mur

mur

n.m. [ lat. murus ]
1. Ouvrage vertical en maçonnerie, qui sert à enclore un espace, à constituer les côtés d'une maison : Les murs de pierres délimitent ses terres. Il a accroché plusieurs tableaux sur les murs du salon cloison
2. Fig. Ce qui constitue un obstacle ; ce qui isole, sépare : Les responsables de la sécurité formaient un mur entre le public et le chanteur cordon, écran fossé
3. Paroi naturelle ; pente abrupte : Skieuse qui descend un mur.
4. Au football, ligne de joueurs placés entre le but et le tireur d'un coup franc.
5. En informatique, page personnelle d'un membre d'un réseau social.
Aller dans le mur ou droit dans le mur,
Fam. courir à l'échec, au désastre.
Entre quatre murs,
enfermé, à l'intérieur d'un bâtiment, d'une pièce ; en prison.
Être au pied du mur,
être mis face à ses responsabilités.
Être le dos au mur,
ne plus pouvoir reculer, être obligé de faire front.
Faire le mur,
Fam. sortir sans permission (notamm. d'une caserne, d'un internat), en escaladant un mur.
Mur d'escalade ou mur artificiel,
paroi de béton, de bois aménagée pour la pratique de la varappe.
Mur du son,
ensemble des phénomènes aérodynamiques qui se produisent lorsqu'un objet volant se déplace dans l'atmosphère à une vitesse voisine de celle du son.
Se cogner ou se taper la tête contre les murs,
désespérer de parvenir à une solution.

murs

n.m. pl.
1. Limites d'une ville, d'un immeuble : Les murs de Saint-Malo enceinte, muraille, rempart
2. Local à usage commercial indépendant du fonds de commerce : Elle est propriétaire des murs.
Dans nos murs,
dans notre ville, dans notre entreprise : Le président est dans nos murs.
Être dans ses murs,
être propriétaire de l'appartement, de la maison que l'on habite.
Maxipoche 2014 © Larousse 2013

