En France, nous avons actuellement 17 préfets hors classe, dont deux dans les Hauts de
France. Ces Préfets ne répondent pas à la souveraineté de la nation, mais à la souveraineté
de l'Etat. Ils exercent leurs autorités avec l'hôtel de police de LILLE, le Tribunal
administratif de LILLE, le tribunal de LILLE ainsi qu'avec la Cour d'appel de DOUAI au
nom de la souveraineté de l'Etat.
Le 23 septembre 2022, les Préfets hors classe du Nord, Messieurs LECLERC et THIRODE
avec le Directeur Départementale de la Sécurité Publique Monsieur PAPINEAU, le DRH du
SGAMI NORD Monsieur ROY sont accusés d'appliquer un code de la sécurité intérieur, dont
les missions répondent à la souveraineté de l'Etat, dont l'article L114-1 est très explicite. Il
est mentionné de déplacer ou de sortir de la police nationale tout fonctionnaire ne répondant
pas à ses missions de souveraineté de l'Etat. Cette dénonciation a été faite par la diffusion
d'un communiqué, que la presse, et plus particulièrement la Voix du Nord se refuse de
diffuser. Ce code comme son application sont illégaux.
Monsieur MACRON et Monsieur DARMANIN n'ont pas réagi à cette mise à nu, et
actuellement la situation est « gelée ». Dans ce code de sécurité à la souveraineté de l'Etat,
le CNAPS y figure, et bénéficie des critères de la police Nationale et de la gendarmerie, les
agents du CNAPS prêtent serment devant le tribunal. Messieurs MACRON Président de la
République et DARMANIN Ministre de l'Intérieur nous imposent une sécurité intérieure
parallèle au service de qui ?
Nous sommes donc, encore une fois, en situation de crime contre le peuple français, par des
individus qui se sont mis au service d’entités extérieures, dans le seul but de s’enrichir au
détriment de vies humaines.
Il est bien précisé dans le préambule de la Déclaration des droits de l’homme en 1789, les
représentants du peuple français, constitués en Assemblée nationale, considérant que
l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules causes des malheurs
publics et de la corruption des gouvernements. Où sont nos vrais représentants ? Que font
les 577 ? Assemblée nationale illégalement mise en place par Charles de Gaulle.
(Annexe : Titre I, Chapitre 7)
Représentants du peuple n’hésitant pas à voter des Lois complètement illégales et ceci pour
leur avantage personnel, tout comme ces soi-disantes « oppositions politiques », partis
politiques complices et acteurs de cette pièce de théâtre, ne servant qu’à diviser le peuple.
Autre forme de guerre, sans fin, acte criminel encore une fois contre le peuple, dont les
prémices ont commencé bien avant 1958.
Article 14 DDHC : Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs
représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre
l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.
« Extrait BOI-CTX-DG-20-10-10 :
https://bofip.impots.gouv.fr/bofip/571-PGP.html/identifiant%3DBOI-CTX-DG-20-10-
10-20140625
Malgré l’éligibilité de la Constitution (Annexe Titre I), nous devons répondre à cette
BOI (Bulletin officiel des impôts), avec leur propre texte pour que vous compreniez.
Aucun prélèvement fiscal ne peut être opéré sans être autorisé par une loi expresse. Cette
règle se rattache au principe du consentement populaire à l'impôt, consentement qui, dans les
États modernes, s'exerce par l'intermédiaire des représentants des citoyens, c'est-à-dire par
les Parlements.
Ce principe a été par la suite et d'une manière générale, réaffirmé par tous les textes
constitutionnels.
Actuellement, la règle selon laquelle l'impôt ne peut être établi que par la loi est reproduite par
l'article 34 de la Constitution du 4 octobre 1958 qui délimite les domaines respectifs de la
loi et du règlement. Cet article réserve expressément au domaine législatif « l'assiette, le taux
et les modalités de recouvrement des impositions de toutes natures ».
Dans le cas de la disposition précitée, sans consentement du peuple, les impôts financent les
guerres, les sociétés privées, les laboratoires pharmaceutiques, l’achat de vaisselles pour
Cette limitation des pouvoirs du Parlement quant à l'initiative des lois fiscales ne met pas en
cause le principe de légalité.
L’article 47 : Le Parlement vote les projets de loi de finances dans les conditions prévues
par une loi organique.
L’article 47-1 : Le Parlement vote les projets de loi de financement de la sécurité sociale
dans les conditions prévues par une loi organique.
Les articles 1er et 34 de la loi 2001-692 du 1er août 2001 portant loi organique relative aux lois
de finances (qui régit notamment l'élaboration de la loi de finances de l'année et des lois de
finances rectificatives ou « collectifs budgétaires »).
L'article 1er de la loi 2001-692 du 1er août 2001 portant loi organique relative aux lois de
finances dispose en effet que « les lois de finances déterminent, pour un exercice, la nature, le
montant et l'affectation des ressources et des charges de l'État, ainsi que l'équilibre budgétaire
et financier qui en résulte ». L'article 34 de la loi 2001-692 du 1er août 2001 portant loi
organique relative aux lois de finances, quant à lui, prévoit notamment que « la loi de finances
de l'année autorise, pour l'année, la perception des ressources de l'État et des impositions de
toutes natures affectés à des personnes morales autres que l'État ».
- la loi de règlement ;
De fait, il ne suffit pas que l'impôt soit établi légalement, il faut encore que le Parlement
permette annuellement sa perception.
C'est pourquoi, chaque année, l'article premier de la loi de finances autorise, par une
disposition générale, l'État et les collectivités concernées à percevoir les impositions existantes
et interdit formellement la perception d'impôts non autorisés.
Code général des impôts (CGI), édicté par le décret 50-478 du 6 avril 1950 est illégal, et
anticonstitutionnel. (Annexe : Titre 2, Chapitre 1)
Comme suscité, la loi organique relative aux lois de finances dispose en effet que « les lois
de finances déterminent, pour un exercice, la nature, le montant et l'affectation des
ressources et des charges de l'État, ainsi que l'équilibre budgétaire et financier qui en résulte.
Les lois organiques ne peuvent être promulguées qu'après la déclaration par le Conseil
constitutionnel de leur conformité à la Constitution. Article 46 de la constitution. (Annexe :
Titre I, Chapitre 4)
La loi 2001-692 du 1er août 2001 portant loi organique relative aux lois de finances est édictée
sous le fondement de la Constitution et des Ordonnances 58-1067 et 58-2 promulguées par
Charles de Gaulle, président du conseil des ministres, non conforme aux articles 13, 38 et 39
de la Constitution. La Loi précitée ne peut être mise en application, elle est illégale.
Il en est de même pour les Lois Organiques n° 2005-779, n° 2009-403, n°2012-403, n°2013-
906, et n°2021-1836 etc. promulguées après décisions constitutionnelles qui ont modifié la
Loi 2001-692. (Annexe : Titre 2, Chapitre 2)
Les Lois de finances définissant le budget de l’Etat, sont édictées tous les ans. Elles sont
toutes promulguées sous les conditions de lois Organiques, après décision constitutionnelle.
Ces lois sont donc sans existence légale et ne peuvent être mise en application. Le
Consentement de l’impôt par les représentants du peuple définit dans l’article 1 des Lois de
finances, n’a donc aucune valeur juridique et ne peut être obligatoire. Représentants du
peuple, employés de l’entreprise « république française Présidence », mais rémunérés par
l’argent du peuple.
Les lois de financement de la sécurité sociale sont aussi édictées sous les conditions de Lois
Organiques et après décision constitutionnelle. La Loi 2023-270 (réforme des retraites) est
également illégale et non applicable, même promulguée sous l’alinéa 3 de l’article 49 (49.3)
de la constitution. Annexe : (Annexe : Titre 2, Chapitre 4)
Continuons sur le Code des procédures Civiles d’exécution, mis en place par le décret
n° 2012-783 du 30 mai 2012 et l’Ordonnance 2011-1895 du 19 décembre 2011. (Titre
exécutoire)
Ce Code n’a aucune existence légale ne pouvait être mis en application par
l’Ordonnance et le décret précités. (Annexe, Titre III, Chapitre 1)
L’Ordonnance 59-108 est promulguée par Charles de Gaulle, président du conseil des
ministres. Elle est non ratifiée par le parlement et non conforme aux articles 13, 38 et
39 de la Constitution de 1958. L’Ordonnance précitée est sans existence légale et viole
l’article 14 des Droits de l’homme et du citoyen de 1789.
Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la
nécessité de la contribution publique, de la consentir librement d'en suivre l'emploi, et d'en
déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.
La mise en application des taxes suscitées est faite par l’article 1 de la LOI n°73-1229 du 31
décembre 1973 sur la modernisation des bases de la fiscalité directe locale.
Art. 1er. — I. — Les dispositions de l’ordonnance n° 59-108 du 7 janvier 1959 modifiée par
la loi n* 68-108 du 2 février 1968 et les articles 15, 16 et 17 de la loi de finances
rectificative pour 1970 prennent effet le 1er janvier 1974.
La LOI n°73-1229 ne peut pas mettre en application l’Ordonnance 59-108, non ratifiée par
l’assemblée et non signée par le Président de la république, non conforme à l’article 34 de la
Constitution, violant ainsi l’article 14 des droits de l’homme.
La taxe habitation et la taxe foncière prélevées ou réclamées par le service des impôts
non aucunes existences légales, c’est un vol qui perdure depuis 1974.
Il en est de même pour le prélèvement de impôts sur l’année 2023. La Loi de finance 2022-
1726 est censé donner le consentement des représentants du peuple au prélèvement de
l’impôt par son article 1, or cette Loi est promulguée suite à un 49.3 du gouvernement Borne.
Le consentement n’a donc pas été défini par les votes, c’est donc une violation de l’article 14
des droits de l’homme et du citoyen de 1789.
Si une ministre de passage, telle Agnès Buzyn ou tout autres faux élus ont le droit
d’injecter de force un poison dans le corps des êtres humains, des enfants, chaque
personne a le droit d’injecter de force dans le corps d’Agnès Buzyn ou de ses complices,
la même quantité de poison. C’est moral, légitime et légal, avant tout autre texte de loi,
puisque cette loi prévaut sur toutes les autres par le fait de l’appartenance à
l’Humanité ! Et ceci bien avant qu’existe le Droit, psychorigide par nature dès lors
qu’il n’est pas encadré par le Devoir… C’est-à-dire encadré par la responsabilité
personnelle directe, immédiate et sans limites, qui s’applique à tout pouvoir sur autrui,
avec ou sans mandat. C’est un principe de civilisation reconnu et choisi, sauf chez les
barbares, les racistes, les voleurs, les violeurs et les criminels.
Cette même femme, ministre de la santé sous la « fausse » présidence de Macron jusqu’au 16
février 2020. Elle est nommée en 2021, employée du directeur général pour les affaires
multilatérales à l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et en 2022, conseillère maître à
la Cour des comptes à partir du 1er septembre. Agnès Buzyn, directement associée pour
l’investigation du Sars‐Cov2 alias Covid‐19 avec l’institut Pasteur, prouvée dans la plainte
émise par CSAPE.
Cette femme semble être le produit direct de l’inversion cynique des valeurs humaines.
Raciste au point de penser qu’elle peut trahir sans risques les droits humains et imbue de sa
supériorité qui n’a de « scientifique » qu’une religiosité malsaine, au point qu’elle s’appuie
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sur des « études » scientifiques qu’elle n’a jamais fournies ! Elle est moralement et
intellectuellement déshumanisée par les objectifs financiers de l’industrie qui l’a formée. Elle
va jusqu’à utiliser la force publique pour empoisonner des enfants, des adultes, en grand
nombre, afin d’enrichir un groupe qui a déjà une longue expérience mondiale de
l’expérimentation chimique sur des humains. Elle reçoit une rémunération pour ce qui
constitue déjà le crime contre l’humanité le plus pervers de toute l’Histoire des hommes :
s’attaquer aux enfants. Le racisme des nazis paraissait avoir imaginé le pire. Mais ce nazisme
n’a jamais été expurgé, bien au contraire. Les connaissances accumulées à Auschwitz après
expérimentations sur des « lots » d’humains gratuits et renouvelables à volonté, semblaient
exprimer le cynisme le plus pervers ! Mais ce « savoir » perverti a été récupéré et ses
spécialistes remis en selle pour les imposer par des moyens plus sournois. Les
expérimentations se font désormais directement sur la population et les enfants constituent
ces lots renouvelables de cobayes, sans aucun engagement et sans garantie de résultats. Sauf
celle de l’enrichissement assuré des labos puisque suite à « l’obligation légalisée », ce sont
les citoyens contraints à subir l’obligation … qui seront contraints d’assumer moralement et
financièrement la totalité des dégâts sur leurs enfants, via un Etat sensible aux avantages du
lobbying, faible avec les forts et fort par l’utilisation de la force publique à contresens.
Ceci se déroule dans le silence médiatique où l’argent n’est plus le fruit d’un échange libre,
mais celui des privilèges, des subventions et du mal nommé « libéralisme ». Au pays du
libéralisme, des fonctionnaires privés ont remplacé les fonctionnaires du public, mais sans
les quelques devoirs qui maintenaient un semblant de lien d’intérêt général.
Ainsi, l’opposition droite et gauche n’a jamais été qu’une mascarade qui a permis de
maintenir la division du peuple, afin de l’éloigner de sa Constitution et le priver de sa
souveraineté.
Il y a cependant un point faible à ces fortunes immondes spéculant sur la mort : la très grande
majorité des personnes ne cautionne pas la violence. Et sans les intermédiaires pour
appliquer les ordres, la machine à voler et à tuer ne peut fonctionner. Il faut donc rappeler
aux intermédiaires des services publics « privés » leur rôle indispensable dans ce processus :
une violence criminelle existe grâce à leur allégeance. Elle ne peut exister que par leur
obéissance passive, c’est-à-dire leur « collaboration » à un vaste crime d’essence raciste. Et
ils en reçoivent une rémunération, ce qui transforme leur passivité en « collaboration active
à un assassinat en groupe organisé » ; ce que pas un sur mille n’a consciemment voulu. Ils
sont passibles de peines pénales graves, d’autant plus fortes lorsqu’ils sont prévenus.
Le personnel de l’entreprise « REPUBLIQUE FRANCAISE PRESIDENCE » recevant
une rémunération pour du temps dit « de travail », alors qu’il s’agit de la collaboration à un
harcèlement jusqu’à la terreur, puisqu’ils ont accepté de servir un pouvoir autoritaire et
menaçant d’une entreprise, qui mine et détruit la vie des victimes, pour leur profit personnel.
Il ne peut exister que par une acceptation individuelle, un choix personnel de servir ce
système sordide et morbide, au profit de ceux qui choisissent d’appliquer ses règles
perverties.
La mise en œuvre du racisme institutionnalisé est pointée dans des études officielles : il y a
ceux qui en vivent et ceux qui en meurent.
Tout ceci nous emmène à confirmer une escroquerie en bande organisée par des
« faux » élus et les personnes chargées d’une mission de service public, (ou plutôt d’une
mission de service privé), dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions, mais
également à des crimes contre le peuple par des « fausses » guerres organisées par des chefs
d’orchestre, uniquement pour leur plaisir de jeux, d’argent et de pouvoir, n’hésitant pas à
former leur futur esclave à tuer et ainsi devenir les maîtres d’un nouvel empire.
La France est une NATION et non une société et c’est à elle de reprendre ce qu’on lui a
volé…le droit de vivre !
Le peuple n’a jamais signé le moindre contrat avec cette entité pour se faire escroquer de la
sorte. Les dirigeants de la société REPUBLIQUE FRANCAISE PRESIDENCE cherchent
à démunir complètement le peuple, à s’emparer de la France dans sa totalité, voulant en faire
leur propriété, son empire et n’hésitant pas à « tuer » pour arriver à ses fins.
Lesdites Lois, au journal officiel non signées par les édicteurs, votées par des faux élus ne
sachant même pas lire ce qu’ils discutent en assemblée ou plutôt dans ces pièces de théâtre,
ne sachant même pas voir que certains des articles visent d’autres Lois, d’autres décrets ou
d’autres Ordonnances, abrogés. Lois Nulles et non applicables et NON signés par les
édicteurs conformément à leur charte typographique parue sur leur journal officiel et l’article
1367 du Code civil, Lois Nulles comme nous le démontrons dans les annexes, ce qui rend les
exécutants ou intermédiaires du service public « privé » directement responsables des actes
commandés par ces dirigeants illégitimes., ce qui confirme encore une fois, que les textes
édictés par ces dirigeants de sociétés privées ne sont et ne peuvent être que des règlements
intérieurs d’entreprise. Ces mêmes dirigeants ou leurs prédécesseurs suivis par des casseroles
C’est un crime contre le peuple, contre l’humanité, contre l’enfance. NOUS devons
reprendre nos droits d’êtres vivants et que le peuple juge ces personnes puisque la Justice
française est directement sous les ordres du « faux » ministre de la justice, garde des sceaux,
Dupont-Moretti suivis lui aussi par des casseroles bien remplies, membre du personnel de la
société REPUBLIQUE FRANCAISE PRESIDENCE.
Conclusion
Tous ces documents et les preuves avérées confirment que nous faisons face à une
escroquerie monumentale, un terrorisme d’Etat qui perdurent depuis des décennies. Non
seulement, le peuple a été trahi par ces politiciens, mais il a aussi été démuni par ces mêmes
personnes, sans scrupule, n’hésitant pas à tuer pour arriver à leur fin. Les partis politiques
qui ne sont là que pour diviser le peuple, se confortent dans un jeu d’argent et de pouvoir
dont les conséquences sont dramatiques. Avec la complicité des exécutants, ils sont arrivés à
ruiner le pays, une partie de la population par l’extorsion de fonds ou de biens, n’hésitant pas
à laisser des familles dans la rue, des entreprises sur le carreau et tout ceci pour leur besoin
de richesse. La « crise sanitaire », mensonge planétaire, leur a permis d’aller encore plus loin
dans leur agissement, n’hésitant pas à tuer encore plus pour exterminer davantage. La France
est au peuple et cela le restera…nous n’avons pas besoin de « politique » mais seulement de
représentants issus de tout milieu. Les droits de l’homme de 1789 est la base fondamentale
de nos droits communs, des règles de notre pays, de notre Nation.
Le premier des droits : le « Droit de vivre » répond aux 2 besoins essentiels pour lesquels les
humains s’entretuent encore, au nom de partis politiques qui les opposent pour leurs propres
intérêts communs : La sécurité et la liberté. (Sujet développé dans l’annexe, Titre VI)
Gestion du Pays :
Nous sommes l'un des seuls pays au monde où la population a la souveraineté nationale
et c’est au peuple de gérer le pays uniquement par des vrais représentants du peuple issus de
tout milieu. La Nation n’a pas besoin de politiciens ni de partis politique pour vivre
heureuse.
Justice :
Une Justice doit être indépendante, impartiale et issue du peuple avec des jugements justes,
neutres et basés sur les droits de l’homme.
Autres solutions :
Les autres solutions seront à mettre en place pour le bien de tous, dans la justesse et la
solidarité. Ce sera au peuple de décider et discuter sur un avenir respectueux et sain.
Forces de l’ordre
Gendarmes, policiers trahis à votre insu, destinés à être remplacés par des
sociétés privées étrangères, vous êtes là pour protéger la nation non des
criminels. La population a besoin de vous, toutes les preuves des crimes et
délits contre le peuple par les politiciens de tous les partis politiques, les
employés et dirigeants de l’entreprise REPUBLIQUE FRANCAISE
PRESIDENCE et de toutes les organisations qui s’y rattachent sont là. Vous
devez agir avec le peuple pour que vos/nos enfants, les futures générations et
pour notre Pays. Vous devez appréhender toutes les personnes en lien avec
ces organisations criminelles.
