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Maizières-lès-Metz

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Maizières-lès-Metz
Maizières-lès-Metz
Entrée de Maizières-lès-Metz et son jet d'eau en 2011.
Blason de Maizières-lès-Metz
Blason
Maizières-lès-Metz
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Metz
Intercommunalité Communauté de communes Rives de Moselle
(siège)
Maire
Mandat
Julien Freyburger
2020-2026
Code postal 57280
Code commune 57433
Démographie
Gentilé Maizièrois
Population
municipale
11 792 hab. (2021 en évolution de +5,29 % par rapport à 2015)
Densité 1 322 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 12′ 45″ nord, 6° 09′ 42″ est
Altitude Min. 159 m
Max. 206 m
Superficie 8,92 km2
Type Centre urbain intermédiaire
Unité urbaine Metz
(banlieue)
Aire d'attraction Metz
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sillon mosellan
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
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Maizières-lès-Metz
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Maizières-lès-Metz
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Maizières-lès-Metz
Liens
Site web ville-maizieres-les-metz.fr

Maizières-lès-Metz est une commune française située dans le département de la Moselle et le pays messin en Lorraine. Elle est chef-lieu de canton et appartient à l'arrondissement de Metz.

Depuis le , elle fait partie de la région administrative Grand Est.

Les habitants sont appelés Maizièrois et Maizièroises.

Géographie

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Localisation

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Maizières-lès-Metz est implantée sur la rive gauche de la Moselle, dans l'axe Luxembourg-Nancy. Elle se situe à 12 kilomètres au nord de Metz qui est le chef-lieu de la Moselle et à 17 kilomètres au sud de Thionville. En outre, la ville est à une cinquantaine de kilomètres de Luxembourg.

Communes limitrophes

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Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes qui sont Hagondange, Talange, Hauconcourt, Woippy, Semécourt et Marange-Silvange. La commune Woippy elle-même se situe à quelques kilomètres plus au sud mais Saint-Rémy, écart appartenant à Woippy, est situé à mi-chemin, ce qui en fait un territoire limitrophe.

Communes limitrophes de Maizières-lès-Metz
Hagondange Talange
Marange-Silvange Maizières-lès-Metz Hauconcourt
Semécourt Woippy

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 892 hectares.

La ville de Maizières-lès-Metz vue du ciel. Au premier plan, on voit le quartier des Écarts avec, juste derrière la Voie Romaine et la voie rapide D112F. Au deuxième plan, ensoleillé, c'est le reste de la ville.

La ville compte plusieurs quartiers :

  • Brieux
  • Les Écarts
  • Val Maidera
  • Les Colonies
  • Les 4 Chemins
  • Les Maisons Blanches
  • Kennedy

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Barche, le ruisseau le Billeron et le ruisseau de Feves[Carte 1].

La Barche, d'une longueur totale de 10,5 km, prend sa source dans la commune de Pierrevillers et se jette dans la Moselle à Hagondange, après avoir traversé six communes[1].

Le Billeron, d'une longueur totale de 15,5 km, prend sa source dans la commune de Saint-Privat-la-Montagne et se jette dans la Moselle à Hauconcourt, après avoir traversé six communes[2].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Maizières-lès-Metz.