MUR

(mur) s. m.
Ouvrage de maçonnerie dressé et portant en terre sur des fondements, ou sur un plancher artificiel. Un mur solide. Le mur s'écroula.
Ainsi tel autrefois qu'on vit avec Faret Charbonner de ses vers les murs d'un cabaret.... [BOILEAU, Art poét. I]
Vous êtes en des lieux soumis à sa puissance [de Néron] ; Ces murs mêmes, seigneur, peuvent avoir des yeux [RAC., Brit. II, 6]
Des murs de ce palais ouvrez-lui la barrière [ID., Bajaz. I, 2]
Et jusqu'au pied des murs que la mer vient laver [ID., ib. V, 11]
Déjà leurs mains [des Cosaques] avides de pillage s'étendaient, quand tout à coup tous sont détruits, écrasés, lancés dans les airs avec ces murs [du Kremlin] qu'ils venaient dépouiller [SÉGUR, Hist. de Nap. IX, 6]
Ne laisser que les murs, se dit de celui qui emporte tout ce qui est dans une maison, dans un appartement.
....La nuit passée, un nombre de bandits N'a laissé que les murs dans le prochain logis [REGNARD, Fol. amour. I, 3]
Entre quatre murs, dans un logis non meublé.
Elle vit sous un toit entre quatre murs tout dépouillés [DIDER., Père de famille, I, 7]
Entre quatre murs, se dit aussi pour en prison. On l'a mis entre quatre murs. Fig. Être au pied d'un mur sans échelle, manquer une affaire, une entreprise pour ne s'être pas pourvu de ce qui était nécessaire. Fig. Mettre un homme au pied du mur, le forcer à prendre un parti, ou bien le réduire à ne pouvoir rien répondre.
Ils sont au pied du mur par notre concert [BOSSUET, Lett. quiét. 288]
Le procureur général continuait ses difficultés, et, lorsqu'on croyait l'avoir mis au pied du mur, il en inventait de nouvelles [SAINT-SIMON, 280, 58]
Par plaisanterie, on dit qu'un mur crève de rire, pour exprimer qu'il est crevassé, ruineux. Il vaudrait autant se battre la tête contre un mur, c'est se donner la tête contre un mur, c'est donner de la tête contre un mur, se dit pour exprimer qu'on s'efforce inutilement. Vous tirerez aussitôt, vous tirerez plutôt de l'huile d'un mur, se dit à celui qui veut avoir de l'argent d'un avare, ou obtenir quelque chose d'un homme dur. Cet homme tirerait de l'huile d'un mur, par son adresse et par son industrie il tirerait de l'argent, des secours, d'où les autres n'en pourraient jamais tirer.
Gros mur, un des principaux murs sur lesquels porte tout le bâtiment. Mur de face, gros mur qui est à la face du bâtiment. Mur latéral, celui qui forme l'un des côtés. Mur de pignon, mur qui s'élève jusqu'au-dessous du toit, le supporte et en a la forme. Mur de refend, voy. REFEND. Mur de parpaing, mur formé de pierres qui en traversent l'épaisseur. Mur de clôture, mur qui enferme les cours, les jardins, les parcs, etc. Mur d'appui, celui qui n'est qu'à la hauteur d'un mètre ou environ. Murs d'un parc, d'un jardin, les murs qui enferment un parc, un jardin. Mur de terrasse, mur qui retient les terres d'une terrasse, d'une plate-forme, d'un boulevard. Mur de dossier, celui qui s'élève au-dessus d'un toit et auquel sont adossés des tuyaux de cheminée. Aile de mur, partie d'un mur de dossier qui excède l'emplacement qu'occupent les tuyaux de cheminée, et qui a ordinairement la forme d'un trapèze Mur bouclé ou soufflé, celui dans lequel le parement est détaché de la masse. Mur en ailes, mur qui sert à arc-bouter un mur de face ou un pignon. Mur en l'ait, mur qui porte à faux. Mur en décharge, mur dont le poids est allégé par des arcades. Mur de douve, mur intérieur d'un réservoir. Mur planté, mur fondé sur pilotis ou sur une grille de charpente. Mur mitoyen, voy. MITOYEN.
Murs d'une ville, ou, absolument, les murs, les murs qui entourent une ville.
Il est doux de revoir les murs de la patrie [CORN., Sertor. III, 2]
Dans les murs, hors des murs, tout parle de sa gloire [ID., Hor. V, 3]
Et de Jérusalem l'herbe cache les murs ! [RAC., Esth. I, 1]
Quelle gloire il acquit dans ces tristes combats Perdus par les chrétiens sous les murs de Damas ! [VOLT., Zaïre, I, 1]
Que tous les protestants, à la fois accablés, Dans les murs, hors des murs, soient en foule immolés [M. J. CHÉN., Charles IX, IV, 5]
Diodore de Sicile rapporte que des écrivains postérieurs à Ctésias bornaient la hauteur de ces murs [de Babylone] à cinquante coudées, et c'est l'opinion suivie par Strabon ; or cinquante coudées du grand stade de Babylone vaudraient environ 13 mètres ou 71 de nos pieds [GOSSELIN, Instit. Mém. inscr. et belles-lett. t. VI, p. 127]
Murs, au pluriel, se dit quelquefois pour ville.
Depuis combien de temps êtes-vous dans nos murs ? Du fleuve ainsi dompté [le Rhin] la déroute éclatante à Wurts jusqu'en son camp va porter l'épouvante ; Wurts, l'espoir du pays et l'appui de ses murs [BOILEAU, Ép. IV]
Attaquons dans leurs murs ces conquérants si fiers [RAC., Mithr. III, 1]
Se dit de diverses murailles construites pour arrêter des invasions. Le mur d'Adrien, de Sévère.
Après trois jours de marche, on arriva au mur de la Médie, qui a cent pieds de haut, vingt de large, et vingt lieues d'étendue [ROLLIN, Hist. anc. Œuvr. t. IV, p. 179, dans POUGENS]
Fig. Défense, protection.
Je vais citer un prince aimé de la victoire ; Son nom seul est un mur à l'empire ottoman [contre l'empire ottoman] [LA FONT., Fabl. X, 1]
Sparte avait subsisté longtemps, sans avoir d'autres murs ni d'autre défense que le courage de ses citoyens [ROLLIN, Hist. anc. Œuvr. t. VIII, p. 453, dans POUGENS]
On s'en sert quelquefois pour exprimer que des soldats supportent le feu comme le ferait une muraille. Ces hommes-là sont des murs. Un mur d'airain, une défense dont rien ne peut triompher.
Cet homme que Dieu avait mis autour d'Israël comme un mur d'airain où se brisèrent tant de fois toutes les forces de l'Asie [FLÉCH., Turenne.]
Fig. Mur de séparation, mur d'airain, se dit des causes qui séparent deux personnes. Il y a un mur d'airain entre ces deux hommes.
Il [Jésus-Christ] a détruit ce mur de séparation qui l'éloignait de l'homme [MASS., Carême, Temples.]
Cette passion [le goût des voluptés] seule éleva un mur de séparation entre Dieu et le pécheur [ID., Carême, Prod.]
Dans les mines, mur se dit de la partie inférieure, par opposition à la partie supérieure qui se nomme le toit.
Terme d'escrime. Tirer au mur, pousser de tierce ou de quarte à quelqu'un qui ne fait que parer. Parer au mur, parer les coups de celui qui tire au mur.
10° Grand mur, se dit, à la paume, du mur contre lequel il n'y a pas de toit.
11° Terme de manége. Gratter le mur, se dit d'un écolier qui s'approche trop du mur.
12° Morts murs, parois d'un four de fusion. Proverbialement. Les murs ont des oreilles, c'est-à-dire quand on s'entretient de quelque chose de secret, il faut parler avec beaucoup de circonspection, de peur d'être écouté.

