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Escot

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Escot
Escot
La mairie d'Escot.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Haut Béarn
Maire
Mandat
Alain Camsusou
2020-2026
Code postal 64490
Code commune 64206
Démographie
Gentilé Escotois
Population
municipale
121 hab. (2021 en évolution de −8,33 % par rapport à 2015)
Densité 5,3 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 04′ 39″ nord, 0° 36′ 18″ ouest
Altitude Min. 290 m
Max. 1 817 m
Superficie 22,66 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-1
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Escot
Géolocalisation sur la carte : France
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Escot
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
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Escot
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Escot

Escot est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Escot se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

La commune fait partie de la vallée d'Aspe.

Elle se situe à 48,4 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 16,1 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture.

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Sarrance (2,9 km), Lurbe-Saint-Christau (4,1 km), Asasp-Arros (5,1 km), Issor (5,3 km), Lourdios-Ichère (5,7 km), Eysus (7,1 km), Bedous (8,5 km), Gurmençon (8,9 km).

Sur le plan historique et culturel, Escot fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Asasp-Arros, Bilhères, Lurbe-Saint-Christau, Oloron-Sainte-Marie, Sarrance et Arudy.

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Escot.

La commune est drainée par le gave d'Aspe, le Barescou, arrec d'arin, Arrec de Bourdé, Arrec de Bousquet, Arrec de Casteigts, Arrec de Lassalle, Arrec de Manaut, Arrec de Mouline, L'Arrectou, le ruisseau de Bourdiou, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 33 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le gave d'Aspe, d'une longueur totale de 58,1 km, prend sa source dans le cirque d'Aspe, au pied du Mont Aspe (2 643 m), en Espagne, et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Oloron-Sainte-Marie, après avoir traversé 17 communes[8].

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 618 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 9,6 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oloron-Sainte-Marie à 13 km à vol d'oiseau[12], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 491,4 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité

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Espaces protégés

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La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[16],[17]. Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cœur et de l'aire d'adhésion[Note 3] du Parc National des Pyrénées. Créé en 1967 et d'une superficie de 45 806 ha, ce parc abrite une faune riche et spécifique particulièrement intéressante : importantes populations d’isards, colonies de marmottes réimplantées avec succès, grands rapaces tels le Gypaète barbu, le Vautour fauve, le Percnoptère d’Égypte ou l’Aigle royal, le Grand tétras et le discret Desman des Pyrénées qui constitue l’exemple type de ce précieux patrimoine confié au Parc national et aussi l'Ours des Pyrénées[18],[19].

Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Aspe et le Lourdios (cours d'eau) »[21], d'une superficie de 1 595 ha, un vaste réseau de torrents d'altitude et de cours d'eau de coteaux à très bonne qualité des eaux[22],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[23],[Carte 3] :

  • les « Crêtes et pentes du pic Mail Arrouy » (1 035,79 ha), couvrant 5 communes du département[24] ;
  • le « massif calcaire du pic Roumandares au sommet de Houndarete, bois de la pene d'Escot, bois d'Aran et bois de Gey » (6 133,51 ha), couvrant 5 communes du département[25],
  • le « réseau hydrographique du gave d'Aspe et ses rives » (1 207,81 ha), couvrant 23 communes du département[26] ;

et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[23],[Carte 4] :

  • le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[27] ;
  • la « vallée d'Aspe » (54 924,87 ha), couvrant 22 communes du département[28].

Au , Escot est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[29]. Elle est située hors unité urbaine[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[1]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[30],[31].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (80,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (21,3 %), prairies (16,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (5,4 %), zones agricoles hétérogènes (2,9 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].

Lieux-dits, écarts et hameaux

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  • Arrouy
  • Barescou
  • Bourdalat
  • Brouqua
  • Mailh
  • La Pène
  • ...

Hameaux et écarts

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  • Annan
  • Bergeras
  • Caillavé
  • Camsuzon
  • Coig
  • Escoubes
  • Lartigau
  • Lasserre
  • Lauda
  • L'Escoulié
  • Mougnague
  • Pelous
  • Pouquette
  • Sarthou
  • Village
  • ...

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Escot est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne)[33]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[34].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le gave d'Aspe. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 2009[35],[33].

Escot est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[36]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[37],[38].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[39]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[40].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Escot.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[41]. 70,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[42].

Le toponyme Escot apparaît[43] sous les formes Scot (1096, titres de Barcelone[44]), Eschot (1154, titres de Barcelone[44]), Sancta Maria d'Escot (1618, insinuations du diocèse d'Oloron[45]) et Ascot (1675, réformation de Béarn[46]).