La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment du ruisseau la Barche et du ruisseau le Billeron, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité. Ainsi en 2019, dernière année d'évaluation disponible en 2022, l'état écologique du ruisseau le Billeron était jugé médiocre (orange)[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 742 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Malancourt », sur la commune d'Amnéville à 6 km à vol d'oiseau[5], est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 884,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −17,9 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Statistiques 1991-2020 et records MALANCOURT (57) - alt : 346m, lat : 49°13'07"N, lon : 6°03'25"E
Records établis sur la période du 01-01-1973 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,4 −0,3 2,2 4,9 8,5 11,5 13,6 13,4 10,2 7,1 3,2 0,6 6,2
Température moyenne (°C) 1,8 2,7 6,3 10 13,7 16,9 18,9 18,7 14,8 10,4 5,7 2,6 10,2
Température maximale moyenne (°C) 4,1 5,8 10,4 15 18,8 22,2 24,3 24 19,4 13,8 8,1 4,6 14,2
Record de froid (°C)
date du record
−17,9
05.01.1985
−15,6
07.02.1991
−14,6
01.03.05
−6,1
12.04.1986
−1,4
06.05.1979
−0,1
05.06.1991
2,9
22.07.1980
2,9
24.08.1980
1,3
07.09.1985
−3,4
24.10.03
−10,8
23.11.1998
−15,5
03.12.1973
−17,9
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
15,2
05.01.1999
20,9
27.02.19
25,6
31.03.21
27,9
21.04.18
32,4
28.05.17
35,4
26.06.19
39,3
25.07.19
38,2
08.08.03
33,1
15.09.20
26,2
10.10.1979
21,1
02.11.20
15,6
17.12.15
39,3
2019
Précipitations (mm) 85,9 70,2 67,5 52,6 67,9 68,4 70,7 69,5 69,6 79,7 81,7 100,4 884,1
Source : « Fiche 57019001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
4,1
−0,4
85,9
 
 
 
5,8
−0,3
70,2
 
 
 
10,4
2,2
67,5
 
 
 
15
4,9
52,6
 
 
 
18,8
8,5
67,9
 
 
 
22,2
11,5
68,4
 
 
 
24,3
13,6
70,7
 
 
 
24
13,4
69,5
 
 
 
19,4
10,2
69,6
 
 
 
13,8
7,1
79,7
 
 
 
8,1
3,2
81,7
 
 
 
4,6
0,6
100,4
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports

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Voies routières

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Maizières-lès-Metz est située sur la route départementale 953, ou Voie de la Liberté, à proximité de l'échangeur entre les autoroutes A31 et A4 nommé Croix d'Hauconcourt. L'A31 relie les villes de Luxembourg, Thionville, Metz et Nancy. On y accède par l'échangeur Sortie 35, en passant par Hauconcourt. L'A4, appelée Autoroute de l'Est, quant à elle, s'impose dans le paysage local car elle traverse la commune en passant au-dessus de son entrée sud. Elle relie Paris, Metz et Strasbourg, la sortie Sortie 36 dessert la ville en passant par Semécourt.

L'excellente desserte autoroutière de la ville permet de la situer à trois heures de Paris et à moins de deux heures de Strasbourg et de la frontière franco-allemande. Elle permet aussi un accès facile aux agglomérations voisines, d'autant plus que l'A31 est gratuite. Ainsi, Metz et Thionville se trouvent à environ quinze minutes de Maizières-lès-Metz. Du fait de cette bonne desserte, le transport routier de marchandises est privilégié pour l'approvisionnement des entreprises locales.

La commune est également au carrefour de plusieurs axes routiers départementaux. La RD 953 relie Metz à Thionville en rive gauche de la Moselle, la RD 112F relie l'échangeur de l'A4 à Amnéville, la RD 112E, appelée Voix Romaine relie la zone industrielle du Val Euromoselle Sud à la commune en rejoignant la RD 112f et la RD 52 relie les rives droite et gauche de la Moselle et rejoint les villages des Côtes de Moselle.

La commune est desservie par sept lignes du réseau de bus Fluo anciennement Tim sur neuf arrêts, lui permettant d'être reliée à différentes villes telles que Metz, Thionville, Moyeuvre-Grande… De plus, des lignes scolaires et de loisirs permettent de desservir gratuitement les établissements scolaires et de relier ceux-ci aux équipements culturels et sportifs (piscine, médiathèque, complexe sportif, etc.).

La gare SNCF de Maizières-lès-Metz est située sur la ligne TER qui relie les villes de Nancy, Metz, Thionville et Luxembourg[10]. Metz est la ville la plus proche desservie par la ligne TGV Est européen. Sur le même axe, une halte a aussi été mise en place à proximité de l'entrée de Walygator Parc. En semaine, une vingtaine de trains par jour et dans les deux sens s'arrêtent à Maizières.