SYNONYME

  • MUR, MURAILLE. Muraille, représentant le pluriel neutre latin muralia, implique essentiellement une idée collective, ou, ce qui en dérive, une idée de grandeur et d'étendue, et se distingue par là de mur qui n'indique qu'un mur en particulier, ou en général un mur quelconque, grand ou petit.

HISTORIQUE

  • XIe s.
    Mur ne citet n'i est remès [resté] à freindre [, Ch. de Rol. I]
  • XIIe s.
    Et li mur se desrochent [s'écroulent] [, Sax. IX]
    Ne mur tant haut qu'à la terre n'enfreigne [, Roncis. V, p. 31]
  • XIIIe s.
    Desouz un arbrissel, delez un petit mur [, Berte, XI, 1]
    Il y avoit trois paires de murs sés [secs] à passer [JOINV., 273]
  • XVIe s.
    Il luy faudroit un mur [couvent] ou un mari [OUDIN, Curios. franç.]
    Se voyant au pied du mur sans eschelle [COTGRAVE, ]

ÉTYMOLOGIE

  • Wallon, meur ; provenç. mur, s. m. et mura, s. f. ; esp. et port. muro ; du lat. murus ; anc. lat. moirus.

SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE

    MUR. Ajoutez :
    13° Battre les murailles, les murs, se dit d'un homme ivre qui trébuche en marchant et va heurter les murailles.
    Puis, ronds comme des futailles, Du corps battant les murailles, Escortés de cent canailles Ils regagnent la maison [, Chanson des trois frères quêteurs qui s'enivrent aux dépens du monastère]
    Le 22 août, en plein midi, le prévenu était ivre et battait les murs de la rue [, Gaz. des Trib. 27 août 1870]
Émile Littré's Dictionnaire de la langue française © 1872-1877

mur

MUR. n. m. Ouvrage de maçonnerie qui sert à enclore un espace, à le séparer d'un autre ou à le diviser. Enclore d'un mur un terrain, un jardin, etc. Mur de pierre de taille, de moellon, de brique, de terre, de pisé. L'épaisseur, la hauteur, la longueur d'un mur. La crête d'un mur. Élever un mur. Mur à hauteur d'appui. Percer un mur.

Les gros murs d'un bâtiment, Ceux qui en forment l'enceinte et qui portent les combles, les voûtes, etc.

Mur de face, Gros mur qui forme l'une des principales faces d'un bâtiment. On appelle par opposition Mur latéral Celui qui forme l'un des côtés.