Les Écossais, nommés Scottius par les Gallo-romains, ont donné leur nom à Escot.[réf. nécessaire]

Son nom béarnais est Escòt ou Escot.

En 1385[43], Escot comptait 8 feux et dépendait du bailliage d'Aspe.

De 1766 à 1776, la Marine royale entretint un "port" sur le gave d'Aspe à Escot pour transporter par radeau les produits issus de l'exploitation de la forêt du Benou (Bielle et Bilhères). Les radeaux[47] descendaient le Gave jusqu'à Oloron puis Bayonne. Les produits extraits de la forêt du Benou étaient constitués de mâtereaux[48], espars et manches de gaffe, tous en sapin. Ils étaient véhiculés vers le port d’Escot via le col de Marie-Blanque[49]. Certaines cartes du XVIIIe siècle mentionnent le "chemin de la mature du Benou" entre le col de Marie-Blanque et le village d'Escot[50].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2001 Jean Ladarré    
2001 2014 Patrick Mousquès DVG  
2014 En cours Alain Camsusou    

Intercommunalité

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La commune fait partie de six structures intercommunales[51] :

  • la communauté de communes du Haut Béarn ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat de regroupement pédagogique des communes de Lurbe et d'Asasp-Arros ;
  • le syndicat intercommunal d'aide matérielle à la scolarisation en Vallée d'Aspe ;
  • le syndicat mixte des gaves d’Oloron - Aspe - Ossau et de leurs affluents ;
  • le syndicat mixte du Haut-Béarn.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[53].

En 2021, la commune comptait 121 habitants[Note 9], en évolution de −8,33 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
660571674781820812760769688
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
750750705664590577555523510
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
514508466379363328289224216
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
209150130126122105124129132
2018 2021 - - - - - - -
124121-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[54] puis Insee à partir de 2006[55].)
Histogramme de l'évolution démographique

L'économie de la commune est essentiellement orientée vers l'agriculture et l'élevage, ainsi que l'exploitation forestière.

Escot fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

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La commune a organisé en 2010 un rassemblement franco-espagnol sur le thème de la "fête de l'agneau", conjointement avec des agriculteurs béarnais.

Patrimoine civil

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Patrimoine religieux

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Événements sportifs

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La commune se situe sur le trajet de la 16e étape du Tour de France 2007 qui a eu lieu le 25 juillet 2007. Le parcours de 218 kilomètres relia Orthez à Gourette - col d'Aubisque.

Équipements

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Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
  5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Escot » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Escot », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type I sur la commune d'Escot », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Escot », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  5. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  6. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b et c Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. Stephan Georg, « Distance entre Escot et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Escot et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches d'Escot », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale d'Escot », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le gave d'Aspe ».
  9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Orthodromie entre Escot et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Oloron » (commune d'Oloron-Sainte-Marie) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Oloron » (commune d'Oloron-Sainte-Marie) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  17. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Parc national des Pyrénées - la faune », sur pyrenees-parcnational.fr (consulté le ).
  19. « Parc national des Pyrénées - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  21. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Escot », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « site Natura 2000 FR7200792 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  27. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  28. « ZNIEFF la « vallée d'Aspe » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  29. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  30. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  31. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  33. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Escot », sur Géorisques (consulté le ).
  34. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  35. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  36. « Plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr, (consulté le ).
  37. « Réglementation-usages du feu à l’air libre - obligations légales de débroussaillement - département 64 », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr date=16 septembre 2022 (consulté le ).
  38. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  39. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  40. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Escot », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  41. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  42. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  43. a et b Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque - Paul Raymond
  44. a et b cité par Pierre de Marca dans son Histoire de Béarn
  45. Manuscrits du XVIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  46. Collection manuscrite du XVIe au XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  47. Leroy, J.-J.-Sébastien, Mémoire sur les travaux qui ont rapport à l'exploitation de la mâture dans les Pyrénées, avec une description des manœuvres et des machines employées pour parvenir à extraire les mâts des forêts, Londres, Couturier, , 176 p. (lire en ligne), p. V ; 64-65.
  48. Mât de faible hauteur et de petit diamètre ou portion de mât de faibles dimensions selon le CNRTL
  49. Pierre Buffault, « Forêts et gave du Pays d'Aspe », Bulletin de la Société de géographie commerciale de Bordeaux,‎ , p. 370-371 (lire en ligne).
  50. Carte de France. Echelle 1 / 80.000 : N° 108 - Pau / Bourgoin ; carte de Cassini consultable sur le site de l'IGN.
  51. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  52. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  53. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  54. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  55. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  56. Viaduc d'Escot

Articles connexes

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Liens externes

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