Qu’Élisabeth Borne, premier ministre, soit interpellée et mise aux arrêts pour crime
contre le peuple, escroquerie en bande organisée ;
Que tous les ministres du gouvernement Borne soient mis aux arrêts pour crime contre
le peuple, crime contre l’humanité et escroquerie en bande organisée ;
Que les anciens ministres de la santé, Agnès Buzyn et olivier Véran soient interpellés
pour crime contre la population pendant la crise sanitaire (covid 19) ;
Que les commissaires de Justice soient interpellés pour crime contre le peuple,
escroquerie en bande organisée, extorsion de fonds et de biens ;
Que les comptes bancaires de toutes les personnes citées précédemment, de toutes les
entités, de tous les politiciens, de toutes les organisations, en lien direct ou indirect avec
l’entreprise REPUBLIQUE FRANCAISE PRESIDENCE, ayant participés à ces crimes
contre le peuple, contre l’humanité, à cette escroquerie en bande organisée, soient gelés,
que leurs biens soient saisis ;
Que tous les membres du gouvernement, Emanuel Macron, les ministres et anciens
ministres soient également inculpés pour meurtre et tentative de meurtre par injection
d’une substance contre la COVID 19 ;
Que les responsables des laboratoires Pfizer, Moderna, BioNTech, AstraZeneca soient
interpellés pour meurtre et tentative de meurtre par injection d’une substance contre la
COVID 19 ;
Que tous les enfants enlevés illégalement par l’organisation ASE, soient récupérés et
rendus à leur famille (si bienveillante) ;
Que toutes les personnes, les assistantes sociales, les magistrats, les médecins, ayant
participés aux pratiques illégales de l’ASE, aux enlèvements d’enfants, soient arrêtées
et mise en examen ;
Que Les CENTRES DES FINANCES PUBLIQUES, les TRESORS PUBLICS ont
également obligation de rendre l’intégralité de l’argent et des biens extorqués
illégalement, sous peine de la prise en compte judiciaire par le peuple de collaboration
choisie et assumée, au Crime contre l’Humanité en cours ;
Que tout l’argent et les biens volés au peuple par les organisations illégitimes comme
l’URSSAF, les banques complices de ce système, soient rendus aux victimes de ces
escroqueries ;
Que les projets sur l’énergie libre et gratuite soient mis en place ;
Que tous les crédits en cours, les prêts immobilier / personnel, soient interrompus
puisque déjà financés par la titrisation ;
Que l’argent du peuple détourné illégalement par milliards depuis des décennies, soit
redistribué à la population, aux victimes, aux pauvres, aux extorqués…pour leur offrir
un revenu « droit de vivre » ;
Que les chaines de TV du groupe France télévision, rémunérées en grosse partie par
l’argent du peuple, donc appartenant aussi au peuple, soient réquisitionnées pour
dénoncer ouvertement cette escroquerie monumentale ;
Que les diffusions des autres Médias TV (BFMTV, CNEW…) soient réquisionnés pour
diffuser cette escroquerie, ces crimes… ;
Que tous les magistrats travaillant pour des tribunaux « privés » cessent toute leur
activité. Ils seront mis sous tutelle du peuple ou des tribunaux populaires seront mis en
place ;
Que les dirigeants de banques privées soient interpelés pour vol en bande organisée ;
Non exhaustive
Titre I : La Constitution
Titre II : Ordonnances promulguées par Charles de Gaulle en tant que Président du Conseil des
Ministres (11 Juin 1958- 7 janvier 1959).
Titre III : Impôts, taxes, Tva, SATD, Livre des procédures fiscales, …
Titre IV : Code des procédures civiles d’exécution (titre exécutoire), commissaire de Justice (anciennement
Huissier/commissaire-priseur), Justice.
Chapitre 1 : Titrisation
Chapitre 2 : INSEE
Chapitre 3 : FranceConnect
Chapitre 4 : Française des jeux
Entreprises privées également enregistrées sur les marchés financiers au registre LEI
TITRE I
Constitution
Par dérogation aux dispositions de son article 90, la Constitution sera révisée par le
gouvernement investi le 1er juin 1958 et ce, dans les formes suivantes :
Le projet de loi arrêté en Conseil des ministres, après avis du Conseil d'État, est
soumis au référendum. La loi constitutionnelle portant révision de la Constitution est
promulguée par le président de la République dans les huit jours de son adoption.
Cette loi du 3 juin 1958 déléguait le pouvoir constituant à un autre organe que celui prévu, ce
qui est contraire au droit constitutionnel et à la nécessaire interprétation stricte de la
Constitution, et de fait, en modifiant l’article 90 pour élaborer une autre procédure de
révision dérogatoire. Un acte anticonstitutionnel au détriment de la population.
La révision doit être décidée par une résolution adoptée à la majorité absolue des
membres composant l'Assemblée nationale.
Elle est soumise, dans le délai minimum de trois mois, à une deuxième lecture, à
laquelle il doit être procédé dans les mêmes conditions qu'à la première, à moins que
le Conseil de la République, saisi par l'Assemblée nationale, n'ait adopté à la majorité
absolue la même résolution.
Après cette seconde lecture, l'Assemblée nationale élabore un projet de loi portant
révision de la Constitution. Ce projet est soumis au Parlement et voté à la majorité et
dans les mêmes formes prévues pour la loi ordinaire.
Nous pouvons constatez que 65 ans plus tard, les gouvernements successifs ont bafoué la
constitution à plusieurs reprises. Quand nous lisons correctement la Constitution, la
séparation des pouvoirs n’est pas respectée entre le pouvoir législatif et le pouvoir exécutif.
Cet accroissement des pouvoirs du président a eu pour contrepartie l’amenuisement de ceux
du Parlement. Formée de députés grassement payés, œuvrant pour eux-mêmes et leurs partis
politiques, l’Assemblée nationale est cantonnée, pour l’essentiel, au vote des lois et du
budget, budget approuvé maintenant uniquement par le gouvernement à coups de 49.3. Elle
n’est maîtresse ni de son règlement ni de son ordre du jour, fixé par le gouvernement. Le
contrôle qu’elle peut exercer sur ce dernier est soigneusement réglementé ; elle ne peut le
renverser qu’en adoptant à la majorité absolue de ses membres une motion de censure les
abstentions étant ipso facto considérées comme des refus de la censure, à moins de rejeter
toujours à la majorité absolue des députés une question de confiance. Les interpellations sont
supprimées. Le troisième alinéa de l’article 49 permet au gouvernement de passer un texte de
force, proposé par lui-même mais sans le consentement de l’Assemblée, sauf à le renverser
par une motion de censure, souvent rejetée par les députés affiliés au même parti politique
que le gouvernement, prouvant encore une fois la non-séparation des pouvoirs et le conflit
d’intérêt. Enfin, un contrôle de constitutionnalité des lois est instauré par la création du
Conseil constitutionnel, Ordonnance 58-1067, sur lequel nous reviendrons.
Les institutions créées par la Constitution et les Ordonnances de Charles de Gaulle, sans
l’avis de l’assemblée, prouvent le conflit d’intérêt et le copinage permanent de leur membre,
tout comme celle de la justice qui n’est pas impartiale et dépendante du pouvoir exécutif
dont les magistrats et avocats complices d’arrangement pour le bien des uns et le malheur
des autres. Le gouvernement méprise complètement le peuple à coup de 49.3, renvoyant les
La Loi n° 58-520 du 3 juin 1958 relative aux pleins pouvoirs, donne carte blanche à
Charles de Gaulle sur l’édiction des décrets, nommés Ordonnances, pour une durée de
6 mois à compter de la promulgation de la Loi susvisée. A l’expiration du délai prévu à
l’alinéa premier, ils seront déposés sur le bureau de l’assemblée afin de ratification. (Titre
II, Chapitre 2)
« Ils seront déposés sur le bureau de l’assemblée afin de ratification » met en défaut la Loi
constitutionnelle votée le même jour qui suspend la session de l’assemblée.
.
Pour mettre en application la plupart des textes de la Constitution, Charles de Gaulle, en tant
que Président du Conseil des ministres édicta 335 Ordonnances entre le 11 juin 1958 et le 7
janvier 1959 dont 215 après le délai de 6 mois visé à l’alinéa premier de la Loi 58-520.
Ces Ordonnances sont également édictées pour la création de certaines institutions, pour
définir le fonctionnement, les dispositions et la nomination des membres du Conseil
Constitutionnel, l’élection des membres du Sénat, du parlement et du Président de la
République, de la Justice. Certaines sont encore en vigueur, illégalement à ce jour. (Titre II)
Ces ordonnances n’ont pas été déposées à l’assemblée pour ratification conformément à la
Loi 58-520, Charles de Gaulle a promulguée l’Ordonnance n°58-1171 le 5 décembre, pour
s’auto-ratifier, s’auto-valider les ordonnances prisent entre le 11 juin 1958 et le 10
novembre 1958, dont la liste est annexée à ordonnance précitée, au journal officiel. (Titre II,
Chapitre 3)
Les ordonnances sont prises en Conseil des ministres après avis du Conseil d'Etat. Elles
entrent en vigueur dès leur publication mais deviennent caduques si le projet de loi de
ratification n'est pas déposé devant le Parlement avant la date fixée par la loi d'habilitation.
Pendant le délai prévu à l'alinéa 1er de l'article 91, le Gouvernement est autorisé à fixer par
ordonnances ayant force de loi et prises en la même forme le régime électoral des
assemblées prévues par la Constitution.
Pendant le même délai et dans les mêmes conditions, le Gouvernement pourra également
prendre en toutes matières les mesures qu'il jugera nécessaires à la vie de la nation, à la
protection des citoyens ou à la sauvegarde des libertés.
Les projets de loi sont délibérés en conseil des ministres après avis du Conseil d'Etat et
déposés sur le bureau de l'une des deux assemblées.
L’assemblée ayant été suspendue par la Loi du 3 juin 1958 nous permet de constater que les
ordonnances ayant force de Loi sont déjà en contradiction avec ladite Constitution et, encore
une fois, en violation des droits de l’homme et de la souveraineté du peuple. L’absence de
normes applicables nous emmène donc à un vide juridique et un questionnement sur la
légitimité de cette Constitution.
Nous pouvons également lire dans le préambule de la Déclaration des droits de l’homme et
du citoyen de 1789, afin que les actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif,
pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient
plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes
simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur
de tous.
Il en va de soi, que l’adoption d’une Ordonnance, ayant force de Loi sans consentement
de l’assemblée, est une violation de nos droits fondamentaux que nous retrouvons dans
le préambule de la Constitution.
Nous ne trouvons aucun acte de ratification par l’assemblée pour les ordonnances non
signées par le Président de la république René Coty, mais promulguées par Charles de
Gaulle, jusqu’à sa prise de possession de pouvoir le 8 janvier 1959.
Il s’avère, que toutes ces Ordonnances n’ont aucune existence légale, puisque non conforme
aux articles 13, 38 et 39 de la Constitution.
Nouvelle république ?
La Constitution du 4 octobre 1958 est promulguée par René Coty, président de la république.
Ce dernier est présent le 8 janvier 1959 le jour de sa passation de pouvoir à Charles de
Gaules, ce qui confirme que nous sommes face à une simple succession Constitutionnelle et
présidentielle.
Il est certain que Charles de Gaulle ne voulait pas affilier ses pouvoirs à la Constitution de
1946 qu’il détestait et qu’il avait quitté en janvier 1946, mais ce petit tour de « passe-passe »
pourrait être comparable à un Coup d’Etat politique ou un Hold-up Constitutionnel.
La république n’est pas nouvelle dans tous les sens du terme puisque la Constitution du 4
octobre 1958 reprend la lignée celle de 1946, et réorganise cette dernière en donnant plus de
pouvoir au Président de la république. Il en résulte que le terme « Vème république » ne peut
être dénommée comme tel, puisque nous faisons face uniquement à une révision de la
Constitution de 1946. Mais quand n’est-il de cette dernière ?
Nous devons remontez jusqu’en 1940, la IIIème république toujours en place alors que le
maréchal Pétain a fait voter un acte constitutionnel le 10 juillet par l’assemblée nationale qui
confie les pleins pouvoirs au gouvernement sous l'autorité et la signature de Philippe
Pétain pour prendre toute mesure nécessaire à l'effet de promulguer une
nouvelle Constitution de « l'État français ».
Interprété ensuite par Pétain comme suspendant de facto l'application des lois
constitutionnelles de 1875 instaurant la Troisième République, l'acte du 10 juillet 1940 ne
prévoyait cependant pas expressément cette suspension mais conférait uniquement un
pouvoir constituant au Président du Conseil.
Il est nécessaire de préciser que le maréchal Pétain n’avait pas le pouvoir de changer la
Constitution ni de supprimer la république ni de suspendre les Lois Constitutionnelle de
1875.
Une ordonnance est un texte normatif présenté par le Gouvernement dans un domaine qui relève en principe
de la loi. Une ordonnance permet d'adopter des mesures sans passer par la procédure législative ordinaire
(examen du texte par l'Assemblée nationale et le Sénat, navette parlementaire, etc.).
Le Parlement doit préalablement autoriser le gouvernement à prendre une ordonnance dans un domaine
précis par une loi d'habilitation. Les ordonnances publiées doivent ensuite être ratifiées par le Parlement.
Les ordonnances deviennent caduques si un projet de loi de ratification n'est pas déposé devant le
Parlement avant la date fixée par la loi d'habilitation. Mais si, de ce fait, le dépôt du projet de loi de
ratification est quasi systématique, rien ne contraint le gouvernement, en revanche, à inscrire son projet à
l'ordre du jour des assemblées. En cas d'abstention, la conséquence juridique est moindre : pendant le
délai d'habilitation, la non-ratification des ordonnances n'entraîne pas leur caducité, mais tant qu'elles
n'ont pas été ratifiées, elles n'ont qu'une valeur réglementaire et peuvent donc être contestées devant le
juge administratif.
Le Président de la République signe les ordonnances et les décrets délibérés en conseil des ministres.
Article 38 de la Constitution en 1958 :
Le Gouvernement peut, pour l'exécution de son programme, demander au Parlement l'autorisation de
prendre par ordonnances, pendant un délai limité, des mesures qui sont normalement du domaine de la
loi.
Les ordonnances sont prises en Conseil des ministres après avis du Conseil d'Etat. Elles entrent en
vigueur dès leur publication mais deviennent caduques si le projet de loi de ratification n'est pas
déposé devant le Parlement avant la date fixée par la loi d'habilitation.
A l'expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article, les ordonnances ne peuvent plus
être modifiées que par la loi dans les matières qui sont du domaine législatif.
Article 39 de la Constitution :
L'initiative des lois appartient concurremment au Premier Ministre et aux membres du Parlement.
Les projets de loi sont délibérés en conseil des ministres après avis du Conseil d'Etat et déposés sur le
bureau de l'une des deux assemblées.
Pendant le délai prévu à l'alinéa 1er de l'article 91, le Gouvernement est autorisé à fixer par ordonnances
ayant force de loi et prises en la même forme le régime électoral des assemblées prévues par la
Constitution.
Pendant le même délai et dans les mêmes conditions, le Gouvernement pourra également prendre en toutes
matières les mesures qu'il jugera nécessaires à la vie de la nation, à la protection des citoyens ou à la
sauvegarde des libertés.
Les institutions créées par la Constitution et les Ordonnances de Charles de Gaulle prouvent
le conflit d’intérêt et le copinage permanent de leur membre, tout comme celle de la justice
qui n’est pas indépendante et sous la responsabilité du pouvoir exécutif dont les magistrats et
avocats complices d’arrangement pour le bien des uns et le malheur des autres.
Chapitre 1
Loi Constitutionnelle 3 juin 1958
Par dérogation aux dispositions de son article 90, la Constitution sera révisée par le gouvernement
investi le 1er juin 1958 et ce, dans les formes suivantes :
1° Seul le suffrage universel est la source du pouvoir. C'est du suffrage universel ou des instances
élues par lui que dérivent le pouvoir législatif et le pouvoir exécutif ;
2° Le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif doivent être effectivement séparés de façon que le
Gouvernement et le Parlement assument chacun pour sa part et sous sa responsabilité la plénitude
de leurs attributions ;
4° L'autorité judiciaire doit demeurer indépendante pour être à même d'assurer le respect des
libertés essentielles telles qu'elles sont définies par le préambule de la Constitution de 1946 et par la
Déclaration des droits de l'homme à laquelle il se réfère ;
5° La Constitution doit permettre d'organiser les rapports de la République avec les peuples qui lui
sont associés.
Le projet de loi arrêté en Conseil des ministres, après avis du Conseil d'État, est soumis au
référendum. La loi constitutionnelle portant révision de la Constitution est promulguée par le
président de la République dans les huit jours de son adoption.
René Coty
Par le président de la République,
Chapitre 2
Les pleins pouvoirs de Charles De Gaulle !
Avant que Charles de gaulle ne Promulgue les Ordonnances, une Loi lui donnant plein
pouvoir est publiée au journal officiel.
Article unique :
Pendant une durée de six mois à dater de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement de la
République investi le 1er juin 1958 prendra par décrets, dénommés ordonnances, les dispositions
jugées nécessaires au redressement de la nation, qui pourront notamment abroger, modifier ou
remplacer les dispositions législatives en vigueur.
Ces décrets ne pourront porter ni sur les matières réservées à la loi par la tradition
constitutionnelle républicaine résultant notamment du préambule de la Constitution de 1946 et de
la Déclaration des droits de l’homme de 1789, ni sur l’exercice des libertés publiques et
syndicales, ni sur la qualification des crimes et des délits, la détermination des peines qui leur sont
applicables, la procédure criminelle, ni sur l’aménagement des garanties fondamentales accordées
aux citoyens, ni sur la législation électorale.
A l’expiration du délai prévu à l’alinéa premier, ils seront déposés sur le bureau de l’Assemblée
nationale à la fin de ratification.
Les Ordonnances :
Pas moins de 74 ordonnances sont promulguées et publiées au journal officiel selon l’annexe
reproduite au journal officiel du 9 décembre 1958.
Les Ordonnances édictées du 11 Juin 1958 jusqu’au 3 octobre 1958 sont prises en application de la
Loi 58-520.
Les Ordonnances n° 58-923 et 58-928 édictées le 7 octobre 1958 sont prises en application de la Loi
58-520 alors que la Constitution du 4 octobre est déjà en vigueur.
23 ordonnances sont édictées et promulguées par Charles de Gaulle, Président du conseil des
ministres, du 9 octobre 1958 au 10 novembre 1958 et prises en application de la Constitution du 4
octobre 1958 et non sur la Loi 58-520.
Ratifier : Approuver, confirmer ce qui a été dit ou fait, le reconnaître comme vrai ou comme valide.
Les Ordonnances et les Décrets pris en conseil des ministres, doivent être ratifiées par le Parlement.
Article 38 de la Constitution du 4 octobre 1958.
Chapitre 3
Article 1 :
Sont ratifiés les décrets dénommés ordonnances pris en application de la loi n° 58-520 du 3
juin 1958 et dont la liste est annexée à la présente ordonnance (annexe non reproduite).
Toutefois, lesdits décrets n'auront force de loi qu'en celles de leurs dispositions qui portent sur les
matières énumérées à l'article 34 de la Constitution.
Article 2 :
La présente ordonnance sera publiée au Journal officiel de la République française et exécutée
comme loi.
Par le ministre de l'intérieur, pour le président du conseil des ministres et par délégation :
EMILE PELLETIER.
Les ordonnances sont non ratifiées par le parlement, elles sont Nulles, illégales et
anticonstitutionnelles.
Chapitre 4
Conseil constitutionnel
L’Ordonnance 58-1067 :
Cette Ordonnance est promulguée le 7 novembre 1958 par le Président du Conseil des ministres Charles de
Gaulle et publiée au journal officiel le 9 novembre 1958
Chapitre 5
Élections des députés à l’assemblée nationale
Mise en place par l’Ordonnance n° 58-945 du 13 octobre 1958 relative à l’élection des députés à
l’Assemblée nationale.
L’Ordonnance précitée fût promulguée par le Président du Conseil des Ministres, Charles de gaulle.
Cette Ordonnance est abrogée par l’article 18 de la Loi 85-690 du 10 juillet 1985 :
Art. 18. - L’ordonnance n° 58-945 du 13 octobre 1958 relative à l’élection des députés à
l’Assemblée nationale est abrogée.
Ses dispositions contenues dans le code électoral (partie Législative), telles que modifiées et
complétées par les textes subséquents, ont force de loi.
Les dispositions contenues dans le code électoral ne peuvent être appliquées du fait que, la
promulgation de l’Ordonnance 58-945 n’est pas conforme aux articles 13 et 38 de la
Constitution.
Chapitre 6
Élections Présidentielles
Mise en place par l’Ordonnance n° 58-1064 du 7 novembre 1938 portant loi organique relative à l’élection
du Président de la République. Publiée le 9 novembre 1958 au journal officiel.
L’Ordonnance précitée, fût promulguée par le Président du Conseil des Ministres, Charles de
Gaulle, non conforme aux articles 13 et 38 de la Constitution.
Cette Ordonnance est remplacée par l’article 3 de la Loi n° 62-1292 du 6 novembre 1962 relative à
l’élection du Président de la République au suffrage universel.
I - Quinze jours au moins avant le premier tour de scrutin ouvert pour l'élection du Président
de la République, le Gouvernement assure la publication de la liste des candidats.
Cette liste est préalablement établie par le Conseil constitutionnel au vu des présentations qui lui
sont adressées, dix-huit jours au moins avant le premier tour de scrutin, à titre individuel ou
collectif, par au moins cent citoyens membres du Parlement, membres du Conseil économique et
social, conseillers généraux ou maires élus. Une candidature ne peut être retenue que si, parmi les
cent signataires de la présentation, figurent des élus d'au moins dix départements ou territoires
d'outre-mer différents.
Le nom et la qualité des citoyens qui ont proposé les candidats inscrits sur la liste ne sont pas rendus
publics.
II - Les opérations électorales sont organisées selon les règles fixées par les articles 1er à 52,
54 à 57, 61 à 134, 199 à 208, du code électoral.