Mur de pignon, Mur qui s'élève jusqu'au- dessous du toit, le supporte et en a le profil.

Mur de refend, Celui qu'on élève entre les gros murs, pour diviser l'intérieur du bâtiment. Mur à refends. Voyez REFEND.

Mur mitoyen, Mur commun à deux propriétés.

Mur de clôture, Mur qui enferme extérieurement une cour, un jardin, un parc, etc. Franchir un mur de clôture.

Mur d'appui, Mur qui n'est qu'à hauteur d'appui, qui n'est élevé que d'un mètre environ.

Mur de terrasse, Mur qui retient les terres d'une plate-forme, d'une terrasse, d'un jardin, d'un boulevard, etc.

Murs d'une ville, les Murs qui entourent une ville. Les murs de cette ville sont flanqués tic grosses tours. Dans cette acception, on se sert souvent du mot Muraille et on dit quelquefois Murs, absolument. Cette église est hors des murs. J'ai été me promener hors les murs. Il se dit par métonymie pour la Ville elle-même. Depuis quand êtes-vous dans nos murs?

Sous les murs, Au pied des murs, devant une ville. Jeanne d'Arc a été blessée sous les murs de Paris.

Fam., Ne laisser que les quatre murs, Vider entièrement une maison.

En termes d'Escrime, Faire le mur, tirer au mur s'applique à un Ensemble d'exercices où l'on s'escrime contre un mur, l'adversaire étant simulé par ce mur.

MUR, dans les Mines, se dit de la Partie inférieure d'une galerie, par opposition à la partie supérieure qui se nomme le Toit.

Fig., Mur de séparation, mur d'airain, ou simplement Mur se dit des Causes qui divisent deux personnes et empêchent qu'elles ne puissent se rapprocher, se réunir. Il y a un mur entre ces deux hommes.

Le mur de la vie privée, Le secret de la vie privée.

Fig. et fam., C'est à se cogner la tête contre les murs, C'est une chose désolante, désespérante.

Prov. et fig., Les murs ont des oreilles, Quand on s'entretient de quelque chose de secret, il faut parler avec beaucoup de circonspection, de peur d'être écouté.

Fig. et fam., Mettre quelqu'un au pied du mur, Le mettre hors d'état de reculer et le forcer à prendre un parti; le mettre dans l'impossibilité de répliquer.

Fam., Sauter le mur se dit d'un Soldat qui passe par-dessus la clôture de la caserne pour sortir sans permission.

mûr

MÛR, ÛRE. adj. Qui a atteint son plein développement, en parlant des Produits de la terre. Blés, épis mûrs. Raisins mûrs. Pommes mûres. Cerises mûres. Ce melon n'est pas mûr, est trop mûr.

Fig., Cet abcès est mûr, Il est près de crever, de percer, ou Il est temps de l'ouvrir.

Fig. et fam., Cet habit est mûr, est bien mûr, Il est vieux, usé, facile à déchirer.

Fig., Cette affaire est mûre, n'est pas encore mûre, Il est temps, il n'est pas encore temps d'y travailler, de s'en occuper ou de la terminer.

Fig. et par plaisanterie, Cette fille est mûre, Il y a longtemps qu'elle est en âge d'être mariée.

Fig., Mûr pour, Qui est à point pour, apte à. Mûr pour le mariage, pour les affaires. Être mûr pour le ciel se dit, dans le langage mystique, d'une Personne pieuse qui meurt jeune. On dit de même Être mûr pour l'éternité.

Fig., Âge mûr, Âge qui suit la jeunesse. Homme mûr, esprit mûr, Homme, esprit sage, posé, réfléchi. Mûre délibération, Délibération où tout a été examiné avec beaucoup d'attention.

Fig. et fam., La poire est mûre, la poire n'est pas mûre, L'affaire dont il s'agit est arrivée, n'est pas arrivée au moment précis où il convient qu'on s'en occupe, qu'on songe à la terminer.

Dictionnaire de L'Académie française 8th Edition © 1932-5

mur

Mur, Murus, Paries.

Vieil mur, Parietina.