La commune est concernée par le transport ferroviaire de marchandises car les convois utilisent la voie ferrée nord-sud passant par la gare de triage de Woippy dont les installations s'étendent partiellement sur le territoire maiziérois au sud.

Les aéroports les plus proches sont ceux de Metz-Nancy-Lorraine (à 26,5 km) et de Luxembourg-Findel (à 46,3 km).

Voies vertes

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En 2014, la communauté de communes Rives de Moselle propose 70 kilomètres de voies cyclables sur cinq boucles ainsi que des liaisons entre chacune. Une de ces liaisons passe par Maizières-lès-Metz et assure aussi la liaison avec la véloroute du Téméraire. Cette véloroute est une voie cyclable qui parcourt la Lorraine sur 260 kilomètres et qui relie les Flandres à la Bourgogne.

Au , Maizières-lès-Metz est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Metz[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant 42 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Metz, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[13]. Cette aire, qui regroupe 245 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (56,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (51,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (32,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (20,4 %), eaux continentales[Note 5] (13,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12 %), prairies (6 %), forêts (5,8 %), terres arables (5,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,1 %), zones agricoles hétérogènes (1,8 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
  • Anciennes mentions du nom : Maidera (977) ; Masières (1218) ; Masyères (1246) ; Mazères (1273) ; Maixière (1287) ; Maixeire (1287) ; Maixières (1290) ; Maixerey (1321) ; Maixeire (1404) ; Maixier (1460) ; Maixères (XVe siècle) ; Maiseriæ (1462) ; Maxières (1495) ; Maisière devant Metz (1514) ; Mazeriæ et Maseriæ (1544) ; Maseriæ vulgo Maiziers (1554) ; Mazière (1594) ; Masières (XVIIe siècle) ; Maisière (1631) ; Maizière (1635) ; Mezières (1756) ; Mezière (carte Cassini) ; Maizières-lès-Metz (1847)[17],[18].
  • En francique lorrain : Welschmaacher[Note 6]. En lorrain roman : Mach'ire[17], Mahhire[19] et Majire.
  • En allemand : Maizières bei Metz (1871-1915), Macheren bei Metz (1915–1918), Machern bei Metz (1940–1944)[20].

Le toponyme Maizières et ses parents (Maizery, Mageret, Magerotte, Magery, Majerou, Mézières, etc. ; en territoire germanique Macher, Mecher, Macheren, etc.) renvoient au latin maceria ou maceries, qui signifient, selon le cas, mur de clôture (autour d'un vignoble par exemple), mais aussi vestiges (de constructions d'époque romaine), ruines. Le verbe maceriare veut dire maçonner, construire[21].

Époque médiévale

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La ville est citée pour la première fois en 977 sous le nom de Maidera[17] et appartient à l’époque à l’abbaye Saint-Vincent de Metz et ce jusqu’à la Révolution. Elle est souvent détruite par les guerres féodales.

Époque moderne

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En 1817, Maizières-les-Metz, village de l’ancien Pays des Trois-Évêchés, traversé par le Billeron, avait pour annexes la ferme et château de Brieux, la ferme et moulin de Fercau. À cette époque, il y avait 667 habitants répartis dans 97 maisons[22].

Époque contemporaine

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Comme les autres communes de l'actuel département de la Moselle, Maizières-lès-Metz est annexée à l’Empire allemand de 1871 à 1918. Rebaptisée Macheren bei Metz, la commune connaît alors une période de grande prospérité. Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, les Mosellans se battent pour l’Empire allemand. Beaucoup de jeunes gens tomberont au champ d'honneur sous l’uniforme allemand, sur le Front de l’Est, mais aussi à l’Ouest, en particulier en France et dans les Flandres. Sujets loyaux de l'Empereur, les Maiziérois accueillent cependant avec joie la fin des hostilités et la paix retrouvée. Maizières-lès-Metz redevient française.

Grenadier allemand avec son Panzerschreck, Maizières-lès-Metz, le .