III - Le Conseil constitutionnel veille à la régularité des opérations et examine les réclamations
dans les mêmes conditions que celles fixées pour les opérations de référendum par les articles 46,
48, 49, 50 de l'ordonnance n° 58-1067 du 7 novembre 1958 portant loi organique sur le Conseil
constitutionnel.
Le Conseil constitutionnel arrête et proclame les résultats de l'élection qui sont publiés au "Journal
officiel" de la République française dans les vingt-quatre heures de la proclamation.
IV - Tous les candidats bénéficient, de la part de l'Etat, des mêmes facilités pour la campagne en
vue de l'élection présidentielle.
Nous pouvons constater que ladite Loi, remplace l’Ordonnance 58-1064 non conforme aux articles
13 et 38 de la Constitution, de ce fait, sans existence légale.
Cette Loi définit les dispositions du Conseil Constitutionnel pour toutes les élections
Présidentielles, dispositions mises en place par l’Ordonnance 58-1067 susvisée, non conforme aux
articles 13 et 38 de la constitution. ( Titre I, chapitre 4)
De ce fait, il en résulte que La Loi 62-1292 n’a pas d’existence légale et ne peut être mise en
application. La Loi est Nulle depuis son édiction, tout comme l’élection d’un membre à la
Présidence de la république ainsi que la validation des élections par le conseil constitutionnel.
Chapitre 7
Assemblée nationale
L’Ordonnance précitée fût promulguée par le Président du Conseil des Ministres, Charles de gaulle. Elle est
non conforme aux articles 13 et 38 de la Constitution.
Selon la décision constitutionnelle n°61-13 en date du 28 juillet 1961, une Loi organique modifiant
l'ordonnance n° 58-1065 du 7 novembre 1958 relative à la composition et à la durée des pouvoirs
de l'Assemblée nationale et abrogeant l'ordonnance n° 59-225 du 4 février 1959 relative au nombre
des députés à l'Assemblée nationale pour les territoires d'outre-mer, est déclarée conforme à la
Constitution, or, nous ne trouvons aucune trace de cette Loi au journal officiel.
Il en est de même, selon la Décision 77-88, une Loi organique modifiant l'ordonnance n° 58-1065
du 7 novembre 1958 portant loi organique relative à la composition et à la durée des pouvoirs de
l'Assemblée nationale (territoires d'outremer) aurait été promulguée. Nous ne trouvons aucune
trace de cette Loi au journal officiel.
Chapitre 8
Assemblée parlementaire
Mise en place par l’Ordonnance n° 58-1100 du 17 novembre 1958 relative au fonctionnement des
assemblées parlementaires.
L’Ordonnance précitée fût promulguée et signée par le Président du Conseil des Ministres, Charles de
Gaulle. Elle est non conforme aux articles 13 et 38 de la Constitution.
L’Ordonnance 58-1100, toujours en vigueur, elle est illégale et anticonstitutionnelle depuis son édiction.
Chapitre 9
Mise en place par l’Ordonnance n° 58-1066 du 7 novembre 1953 portant loi organique autorisant
exceptionnellement les parlementaires à déléguer leur droit de vote.
Chapitre 10
Mise en place par l’Ordonnance n° 58-1098 du 15 novembre 1958 relative à l'élection des sénateurs.
Les Ordonnances 58-1097 et 58-1098 sont promulguées par le Président du conseil des
Ministres, Charles de Gaulle. Promulgation non conforme à l’article 13 de la Constitution et
non ratifié par le parlement.
Ordonnance toujours en vigueur mais sans existence légale. Promulguée par Charles de Gaulle,
Président du conseil des ministres.
Chapitre 11
Article 23 de la Constitution :
Les fonctions de membre du Gouvernement sont incompatibles avec l'exercice de tout mandat
parlementaire, de toute fonction de représentation professionnelle à caractère national et de tout
emploi public ou de toute activité professionnelle.
Une loi organique fixe les conditions dans lesquelles il est pourvu au remplacement des titulaires de
tels mandats, fonctions ou emplois.
Le remplacement des membres du Parlement a lieu conformément aux dispositions de l'article 25.
Article 25 de la Constitution :
Une loi organique fixe la durée des pouvoirs de chaque assemblée, le nombre de ses membres, leur
indemnité, les conditions d'éligibilité, le régime des inéligibilités et des incompatibilités.
L’Ordonnance 58-1099 est promulguée et signée par Charles de Gaulle, président du conseil des
ministres, est non conforme aux articles 13 et 38 de la Constitution en vigueur. Elle est donc sans
existence légale.
Chapitre 12
Mise en place par l’Ordonnance n° 58-1136 du 28 novembre 1958 portant loi organique concernant les
nominations aux emplois civils et militaires de l'Etat.
L’Ordonnance précitée est promulguée par le Président du Conseil des Ministres, Charles de Gaulle.
Ordonnance non conforme aux articles 13 et 38 de la Constitution.
Article 1 :
Outre les emplois visés à l'article 13 (par. 3) de la Constitution, il est pourvu en conseil des
ministres :
Aux emplois de direction dans les établissements publics, les entreprises publiques et les
sociétés nationales quand leur importance justifie inscription sur une liste dressée par décret en
conseil des ministres ;
Aux emplois pour lesquels cette procédure est actuellement prévue par une disposition législative ou
réglementaire particulière.
Article 2 :
Les professeurs de l'enseignement supérieur, les officiers des armées de terre, de mer et de l'air.
Sont, en outre, nommés par décret du Président de la République, à leur entrée dans leurs corps
respectifs, les membres des corps dont le recrutement est normalement assuré par l'école nationale
d'administration, les membres du corps préfectoral, les ingénieurs des corps techniques dont le
recrutement est en partie assuré conformément au tableau de classement de sortie de l'école
polytechnique.
L'exercice du pouvoir de nomination aux emplois civils et militaires de l'Etat autres que ceux prévus
à l'article 13 (par. 3) de la Constitution et aux articles 1er et 2 ci-dessus peut être délégué au Premier
ministre par décret du Président de la République en vertu des articles 13 (par. 4) et 21 (par. 1er) de
la Constitution.
Article 4 :
Les dispositions de l'article 3 de la présente ordonnance ne font pas obstacle aux dispositions
particulières, législatives ou réglementaires, en vertu desquelles le pouvoir de nomination est confié,
notamment par mesure de simplification ou de déconcentration administratives, aux ministres ou
aux autorités subordonnées.
Article 5 :
Chapitre 13
Statut de la magistrature
Mis en place par l’Ordonnance n° 58-1270 du 22 décembre 1958 portant loi organique relative au statut de
la magistrature.
L’Ordonnance précité est promulguée par le Président du Conseil des Ministres, Charles de Gaulle.
Ordonnance non conforme à l’article 13 de la Constitution et non ratifiée par le parlement.
Nous constaterons que les magistrats sont placés sous la direction du pouvoir exécutif, il n’y a donc pas de
séparation des pouvoirs. Le 22 Décembre 1958, la Constitution n’avait plus lieu d’exister.
Le statut de la Magistrature ne respecte pas les Droits de l’homme, la séparation des pouvoirs, et n’a
aucune d’existence légale.
Le Décret n°93-21 du 7 janvier 1993 pris pour l'application de l'ordonnance n° 58-1270 du 22 décembre
1958 modifiée portant loi organique relative au statut de la magistrature ne peut pas appliquer une
Ordonnance sans existence légale.
Chapitre 14
L’Ordonnance 58-1271 est promulguée par Charles de Gaulle, président du conseil des ministres, est
non conforme aux articles 13, 38 et 39 de la Constitution. Elle est donc sans existence légale.
L’Ordonnance précitée est abrogée par la Loi organique n° 94-100 du 5 février 1994.
Loi Organique sans existence légale (Titre III, Chapitre 2),
Promulguée après décision constitutionnelle n° 93-337, Conseil constitutionnel sans existence légale.
(Titre II, Chapitre 4)
Chapitre 15
Mise en place par l’ordonnance 58-1275 du 22 décembre 1958 relatif au contentieux de la sécurité
sociale.
L’Ordonnance 58-1275 est promulguée mais non signée par Charles de Gaulle, président du conseil
des ministres, est non conforme aux articles 13 et 38 de la Constitution en vigueur. Elle est donc sans
existence légale.
Ordonnance n° 59-108 du 7 janvier 1959 portant réforme des impositions perçues au profit des collectivités
locales et de divers organismes.
Ordonnance sans existence légale violant les droits de l’homme et son article 14.
Les autres ordonnances promulguées et signées par Charles De Gaulle en tant que Président du conseil des
ministres :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ordonnances_sous_la_présidence_du_Conseil_de_Charles_de_Gaulle
Aucun acte de ratification de ces Ordonnances.
Titre III
Impôts, taxes, Tva, SATD, Livre des procédures fiscales…
Chapitre 1
Les textes du CGI sont le résultat d'un effort de près de deux ans, dont le point de départ est la loi du 17
août 1948. Cette loi avait prescrit au gouvernement, en des termes assez confus, de réaliser une réforme
fiscale et une refonte d'ensemble des textes fiscaux. A cette fin deux décrets avaient été pris le 9 décembre
1948, portant l'un réforme fiscale, l'autre refonte des codes fiscaux. Chacun de ces décrets paraissait ignorer
l'autre, et une publication simultanée aurait engendré la confusion. C'est pourquoi le premier seul fut publié,
et une loi du 31 décembre 1948 retarda la publication du second jusqu'à ce qu'il fût mis en harmonie avec
les dispositions de la réforme fiscale.
Le Code général des Impôts a été promulgué sous la IVe République par un décret du 6 avril
1950 et mis à jour depuis par plusieurs décrets (…)
Le décret n° 50-478 du 6 avril 1950 portant règlement d’administration publique pour la refonte des codes
fiscaux et la mise en harmonie de leurs dispositions avec celles du décret 48-1986 du 9 décembre 1948 et
des lois subséquentes, promulgué par Georges Bidault, Président du conseil des ministres.
Le décret 48-1986 du 9 décembre 1948 est promulgué par Henri Queuille, président du conseil des
ministres.
L’acte de ratification par le Parlement de la partie législative du code général des Impôts est introuvable.
Article 274 :
Avant le 1er juillet 1949, il sera procédé par décrets à la refonte des codes fiscaux pour les mettre en
harmonie avec les dispositions contenues dans le présent décret.
Cette codification pourra comporter en outre des dispositions tendant à coordonner les procédures de
contrôle, de recouvrement et de contentieux et à simplifier les formalités ou déclarations imposées aux
redevables.
L’article 274 précité est modifié par l’article 16 de la loi n° 49-1033 du 31 juillet 1949.
Conformément à l’article 274 du décret 48-1986, la refonte des codes fiscaux pour les mettre en harmonie
avec les dispositions contenues dans le décret précité n’a pas eu lieu. L’article 16 de la Loi 49-1033 du 31
juillet 1949 ne peut modifier un article qui n’a plus aucune valeur.
L’article 25 de la Loi n° 49-1641 du 31 décembre 1949, reconduit les dispositions de l’article 274 du décret
48-1986 jusqu’au 31 janvier 1950.
L’article 7 de la Loi 50-141 du 1er février 1950 est censé modifier à nouveau la date édictée dans l’article
274 du décret 48-1986.
Le délai prévu par l’article 274 ne peut donc être modifié de nouveau. L’article 274 relatif au délai sur la
refonte des codes fiscaux est annexé au décret 48-1986. Le décret 48-1989, cité dans l’article 7 de la Loi
50-141 est relatif au régime fiscal des actes constitutifs de nantissements sur récoltes dans les départements
de la Guadeloupe, de la Guyane, de la Martinique et de la Réunion. Il ne comporte que 3 articles.
Remodifié à nouveau, mais sans aucune existence légale, par l’Article 16 de la Loi 50-388 du 2 avril 1958 :
Le délai prévu, pour la mise à jour des codes fiscaux, par l’article 274 du décret n° 48-1986 du 9 décembre
1948, modifié en dernier lieu par l’article 7 de la loi n° 50141 du 1er février 1950, est prorogé d’une durée
qui ne pourra excéder huit jours à compter de la promulgation de la présente loi.
Le Code général des Impôts sous la constitution du 4 octobre 1958, illégitime pour
rappel.
Les modifications du CGI ont été adoptées au début de la Ve république par le biais d’une délégation de
compétence inconstitutionnelle, modifiant l’ensemble des dispositions législatives ultérieurement édictées.
La question se pose sur la constitutionnalité de ces écrits et des Lois de Finances les modifiant qui devrait
être déclarées inconstitutionnelle.
Une question prioritaire de constitutionnalité n’est pas envisageable à l’heure actuelle du fait du domaine
actuel de cette procédure mais peut-être le sera-t-elle à la faveur d’une réforme constitutionnelle. Surtout,
toute loi de finances à venir modifiant partiellement les dispositions entachées d’inconstitutionnalité,
pourrait être déclarée inconstitutionnelle. Le seul remède à cette insécurité juridique est la création et
l’adoption législative ou par voie d’ordonnance d’un nouveau code général des impôts refondu
Selon l’article 34 de la Constitution du 4 octobre 1958, « l’assiette, le taux et les modalités de recouvrement
des impositions de toutes natures » sont du domaine de la loi. La même constitution prévoit en son article
38 la procédure de l’ordonnance, qui a remplacé la pratique des décrets-lois. Auparavant, il était d’usage
pour le Parlement de déléguer à l’administration son pouvoir et de prévoir dans une loi que le
gouvernement adoptera un décret à valeur législative ; c’est ce qu’on appelait les décrets-lois. Depuis, le
Parlement ne peut que donner, avec un objet et un temps délimité, le pouvoir au gouvernement de prendre
une ordonnance, qui a valeur réglementaire jusqu’à sa confirmation obligatoire par le Parlement. Or, on
constate qu’au début de la Ve République, et notamment à l’occasion d’une codification de 1961 d’une
grande réforme fiscale, le Parlement a utilisé la pratique de la codification indirecte selon le modèle des
décrets-lois utilisés sous l’empire des constitutions républicaines antérieures. Cela met en cause la
constitutionnalité actuelle du Code général des impôts ou des lois de finances le modifiant, au moins en
certaines de ses parties.
Il s’oppose à celui de la codification directe, dans lequel le texte de loi modifie formellement le code, ce qui
entraîne indirectement une modification substantielle du droit applicable. Par exemple, la loi de finances
ajouterait un mot au Code général des impôts, ce qui ferait que celui-ci prévoit une règle substantielle
modifiée.
Un procédé anticonstitutionnel depuis 1958 et pourtant utilisé. La pratique a cependant continué après
1958. Ainsi, l’article 106 de la loi de finances pour 1960 dispose que sera procédé par décrets ou décrets en
Conseil d’État à la « mise en harmonie des dispositions du Code général des impôts avec celles de la
présente loi ». La codification indirecte a bien des avantages : « (il) permet un débat parlementaire plus
clair et le codificateur peut ensuite, à froid, réfléchir à la meilleure façon d’introduire les nouvelles
dispositions dans le code ». Il n’empêche que ce procédé, tel qu’il a été mis en place dans la loi de finances
de 1960, est manifestement anticonstitutionnel en ce qu’il consiste en une délégation de compétence sans
suivre la procédure de l’ordonnance. En effet, il s’agit de demander à l’exécutif de modifier un texte à
valeur législative : le Code général des impôts. Or, la procédure de législation par délégation à l’exécutif a
Une inconstitutionnalité d’une ampleur colossale. Le procédé de la codification indirecte n’est pas
exclusif à la loi de finances pour 1960, mais, même si l’on s’en tient à celle-ci, l’ampleur de
l’inconstitutionnalité est colossale. Cette loi est celle qui a créé et organisé, en son titre Ier, le système
actuel d’un seul impôt sur le revenu des personnes physiques (IRPP) à taux progressif et qui a aboli presque
entièrement l’ancien système cédulaire en la matière. Or, sauf exceptions très limitées, l’ensemble du titre
Ier de la loi dispose directement et donc a fait l’objet d’une codification indirecte conformément à
l’inconstitutionnel article 106 de cette loi. Par exemple, l’actuel article 156 CGI, posant le principe de
l’impôt sur le revenu et son assiette fondamentale est issu de la codification administrative de 1960 et
gouvernementale de 1961 et reformule la loi de finances pour 1960. Le fait qu’elle améliore la formulation
et l’intelligibilité de cet article15 ne la rend pas plus conforme à la constitution.
L’illégitimité démocratique du CGI actuel. On pourrait vouloir plaider pour une interprétation plus
souple des principes constitutionnels. Il serait, en effet, possible d’argumenter que les lois modifiant le «
Code général des impôts » doivent être interprétées comme modifiant le cas échéant la loi de finances pour
1960. Il serait peut-être possible de retracer, de manière très compliquée les textes supposés en vigueur en
se fondant sur un tel raisonnement et en faisant abstraction des codifications indirectes. C’est d’ailleurs
pour éviter de telles complications que l’on a affaire avec des codifications. Il serait en outre possible de
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lire les dispositions modificatrices comme impliquant la reprise des textes initiaux du Code général des
impôts. Un tel raisonnement aboutirait cependant à un sérieux problème de consentement à l’impôt et de
sincérité du débat démocratique. Ici comme ailleurs, la procédure garantit des principes sous-jacents
importants. Le Conseil constitutionnel, en tant que gardien de la Constitution et des principes
fondamentaux de notre nation qu’elle contient, ne devrait pas, selon nous, adopter de telles constructions
juridiques compliquées et trop conciliantes avec une atteinte aux droits du Parlement. Il y a manifestement
un vice initial fondamental et flagrant de procédure ; à partir de là, l’ensemble des développements
législatifs ultérieurs pris sur cette base sont nécessairement atteints.
La perpétuelle fragilisation du CGI. Dans le cas où le Conseil constitutionnel refuse de déclarer une loi
de finances inconstitutionnelle, le Code général des impôts reste néanmoins irrémédiablement fragilisé. En
effet, le litige constitutionnel ne peut porter, à l’heure actuelle, sur le Code général des impôts en tant que
tel. Cela signifie que la question ne peut être définitivement tranchée dans un sens favorable à une
interprétation souple de la procédure, en défaveur des droits du Parlement. Cela a deux effets. D’une part,
tant qu’il n’y a pas de réforme globale, le Code général des impôts est à jamais sujet à une remise en cause
de sa constitutionnalité sur le fondement de l’absence d’observance antérieure de la procédure de
l’ordonnance, à la faveur d’un changement de procédure constitutionnelle.
Une adoption pure et simple du CGI constitutionnellement impossible. Le législateur pourrait être tenté
de procéder à une adoption pure et simple de l’ensemble du code sans le refondre. Il risquerait cependant un
revers tout à fait important devant le Conseil constitutionnel. En effet, celui-ci a déjà retoqué des
dispositions fiscales du fait de leur inintelligibilité et le Code général des impôts actuel n’échappe à cet
examen que du fait du domaine restreint de l’article 61-1 de la Constitution, rendant une question prioritaire
de constitutionnalité irrecevable sur ce fondement. On a cependant estimé que deux tiers du Code général
des impôts serait en principe menacé par la jurisprudence du Conseil constitutionnel relative à la nécessaire
intelligibilité de la loi fiscale. Il serait très étonnant que le Conseil constitutionnel ne déclare pas
inconstitutionnelle une loi reprenant dans sa rédaction actuelle le Code général des impôts.
La refonte complète du CGI : une nécessité politique et constitutionnelle. L’effet escompté d’une telle
critique de la constitutionnalité du Code général des impôts est sa refonte, que ce soit par le biais d’une loi
ou d’une ordonnance, que la simple crainte d’une inconstitutionnalité fasse réagir ou qu’il faille attendre
une censure par le Conseil constitutionnel. La réécriture du Code général des impôts s’est fait attendre.
Cette vraisemblable inconstitutionnalité est donc salutaire, puisqu’elle devrait forcer les parlementaires à
accomplir leurs devoirs constitutionnels en mettant en place ce nouveau code. Tout politique qui souhaite
laisser une empreinte durable et positive sur le droit français devrait d’ailleurs saisir cette opportunité.
Il en résulte,
Chapitre 2
Lois organiques
L'objet d'une loi organique est généralement de préciser l'organisation et le fonctionnement des pouvoirs
publics, en application d'articles de la Constitution ; Les lois organiques se situent au-dessus des lois
ordinaires mais sous les lois constitutionnelles dans la hiérarchie des normes.
Les lois organiques ne peuvent être promulguées qu'après la déclaration par le Conseil
constitutionnel de leur conformité à la Constitution. Article 46 de la Constitution en vigueur.
Le Conseil constitutionnel a été saisi, le 29 juin 2001, par le Premier ministre, conformément aux
dispositions des articles 46 et 61, alinéa 1er, de la Constitution, de la loi organique relative aux lois
de finances ; Vu la Constitution, notamment ses articles 34 et 47 ;
Article 34 :
Les lois de finances déterminent les ressources et les charges de l'État dans les conditions et sous
les réserves prévues par une loi organique.