Un petit mur, ou muraille de pierres seiches, où il n'y a nul mortier, Maceria, vel Maceries.

Qu'ils aidassent ce temps pendant que le mur se bastiroit, Vt simul interfaciendo muro adiuuarent.

Les murs d'une ville, Moenia.

Escheler les murs, Euadere ad muros, vel in muros.

Un instrument de guerre à jetter les murs par terre, Testudo, Aries.

Appartenant à murs, Muralis et hoc murale.

Jean Nicot's Thresor de la langue française © 1606

mur


MUR, s. m. [Les Gascons prononcent meur et tumur; ils doivent restituer au 2d l'e qu'ils mettent mal-à-propôs au premier.] Ouvrage de maçonerie. "Mur de pierre, de moellon, de brique, etc. = On dit absolument, hors des murs, hors de la ville. = Mur de clotûre, qui ne sert qu'à enfermer les cours, les jardins, les parcs, etc. = Mur d'apui, qui n'est élevé que de trois pieds, ou environ.
   Mur, muraille, (synon.) Le mur est un ouvrage de maçonerie: la muraille est une sorte d'édifice. Le mur est susceptible de diférentes dimensions: la muraille est un mur étendu dans ses diférentes dimensions. Le propre du mur est d'arrêter, de retenir, de séparer, de fermer. L'idée particulière de muraille est de couvrir, de défendre, de servir de boulevart. On dit les murs d'un jardin, et les murailles d'une ville. Extr. des Syn. Fr. de M. l'Ab. Roubaud.
   Le Proverbe dit: les murs ont des oreilles: les murâilles parlent; on a beau tenir les chôses secrettes, elles se décoûvrent tôt ou tard. = Mettre quelqu' un au pied du mur; l'obliger à se décider; lui ôter toute échapatoire.
   Madame, je prétends le mettre au pied du mur:
   Il faut le contenter sur l'objet qu'il demande.
       Le Persifleur.
"Vouloir le persuader, c'est se doner de la tête contre un mur; prendre une peine inutile. = On tirerait aussitôt de l'huile d'un mur, que de l'argent d'un avâre. = Il tirerait de l'huile d'un mur; il tirerait de l'argent, des secours d'où les aûtres ne pourraient rien tirer.

mûr


MûR, MûRE, adj. [1re lon. Il faut mettre à ces mots l'acc. circ. On écrivait autrefois, meur, meure.] Qui est en saison d'être cueuilli ou mangé. "Blés, épis, fruits, raisins mûrs; poires, pêches, mûres. "Ce melon n'est pas mûr, est trop mûr. = Fig. "Cet apostème est mûr, prês de crever. — Âge mûr, celui qui suit la jeunesse. = Homme, jugement, esprit mûr, sage. — Mûre délibération, où tout a été examiné avec beaucoup d'atention. Fille qui est mûre, (st. plais.) en âge d'être mariée, et déja depuis quelque tems. — Afaire qui est mûre, qui n'est pas encôre mûre; à laquelle il est tems, ou il n'est pas encôre tems de travailler.

Jean-François Féraud's Dictionaire critique de la langue française © 1787-1788
Synonymes et Contraires

mur

nom masculin mur
1.  Ouvrage en maçonnerie.
2.  Obstacle à la communication.
Le Grand Dictionnaire des Synonymes et Contraires © Larousse 2004
Traductions

mur

Mauer, Wandwallmuur, wand, scheidsmuurדופן (ז), חומה (נ), כותל (ז), נד (ז), קיר (ז), דֹּפֶן, חוֹמָה, כֹּתֶל, נֵד, קִירmuurmur, paretzeď, stěnamurτοίχοςmuropared, muroseinä, muurifalmuro, paretemurusveggściana, murparede, muromur, väggukutaстенаجِدارzidกำแพงduvarbức tường墙壁 (myʀ)
nom masculin
construction verticale
Kernerman English Multilingual Dictionary © 2006-2013 K Dictionaries Ltd.

mur

[myʀ] nmwall
faire le mur (fig) → to go over the wall
Collins English/French Electronic Resource. © HarperCollins Publishers 2005