La Seconde Guerre mondiale et le drame de la seconde Annexion marqueront encore longtemps les esprits. Maizières-lès-Metz (Macheren bei Metz) fut le théâtre de dramatiques combats au cours de la bataille de Metz en , opposant le XXe corps de la IIIe armée américaine aux 462e et 559e divisions allemandes[23].

Le , les civils sont évacués de Maizières-lès-Metz. Certains habitants franchissent la Moselle, vers l’est, d’autres se cachent dans les bois à l’ouest, en attendant les troupes américaines. La IIIe armée US envoie effectivement des patrouilles de reconnaissance dès le , au grand soulagement des réfugiés. Après des escarmouches à Hagondange, et à Silvange, la 7e Armored Division débouche à Maizières-lès-Metz. Ne rencontrant aucune résistance dans ce secteur, les Américains se replient alors sur Hagondange[24]. Profitant de cette aubaine, les Allemands réinvestissent le secteur. Le , la 7e Armored Division, une division blindée américaine, est remplacée par la 90e Infantry Division. Malgré le soutien de l’artillerie qui pilonne systématiquement le secteur, la 90e Infantry Division US piétine. Les soldats du régiment 1216 de la 462e Volks-Grenadier-Division tiennent en effet solidement les positions en se terrant dans des abris de fortune. Le , alors que ses troupes occupent déjà près la moitié de Maizières, le général van Fleet ordonne que la ville soit prise avant le [25]. Face à cette résistance opiniâtre, la 90e Infantry Division fait appel à l’artillerie. Celle-ci tire sans relâche sur le secteur, réduisant le vieux village à quelques ruines éventrées et à des amas de pierres[26]. L’hôtel de ville devient l'objectif à atteindre pour le colonel Barth. Pour déloger les derniers combattants allemands, les troupes américaines lancent une attaque décisive le . Après un nouveau pilonnage d’artillerie, les soldats américains se jettent en masse sur l'objectif, nettoyant les derniers foyers de résistance au bazooka et au lance-flammes. Le , l’ancienne mairie est prise. Les pertes allemandes sont très lourdes, mais les soldats tiennent encore certaines positions. Le , l'artillerie de la division américaine déclenche un nouveau tir de barrage roulant au nord de la commune, détruisant maisons et retranchements[25]. Cette fois-ci, les dernières poches de résistance tombent. Alors qu'un bataillon entier du régiment 1216 de la 462e Volks-Grenadier-Division fut pratiquement détruit sur place, la 90e Infantry Division américaine, aidée par une artillerie de campagne efficace et par une bonne couverture aérienne, ne perdra que 55 hommes lors de l'assaut final[25]. Le , le général Patton peut visiter les ruines de Maizières et savourer sa victoire[27]. La prise de Maizières-lès-Metz, position clé au nord du dispositif défensif de Metz, constitua un atout supplémentaire pour l'armée américaine[28], dans la bataille de Metz[29].

Politique et administration

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Siège de la communauté de communes Rives de Moselle.
Hôtel de ville de Maizières-lès-Metz.

La ville fait partie de la communauté de communes Rives de Moselle, constituée de vingt communes dont elle abrite le siège. Le maire, Julien Freyburger, en est le président[30].

Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 mars 1965 Gustave Barthélemy DVD Conseiller général du canton de Metz-Campagne (1949 → 1967)
mars 1965 juin 1995 Maurice Demange UDR puis RPR Conseiller général du canton de Woippy (1967 → 1973)
juin 1995 mars 2014 Gérard Terrier PS Ingénieur retraité
Député de la 1re circonscription de la Moselle (1997 → 2002 puis 2012 → 2014)
Conseiller général du canton de Maizières-lès-Metz (1998 → 2012)
mars 2014 En cours Julien Freyburger SE-LR Juriste publiciste

Président de Rives de Moselle (depuis 2018)
Conseiller départemental du canton du Sillon Mosellan (depuis 2015)
Premier vice-président du Conseil départemental de la Moselle (depuis 2021)

Les données manquantes sont à compléter.

Politique de développement durable

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La commune s’est engagée dans une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009[31].