Loi organique n° 2005-881, organique n° 2009-403, loi organique n° 2010-837, loi organique n° 2013-1114,
loi organique n° 2016-506, loi organique n° 2020-1669, loi organique n° 2021-27, loi organique n° 2021-
335, loi organique n° 2021-467, loi organique n° 2021-1381, loi organique n° 2021-1728, loi organique n°
2021-1836, loi organique n°2022-335, loi organique n° 2022-354, loi organique n° 2022-400
Chapitre 3
Lois de Finances
Les lois de finances "déterminent, pour un exercice (une année civile), la nature, le montant et l'affectation
des ressources et des charges de l'État, ainsi que l'équilibre budgétaire et
financier qui en résulte" (article 1er de la loi organique relative aux lois de finances du 1er août 2001)
LOI n° 2022-1726 du 30 décembre 2022 de finances pour 2023 (1) violant les droits de
l’homme et son article 14.
LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL A ÉTÉ SAISI, dans les conditions prévues au deuxième alinéa de
l'article 61 de la Constitution, de la loi de finances pour 2023, sous le n° 2022-847 DC, le 19 décembre
2022.
- La Constitution ;
- L’ordonnance n° 58-1067 du 7 novembre 1958 portant loi organique sur le Conseil constitutionnel,
illégal. (Titre II, chapitre 4)
Ordonnance visant la Constitution, et notamment son titre VII et son article 92. Article 92 abrogé en
1995, Ordonnance non conforme à l’article 13 de la Constitution et non ratifiée par le parlement.
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- La loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances ;
La Loi précitée vise sur la Loi n° 83-634 du 13 juillet 1983, Loi dite "loi Le Pors", visant les articles
suivants :
- L'article 18 de la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984 : article abrogé
- L’article 33-5 de la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 : article abrogé
- L’article 26 de la loi n° 86-33 9 janvier 1986 : article abrogé - Art. 25 quinquies : article abrogé La Loi
n°83-634 est donc caduque.
La LOI n° 2022-1726 de finances du 30 décembre 2022 de finances pour 2023 (49.3) est donc Nulle,
anticonstitutionnelle et illégale, tout comme, toutes les Lois de finances depuis 1958.
L’adoption par l’alinéa 3 de l’article 49 de la Constitution est également illégal. Le 49.3 ne respecte
pas l’article 14 de la DDHC de 1789, DDHC au-dessus de la Constitution, c’est une violation des
droits de l’homme et du citoyen.
Chapitre 4
Elle détermine les conditions nécessaires à l’équilibre financier de la Sécurité sociale. Elle fixe les objectifs
de dépenses en fonction des prévisions de recettes. Toutefois elle n’est pas de même nature que les lois de
finance de l’Etat et n’a pas de portée budgétaire contraignante.
Une partie des impôts collectés par l’État contribue aussi au financement de la Sécurité sociale,
représentant 9 % de ses ressources. Il s’agit notamment des taxes sur le tabac et l’alcool.
LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL A ÉTÉ SAISI, dans les conditions prévues au deuxième alinéa de
l’article 61 de la Constitution, de la loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023, sous
le n° 2023-849 DC, le 21 mars 2023, par la Première ministre.
Article 8
I. - Pour l'année 2023, l'objectif d'amortissement de la dette sociale par la Caisse d'amortissement de la dette
sociale est fixé à 17,7 milliards d'euros. II. - Pour l'année 2023, les prévisions de recettes par catégorie
affectées au Fonds de réserve pour les retraites demeurent fixées conformément au II de l'article 24 de la
loi n° 2022-1616 du 23 décembre 2022 de financement de la sécurité sociale pour 2023. III. - Pour l'année
2023, les prévisions de recettes par catégorie mises en réserve par le Fonds de solidarité vieillesse
demeurent fixées conformément au III de l'article 24 de la loi n° 2022-1616 du 23 décembre 2022 précitée.
Cette dernière mentionne le livre des procédures fiscales caduc et anticonstitutionnelle.
La loi n° 2022-1616 du 23 décembre 2022 est Nulle, illégale et non applicable
Article 10
XII. - La loi n° 57-444 du 8 avril 1957 instituant un régime particulier de retraites en faveur des
personnels actifs de police est ainsi modifiée : 1° L'article 1er est ainsi rédigé : Art. 1. - Les agents et les
anciens agents des services actifs de police de la préfecture de police, soumis à la loi n° 48-1504 du 28
septembre 1948 relative au statut spécial des personnels de police, dont la limite d'âge était, au 1er
décembre 1956, égale à cinquante-cinq ans, bénéficient, à compter du 1er janvier 1957, s'ils ont droit à
une pension d'ancienneté ou à une pension proportionnelle pour invalidité ou par limite d'âge, d'une
bonification pour la liquidation de ladite pension, égale à un cinquième du temps qu'ils ont effectivement
passé en position d'activité dans des services actifs de police. Cette bonification ne peut être supérieure à
cinq annuités. « A l'exception des contrôleurs généraux, sous-directeurs, directeurs, adjoints, chefs de
service et directeurs des services actifs, le bénéfice de la bonification acquise dans les conditions définies
au premier alinéa du présent article est maintenu aux fonctionnaires des services actifs de la préfecture de
police également soumis à la loi n° 48-1504 du 28 septembre 1948 précitée et dont la limite d'âge était,
au 1er décembre 1956, supérieure à cinquante-cinq ans, auxquels est également applicable le premier
alinéa du présent article. » ;
XVII. - L'article 24 de la loi n° 96-452 du 28 mai 1996 portant diverses mesures d'ordre sanitaire, social
et statutaire est ainsi modifié : 1° Le II est ainsi modifié : a) Au premier alinéa, les mots : « des corps
mentionnés au I ci-dessus » sont remplacés par les mots : « appartenant ou ayant appartenu aux corps du
personnel de surveillance de l'administration pénitentiaire » et les mots : « s'ils sont radiés des cadres par
limite d'âge ou par invalidité » sont remplacés par les mots : « sous réserve de vérifier la condition de durée
de services mentionnée au onzième alinéa du 1° du I de l'article L. 24 du code des pensions civiles et
militaires de retraite » ;
Le « I » de l’article 24 est abrogé par l’ordonnance 2021-1574 du 24 novembre 2021. On ne peut pas
modifier un texte qui fait référence à un alinéa abrogé.
XVIII. - La première phrase de l'article 78 de la loi n° 2003-775 du 21 août 2003 portant réforme des
retraites est ainsi modifiée : 1° Les mots : « fonctionnaires relevant de la loi n° 86-33 du 9 janvier 1986
portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique hospitalière, dont la limite d'âge est fixée à
soixante-deux ans » sont remplacés par les mots : « personnes ayant ou ayant eu la qualité de fonctionnaire
hospitalier, au sens de l'article L. 5 du code général de la fonction publique, » ;
L’article 78 de la loi n° 2003-775 du 21 août 2003 fait référence à la loi n° 86-33 du 9 janvier 1986
dont la plupart des articles sont abrogés par l’ordonnance 2021-1574. Pas d’articles mentionnant «
soixante-deux ans »
XXI. - L'article 37 de la loi n° 2010-751 du 5 juillet 2010 relative à la rénovation du dialogue social et
comportant diverses dispositions relatives à la fonction publique est ainsi modifié :
L’article 37 vise :
2° L'article 78 de la loi n° 2003-775 du 21 août 2003 portant réforme des retraites, relatives à la
majoration de durée d'assurance ; Comme précité, cet article mentionne la Loi 86-33 partiellement
abrogée. La loi 2003-775 est promulguée après la Décision constitutionnelle n° 2003-483, illégale et
anticonstitutionnelle.
3° L'article 1-2 de la loi n° 84-834 du 13 septembre 1984 relative à la limite d'âge dans la fonction
publique et le secteur public. Articles abrogés
Loi 84-834 promulguée après décision constitutionnelle n°84-179 du 12 septembre 1984 illégale et
anticonstitutionnelle.
XXII. - Au premier alinéa du I de l'article 35 de la loi n° 2010-1330 du 9 novembre 2010 portant réforme
des retraites, les mots : « , au 1° de l'article L. 25 du même code, au 3° de l'article L. 416-1 du code des
communes, au premier alinéa de l'article 2 de la loi n° 57-444 du 8 avril 1957 instituant un régime
particulier de retraites en faveur des personnels actifs de police, à l'article 4 de la loi n° 89-1007 du 31
décembre 1989 relative au corps des ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne et au troisième alinéa
du II de l'article 24 de la loi n° 96-452 du 28 mai 1996 portant diverses mesures d'ordre sanitaire, social et
statutaire » sont remplacés par les mots : « et au 1° de l'article L. 25 du même code ».
Le « I » de l’article 24 est abrogé par l’ordonnance 2021-1574 du 24 novembre 2021.
On ne peut pas modifier un texte qui fait référence à un alinéa déjà abrogé.
La Loi 2010-1330 promulguée après décision du Conseil constitutionnel n° 2010-617 DC, illégale et
anticonstitutionnelle.
H. - Par dérogation au III de l'article 37 de la loi n° 2010-751 du 5 juillet 2010 relative à la rénovation du
dialogue social et comportant diverses dispositions relatives à la fonction publique, l'âge d'ouverture du
droit à pension :
3° L'article 1-2 de la loi n° 84-834 du 13 septembre 1984 relative à la limite d'âge dans la fonction
publique et le secteur public. Articles abrogés
Loi 84-834 promulguée après décision constitutionnelle n°84-179 du 12 septembre 1984.
Article 26 :
II. - Le code des pensions civiles et militaires de retraite est ainsi modifié : 1° Au neuvième alinéa de
l'article L. 5, les mots : « en application de l'article 37 de la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984 précitée, de
l'article 60 de la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction
publique territoriale et de l'article 46 de la loi n° 86-33 du 9 janvier 1986 portant dispositions statutaires
relatives à la fonction publique hospitalière » sont supprimés ;
L’article L. 5 du code des pensions civiles et militaires de retraite mentionne :
1° Les services accomplis par les fonctionnaires titulaires et stagiaires mentionnés à l'article 2 de la loi n°
83-634 du 13 juillet 1983 précitée : Article 2 abrogé par l’ordonnance 20211574 du 24 novembre 2021.
8° Pour les instituteurs, le temps passé à l'école normale à partir de l'âge de dix-huit ans.
Les périodes de services accomplies à temps partiel en application de l'article 37 de la loi n° 84-16 du 11
janvier 1984 précitée, de l'article 60 de la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires
relatives à la fonction publique territoriale et de l'article 46 de la loi n° 86-33 du 9 janvier 1986 portant
dispositions statutaires relatives à la fonction publique hospitalière sont comptées pour la totalité de leur
durée. Tous ces articles sont abrogés par l’ordonnance 2021-1574 du 24 novembre 2021
La Loi 2023-270 est Nulle, illégale et anticonstitutionnelle, violant les droits de l’homme
de 1789. La réforme des retraites n'est pas réglementaire, la décision du conseil
constitutionnel est anticonstitutionnelle.
TVA
Taxe sur la Valeur ajoutée, invention Française
La taxe sur la valeur ajoutée ou TVA est un impôt indirect sur la consommation inventé par
Le haut fonctionnaire Maurice Lauré et institué par la loi 54-1054 du 10 avril 1954. Elle a ensuite été mise en
place dans de nombreux pays notamment au sein des États membres de l'Union européenne, ce qui conduit
alors à parler de TVA dans l'Union européenne. Une grande partie revient dans les caisses de l'État, l'autre
revient dans les caisses de l'Union européenne depuis la Sixième Directive entrée en vigueur en 1978.
En France, le champ d'application de la TVA se définit de deux manières : d'une part, par les
opérations imposables à la TVA et d'autre part, par les règles de territorialité.
La TVA est de loin la recette fiscale la plus importante en France, représentant la moitié du
prélèvement fiscal. Elle représente une ressource environ trois fois plus importante que l'impôt sur le revenu.
Source Wikipédia
Art. 1er. -La taxe à la production visée aux articles 256 et 277 du code général des impôts est supprimée.
- est institué :
1° Une taxe sur la valeur ajoutée (TVA) perçue sur les affaires qui étaient soumises à la taxe visée aux
articles 256-1° et 277-1° du code général des impôts.
Art. 256. — Les affaires faites en France par les personnes qui, habituellement ou occasionnellement,
achètent pour revendre ou accomplissent des actes relevant d’une activité industrielle ou commerciale sont
soumises :
1° En ce qui concerne les ventes, à une taxe de 13,50 p. 100.
Ce taux est réduit à 5,50 p. 100 pour les opérations définies à l’article 262 ci-après ; 2° En ce qui
concerne toutes autres opérations, à une taxe de 4,75 p. 100.
Toutefois, sont exclues du champ d’application de ces taxes les affaires de vente, de commission et de
courtage portant sur les produits pétroliers ou assimilés repris à l’article 263 du code des douanes et soumis
à la taxe intérieure de consommation prévue par cet article comprenant la taxe unique spéciale fusionnée.
Art. 262. - La taxe de 5,50 p. 100 prévue au 1° de l’article 256 du présent code s’applique aux
importations et aux opérations imposables effectuées par les assujettis définis aux articles 263 et 201
du dit code, portant sur les produits énumérés ci-après :
a) Charbon de terre, liquides, cokes, brais de houille, tourbe, charbon de bois et agglomérés ;
b) Eau, gaz, électricité, air comprimé, gaz destiné à la traction routière, vapeur d’eau utilisée pour le
chauffage central urbain, sous réserve des dispositions de l’article 271,
4°, ci-après ;
c) Animaux de boucherie et viandes fraîches en provenant, aliments composés destinés
à l’alimentation du bétail et des animaux de basse-cour, produits agricoles ayant subi une
préparation ou une manipulation ne modifiant pas leur caractère et qui s’impose pour les rendre
propres à la consommation ou à l’utilisation en l’état. La nomenclature de ces produits agricoles
est fixée par arrêté du ministre des finances.
La Loi 54-404 est toujours présente au journal officiel comme elle a été édictée en 1954.
Elle est modifiée à plusieurs reprises, (jamais au journal officiel) notamment par l’Ordonnance 58-1372,
promulguée par Charles de Gaulle en tant que Président du Conseil des ministres, non conforme aux
articles 13, 38 et 39 de la constitution du 4 octobre 1958.
L’Ordonnance précitée est abrogée par le décret 81-859 portant codification des textes législatifs
concernant les procédures fiscales, décret créant le livre des procédures fiscales.
Le décret précité n’a aucune existence légale, tout comme le livre des procédures fiscales, démontré
dans le chapitre 8 du titre II
La perception de la TVA est rendue « obligatoire » par le consentement des députés « représentants
du peuple » tous les ans lors de la promulgation des Lois de Finances, fin décembre.
Les Lois de Finances ne sont édictées que sous condition de Loi Organique.
L'article 1er de la loi 2001-692 du 1er août 2001 portant loi organique relative aux lois de finances dispose
en effet que « les lois de finances déterminent, pour un exercice, la nature, le montant et l'affectation des
ressources et des charges de l'État, ainsi que l'équilibre budgétaire et financier qui en résulte ». L'article 34
de la loi 2001-692 du 1er août 2001 portant loi organique relative aux lois de finances, quant à lui, prévoit
notamment que « la loi de finances de l'année autorise, pour l'année, la perception des ressources de l'État et
des impositions de toutes natures affectés à des personnes morales autres que l'État ».
Chapitre 6
Le prélèvement à la source consiste à déduire l'impôt avant versement du revenu : le montant de l'impôt est
prélevé chaque mois sur le bulletin de paie. Ainsi, le paiement est étalé sur douze mois et le décalage d'un
an supprimé.
Mis en place par l’article 60 de la Loi n° 2016-1917 du 29 décembre 2016 de finances pour 2017. Loi
promulguée après décision Constitutionnelle n° 2016-744. Conseil Constitutionnelle sans existence légale
(Annexe : Titre II, Article 4)
Chapitre 7
Contrôle fiscal
LOI n° 2013-1117 du 6 décembre 2013 relative à la lutte contre la fraude fiscale et la grande
délinquance économique et financière.
Promulguée après décision du Conseil constitutionnel n° 2013-679. Conseil Constitutionnel sans existence
légale (Titre III, Chapitre 4)
La Loi 2013-1117 sur la fraude fiscale mentionne la Loi 2004-1485 de Finances rectificatives, promulguée
après décision constitutionnelle. Loi sans existence légale prise sous condition de Loi Organique. (Titre III,
Chapitre 2 et 3)
Elle modifie également le livre des procédures fiscales, sans existence légale. (Annexe : Titre III, Chapitre
8)
Vise dans l’article 52, le IV de l'article 164 de l'ordonnance n° 58-1374 du 30 décembre 1958
PORTANT LOI DE FINANCES POUR 1959, Ordonnance signée et promulguée par
Charles de Gaulle en tant que Président du conseil des ministres. Elle est non conforme aux articles 13 et 38
de la Constitution en vigueur.
Organisation judiciaire mis en place par les Ordonnance 58-1270 et 58-1273, signées et promulguées par
Charles de Gaulles en tant que Président du conseil des ministres. Ordonnances, non conformes aux articles
13 et 38 de la Constitution en vigueur.
La Loi 2013-1117 modifie le Code général des Impôts, Code sans existence légale (Titre III, Chapitre 1)
Il en résulte que la Loi 2013-1117 relative à la lutte contre la fraude fiscale et la grande
délinquance économique et financière n’a aucune existence légale et ne pouvait être
mise en application.
Chapitre 8
Le livre des procédures fiscales est édicté par 2 décrets le 15 septembre 1981 pour la mise en place du
recouvrement de l’impôt, le contentieux, le contrôle de l’impôt etc., l’un de nature législative (n°81-859)
et l’autre de nature réglementaire (n°81-860) et une ordonnance.
Les deux décrets sont promulgués par le Premier ministre, PIERRE MAUROY et Le ministre délégué
auprès du ministre de l'économie et des finances, chargé du budget, LAURENT FABIUS.
Si article 73 :
Les crédits ouverts pour l’armement naval seront attribués pour les navires appartenant à des
entreprises françaises affectés aux lignes et trafics soumis à la concurrence internationale…
Aucun rapport avec le décret précité.
Si article 78 :
Le Gouvernement procédera par décrets en Conseil d’Etat à une refonte du code général des impôts
en vue d’alléger et de simplifier la présentation de ce code. Cette refonte, qui pourra notamment
comporter des fusions ou divisions d’articles, ne devra entraîner aucune modification des taux ni
des règles de l’assiette et du recouvrement des impositions. Le nouveau code ne pourra être publié
qu’à l’expiration d’un délai de trois mois après sa communication aux commissions des finances de
l’Assemblée nationale et du Sénat.
Si article 79 :
La déclaration et le versement prévus au troisième alinéa de l’article 19-11 de la loi n" 59-1472 du
28 décembre 1959 sont supprimés pour les revenus encaissés à partir du 1er janvier 1961.
Les revenus définis audit alinéa et encaissés à compter de la date susvisée par des bénéficiaires
relevant de l’impôt sur le revenu des personnes physiques sont soumis à la taxe complémentaire
instituée par l’article 204 bis du code général des impôts. L’article 204 bis du CGI est abrogé
depuis 2016.
La Loi 61-1396 du 21 décembre 1961, relatif à la fonte du code général des impôts :
Article 14 :
Sous réserve des dispositions de la présente loi, sont confirmées, pour l’année 1962, les dispositions
législatives qui ont pour effet de déterminer les charges publiques en dehors des domaines prévus
par le cinquième alinéa de l’article 2 de l’ordonnance n° 59-2 du 2 janvier 1959, portant loi
organique relative aux lois de finances.
Article 35 :
Est fixée, pour 1962, conformément à l’état E annexé à la présente loi, la liste des chapitres sur
lesquels s’imputent des crédits évaluatifs autres que ceux limitativement énumérés à l’article 9 de
l’ordonnance n° 59-2 du 2 janvier 1959 portant loi organique relative aux lois de finances.
Article 37 :
Est fixée, pour 1962, conformément à l’état G annexé à la présente loi, la liste des chapitres sur
lesquels s’imputent les crédits pouvant donner lieu à report, dans les conditions fixées par l’article
17 de l’ordonnance n° 59-2 du 2 janvier 1959 portant loi organique relative aux lois de finances.
Article 58 :
Article 71 :
Le paragraphe 2° de l’article 8 de l’ordonnance n° 59-30 du 5 janvier 1959 tendant à instituer des
districts urbains dans les grandes agglomérations est abrogé et remplacé par la disposition
suivante : « 2° Les ressources énumérées à l’article 149 (1° à 5° inclus) du code de l’administration
communale. ».
Ordonnance 59-2 promulguée par le Président du conseil des ministres Charles de gaulle,
ordonnance non conforme à l’article 13 de la Constitution qui définit bien que, Le Président de la
République signe les ordonnances et les décrets délibérés en conseil des ministres.
Ordonnance 59-2 non ratifiée par le parlement conformément à l’article 38 de la Constitution.
Abrogée le 1e janvier 2005 par l’article 67 de la Loi Organique 2001692.
Ordonnance 59-30 promulguée par le président du conseil des ministres Charles de gaulle, non
conforme à l’article 13 de la Constitution et non ratifiée par le parlement.
Par conséquent, il en résulte que la Loi 61-1396 visant les Ordonnances 59-2 et 59-
30 n’aurait jamais dû être promulguée. Les Ordonnances précitées sont
anticonstitutionnelles et l’ordonnance 45-1820 est promulguée par un
gouvernement de facto qui n’en avait pas le pouvoir. Cette Loi est Nulle et non
applicable.
L'ordonnance n° 45-1483 du 30 juin 1945 relative aux prix, notamment son article 14. Article 14 abrogé
par l’Ordonnance 86-1243 du 9 décembre 1986. Ordonnance promulguée par un gouvernement de fait qui
n’en avait pas le pouvoir.
L'ordonnance n° 45-1483 est abrogé par l’article 1 de l’Ordonnance 2000-912 du 21 septembre 2000.
L’ordonnance n° 45-1484 du 30 juin 1945. Cette ordonnance est abrogée depuis le 9 décembre 1986.
Ordonnance promulguée par un gouvernement de fait qui n’en avait pas le pouvoir.
Le décret n° 63-766 du 30 juillet 1963, et notamment son article 21 (avant-dernier alinéa). Ce décret est
abrogé depuis le 1er janvier 2001 ;
La loi n° 80-546 du 17 juillet 1980. Cette Loi est abrogée depuis le 16 février 2022 ;
Le décret n° 80-591 du 24 juillet 1980. Tous les articles mentionnés dans les articles 1, 2 et 3 sont abrogés.
Le décret est toujours en vigueur en mai 2023.
Décisions Constitutionnels :
La Constitution ;
L’Ordonnance 58-1067 du 7 novembre 1958 portant loi organique sur le Conseil constitutionnel,
notamment ses articles 24, 25 et 26. Ordonnance illégale et anticonstitutionnelle. (Titre III,
Chapitre 4)
Le Président de la République signe les ordonnances et les décrets délibérés en conseil des
ministres.
René Coty était encore président de la IVème République au 7 novembre 1958. Charles de Gaulle à
prit sa fonction de président de la Vème république le 8 janvier 1959.
Le Décret n°81-860 :
Nous pouvons constater que le décret précité vise l’article 78 de la loi de finances n° 61-1396 du 21
décembre 1961, relatif à la fonte du code général des impôts.
Loi de finances n° 61-1396, comme expliqué précédemment est Nulle et anticonstitutionnelle depuis son
édiction.
Vise également :
Le décret n° 80-216 du 17 mars 1980 modifiant le décret n° 70-223 du 17 mars 1970. Aucune
modification du décret 70-223 dans le décret 80-216 au journal officiel ;
Nous pouvons également constater que tous les ans, des décrets portant incorporation au livre des
procédures fiscales de divers textes modifiants et complétant certaines dispositions de ce livre sont
Art. 11. -r-Il sera procédé, par voie de décrets contresignés par le ministre des finances et des
affaires économiques et par le ministre du budget et ayant force exécutoire, à l’incorporation dans
le code général des impôts et dans ses annexes I et II des textes législatifs ou réglementaires
modifiant certaines dispositions de ce code et annexes sans s’y référer expressément.
Les Décrets édictés sur le fondement de l’article 11 de la Loi du 1er mars 1951 promulguée
sous la IVème république, en méconnaisse du changement de régime en 1958 pour celui de la
Vème République ne sont pas conformes à l’article 34 de la Constitution en vigueur.
3) Le décret n° 81-859 du 15 septembre 1981 portant codification des textes législatifs concernant les
procédures fiscales (première partie : Législative) ;
4) Le décret n° 81-860 du 15 septembre 1981 portant codification des textes réglementaires concernant
les procédures fiscales (deuxième partie : Réglementaire) ;
Comment est-possible qu’un décret modifie les articles issus domaine Législatif ?
Il s’avère également, que l’incorporation au livre des procédures fiscales de divers textes modifiant et
complétant certaines dispositions de ce livre, soit opérée également par voie d’arrêté.
Arrêté du 2 mai 2017, Arrêté du 3 juin 2015, Arrêté du 26 mai 2014, Arrêté du 27 juin 2012 et
ainsi de suite…
Il en résulte que :
Les décrets n° 81-859 et n°81-860 ne respecte pas l’article 34 de la constitution du 4 octobre 1958.
Le décret 81-859 donnant valeur législative au livre des procédures fiscales n’a jamais été ratifié par le
parlement.
Les décrets 81-859 et 81-860 dont les conditions qui étaient présentes à l’origine ont disparu ultérieurement
deviennent caducs, les décrets 81-859 et 81-860 non pas d’existence légale ; La refonte du code général
des impôts a entraîné des modifications des taux et des règles de l’assiette et du recouvrement des
impositions les années suivantes ;
Les modifications par voie de décrets sur le fondement de l’article 11 de la Loi du 1er mars 1951
obsolète, édictées sous la IVème république, ne sont pas conformes à l’article 34 de la Constitution du 4
octobre 1958 ;
Il en résulte, que Le livre des procédures fiscales n’a pas d’existence légale et ne peut
être mis en application. C’est une violation de la constitution et des droits de l’homme.
Chapitre 9
Publics concernés : usagers et agents de la direction générale des finances publiques et de la direction
générale des douanes et droits indirects.
Objet : modification des dispositions réglementaires relatives aux saisies administratives notifiées par les
comptables publics et aux règles d'oppositions à poursuites et de revendications d'objets saisis pour les
créances recouvrées par les comptables publics.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le 1er janvier 2019.
Notice : dans le cadre de la création de la procédure de la saisie administrative à tiers détenteur applicable à
tous les comptables publics à compter du 1er janvier 2019, le présent décret met en cohérence les
dispositions des articles R. 312-1-2 du code monétaire et financier, R. 212-3 du code des procédures civiles
d'exécution, et R. 3252-37 et R. 3252-38 du code du travail avec celles de l'article L. 262 du livre des
procédures fiscales. Il modifie également les procédures d'oppositions à poursuites et de revendications
d'objets saisis régis par les articles R.* 281-1, R.* 281-3-1, R.* 281-4, et R.* 283-1 du livre des procédures
fiscales.
Nous pouvons constater que selon l’article 34 de la Constitution du 4 octobre 1958 que c’est une Loi qui
définit l'assiette, le taux et les modalités de recouvrement des impositions de toutes natures et non un
décret en Conseil d’État.
Le décret en conseil d’Etat 2018-970, vise le livre des procédures fiscales, sans aucune existence légale
(Titre 2, Chapitre 8), et notamment l’article L262.
L’Article précité est modifié à plusieurs reprises par les Lois de finances :
L’article L262 du LPF, tout comme l’ensemble le livre des procédures fiscales n’a
aucune d’existence légale. (chapitre III, Article 8)
La déclaration qui incombe au tiers saisi sur la situation de droit existant entre lui-même et le débiteur est
faite par le service employeur au greffe du juge de l'exécution.
Les déclarations relatives aux cessions, saisies, saisies administratives à tiers détenteurs ou paiement
direct de créances d'aliments sont faites par le comptable assignataire au greffe du juge de l'exécution.
Comment est-il possible qu’un comptable public procède directement par une SATD sans passer par
le Juge de l’exécution ?
Quand est-il du code des procédures civiles d’exécution ? (Titre IV, Chapitre 1)
Nous pouvons constater que la saisie administrative à tiers détenteur est illégale et
anticonstitutionnelle. C’est une extorsion d’argent illicite par une personne chargée de
mission au centre des finances publiques.
Chapitre 10
Obligation déclarative à tous les propriétaires de biens immobiliers à usage d’habitation, particuliers et
entreprises, les obligeants à déclarer l'occupation de leurs logements sur l’espace « Gérer mes biens
immobiliers » du site impots.gouv.fr.
Il s’avère que cette « obligation » est mise en place par l’article 16 de la Loi n° 2019-1479 du 28 décembre
2019 de finances pour 2020, créant ainsi l’article 1418 du CGI mais également l’article 322A dans la
nouvelle Section II bis du chapitre premier du titre premier de la deuxième partie du livre premier de
l'annexe III au code général des impôts.
Section II bis :
Dispositions communes à la taxe d'habitation sur les résidences secondaires et autres locaux meublés non
affectés à l'habitation principale, à la taxe d'habitation sur les logements vacants et à la taxe annuelle sur
les logements vacants.
Article 322A :
Les propriétaires de locaux mentionnés au I de l'article 1418 du code général des impôts déclarent, pour
chaque local, à l'administration fiscale les informations suivantes :
1° S'ils s'en réservent la jouissance, la nature de l'occupation : résidence principale, résidence secondaire,
logement vacant ;
La déclaration mentionnée au premier alinéa est transmise par l'intermédiaire du service Gérer mes biens
immobiliers, accessible depuis l'espace sécurisé des propriétaires.
Nous constaterons que le 2° de l’article précité, fait obstacle à la Loi n° 78-17 du 6 janvier 1978
relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés.
Les Occupants ont la possibilité de déposer plainte pour transmission de données personnelles sans
leur consentement.
Sont dispensés de cette déclaration les propriétaires des locaux pour lesquels aucun changement dans les
informations transmises n'est intervenu depuis la dernière déclaration.
II.-Cette déclaration est souscrite par voie électronique par les propriétaires dont la résidence principale est
équipée d'un accès à internet.
Ceux de ces propriétaires qui indiquent à l'administration ne pas être en mesure de souscrire cette
déclaration par voie électronique ainsi que les propriétaires dont la résidence principale n'est pas équipée
d'un accès à internet utilisent les autres moyens mis à leur disposition par l'administration.
La Loi précitée est donc Nulle et anticonstitutionnelle. (Annexe : Titre III, Chapitre 3)
Cette déclaration est édictée, selon le gouvernement, pour lutter contre la Fraude fiscale.
Il s’avère que la Direction générale des finances publiques est enregistrée auprès du registre LEI, sous le
numéro 969500ELHVVYO48GHJ48, Organisation destinée aux marchés financiers. Que va faire l’argent
publique sur les marchés financiers ?
Que, La Loi de finances 2019-1479, les Lois Organiques, les décisions du Conseil Constitutionnelle
n’ont aucune existence légale, tout comme les autres Lois ainsi définies de 1958 à nos jours ;
Que, La nouvelle obligation déclarative des propriétaires est illégale et ne respecte pas la protection
des données personnelles ;
Que le CGI est anticonstitutionnel et n’a pas d’existence légale (Titre III, Chapitre 1) ;
Que cette nouvelle obligation n’est pas destinée pour la Lutte contre la fraude Fiscale mais plutôt
pour extorquer plus d’argent et le faire évoluer sur les marchés financiers.
Par conséquent,
Il en va de soi, que toute poursuite pour cette opposition sur la déclaration des
propriétaires, qui n’est donc pas obligatoire, engagerait votre responsabilité
personnelle.
Chapitre 11
Succession, héritage
Loi n° 2006-728 du 23 juin 2006 portant réforme des successions et des libéralités
Cette Loi modifie le code civil. Pas de promulgation.
Cette Loi mentionne :
Huissier de Justice : Ordonnance 45-2592 promulguée par un gouvernement de Fait qui n’avait pas de
pouvoir Juridique. Statut abrogé par l’ordonnance 2016-728 ;
Les Notaires : Mis en place par l’Ordonnance 45-2590, sans existence légale, puisque promulguée par un
gouvernement de Fait qui n’en avait pas le pouvoir.
Par ces faits, La Loi 2006-728 portant réforme des successions et des libéralités n’a aucune existence
légale. C’est un vol orchestré par les dirigeants de l’entreprise REPUBLIQUE FRANCAISE
La taxe d’habitation et de la taxe foncière résultent de l’édiction de l’Ordonnance 59-108 du 7 janvier 1959,
Ordonnance édictée par Charles de Gaulle, Président du conseil des ministres.
Art. 44. — La présente ordonnance sera publiée au Journal officiel de la République française et exécutée
comme loi.
….
L’assiette, le taux et les modalités de recouvrement des impositions de toutes natures ; le régime
d'émission de la monnaie.
…
Le Président de la République signe les ordonnances et les décrets délibérés en Conseil des ministres.
Les ordonnances sont prises en Conseil des ministres après avis du Conseil d'Etat. Elles entrent en vigueur
dès leur publication mais deviennent caduques si le projet de loi de ratification n'est pas déposé devant le
Parlement avant la date fixée par la loi d'habilitation.
A l'expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article, les ordonnances ne peuvent plus être
modifiées que par la loi dans les matières qui sont du domaine législatif.
Les impôts de toutes natures doivent être définis par une Loi et non par une Ordonnance non ratifiée
par l’assemblée.
L'initiative des lois appartient concurremment au Premier ministre et aux membres du Parlement. Les
projets de loi sont délibérés en conseil des ministres après avis du Conseil d'État et déposés sur le bureau de
l'une des deux assemblées.
Il en résulte que :
Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la
contribution publique, de la consentir librement d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette,
le recouvrement et la durée.
La mise en application des taxes suscitées est faite par l’article 1 de la LOI n°73-1229 du 31 décembre 1973
sur la modernisation des bases de la fiscalité directe locale.
Art. 1er. — I. — Les dispositions de l’ordonnance n° 59-108 du 7 janvier 1959 modifiée par la loi n*
68-108 du 2 février 1968 et les articles 15, 16 et 17 de la loi de finances rectificative pour 1970
prennent effet le 1er janvier 1974.
La LOI n°73-1229 ne peut pas mettre en application une l’Ordonnance 59-108, non ratifiée par le parlement,
non signée par le Président de la république, non conforme aux article 34 et 38 de la Constitution et ne peut
être définie comme une Loi sans être approuvée par une assemblée. C’est une violation des droits de
l’homme et du citoyen de 1789.
Titre IV
Code des procédures civiles d’exécution (titre exécutoire), commissaire de Justice
(anciennement huissier/commissaire-priseur), Justice…
Chapitre 1
Les procédures civiles d'exécution (anciennement appelées voies d'exécution) désignent l'ensemble des
procédures légales de droit privé, par lesquelles un créancier peut poursuivre la réalisation forcée d'un de
ses droits. Les procédures civiles d'exécution se distinguent des procédures administratives d'exécution du
droit public (avis et opposition à tiers détenteur, procédure de recouvrement direct des amendes...) et des
procédures d'exécution spécifiques à la matière pénale. On distingue les mesures conservatoires qui visent à
éviter qu'un débiteur dilapide son patrimoine pour échapper à son créancier et les mesures d'exécution
forcée proprement dites.
Décision Constitutionnelle 2004-511 visant les ordonnances 58-1067 du 7 novembre 1958 et 59-2
du 2 janvier 1959. Ces deux ordonnances ont été promulguées par Charles de Gaulle, président du
conseil des ministres.
Elles ne sont pas conformes à l’article 13 de la Constitution du 4 octobre 1958. Le Président de la
République signe les ordonnances et les décrets délibérés en conseil des ministres.
Les ordonnances précitées n’ont pas été ratifiées par le parlement conformément à l’article 38
de la Constitution.
Modifie ou abroge des articles du livres des procédures fiscales dans les articles 59, 94, 99, livre
sans existence légale.
Vise dans l’article 113, loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances
prise par décision Constitutionnelle 2001-448, décision visant les Ordonnances 58-1067 et 59-2, non
conformes à l’article 13 de la Constitution du 4 octobre 1958 et non ratifiées par le parlement.
Illégale et anticonstitutionnelle (Annexe : Titre III, Chapitre 2)
Vise dans l’article 128, l’article L.262 du livre des procédures fiscales., article qui n’a aucune
existence légale. (Annexe : Titre III, Chapitre 8)
Dans l’article 3 :
7° Au deuxième alinéa de l'article L. 263 du livre des procédures fiscales, au troisième alinéa de
l'article L. 273 A du livre des procédures fiscales, au huitième alinéa de l'article 128 de la loi du 30
décembre 2004 susvisée de finances rectificative pour 2004
L’article L. 273 A du livre des procédures fiscales cite : …en application de l'article L. 252 A …
Article L. 252 A :
Constituent des titres exécutoires les arrêtés, états, rôles, avis de mise en recouvrement, titres de
perception ou de recettes que l'Etat, les collectivités territoriales ou les établissements publics dotés
d'un comptable public délivrent pour le recouvrement des recettes de toute nature qu'ils sont
habilités à recevoir.
L’article L 252 A est créé par l’art. 2 de la Loi 91-650 du 9 juillet 1991 et modifié ensuite par
l’article 98 de la Loi 92-1476 du 31 décembre 1992. Cette dernière n’a pas été publiée au Journal
officiel, donc jamais rentrée en vigueur Juridiquement. L’article 2 de la Loi 91-650 est abrogé par
l’article 4 de l’Ordonnance 2011-1895 du 18 décembre 2011.
L’article L 252 A du livre des procédures fiscales n’a plus d’existence légale.
Au huitième alinéa de l'article 128 de la loi 2004-1485 du 30 décembre 2004, Loi sans existence
légale.
Les dispositions des articles 31 à 40 de la loi du 30 juin 1838 sont applicables aux personnes
placées dans un des centres de rééducation spécialisés créés par l'article 5 de la présente loi.
Article 5 abrogé depuis le 3 avril 1958, l’article 10 est donc caduc.
Le décret n° 96-1080 du 12 décembre 1996 portant fixation du tarif des huissiers de justice en
matière civile et commerciale. Ce décret est abrogé depuis le 29 février 2016.
Vise le décret 2012-366 relatif à la signification des actes d'huissier de justice par voie électronique et
aux notifications internationales
Ce décret mentionne :
L’Ordonnance 45-2592 relative au statut des huissiers, abrogée le 1 juillet 2022. Ordonnance sans
aucune existence légale puisque promulguée par le gouvernement provisoire Charles de Gaulle qui
n’en avait pas le pouvoir, gouvernement de facto, sans pouvoir juridique.
La Loi 91-650 portant réforme des procédures civiles d'exécution, abrogée le 1er juin 2012 ;
Le Décret n° 56-222 du 29 février 1956 modifié pris pour l'application de l'ordonnance 45-2592
du 2 novembre 1945 relative au statut des huissiers de justice, Ordonnance abrogée le 1er juillet
2022 ;
Le Décret n°92-755 du 31 juillet 1992 instituant de nouvelles règles relatives aux procédures
civiles d'exécution pour l'application de la loi n° 91-650 du 9 juillet 1991 portant réforme des
procédures civiles d'exécution, loi n° 91-650 abrogée depuis le 1er juin 2022 ;
Dans l’article 2 :
Les références contenues dans les dispositions de nature réglementaire à des dispositions abrogées
par l'article 9 du présent décret ou par l'article 4 de l'ordonnance du 19 décembre 2011 susvisée sont
remplacées par les références aux dispositions correspondantes du code des procédures civiles
d'exécution.
Dans l’article 7 :
I. ― Les mots : « saisie-arrêt » et « saisies-arrêts » sont remplacés respectivement par les mots : «
saisie » et « saisies » dans les articles suivants :
1° Article D. 463 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de la guerre. Article
abrogé le 28 décembre 2016 ;
Dans l’article 9 :
Sont abrogés :
Article 6 :
La notification d'une cession de créance en application de l'article 1690 du code civil ou d'un
bordereau prévu par l'article 1er de la loi du 2 janvier 1981 susvisée est faite au comptable
assignataire.
L’article 1er de la loi du 2 janvier 1981 est abrogé le 14 décembre 2000.
Article 6-1 :
Par dérogation aux dispositions des articles 4 et 6 et de l'article 36 du décret du 29 décembre 1962
susvisé, le ministre chargé du budget détermine, par arrêté, les dépenses qui peuvent être payées
sans ordonnancement, au sens du deuxième alinéa de l'article 31 du décret du 29 décembre 1962
susmentionné, au titre desquelles les actes d'opposition et de cession y afférents sont notifiés au
comptable public en charge de leur paiement.
Les articles 4, 6, 31 et 36 du décret n° 62-1587 du 29 décembre 1962 sont abrogés depuis le 7 novembre
2012.
Article 168 :
Toutefois, les dispositions de la section 2 du chapitre VI du titre Ier du présent décret, relatives
à la capacité d'enchérir et au déroulement et à la nullité des enchères, s'appliquent aux audiences
d'adjudication postérieures au 1er mars 2009. La section 2 du chapitre VI du titre Ier du présent
décret est abrogée par le décret 2012-783.
Le décret 2006-936 est donc caduc.
Il en résulte que :
Des conditions étaient présentes lors de l’édiction, mais sont venues à disparaitre ultérieurement ;
De ces faits :
L’Ordonnance n° 2011-1895 du 19 décembre 2011 relative à la partie législative du code des procédures
civiles d'exécution ainsi que le Décret n° 2012-783 du 30 mai 2012 relatif à la partie réglementaire du code
des procédures civiles d'exécution pour mise en place du Code des Procédures Civiles d’exécution n’ont
pas d’existence légale.