Maizières-lès-Metz est jumelée avec trois villes dont deux sont situées à l’étranger.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[32],[Note 7].

En 2021, la commune comptait 11 792 habitants[Note 8], en évolution de +5,29 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
438488587672865862750726714
1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
7417449161 0701 0911 8762 9213 4173 420
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
4 1554 6614 0372 0754 6368 8179 83411 0249 790
1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
8 9019 3449 75010 77411 23211 792---
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sidérurgie

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Maizières-les-Metz a connu deux usines à fonte : la première, propriété de la société Sambre et Moselle qui a exploité trois hauts-fourneaux mis à feu en 1882 et 1898, et une seconde appartenant initialement à la Société des Hauts-Fourneaux de Moselle, acquise en 1905 par l’usine de Rombas.

En 1917, les usines de Maizières-les-Metz comptent quatre hauts-fourneaux dont deux de construction récente.

Avant 1940, ces quatre hauts-fourneaux produisent environ 900 tonnes de fonte par jour. Ils sont sinistrés pendant la Seconde Guerre mondiale et ne seront pas reconstruits.

Culture locale et patrimoine

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Bâtiment du TRAM
Le TRAM, espace culturel et conservatoire de musique

La ville possède depuis 2009 un espace culturel, le TRAM[34], qui comporte un conservatoire de musique doté d’un auditorium de cent-vingt places, un espace périscolaire ainsi qu'une salle festive[35]. Avant cette date, le conservatoire de musique était situé dans l'ancienne école élémentaire Victor Hugo devenue vétuste qui a été démolie début 2011 afin de laisser place à une résidence pour sénior[36]. Le bâtiment du TRAM a été créé par l'architecte Dominique Coulon[37] et a reçu l'une des 93 récompenses du Chicago Athenaum Museum of Architecture and Design en 2010, l'International Architecture Award[38]. Gérard Terrier, à ce moment maire de la ville, donne l'origine du nom du bâtiment: « Clin d’œil au passé, ce nom offre une idée d’évasion. Mais en fait, c’est une réalité : les ouvriers passaient par ici en tram pour aller dans les usines sidérurgiques un peu plus loin. »[35]

Spectacles, concerts et salons

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Le TRAM accueille de nombreux spectacles et concerts tout au long de l'année. Des célébrités de l'humour y ont présenté leurs spectacles telles que Le Comte de Bouderbala, Manu Payet ou Gil Alma mais aussi Catherine Laborde et Nicole Ferroni.

Depuis , le TRAM accueille aussi Maizières in Game, le premier salon du jeu vidéo en Lorraine[39]. Ce salon propose notamment des tournois de jeux, des espaces multijoueur, une zone de jeux rétro mais aussi tout un espace sur les nouvelles technologies ainsi que des immersions à 360° et en 3D. Différents intervenants de créations, de productions et d'innovations artistiques et numériques sont présents tout au long du salon.

Le Conservatoire municipal de musique

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Le conservatoire municipal, autrefois implanté dans l'ancienne école Victor Hugo, est situé au TRAM depuis sa construction en 2009. Lieu d'expression artistique et d'apprentissage de la musique ouvert à tous, le conservatoire propose un enseignement musical adapté et des activités variées, dans des locaux modernes et conviviaux, répondant aux exigences d'une pratique artistique de qualité.

Médiathèque Georges Brassens

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Ouverte en , et s’étendant sur une surface de 1 300 m2, la médiathèque est un espace d’information, de culture et de loisirs qui s'adresse à tous. Il est possible d'emprunter ou de consulter sur place plus de 45 000 références, tous supports confondus : livres, CD, DVD, Blu-ray, partitions, CDRoms, presse quotidienne et magazines. Deux salles de travail, deux espaces d’animation et d’exposition complètent l’équipement. À la programmation régulière (matinées bébés, malles aux histoires, ateliers contes, ateliers d’écriture, etc.) s’ajoutent ponctuellement des expositions, conférences, spectacles et veillées contes. Une cabane à livres est disponible à l'extérieur de la médiathèque. Elle permet un échange libre de livres. Le principe est d'y laisser un livre et d'en prendre un autre en échange.