Le Code des Procédures Civiles d’exécution est illégal et non applicable depuis son
édiction.
Chapitre 2
Les commissaires de justice sont les officiers publics et ministériels qui remplacent les huissiers de justice et
les commissaires-priseurs judiciaires. Ils exercent les compétences anciennement confiées à ces deux
professions dans le ressort de la cour d'appel du siège de leur office.
ARTICLE 38.
Les ordonnances sont prises en conseil des ministres après avis du Conseil d'État. Elles entrent en
vigueur dès leur publication mais deviennent caduques si le projet de loi de ratification n'est pas
déposé devant le Parlement avant la date fixée par la loi d'habilitation. Elles ne peuvent être
ratifiées que de manière expresse.
A l'expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article, les ordonnances ne peuvent
plus être modifiées que par la loi dans les matières qui sont du domaine législatif.
Le code des procédures civiles d'exécution ; sans existence légale (Annexe : Titre IV, Chapitre 1) ;
Loi modifiant l’Ordonnance 45-1418 du 28 juin 1945, promulgué par le gouvernement provisoire
(de fait), Charles de Gaulle qui n’en avait pas le pouvoir juridique. Albert Lebrun était encore,
officiellement Président de la France.
L’Ordonnance 45-1418 est abrogée par l’article 24 de ladite Ordonnance.
La loi n° 90-1258 du 31 décembre 1990 relative à l'exercice sous forme de sociétés des professions
libérales soumises à un statut législatif ou réglementaire ou dont le titre est protégé et aux sociétés de
participations financières de professions libérales ;
Les articles du Titres premier, du Titre II, du Titre IV et du titre V sont tous abrogés par
l’Ordonnance 2023-77.
Les Articles du Titre III, modifie la loi n° 66-879 du 29 novembre 1966 relative aux sociétés
civiles professionnelles. Loi 66-879 abrogée par l’Ordonnance 202377.
La Loi 90-1258 est donc caduque
La loi n° 2015-990 du 6 août 2015 pour la croissance, l'activité et l'égalité des chances économiques,
notamment son article 52 et le III de son article 61.
Loi promulguée après la décision Constitutionnelle n°2015-715 du 5 aout 2015. Décision visant :
La Constitution ;
L’ordonnance n° 58-1067 du 7 novembre 1958 modifiée portant loi organique sur le
Conseil constitutionnel, Conseil Constitutionnel sans existence légale (Annexe : Titre 1, Chapitre
3) ;
La loi n° 90-1258, Loi caduque.
Promulgué par le gouvernement provisoire, (de fait) Charles de Gaulle qui n’en avait pas le
pouvoir.
L’Ordonnance 45-1418 est abrogée en 2022
L'ordonnance n° 2016-728 du 2 juin 2016 relative au statut de commissaire de justice est ratifiée
sous réserve des modifications suivantes :
Article 1 :
7° Mettre en œuvre la procédure simplifiée de recouvrement des petites créances prévue à l'article
L. 125-1 du code des procédures civiles d'exécution. Code non applicable (annexe)
Article 3 :
I.
Ces zones sont déterminées par une carte établie conjointement par les ministres de la justice et de
l'économie, sur proposition de l'Autorité de la concurrence, en application de l'article L. 462-4-1 du
code de commerce, article visant la Loi 2015-990, Nulle et anticonstitutionnelle.
Article 5 :
…qui satisfait aux exigences de détention du capital et des droits de vote prévues par la loi 90-1258
du 31 décembre 1990. Loi caduque.
Article 15 :
7° De remplir les missions assignées par les dispositions du II de l'article 52 de la loi du 6 août 2015
susvisée. Loi non applicable et promulguée par décision constitution, prise sous l’Ordonnance
58-1067.
Article 22 :
Les modalités d'application de la présente ordonnance sont fixées par décret en Conseil d'Etat.
(Décret 2021-1625)
Article 23 :
VII. La loi du 31 décembre 1990 susvisée est ainsi modifiée. Loi caduque
VIII. L’article 52 de la loi du 6 août 2015 susvisée est ainsi modifié. Loi Nulle et non applicable.
Article 24 :
I.-Sont abrogées :
1° L'ordonnance du 26 juin 1816 qui établit, en exécution de la loi du 28 avril 1816, des
commissaires-priseurs judiciaires dans les villes chefs-lieux d'arrondissement, ou qui sont le siège
d'un tribunal de grande instance, et dans celles qui, n'ayant ni sous-préfecture ni tribunal,
renferment une population de cinq mille âmes et au-dessus ; 2° L'ordonnance n° 45-2592 du 2
novembre 1945 relative au statut des huissiers de justice ;
3° L'ordonnance n° 45-2593 du 2 novembre 1945 relative au statut des commissaires-priseurs ;
4° La loi n° 2000-642 du 10 juillet 2000 portant réglementation des ventes volontaires de membres
aux enchères publiques.
II.-Dans tous les textes législatifs, la référence à ces ordonnances et à cette loi est remplacée par la
référence à la présente ordonnance.
III.-Les personnes ayant subi avec succès l'examen d'aptitude à la profession de commissaire-priseur
judiciaire ou l'examen d'aptitude à la profession de commissaire-priseur, remplissent la condition de
qualification mentionnée à l'article L. 321-4 du code de commerce.
Article 25 :
IV. - A compter du 1er juillet 2022, les huissiers de justice et les commissaires-priseurs
judiciaires sont réunis au sein de la profession de commissaire de justice.
En conséquence :
1° L'ensemble des offices d'huissiers de justice et de commissaires-priseurs judiciaires deviennent
des offices de commissaire de justice ;
2° La détermination des zones et des recommandations prévues par l'article 52 de la loi du 6 août
2015 susvisée est unifiée. Loi Nulle et non applicable
ASSEMBLÉE NATIONALE
QUATORZIÈME LÉGISLATURE
PROJET DE LOI
L'ordonnance n° 2016-728 du 2 juin 2016 relative au statut de commissaire de justice est ratifiée sous
réserve des modifications suivantes :
1° À l'article 1 er :
« 2° Procéder aux ventes aux enchères publiques de meubles corporels ou incorporels prescrites par la loi
ou par décision de justice et aux inventaires et prisées correspondant à ces ventes » ;
2° À l'article 2 :
b) Au III, les mots : « prisées et ventes judiciaires de meubles corporels ou incorporels aux enchères
publiques » sont remplacés par les mots : « ventes aux enchères publiques de meubles corporels ou
incorporels prescrites par la loi ou par décision de justice et aux prisées correspondant à ces ventes » ;
« Art. 5-1 . - Le commissaire de justice peut également exercer sa profession dans le cadre d'une société
pluri-professionnelle d'exercice, régie par le titre IV bis de la loi n° 90-1258 du 31 décembre 1990 relative
à l'exercice sous forme de sociétés des professions libérales soumises à un statut législatif ou réglementaire
ou dont le titre est protégé et aux sociétés de participations financières de professions libérales, ayant pour
objet l'exercice en commun de la profession de commissaire de justice et d'une ou plusieurs autres professions
prévues à ce titre.
« Les dispositions des troisième et quatrième alinéas de l'article 5 sont applicables à une telle société.
« Les conditions d'application du présent article sont fixées par décret en Conseil d'État, notamment :
« 2° Les modalités d'application des règles de discipline prévues par l'ordonnance n° 45-1418 du 28 juin
1945 relative à la discipline des notaires et de certains officiers ministériels. » ;
4° Après l'article 10, il est inséré un article 10-1 ainsi rédigé :
« Art. 10-1 . - Dans des conditions prévues par le décret mentionné à l'article 22, le commissaire de justice
peut se faire suppléer par un clerc assermenté pour certaines significations et pour le service d'audience.
« Les commissaires de justice peuvent également se suppléer entre eux pour la délivrance des copies dans
les limites et dans les formes applicables à la suppléance des clercs assermentés.
« Les commissaires de justice sont responsables de plein droit des dommages causés par les autres
commissaires de justice dans l'exercice de leurs suppléances.
« Le troisième alinéa de l'article 441-4 du code pénal est applicable aux clercs assermentés. » ;
5° À l'article 23 :
« I . - Au deuxième alinéa de l'article L. 321-2 du code de commerce, les mots : «et les huissiers de justice»
et les mots : «, dans les communes où il n'est pas établi d'office de commissaire-priseur judiciaire» sont
supprimés. » ;
« III . - À l'article L. 444-1 du même code, les mots : «des commissaires-priseurs judiciaires, des greffiers de
tribunal de commerce, des huissiers de justice» sont remplacés par les mots : «des commissaires de justice,
des greffiers de tribunal de commerce» et à l'article L. 444-4 du même code, les mots : «les commissaires-
priseurs judiciaires, les greffiers de tribunal de commerce, les huissiers de justice» sont remplacés par les
mots : «les commissaires de justice, les greffiers de tribunal de commerce» ; »
« 5° La loi du 27 décembre 1923 relative à la suppléance des huissiers de justice blessés et à la création de
clercs assermentés. » ;
« Les attributions dévolues à la chambre régionale des commissaires de justice par l'article 15 sont exercées,
en ce qui concerne la collectivité territoriale de Saint-Pierre-et-Miquelon, par la chambre régionale des
commissaires de justice instituée dans le ressort de la cour d'appel de Fort-de-France. »
PROJET DE LOI
Ratifiant l’ordonnance n° 2016-728 du 2 juin 2016 relative au statut de commissaire
de justice
I. Etat des lieux et objectifs poursuivis
V. Consultations menées
Le III de l'article 61 de la loi n° 2015-990 du 6 août 2015 pour la croissance, l'activité et l'égalité des chances
économiques habilite le Gouvernement à prendre « par ordonnance, dans un délai de dix mois à compter de
la promulgation de la présente loi, les mesures relevant du domaine de la loi pour créer une profession de
commissaire de justice regroupant les professions d'huissier de justice et de commissaire-priseur judiciaire,
de façon progressive, en prenant en considération les règles de déontologie, les incompatibilités et les risques
de conflits d'intérêts propres à l'exercice des missions de chaque profession concernée, ainsi que les
exigences de qualification particulières à chacune de ces professions ».
L'ordonnance n° 2016-728 du 2 juin 2016 relative au statut de commissaire de justice a été prise sur ce
fondement et publiée au Journal Officiel de la République française du 3 juin 2016.
Le présent projet de loi vise à ratifier l'ordonnance susmentionnée, dans le respect de l'échéance prévue
par l'article 299 de la loi du 6 août 2015 et conformément aux dispositions de l'article 38 de la Constitution.
Il y apporte néanmoins huit modifications.
Le champ du monopole matériel du commissaire de justice est modifié sur le plan des inventaires, prisées et
ventes aux enchères publiques. En effet, alors que le droit en vigueur (article 29 de la loi n° 2000-642 du 10
juillet 2000 portant réglementation des ventes volontaires de meubles aux enchères publiques) limite le
monopole matériel des commissaires-priseurs judiciaires aux ventes aux enchères publiques de meubles
Le II de l'article 1 er est également complété afin de faire apparaître le caractère non limitatif de l'énumération
des compétences listées. En effet, l'exhaustivité n'est pas recherchée par le texte. Ne sont par exemple pas
énumérées la consultation juridique et la rédaction d'actes sous seing privé, pourtant autorisées aux
commissaires de justice aux termes de la loi n° 71-1130 du 31 décembre 1971 portant réforme de certaines
professions judiciaires et juridiques. Ne sont plus non plus listés les inventaires de succession, pour lesquels
le code civil prévoit explicitement la compétence des commissaires de justice.
D'autre part, le projet de loi procède à deux modifications terminologiques relatives à la compétence
territoriale des commissaires de justice, afin d'éviter toute ambiguïté, et afin de la mettre en cohérence avec
l'évolution apportée à la compétence matérielle en matière d'inventaires, de prisées et de ventes aux enchères
publiques.
Il insère dans l'ordonnance une disposition relative à l'exercice de la profession de commissaire de justice au
sein d'une société pluri-professionnelle d'exercice. Il s'agit d'une disposition jumelle de celles insérées dans
chacune des ordonnances régissant les statuts de notaire, d'huissier de justice et de commissaire-priseur
judiciaire par l'ordonnance n° 2016-394 du 31 mars 2016 relative aux sociétés constituées pour l'exercice en
commun de plusieurs professions libérales soumises à un statut législatif ou réglementaire ou dont le titre est
protégé. L'objectif est de permettre l'interprofessionnalité d'exercice en 2022, dans la mesure où celle-ci est
inscrite dans les statuts des deux professions regroupées en 2016.
Par ailleurs, il intègre dans l'ordonnance le principe de l'assermentation des clercs de commissaire de justice
aux fins de procéder à certaines significations et d'assurer le service d'audience, et de la suppléance entre
commissaires de justice pour délivrer des copies, dans un objectif de rationalisation des textes statutaires
applicables à la profession. En effet, la première assermentation et cette hypothèse de suppléance sont pour
l'heure prévues dans une loi du 27 décembre 1923 qui peut ainsi être concomitamment abrogée, l'ensemble
des dispositions de niveau législatif contenues en son sein étant reprises et actualisées dans l'ordonnance.
L'objectif poursuivi est la lisibilité du droit, en limitant autant que possible l'éparpillement des textes
statutaires.
En outre, il supprime, à l'article L. 321-2 du code de commerce, l'interdiction, pour un notaire, de réaliser des
ventes volontaires de meubles aux enchères publiques dans les communes où est établi un commissaire de
justice, en cohérence avec le III de l'article 2 de l'ordonnance qui a limité le monopole territorial des
commissaires de justice aux seules ventes judiciaires, et avec le IV de l'article 1 er qui consacre la séparation
entre les activités de ventes volontaires et l'office du commissaire de justice, sur le plan de l'accès à cette
activité comme de son exercice. L'objectif poursuivi est la cohérence d'ensemble du dispositif.
Il restaure la mention des greffiers des tribunaux de commerce dans deux articles du code de commerce
portant sur les tarifs, mention supprimée involontairement par l'ordonnance.
Nombre de dispositions du texte ne constituent pas, à proprement parler, des règles de droit nouvelles. Il en
va ainsi des évolutions relatives à la compétence matérielle, à la terminologie employée pour la compétence
territoriale, de l'interprofessionnalité d'exercice, des clercs assermentés et de la rectification portant sur les
greffiers des tribunaux de commerce.
Sont, en revanche, nouvelles l'évolution de la compétence des notaires en matière de ventes volontaires de
meubles, et l'organisation spécifique de la profession à Saint-Pierre-et-Miquelon. Elles vont dans le sens d'un
allègement des contraintes pesant sur les notaires et de l'organisation professionnelle et d'une simplification
du droit.
Ces deux types de règles, relevant du champ législatif, il n'existe pas d'autre option pour atteindre les objectifs
poursuivis.
Selon les données disponibles, en dehors de l'Alsace-Moselle les notaires prennent rarement en charge une
activité de ventes volontaires. L'ouverture pour eux de cette activité dans les communes où se trouvent des
commissaires-priseurs judiciaires qui bénéficient, jusqu'en 2022, du monopole à leur résidence, aura donc de
faibles conséquences. En Alsace-Moselle, en l'absence de commissaire-priseur judiciaire dans ces
départements avant 2022, la situation restera inchangée pour les notaires y exerçant.
Dans la mesure où les dispositions législatives et règlementaires sont applicables de plein droit dans
l'ensemble de ces départements, régions et collectivités d'outre-mer, dès lors que, s'agissant de Saint-Martin,
Saint-Barthélemy et Saint-Pierre-et-Miquelon, la règlementation des professions judiciaires relève de la
compétence de l'Etat, aucune disposition expresse d'application n'était à prévoir dans l'ordonnance. Seule une
mesure d'adaptation portant sur l'appellation des juridictions de Saint-Martin, Saint-Barthélemy et Saint-
Pierre-et-Miquelon a été incluse à l'article 26 de l'ordonnance.
Le projet de loi de ratification de cette ordonnance la complète néanmoins sur un point relatif à son application
outre-mer. En effet, est notamment précisée dans l'ordonnance l'organisation de la profession de commissaire
de justice, qui sera représentée au niveau local par les chambres régionales des commissaires de justice et au
niveau national par une chambre nationale des commissaires de justice. A cet égard, il est apparu utile de
s'inspirer des modalités de l'organisation de la profession de notaire à Saint-Pierre-et-Miquelon, telles que
définies au deuxième alinéa de l'article 13 de l'ordonnance n° 45-2590 du 2 novembre 1945 relative au statut
du notariat. Cette disposition prévoit que les attributions dévolues à l'instance professionnelle régionale sont
exercées, en ce qui concerne Saint-Pierre-et-Miquelon, par l'instance professionnelle régionale existant dans
le ressort de la cour d'appel de Fort-de-France. Le projet de loi transpose les mêmes modalités d'organisation
professionnelle à Saint-Pierre-et-Miquelon à la profession de commissaires de justice, dans un souci de
rationalisation et de cohérence.
Le projet de loi modifie des dispositions de l'ordonnance n° 2016-728 du 2 juin 2016 relative au statut de
commissaire de justice qui entreront en vigueur le 1 er juillet 2022 aux termes de son article 25.
Ainsi, si les modifications seront effectives dans l'ordonnance dès la promulgation de la loi de ratification,
les dispositions de l'ordonnance elle-même ont une entrée en vigueur différée.
Compte-tenu de son objet, l'ordonnance n° 2016-728 du 2 juin 2016 relative au statut des commissaires
de justice n'a vocation à s'appliquer que dans les territoires d'outre-mer où s'appliquent, actuellement,
les textes relatifs aux huissiers de justice et aux commissaires-priseurs judiciaires soit : la Guadeloupe,
la Martinique, la Réunion, la Guyane, Mayotte, Saint-Martin, Saint-Barthélemy et Saint-Pierre-et-
Miquelon 1 (* ) .
V. Consultations menées
Le présent projet de loi a été soumis le 19 août à la consultation de Saint-Pierre-et-Miquelon, qui était requise
compte tenu du dispositif spécifique d'organisation professionnelle prévu pour cette collectivité.
Ont néanmoins été également consultés la Chambre nationale des commissaires-priseurs judiciaires, la
Chambre nationale des huissiers de justice, l'Union nationale des huissiers de justice, le Conseil supérieur du
notariat et la Fédération Nationale de l'Information d'Entreprise, de la Gestion de Créances et de l'Enquête
Civile.
* 1 A noter, s'agissant des commissaires-priseurs judiciaires, que les dispositions de l'article 3 de l'ordonnance
du 26 juin 1816 ne leur permettaient pas d'exercer à Saint-Pierre-et-Miquelon et à Mayotte. Toutefois, cette
exclusion a été supprimée par la loi n° 2015-990 du 6 août 2015 pour la croissance, l'activité et l'égalité des
chances économiques.
Un décret ne peut mettre en application une Ordonnance non ratifiée par le parlement, devenue
caduque et sans existence légale.
Il en résulte que :
Par conséquent, c’est un exercice illégal d’une profession réglementée dont le statut
n’existe pas.
Les personnes physiques ou morales coupables du délit prévu à la présente section encourent également la
peine complémentaire suivante : interdiction de l'activité de prestataire de formation professionnelle
continue au sens de l'article L. 6313-1 du code du travail pour une durée de cinq ans.
Chapitre 3
Statut Notariale
Préambule :
En 1939, le Gouvernement avait entrepris et mené près de leur terme les études nécessaires pour introduire
dans la législation des réformes demandées depuis plusieurs années par les associations de notaires,
d'avoués, d'huissiers, de commissaires-priseurs et d'agréés afin de compléter leur statut professionnel qui
dataient des premières années du XIXème siècle ou qui même, pour les agréés, étaient restés purement
coutumier.
L'autorité de fait, en 1941 et en 1942, publia une série de textes qui réalisa les réformes ainsi envisagées,
mais en les modifiant pour se réserver, tout au moins à titre temporaire, le droit de désigner les représentants
des professions et pour refuser aux officiers ministériels le droit de se grouper en associations
professionnelles. (En 1941 et 1942, pendant que des gens se faisaient massacrés durant la guerre)
Les ordonnances publiées ci-après ont pour objet, conformément aux vœux manifestés par les intéressés, de
valider la réforme ainsi intervenue, mais en recourant à l'élection comme mode unique de désignation, et en
rétablissant le droit d'association. En outre, les différents statuts ont été coordonnés et complétés sur les
points dont l'expérience avait montré la nécessité.
Des décrets en conseil d'État précisent les détails d'application de chacune de ces ordonnances.