Blasonnement et logotype

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Blasonnement des armoiries : De gueules, à la fleur de lys d'argent et à deux palmes adossées de sinople mouvant d'entre les pétales du lys, accompagnée de trois besants d'or, celui du chef dextre chargé d'une ombre de croix pattée.

En 1218, la commune appartient à l'abbaye de Saint-Vincent de Metz qui porte « de gueules, à la fleur de lys d'argent et à deux palmes adossées de sinople mouvant d'entre les pétales du lys, accompagnée en chef de deux croissants affrontés et entrelacés ». Maizières faisant partie du Pays des Trois-Évêchés, ou Val de Metz, les armes portent les trois besants d'or dont un chargé d'une ombre de croix pattée. Ici, ils ne sont pas en chef comme la plupart des autres blasons des communes appartenant au Val de Metz. Plus exactement, il était sous la domination du paraige de Saint-Martin qui portait « de gueules, à trois besants d'or, celui de dextre chargé d'une croix du champ ».

En juin 2014, la ville s'est doté d'un nouveau logotype plus moderne afin d'exprimer une image plus contemporaine et plus attractive. L'écriture fine, douce mais qui s’affirme, rappelle le caractère institutionnel. Elle représente la modernité, la rigueur, le design avec des lignes épurées. Les nombreuses couleurs du kaléidoscope représentent la richesse et la diversité des atouts, des services et des activités de la ville. La Croix de Lorraine stylisée évoque l’ancrage régional et symbolise une ville carrefour[40].

Lieux et monuments

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La voie romaine qui passe par la D112E et D112F et qui relie Semécourt à Marange-Silvange en passant par Maizières-lès-Metz possède quelques vestiges (pierres sculptées) datant de l'époque romaine.

L'ancienne mairie avec beffroi a été détruite pendant la seconde Guerre mondiale et remplacée par l'hôtel de ville actuel. Le bureau de poste et la Police municipale se trouvent dans le même bâtiment mais avec des entrées indépendantes.

Maizières-lès-Metz possède deux monuments aux morts. Un en hommage aux morts de la première Guerre mondiale, situé sur la place des Déportés, avec la gravure « À nos morts — Le souvenir français » avec une croix de Lorraine sur le devant et une statue d'un soldat sur le piédestal. L'autre monument, situé rue du , a été construit en hommage aux morts de la seconde Guerre mondiale et porte une plaque gravée « La ville de Maizières-lès-Metz à ses enfants morts pour la France ».

Le parc d'attractions Walygator Parc, qui a successivement porté les noms Big Bang Schtroumpf, Walibi Schtroumpf et Walibi Lorraine, est installé sur le territoire de la commune. Il a ouvert pour la première fois ses portes le après avoir été construit sur d'anciens terrains des usines sidérurgiques de Sacilor.

L'Anaconda du Walygator à Maizières-lès-Metz

Le parc de Brieux, qui était auparavant le domaine du château de Brieux, se situe à cheval sur les territoires de Maizières-lès-Metz et d'Hauconcourt. Il est composé de plusieurs étangs et chemins de promenade. Dans ce parc, on peut y voir quelques vestiges du château de Brieux. Celui-ci a été détruit lors de la Seconde Guerre mondiale lors d’une attaque de l’armée américaine sur un groupe de soldats allemands qui s’en servaient comme base et lieu de stockage. Une plaque commémorative est apposée près de l'une des entrées du parc.

Édifices religieux

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  • Église Saint-Martin de style contemporain, par Rouquet, pose de la première pierre le . L'ancienne église de 1763 a été détruite pendant la Seconde Guerre mondiale.
  • Chapelle Saint Joseph-des-Écarts, XXe siècle. Elle est consacrée par l'évêque Philippe Ballot, le 19 novembre 2023[41].
  • Ancienne chapelle en bois de 1946, construite dans l'impasse dite de la chapelle (détruite dans un incendie en 1960).
  • Temple protestant réformé, rue Saint-Louis construit entre 1965 et 1968.
  • Église néo-apostolique, rue Sainte-Marie, inaugurée en 1988 et fermée en septembre 2016. La communauté néo-apostolique de Maizières-lès-Metz a fusionné en avec celle d'Amnéville et le bâtiment a été revendu à la commune[42].

Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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  • René Caboz, La bataille de Maizières-lès-Metz : - ; suivi de Maizières la martyre : sélection de documents et photographies, Ville de Maizières-lès-Metz, 1994.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Metz comprend une ville-centre et 41 communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Également orthographié Welsch-Maacher, le mot Welsch signifie ici que cette commune est de langue romane, soit donc située dans la zone linguistique du lorrain dit roman. D'autre part « Maacher » est un équivalent de « Maizières ».
  7. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Maizières-lès-Metz » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Sandre, « la Barche »
  2. Sandre, « le ruisseau le Billeron »
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Maizières-lès-Metz et Amnéville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Malancourt », sur la commune d'Amnéville - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Malancourt », sur la commune d'Amnéville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  10. http://www.ter-sncf.com/Region/lorraine/gare/MAIZIERES-LES-METZ.aspx Gare de Maizières-lès-Metz
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Metz », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Maizières-lès-Metz ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Metz », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b et c Bouteiller, Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868, Impr. nationale, Paris
  18. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Marcel Konne et Albert-Louis Piernet, « Dierfer vun äiser Hemecht », Hemechtsland a Sprooch, no 1,‎ (ISSN 0762-7440).
  20. genealogie-metz-moselle.fr
  21. Alain Simmer, Toponymie mosellane, Fensch Vallée éditions, Knutange, 2002.
  22. Viville, Dictionnaire du département de la Moselle, 1817
  23. René Caboz, La Bataille de Metz. 25 août - 15 septembre 1944, Sarreguemines, 1984. p. 105-343.
  24. Selon le général Friedrich von Mellenthin, alors officier à l’état-major du Groupe d'armées G, la bataille de Metz « fut une suite d’erreurs provoquées, en grande partie, par un optimisme débordant exprimé par ceux qui dirigèrent les opérations » ( « Objectifs atteints mais... », in Les années Liberté, Metz, 1994.)
  25. a b et c Anthony Kemp, Lorraine - Album mémorial - Journal pictorial : 31 août 1944 - 15 mars 1945, Heimdal, 1994, p. 178-181.
  26. Maizières est ruinée à 92 % en 1944.
  27. 1944-1945, Les années Liberté, Le Républicain Lorrain, Metz, 1994, p. 34.
  28. René Caboz: La bataille de Maizières-lès-Metz : 25 août-8 novembre 1944 ; suivi de Maizières la martyre : sélection de documents et photographies Ville de Maizières-lès-Metz, 1994.
  29. René Caboz, La bataille de Metz. 25 août - 15 septembre 1944, Sarreguemines, 1984.
  30. « Conseil Communautaire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur rivesdemoselle.fr (consulté le ).
  31. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Maizières-lès-Metz, consultée le 7 novembre 2017
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Site du Tram
  35. a et b « Le TRAM », sur metz.fr, Mairie de Maizières-lès-Metz, (consulté le ).
  36. Numéros 99 (janvier, février, mars 2011) et 100 (avril, mai 2011) du magazine Vivre à Maizières-lès-Metz
  37. http://www.coulon-architecte.fr/fiche.php?id=27&dom=project
  38. Archive 2010 des International Architecture Awards
  39. (en) « Maizières in Game 2017 », sur game.fr (consulté le ).
  40. « Présentation de la commune », sur metz.fr, Mairie de Maizières-lès-Metz, (consulté le ).
  41. « Maizières-lès-Metz. La chapelle St -Joseph des Ecarts consacrée ce dimanche 19 novembre » (consulté le ).
  42. « VIE DE LA VILLE / Maizières-lès-Metz : la gendarmerie, la maison des sœurs et la voirie... », Le Républicain lorrain,‎ (lire en ligne, consulté le ).