LOI n° 2015-990 du 6 août 2015 pour la croissance, l'activité et l'égalité des chances économiques, Loi
promulguée après décision constitutionnelle n°2015-715. Conseil Constitutionnel sans existence légale :
Vu le code de commerce ;
Vu le code des relations entre le public et l'administration, notamment son article L. 112-3 ;
Vu l'ordonnance du 10 septembre 1817 modifiée relative aux avocats au Conseil d'Etat et à la Cour
de cassation ;
La Loi n° 2011-331 du 28 mars 2011 de modernisation des professions judiciaires ou juridiques et certaines
professions réglementées. (Loi sans existence légale)
Toutes les modifications effectuées sur une Ordonnance illégale ne peuvent être prisent en compte.
Chapitre 4
Article 2 :
La seconde phrase du deuxième alinéa de l'article 1er de l'ordonnance n° 45-2592 du 2 novembre 1945
relative au statut des huissiers est remplacée par deux phrases ainsi rédigées
:
« Ils peuvent, commis par justice ou à la requête de particuliers, effectuer des constatations purement
matérielles, exclusives de tout avis sur les conséquences de fait ou de droit qui peuvent en résulter. Sauf en
matière pénale où elles ont valeur de simples renseignements, ces constatations font foi jusqu'à preuve
contraire. »
Article 4 :
I. ― La loi n° 89-462 du 6 juillet 1989tendant à améliorer les rapports locatifs et portant modification de la
loi n° 86-1290 du 23 décembre 1986 est ainsi modifiée :
1° Après l'article 14, il est inséré un article 14-1 ainsi rédigé :
« Art. 14-1.-Lorsque des éléments laissent supposer que le logement est abandonné par ses occupants, le
bailleur peut mettre en demeure le locataire de justifier qu'il occupe le logement. « Cette mise en demeure,
faite par acte d'huissier de justice, peut être contenue dans un des commandements visés aux articles 7 et
24.
« S'il n'a pas été déféré à cette mise en demeure un mois après signification, l'huissier de justice peut
procéder comme il est dit aux premier et deuxième alinéas de l'article 21 de la loi n° 91-650 du 9 juillet
1991 portant réforme des procédures civiles d'exécution pour constater l'état d'abandon du logement.
« Pour établir l'état d'abandon du logement en vue de voir constater par le juge la résiliation du bail,
l'huissier de justice dresse un procès-verbal des opérations. Si le logement lui semble abandonné, ce procès-
verbal contient un inventaire des biens laissés sur place, avec l'indication qu'ils paraissent ou non avoir
valeur marchande.
« La résiliation du bail est constatée par le juge dans des conditions prévues par voie réglementaire. » ;
2° A la seconde phrase du dernier alinéa de l'article 24, après les mots : « aux demandes », sont insérés les
mots : « additionnelles et ».
II.-La seconde phrase de l'article 21-1 de la loi n° 91-650 du 9 juillet 1991 portant réforme des procédures
civiles d'exécution est complétée par les mots : « et pour procéder à la reprise des lieux ».
Vise la Loi 91-650, abrogée le 1 juin 2012
Article 5 :
I. ― L'article 39 de la loi n° 91-650 du 9 juillet 1991 précitée est ainsi rédigé :
« Art. 39.-Sous réserve des dispositions de l'article 6 de la loi n° 51-711 du 7 juin 1951 sur l'obligation, la
coordination et le secret en matière de statistiques, les administrations de l'Etat, des régions, des
départements et des communes, les entreprises concédées ou contrôlées par l'Etat, les régions, les
départements et les communes, les établissements publics ou organismes contrôlés par l'autorité
administrative doivent communiquer à l'huissier de justice chargé de l'exécution, porteur d'un titre
exécutoire, les renseignements qu'ils détiennent permettant de déterminer l'adresse du débiteur, l'identité et
Article 8 :
La section 2 du chapitre Ier de la loi n° 91-650 du 9 juillet 1991 précitée est complétée par un article 12-1
ainsi rédigé :
« Art. 12-1.-Le procureur de la République peut requérir directement la force publique pour faire
exécuter les décisions rendues sur le fondement des instruments internationaux et européens relatives au
déplacement illicite international d'enfants, dans des conditions définies par décret en Conseil d'Etat. »
Vise la Loi 91-650, abrogée.
Article 13 :
A l'article 10 de la loi n° 91-650 du 9 juillet 1991 précitée, les mots : « vente forcée des immeubles »
sont remplacés par les mots : « saisie des immeubles, navires, aéronefs et bateaux de navigation
intérieure d'un tonnage égal ou supérieur à vingt tonnes ». Loi 91-650, abrogée.
Article 14 :
Le deuxième alinéa de l'article 1er de l'ordonnance n° 45-2592 du 2 novembre 1945 relative au statut des
huissiers est complété par une phrase ainsi rédigée :
« Les huissiers de justice peuvent également accomplir les mesures conservatoires après l'ouverture
d'une succession, dans les conditions prévues par le code de procédure civile. » Comme suscité,
l’ordonnance 45-2592 était illégale. Elle est abrogée le 2 Juin 2016
Les articles 15, 16, 17, 18, 19, 20 et 21 vise aussi l’Ordonnance 45-2592
Article 23 :
Après l'article 1er ter de l'ordonnance n° 45-2590 du 2 novembre 1945 relative au statut du notariat, il est
inséré un article 1er quater ainsi rédigé :
« Art. 1er quater.-La formation professionnelle continue est obligatoire pour les notaires en exercice.
« Un décret en Conseil d'Etat détermine la nature et la durée des activités susceptibles d'être validées au
titre de l'obligation de formation professionnelle continue. Le Conseil supérieur du notariat détermine les
modalités selon lesquelles elle s'accomplit. »
Titre V
Titrisation, INSEE, FranceConnect, française des jeux, Loi IEF
Chapitre 1
Titrisation
La titrisation est un processus par lequel un prêteur, tel qu'une banque, reconditionne les prêts qu'il détient
(par exemple des prêts hypothécaires) pour les transformer en titres qui peuvent être vendus à des
investisseurs. Les investisseurs perçoivent alors les revenus générés par les prêts sous-jacents
La titrisation (securitization en anglais) est une technique financière qui consiste à transférer à des
investisseurs des actifs financiers tels que des créances (par exemple des factures émises non soldées, ou des
prêts en cours), en les transformant, par le passage à travers une société ad hoc, en titres financiers émis sur
le marché des capitaux.
Une telle titrisation s'opère en regroupant un portefeuille (c'est-à-dire un lot) de créances de nature similaire
(prêts immobiliers, prêts à la consommation, factures mono-thématique...) que l'on cède alors à une structure
ad hoc (société, fonds ou trust) qui en finance le prix d'achat en plaçant des titres auprès d'investisseurs.
Les titres (obligations, billets de trésorerie...) représentent chacun une fraction du portefeuille de créances
titrisées et donnent le droit aux investisseurs de recevoir les paiements des créances (par exemple quand les
factures sont payées, ou quand les prêts immobiliers versent des mensualités) sous forme d'intérêts et de
remboursement de principal.
La titrisation peut également viser à ne transférer aux investisseurs que le risque financier lié aux actifs
concernés, auquel cas les actifs ne sont pas vendus, mais le risque ou partie du risque transféré grâce à une
titrisation synthétique.
Chapitre 2
INSEE
L'Institut national de la statistique et des études économiques est une direction générale du ministère de
l'Économie et des Finances.
Art. 32. Est créé, au ministère de l'économie nationale, un institut national de la statistique et des études
économiques pour la métropole et la France d'Outre-mer. Cet institut groupera les services des statistiques,
d'études économiques et de documentation du ministère de l'économie nationale, qui seront énumérés par
un règlement d'administration publique. Le directeur de l'institut national est assisté de trois chefs de
service.
La Loi précitée, est promulguée par le gouvernement provisoire, de Facto, Félix Gouin. Gouvernement qui
exerce dans la pratique, la direction et le pouvoir au sein d'un État, sans pourtant bénéficier d'une
reconnaissance populaire ou juridique quelconque. Ce n’est pas un Gouvernement de droit, de ce fait, il
n’avait pas le pouvoir juridique de promulguer cette Loi.
L’INSEE, est une direction du ministère de l’économie et des finances pour gérer les données sur
l’économie et la société française. Ces informations se retrouve dans des répertoires comme le SIRENE
(pour les entreprises) regroupant le SIRET + SIREN et la BRPP (pour les personnes physiques) comprenant
le fichier des électeurs (FE).
L’INSEE est présente sur l’ensemble du territoire français avec une direction générale à Paris et des
directions régionales. Le budget de l’INSEE est financé notamment par l’impôt sur les sociétés, l’impôt
sur le revenu et la TVA.
Comme vous l’avez constaté, l’INSEE, affiliée à la société république française présidence, n’a aucune
existence légale. Elle est financée illégalement par l’argent public, l’argent du peuple pour finir sur les
marchés financiers.
Elle est également l’émetteur de LEI « Legal Entity Identifier » pour les entités commerciales qui souhaitent
effectuer des transactions sur les marchés financiers européens impliquant tout type de titres ou dérivés
(comme des actions, obligations, ETF, FX Forwards, swaps, swaps de taux d’intérêt, etc.)
L’INSEE est le LOU « Local Operating Unit », l’unité opérationnelle locale pour toutes les entreprises
exerçant leur activité commerciale sur le territoire français. Ces dernières doivent obligatoirement passer par
l’INSEE pour est inscrite au registre LEI.
Chapitre 3
FranceConnect
I. – 1. Pour l'application du présent code, on entend par trust l'ensemble des relations juridiques créées
dans le droit d'un Etat autre que la France par une personne qui a la qualité de constituant, par acte entre
vifs ou à cause de mort, en vue d'y placer des biens ou droits, sous le contrôle d'un administrateur, dans
l'intérêt d'un ou de plusieurs bénéficiaires ou pour la réalisation d'un objectif déterminé.
2. Pour l'application du présent titre, on entend par constituant du trust soit la personne physique qui l'a
constitué, soit, lorsqu'il a été constitué par une personne physique agissant à titre professionnel ou par une
personne morale, la personne physique qui y a placé des biens et droits.
II. – 1. La transmission par donation ou succession de biens ou droits placés dans un trust ainsi que des
produits qui y sont capitalisés est, pour la valeur vénale nette des biens, droits ou produits concernés à la
date de la transmission, soumise aux droits de mutation à titre gratuit en fonction du lien de parenté existant
entre le constituant et le bénéficiaire.
2. Dans les cas où la qualification de donation et celle de succession ne s'appliquent pas, les biens, droits ou
produits capitalisés placés dans un trust qui sont transmis aux bénéficiaires au décès du constituant sans
être intégrés à sa succession ou qui restent dans le trust après le décès du constituant sont soumis aux droits
de mutation par décès dans les conditions suivantes :
a) Si, à la date du décès, la part des biens, droits ou produits capitalisés qui est due à un bénéficiaire est
déterminée, cette part est soumise aux droits de mutation par décès selon le lien de parenté entre le
constituant et le bénéficiaire ;
b) Si, à la date du décès, une part déterminée des biens, droits ou produits capitalisés est due globalement à
des descendants du constituant, cette part est soumise à des droits de mutation à titre gratuit par décès au
taux applicable à la dernière tranche du tableau I de l'article 777 ;
c) La valeur des biens, droits ou produits capitalisés placés dans le trust, nette des parts mentionnées aux a
et b du présent 2, est soumise à des droits de mutation à titre gratuit par décès au taux applicable à la
dernière tranche du tableau III du même article 777.
Sans préjudice de l'application de l'article 784 à ces droits ainsi qu'aux droits de mutation à titre gratuit
mentionnés au 1 du présent II en cas de transmission par donation, la perception des droits de mutation par
décès mentionnés au même 1 et au a du présent 2 est effectuée en ajoutant la valeur des biens, droits et
produits qu'ils imposent à celle des autres biens compris dans la déclaration de succession pour
l'application d'un tarif progressif et pour le calcul des abattements édictés par l'article 779.
Les droits de mutation à titre gratuit mentionnés aux b et c du présent 2 sont acquittés et versés au
comptable public compétent par l'administrateur du trust dans les délais prévus à l'article 641, à compter
du décès du constituant. A défaut et dans le cas où l'administrateur du trust est soumis à la loi d'un Etat ou
territoire non coopératif au sens de l'article 238-0 A ou n'ayant pas conclu avec la France une convention
d'assistance mutuelle en matière de recouvrement, les bénéficiaires du trust sont solidairement responsables
du paiement des droits.
Par exception, lorsque l'administrateur du trust est soumis à la loi d'un Etat ou territoire non coopératif au
sens de l'article 238-0 A autre que ceux mentionnés au 2° du 2 bis du même article 238-0 A ou lorsque le
trust a été constitué après le 11 mai 2011 et que, au moment de la constitution du trust, le constituant était
fiscalement domicilié en France au sens de l'article 4 B, les droits de donation et les droits de mutation par
décès sont dus au taux applicable à la dernière tranche du tableau III de l'article 777.
Dans le « 1 », on entend par trust l’ensemble des relations juridiques…Cette définition reprend quasiment
mots pour mots l’article 2 de la Convention de la Haye du 1er juillet 1985 relative à la loi applicable au
trust et à sa reconnaissance, à laquelle la France n’est pas partie, à l’exception du fait que le terme
« administrateur » a été remplacé par celui de « trustee ».
Le trust est un mécanisme interdit par la loi française. Il n'est donc pas possible de créer de trust en
France. La mise en place de FranceConnect est réalisée par un arrêté du 8 novembre 2018 par la Direction
interministérielle du numérique (SIREN :130 025 265), Non inscrite au R.C.S mais enregistrée au DUN
AND BRADSTREET, entreprise Américaine, donc sur les marchés financiers.
Chapitre 4
Chapitre 5
Les Nouvelles dispositions mise en place par la Loi 2021-1109 du 24 aout 2021 et son article 49 sont
Nulles et non applicables.
Cette Loi est Nulle pourquoi ?
Promulguée après décision constitutionnelle n°2021-823.
LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL A ÉTÉ SAISI, dans les conditions prévues au deuxième alinéa de
l'article 61 de la Constitution.
Au vu des textes suivants :
Les entités juridiques qui souhaitent effectuer des transactions sur les marchés financiers européens
impliquant tout type de titres ou dérivés (comme des actions, obligations, ETF, FX Forwards, swaps, swaps
de taux d’intérêt, etc.) doivent s’enregistrer et disposer d’un numéro LEI…En bref, si elles souhaitent
acheter ou vendre des titres ou des obligations avec une société, elles doivent posséder un Legal Entity
Identifier (Identifiant d’Entité Juridique).
SENAT
Siren : 110000023
N° Duns : 383 278 066
N° LEI : 969500DV55FC0KFPXG87
Non inscrit au RCS
Date de création de l’entreprise : 08/01/1959. Le jour de la prise de pouvoir de Charles de Gaulle
ASSEMBLÉE NATIONALE
Siren : 110000015
N° Duns : 579 004 631
Non inscrit au RCS
Date de création de l’entreprise : 08/01/1959. Le jour de la prise de pouvoir de Charles de Gaulle
MINISTERE DE L'INTERIEUR
CONSEIL D’ETAT
Siren : 110 000 270
N° DUNS : 579 004 714
Non inscrit au RCS
CONSEIL CONSTITUTIONNEL
Siren : 110000049
N° DUNS : 579 004 656
Non inscrit au RCS
Date de création de l’entreprise : 08/01/1959. Le jour de la prise de pouvoir de Charles de Gaulle
Toutes les entreprises DIRECTION DEPARTEMENTALE DES FINANCES PUBLIQUES ont un numéro
de Siren. Elles ne sont pas enregistrées au RCS en France mais référencées au Dun et Bradstreet.
Impôts, TVA, taxes, sur les marchés financiers uniquement pour les besoins
personnels de ces chefs d’entreprises, mais sans retour pour le peuple.
Nos « POLICES PUBLIQUES » sont des entreprises avec un numéro de Siren, non inscrites au RCS
mais référencée en Amérique au Dun et Bradstreet.
https://www.infogreffe.fr/recherche-entreprise-dirigeant/resultats-de-
recherche?recherche=Entreprises&dirigeantPage=0&dirigeantPageSize=10&phrase=DIRECTION
DEPARTEMENTALE DE LA SECURITE PUBLIQUE
Les COMMUNES DE FRANCE, les PREFECTURES DE REGIONS sont des entreprises privées non
inscrites au RCS mais référencées au Dun et Bradstreet en Amérique.
Exemple :
VILLE DE PARIS
Les URSSAF, instituées en vue de répondre à une mission exclusivement sociale fondée sur le principe de
la solidarité nationale et dépourvue de tout but lucratif, ne constituent pas des entreprises au sens des
règles européennes de la concurrence.
L’Agence Centrale des Organismes de Sécurité Sociale ou ACOSS, nouvellement appelé URSSAF
Caisse nationale.
Que font les cotisations sociales à but non lucratif, par le peuple et pour le
peuple, sur les marchés financiers ?
Argent détourné par milliard et confirmé par la cour des comptes, sans reversement à la sécurité
sociale…un vol d’argent du peuple depuis des décennies.
Les tribunaux
« Les magistrats du parquet sont placés sous la direction et le contrôle de leurs chefs hiérarchiques et sous
l'autorité du garde des sceaux, ministre de la justice. A l'audience, leur parole est libre. » (Article 5,
Ordonnance 58-1270 statut de la magistrature)
L’Ordonnance précitée est promulguée par Charles de Gaulle en tant que Président du conseil des
ministres. Ordonnances non conformes aux articles 13 et 38 de la Constitution, elle-même violée par la
non-séparation des pouvoirs.
Toutes les cours d’appel, les cours de cassation, sont également des
entreprises privées, non enregistrées au RCS, mais inscrites en Amérique au
Dun et Bradstreet.
Les magistrats ne sont que des employés de sociétés privées étrangères.
Titre VII
Droit de vivre : par le peuple, pour le peuple
A/ Présentation générale :
J’expose ici l’idée du premier des droits : le « Droit de vivre ». Il répond aux 2 besoins essentiels pour lesquels
les humains s’entretuent encore, au nom de partis politiques qui les opposent pour leurs propres intérêts
communs :
- La liberté dont l’usage légal doit répondre à la définition de l’échange, libre par nature, bienveillant
par définition, responsable par obligation. L’échange renvoie chacun face à l’usage qu’il fait de sa liberté
face à l’autre, lequel est libre d’échanger ou non, puisqu’il est en sécurité matérielle : la violence du plus
fort n’a pas de prise. La liberté est la partie d’orientation politique à droite, où le partenariat (à chaque
fois qu’il peut se substituer au salariat) fondé sur un objectif privé commun, permet de conjuguer liberté
et sécurité dans un climat de confiance et d’intérêts mutuels qu’un vote viendra rééquilibrer chaque
année.
C’est un équilibre à trouver et à maintenir par une remise à plat publique des comptes et des conséquences
sociales chaque année, avant le vote par référendum du montant pour l’année suivante.
Le Droit de Vivre a d’autres appellations : salaire de base, revenu universel, revenu de sécurité. Universel,
il deviendra le pilier de la paix mondiale, objectif espéré des peuples mais pas celui des gouvernements au
service des financiers apatrides actuels.
Définition : Le « Droit de Vivre » est une quantité d’argent versée à vie par une communauté
politique à tous ses membres, sur une base individuelle et sans conditions.
Le montant correspond à ce qui parait nécessaire pour assurer à chacun le montant vital indispensable à ses
besoins minimums de confort physique, nourriture, logement, santé, et déplacements. Le montant constituera
la sécurité physique et matérielle identique pour tous les citoyens, hormis les personnes en situations de
fragilité nécessitant des aides particulières plus importantes de la communauté. Le principe retenu dans les
essais réalisés un peu partout dans le monde consiste à verser ce montant à partir de l’âge adulte.
Cependant, les enfants ouvriraient également à leurs parents un droit à une prestation complémentaire
correspondant aux critères de vie de l’époque qui peut être variable avec l’âge. Il appartient aux parents qui
choisissent d’avoir des enfants d’assumer ce choix personnel. Le confort supplémentaire et les désirs
particuliers que nous pouvons espérer pour nous-mêmes et nos enfants, relèverait de la responsabilité et des
références de « qualité de vie » définie par chacun et à sa charge.
La responsabilité d’avoir des enfants face à un monde fini, aux ressources limitées (aujourd’hui, …peut-être
illimitées demain) peut amener à poser la question du nombre d’enfants pris en charge par la communauté,
nombre d’enfants aidés qui pourrait être limité si l’intérêt général indique que cette charge peut être
dangereuse pour l’avenir de la planète, donc également dangereuse pour l’avenir des enfants que nous
prétendons aimer.
Pour que le Droit de Vivre soit efficace en termes de réussite sociale et d’amélioration de tous les problèmes
évoqués, son montant doit être suffisant. Son financement peut et doit être assumé uniquement par la
suppression des gaspillages, des niches fiscales et des privilèges improductifs qui, depuis des décennies,
nourrissent tous les racistes dissimulés derrière leurs droits spéciaux et qui organisent l’insécurité de tous les
autres. Ils regardent leurs congénères s’agiter sous les charges des impôts, taxes et cotisations, sans
comprendre que l’effondrement de la société qui les protégeait va les emporter d’autant plus violemment
qu’ils tomberont de plus haut. En cas de chute générale, leur niaiserie d’obédience raciste et sournoise, autant
que leurs certitudes de supériorité en feraient les cibles préférées des violences.
Afin de poser la réflexion sur du concret, posons des repères. Faisons des projections sur des montants de 800
à 1500 euros par mois comprenant ou non le coût du maintien de la santé, qui viendrait progressivement en
C’est une manière adroite de ramener le concept de Droit omniprésent et psychorigide à sa juste place. C’est
une réponse à la quasi-totalité des désordres actuels par le principe de la Justice appliquée préventivement,
avant que des lois aberrantes et illégales n’aient produit des désordres... que le droit n’a pas les moyens de
résoudre parce que c’est lui qui les provoque et les organise au moyen de privilèges illégaux.
Le Droit de Vivre est la première réponse LEGITIME que peut fournir le concept de Droit qui donne
un pouvoir, illégalement débarrassé du Devoir par des pouvoirs corrompus.
C’est la seule voie qui soit légitime et légale puisqu’elle est la raison d’être de la LOI !
Le Droit de vivre, c’est une remise en ordre de de tout ce qui a été détruit ou ignoré :
- C’est LA réponse politique au racisme et à la violence des systèmes politico-financiers établis actuellement.
- C’est la réponse à la discrimination organisée contre des catégories de Français authentiques, productifs et
cotisants, par d’autres qui ont trahi la République, la Constitution et sa légitimité.
- C’est la concitoyenneté enfin effective de l’ensemble des Français actuellement divisés par des droits
opposés.
- C’est la Justice naturelle qui se débarrasse de dizaines de milliers de règles aberrantes et contreproductives,
d’un système qui vit grassement de privilèges et de trahisons de la DDHC. En effet, ce sont des provocations
de l’Etat qui créent, par des injustices sournoises et d’autant plus violentes et perfides qu’elles sont légalisées,
l’essentiel des violences de la délinquance civile qu’elle nous désigne pour justifier la nécessité de la force
publique ! Violence publique qu’ils retournent contre le peuple qui la finance.
- C’est la fin de la délinquance, telle qu’elle est organisée politiquement comme moyen efficace de dictature,
de déstabilisation de la civilisation et de surenchère de lois liberticides. C’est la possibilité de lutter enfin
efficacement contre quelques formes résiduelles de délinquance individuelle avec des soins adaptés.
- C’est la libération d’un esclavagisme perfectionné version raciste, qui a sournoisement progressé depuis la
2ème guerre mondiale et nous amène à la 3ème, sournoise et au détriment de l’avenir de tous.
- C’est la suppression de violences multiples produisant des morts prématurées par la légalisation de
privilèges catégoriels, contre le peuple ainsi divisé par des droits divergents.
C’est la base enfin posée d’une démocratie réelle, directe où la voix d’un citoyen et son vote ne serviront
plus à légitimer le système criminel qui le dépouille et l’écrase.
Car en effet, quand sont réunies les conditions permettant de choisir librement le bien, la plupart des
Humains s’y engouffrent puisque c’est leur « nature ». Choisir le bien est la plus réaliste et la plus sûre des
Le Conseil Européen a par ailleurs reconnu l’existence d’un « droit fondamental de la personne à des
ressources et prestations suffisantes pour vivre conformément à la dignité humaine » ! …Puisqu’ils ont
commencé à appliquer généreusement à leur propre personne ce niveau de dignité par des droits spéciaux, il
semble qu’ils soient donc conscients de sa nécessité pour les autres, sauf mépris typiquement raciste, une fois
de plus ! Mais ils ont le sentiment d’avoir déjà fait un tel effort en écrivant un texte aussi engagé qu’ils doivent
se reposer avant de donner une suite à leur grande mansuétude pour des « inférieurs ». Comme tous les
individus velléitaires et irresponsables, ils ont l’impression d’avoir suffisamment agi en exprimant des bonnes
« intentions », qui déjà leur écorche la langue pourtant habituée à tous les mensonges.
Et puis, ils sont peu motivés : que resterait-il de leur dignité sociale faite d’apparences, d’orgueil
personnel, des honneurs de la Cour et de leur pouvoir fondé sur une supériorité affirmée par eux-
mêmes, si tout le monde bénéficiait des privilèges qui leur sont réservés ?
Que resterait-il de leur haute classification sociale d’essence raciste, s’ils n’entretenaient plus chez autrui la
misère qui les valorisent ? S’ils supprimaient la cause des problèmes dont ils vivent ?... par exemple les radars
qui permettent l’exploitation, la punition et la culpabilisation les exclus de l’égalité de droits, à produire
toujours plus et donc aller toujours plus vite sur la route, pour améliorer leur propre rendement. Il s’agit de
survivre aux perversions sans fin de ceux qui encaissent les recettes et spéculent en bourse sur la capacité de
leurs victimes à produire encore plus pour survivre : ils pratiquent une « chasse à l’homme », tout en traitant
leurs victimes « d’assassins de la route », pour justifier leurs propres violences et le harcèlement administratif
rodé à l’usage de la violence illégitime depuis des décennies.
Et là encore, le « Droit de Vivre » assuré à égalité pour tous par la communauté, permet d’établir une
sécurité partagée d’intérêt général, qui deviendra un sentiment de paix et de confiance dans le temps
et dans l’espace : oui, dans ces conditions, la vitesse sur la route n’est plus un moyen de survie.
Au niveau de la France, le Droit de Vivre constitue une excellente alternative commune aux droits sociaux,
constitués actuellement de multiples niches, comme la finance a les siennes, en surmultiplié. Tout le système
de distribution sociale serait réduit aux cas graves récurrents ou accidentels. Finis les dossiers en 6
exemplaires pour obtenir ce droit fondamental naturel confisqué par un commerce piteux du vivant qui permet
toutes les dérives.
On peut trouver sur Internet diverses analyses et expérimentations concernant ce sujet. Il a déjà été étudié,
par exemple il y a un siècle, pour répondre aux problèmes posés par les alternances de hausses et de baisses
de l’argent. Au début des années 1920, le « crédit social » ou « dividende universel » proposait de répondre
à la création permanente de richesses collectives et de créer la monnaie correspondante afin de la répartir
entre tous les citoyens… Depuis, et dans diverses parties du monde, divers projets plus récents ont permis
d’expérimenter le concept d’un revenu pour tous sans conditions. Il s’avère procurer de nombreux avantages
directs et indirects. Cependant, aucun des essais n’a pu révéler les nombreux avantages qu’on aurait en France,
championne des bonnes intentions dilapidées en gaspillage social et petites magouilles, en la débarrassant de
l’inutile.
Nous devons refaire confiance à l’individu qui n’a pas besoin d’un « kontrôleur » attaché à ses basques pour
savoir ce qui lui revient et ce qu’il prend à un autre… mais à condition qu’il ne soit pas réduit à un rôle d’idiot
utile pour légitimer par son seul droit de vote, le système qui l’accable en obérant une caution sur son
travail et son avenir.
Tant qu’existeront des frontières, il sera nécessaire également de réserver ce Droit de Vivre à ceux qui sont
citoyens depuis un nombre d’années minimum à définir, afin de ne pas constituer une pompe aspirante pour
Le Droit de Vivre constitue une sécurité matérielle, individuelle et minimum nécessaire à l’expression de sa
propre liberté. Le Droit de Vivre donne un sens humain au progrès matérialiste, car il crée la liberté là où
elle a rarement existé : il assure les besoins fondamentaux pour tous. Il permet de réévaluer à la hausse la
marge du travail produit, tout en retrouvant une compétitivité à l’exportation et des conditions de concurrence
loyales.
Le Droit de Vivre réajuste la valeur réelle du nécessaire et relativise celle du superflu qui reste fréquemment
une compensation passagère.
Le Droit de Vivre devient le paiement réel d’actes sociaux d’intérêt personnel et général qui ne sont
actuellement pas rémunérés :
- faire des études peut être envisagé à tout âge,
- prendre les années nécessaires à élever ses enfants redevient naturel,
- ou monter des projets peu rentables mais qui sont satisfaisants socialement,
- ou exprimer la part de l’artiste qui est en chacun de nous,
- voire s’investir dans une carrière artistique à la rentabilité aléatoire,
- se comporter en adulte responsable, en partenaire et non en adversaire, face à un employeur qui a autant
besoin de nous que nous avons besoin de lui : partager un objectif d’intérêt commun dans un projet rendu
commun. Et oublier la grève comme seul moyen d’obtenir un droit mérité ou un vil privilège au pays de
l’égalité de droits, ou comme moyen d’obtenir son simple droit de vivre en « sollicitant la haute
bienveillance » de nos faux représentants qui vivent si bien de nous en priver. …Et bien d’autres choix
possibles d’épanouissement, dont chacun enrichit au terme le patrimoine commun, en libérant les capacités
créatives et spirituelles encore inconnues de l’être humain. Ceci reste autant de choix qui ne peuvent être
contrecarrés par l’avis d’un « supérieur » politique, ou pire financier, qui ne vous connait pas, mais prétend
savoir mieux que vous ce que vous pensez et souhaitez.
Le Droit de Vivre est un moyen magnifique de réunir :
- ce qui est sacré pour la gauche, l’argent partagé comme outil de vie sociale, au service des valeurs
humaines et de la sécurité de tous,
- et ce qui est sacré pour la droite, la liberté et l’argent selon un mérite démontré dans un contexte de
liberté créative.
Le Droit de Vivre peut redonner au social tout son sens en réhabilitant la dignité de chacun : chacun touche
l’argent social à égalité avec les autres, donc sans voler personne ! Ceci sans avoir besoin de déposer des
dossiers en 36 exemplaires, à genoux devant des racistes stupides qui exploitent l’inférieur en droits et le
maintiennent la tête sous l’eau, juste au niveau nécessaire pour l’humilier, et jusqu’à ce qu’il reconnaisse sa
soumission par huissiers (illégaux) interposés. Le Droit de Vivre met fin à la torture psychique qu’exercent
les collabos utiles au système qui voient la virgule qui manque dans un dossier, mais pas la violence,
l’indignité et le crime général auquel ils participent ; l’inverse de ce pour quoi ils sont rémunérés : un service
public ! …
Notons également que la première réaction face au Droit de Vivre consiste à dire : « Pour ma part, je garderai
mon travail, mais beaucoup de personnes ne voudront plus travailler ! ». En réalité, les expériences
démontrent que quand le travail n’est plus contraint et forcé, mais agréable et épanouissant parce que choisi,
Le Droit de Vivre annule les vraies autant que les fausses justifications des nombreuses violences et des
crimes qui sont organisés « au nom de » la justice, ou d’un idéal, ou d’un dogme, religieux ou laïc, individuel
ou en groupe, ou au nom d’un système officiel qui n’a de républicain que le nom.
Il rétablit la liberté de pensée en faisant disparaitre la servitude organisée par la force physique de la loi et sa
propre violence légitimée par les situations violentes qu’elle a engendrées. La servitude des catégories exclues
de l’égalité de droits, n’est jamais « volontaire » : des privilégiés la rendent incontournable au point qu’elle
parait être choisie librement. Mais elle est choisie par nécessité précisément parce qu’il n’y a pas de choix,
donc pas de libertés.
Il rétablit donc la liberté, ses limites par l’égalité de droits, puis la fraternité propre à la famille Fraternité
qui découle naturellement dans la famille agrandie d’une communauté de droits, de l’égalité de droits et des
valeurs partagées. Ce qui n’est pas le cas quand ladite « Education » à la fraternité « Nationale » est entre les
mains de traitres aux valeurs de la République qui hiérarchisent les « frères » citoyens en « catégories de
droits ». Eux se placent en racistes assumés dans la première, puisque c’est le but des divisions sans lesquelles
ils disparaissent des écrans.
Nous pouvons sortir de la préhistoire politique et de sa barbarie. Nous pouvons sortir définitivement de la
pauvreté, tout en permettant à chacun de produire le meilleur de lui-même, ceci à la hauteur des ambitions
qu’il juge raisonnables, en conscience de sa propre vie intimement imbriquée dans celle de tous par les
circonstances extérieures.
En conséquence directe ou indirecte, ce droit fondamental à la vie partagée, a de nombreux points positifs
essentiels par la complémentarité des différences :
- Fin du stress sous les contraintes, et choix possible du stress positif du compétiteur face à lui-même, pour le
plaisir et non par rivalité.
- Baisse importante des dépenses maladies dont beaucoup (quasiment toutes) n’étaient que la conséquence de
la dégradation des conditions de vie et du malheur moral organisé à des fins de servitudes.
- Baisse générale des prélèvements obligatoires d’assurances qui couvrent pour une part essentielle des
accidents liés aux stress et aux conditions totalement perturbées de nos vies, dont la maladie, mais également
l’accident au travail ou l’accident sur la route.
- Reprise en main et maitrise des facteurs de destruction de la planète par la pollution et la course à la
consommation.
Comme outil de gestion politique, le Droit de Vivre aura comme conséquences divers changements
fondamentaux en politique :
- Tout pouvoir sur autrui sera accompagné de la « responsabilité personnelle » des conséquences : fuir sa
responsabilité sera perçu comme une malhonnêteté et une occasion perdue d’apprendre.
- Mentir deviendra ridicule !
- La démocratie réelle produira la suppression de la montée permanente de la violence en cours et sa rapide
diminution, avec en conséquence des coûts réduits du budget de l’Etat, de la justice, de la gendarmerie, de la
police et à terme de l’armée. De l’armée, essentiellement par la baisse du cout des armes, quand le Droit de
Vivre sera universel. Il deviendra un facteur de paix entre pays de cultures diversifiées, différents mais
complémentaires, comme dans les relations individuelles.
- Les métiers rémunérés pour des actes (stériles mais couteux), de répressions, pourront être inversés. Ils
seront rémunérés selon des objectifs positifs d’améliorations mesurables : ils apporteront des solutions aux
problèmes ! Ce qui était les objectifs ayant justifié leur création.
- L’affranchissement général de l’esclavage économique sur bases de justice est alors effectif : administration
réduite et simplification administrative assurée puisque toutes les institutions ne seront plus des centres de
contrainte, mais d’accompagnement. Des lieux au service des citoyens et non au service de groupes cyniques
qui ont besoin de la violence pour imposer leurs objectifs pervers : multiplier les problèmes et l’insécurité
pour justifier la coercition et l’extorsion de fonds par les impôts.
La retraite de base serait désormais constituée du Droit de Vivre. Son montant sera déjà beaucoup plus
élevé que toutes les petites retraites actuelles, avec tous les artifices imaginés pour tenter de camoufler les
privilèges de ceux qui n’ont jamais cotisé autrement que par les impôts. C’est-à-dire en contraignant les
autres à cotiser toute leur vie pour eux ! Les mêmes qui plus est, ponctionnent les économies des cotisants
arrivant à la retraite. Les mêmes encore qui pratiquent des augmentations de retraites par pourcentages qui
accroissent les écarts et les injustices.
Tous ces crimes sont la conséquence directe du non-respect de l’égalité de droits et de la suppression de la
responsabilité des pouvoirs, par la suppression de leurs Devoirs. Il sera nécessaire de mettre les comptes à
plat pour observer les dérives collectives mais aussi individuelles, des personnes qui ont abusé du système, et
la manière de créer une juste réparation. L’avenir des Caisses de retraite peut être totalement reprofilé pour
revenir à un service d’intérêt général par le retour au Droit de Vivre. Il rétablira une sécurité pour les
nouvelles générations qui actuellement cotisent à des caisses, qui se vident au fur et à mesure que leur retraite
s’approche. La retraite étant un revenu assuré par la communauté à travers une contrainte, c’est donc une
sécurité à égalité pour tous au même titre que le Droit de Vivre.
La répartition entre un Droit de Vivre et un complément en termes de retraite, est un programme à construire
sur des bases totalement nouvelles et beaucoup plus claires. Et surtout enfin légitimes :
- Entraide locale encouragée, suite à un versement partiel en argent local pour dépenses locales. Argent non
« expatriable » (monnaie spécifique ?), échanges commerciaux entre particuliers : ceci a comme effet un suivi
et une diminution des mensonges et tromperies sur la qualité des produits (l’anonymat est un facteur
d’irresponsabilité) et reconstitution de rapports d’estime, de gratuité, de services et de toutes formes libres
d’expression individuelle de l’intérêt commun.
- Création d’associations où la gratuité du temps est importante et ne nécessite plus, grâce au Droit de Vivre,
de sacrifices ! …ou de subventions qui permettent d’arroser les « systèmes » politiques.
- Utilisation du Droit de Vivre pour influencer les naissances et la population générale en fonction d’un
rapport qualité de vie / pollution, par une diminution du nombre d’enfants pris en charge par le Droit de
Vivre jusqu’à leur majorité. Exemple : la partie du Droit de Vivre réservée aux enfants peut être plus ou
moins dégressive à partir du 3ème enfant, et ce jusqu’à sa majorité.
- Le Droit de Vivre doit rendre au travail sa véritable valeur et permettre une saine liberté entre l’offre et
la demande par un véritable échange, selon un intérêt commun et un commerce délivré de la spéculation
boursière et des paradis fiscaux.
- Il doit faire disparaitre aussi cette notion lourde de dépendances et de hiérarchie contenue dans le mot
« employé », pour le remplacer par une culture du partenariat : travailler ensemble pour l’intérêt commun et
faire au moins sa part, pour l’honneur et la dignité.
- Ceci doit rendre la liberté à chacun de faire l’expérience de sa vie, de tirer ses propres conclusions en toute
indépendance.
- Une loi à retenir « d’abord ne pas nuire », compréhensible de tous, malgré l’idéologie du diplôme qui
s’oppose publiquement aux Droits de l’Homme et aux valeurs de la République.
- Ceci permet d’éliminer toutes les formes de racisme, liées à des « catégories » de droits, artificiellement
créées, dont celles qui, dans la réalité, en assument actuellement les conséquences criminelles, telles les
petites retraites, les chômeurs fabriqués à la chaine avec, des solutions/réparations qui doublent ou triplent la
Et puis : Si on supprime les gaspillages que constituent les privilèges distribués, on supprime également les
outils et l’infrastructure qui ont servi à cette distribution. On supprime les couts médicaux exorbitants
consécutifs aux violences subies, on abaisse ou on supprime les cotisations des assurances qui sont destinées
à compenser les effets directs et indirects des désordres provoqués. Au terme, la France retrouvera sa place
dans le marché mondial puisqu’elle produira à un cout raisonnable des produits de qualité.
Au vu de tous ces avantages du Droit de Vivre, directement liés de près à la notion de justice, on comprend
que ses détracteurs craignent de perdre le pouvoir malsain qu’ils ont tiré des injustices pour fomenter leurs
vols et leurs violences.
Le Droit de Vivre signifie la fin du racisme d’Etat et la mise en place d’une démocratie qui n’a encore
jamais existé.
Le financement
Le financement du Droit de Vivre parait être pour beaucoup la pierre d’achoppement : les montants, dès lors
qu’ils sont évalués en conservant tout ou partie des perversions du système actuel, sont effectivement difficiles
à financer à un niveau suffisant pour obtenir tous les résultats positifs qu’on peut en attendre.
La question des besoins actuels en assurances est amplement surfaites par les calculs privés des systèmes
financiers et pharmaceutiques qui surfent sur la peur de la maladie et font de la vie un produit commercial
et un marché financier, à gérer selon l’offre qui organise préalablement la demande !
Toute la pollution physique, psychique et morale est bénéfique à la servitude générale grâce à la maladie
qu’elle génère, ceci grâce à l’inexistence des politiques pourtant présents pour la paye, qu’ils décident eux-
mêmes arbitrairement, mais inexistants pour la responsabilité de la pollution qu’ils légalisent.
La réorganisation sociale du pays pour en faire une véritable communauté d’intérêts communs (ceci
en supprimant privilèges et discriminations), suffit à financer un Droit de Vivre déjà conséquent, qui en
attendant cette issue humaine, construit des fortunes mondiales en récompense d’un Crime contre
l’Humanité particulièrement réussi.
Rappelons que la valeur du « patrimoine commun » est constituée depuis des milliards d’années et
comprend le corps vivant, la pensée organisée, la parole ainsi que toutes les techniques élaborées qui
nous permettent aujourd’hui de produire les biens et les services que nous faisons payer. Le patrimoine
commun constitue la base et la part la plus importante de la valeur des biens ou des services que nous
fabriquons et vendons, ou de la nouvelle invention que nous exploitons. Au point que rien dans notre
quotidien actuel n’existe sans le patrimoine commun qu’ont élaboré ceux qui nous ont précédés.
Le RB / Droit de vivre pour tous est une reconnaissance des efforts passés et un partage des valeurs que
permet ce patrimoine qui appartient à tous.
Que des individus, à travers les multinationales, s’approprient ce patrimoine et que des politiciens se
laissent abuser et participent à la légalisation de telles méthodes barbares les désignent comme
responsables des conséquences.