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Favières (Meurthe-et-Moselle)

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Favières
Favières (Meurthe-et-Moselle)
L'église Saints-Abdon-et-Sennen
Blason de Favières
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Colombey et du Sud Toulois
Maire
Mandat
Valerie Hoffmann
2020-2026
Code postal 54115
Code commune 54189
Démographie
Gentilé Fabériens[1]
Population
municipale
590 hab. (2021 en évolution de −1,67 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 27′ 48″ nord, 5° 57′ 19″ est
Altitude Min. 308 m
Max. 471 m
Superficie 29,5 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Meine au Saintois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Favières
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Favières
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Favières
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Favières

Favières est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Géographie

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La commune de Favières, située à la frontière départementale des Vosges, d'une surface de 2 995 hectares, s'étend autour de la commune de Saulxerotte qu'elle enclave.

Fig. 1 - Favieres (ban communal).

Arrosé par les ruisseaux de Velle et de l'Aroffe[2], le territoire communal comprenait en 2011, d'après les données Corine land Cover, près de 75 % de forêt, 13 % de terres agricoles et moins de 2 % de zones urbanisées[3].

Communes limitrophes

Hydrographie

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La commune est traversée par la ligne de partage des eaux entre les bassins versants du Rhin et de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Velle et le ruisseau l'Aroffe[4],[Carte 1].

L'Aroffe, d'une longueur de 50 km, prend sa source dans la commune de Beuvezin et se jette dans la Meuse à Rigny-la-Salle, après avoir traversé 18 communes[5].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Favières[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 917 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey à 13 km à vol d'oiseau[8], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 810,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −19,1 °C, atteinte le [Note 2],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Au , Favières est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[14]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,7 %), terres arables (12,5 %), prairies (9,6 %), zones urbanisées (1,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Ecclesia ad Faverias (1051) ; Juxta Faveires (1242) ; Faveres (1393) ; Faveires (1393) ; Favière (1408) ; Febvière (1546) ; Fawières (1550) ; Fabvières (1600) sont les graphies recensées par le dictionnaire topographique de Meurthe, sur les titres des seigneurs de Vaudémont essentiellement. E Grosse cite la forme latine de Fabariae[18] qu'emploie B. Picart dans son pouillé ecclésiastique.

Favières est issu du bas latin fabareolae, dérivé du latin faba (fève), donc « champ où l'on cultive des fèves ». Les favières sont des champs de fèves, essentielles dans la nourriture du paysan[19].

La micro-toponymie permet de signaler quelques écarts historiquement intéressants :

SAINT-AMON, éc. et forêt, anc. ermitage, connu pour sa grotte ;

TERRES-DE-L'HUILE (LES), cantons de terre au ban de Favières, dont le revenu était affecté à l'entretien de la lampe de l'église[20].

Beaupré recense dans son ouvrage les témoignages relatifs à la présence gallo-romaine et mérovingienne[21].

Dès 1051, il y existait une chapelle ou un prieuré qui fut donné à l'abbaye de Poussay. Ce village faisait partie du domaine des comtes de Vaudémont qui le vendirent, pour partie, à différentes époques et y eurent une résidence[20],[22].

  • Croissance exceptionnelle de la population jusqu'au milieu du XIXe siècle, après les guerres et les épidémies des XVe, XVIe et XVIIe siècles.
  • Village réputé au XIXe pour ses poteries et ses ateliers d'ébénisterie[18].

Politique et administration

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La mairie-école.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 juillet 2020 Marie-Louise Haralambon[23]   Professeure du secondaire et technique
juillet 2020 En cours Valerie Hoffmann[23],[24]   Profession intermédiaire administrative de la fonction publique

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 590 habitants[Note 4], en évolution de −1,67 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0001 1021 0591 1181 1631 2721 1821 1531 143
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 0591 0251 0071 023993951872833813
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
780719611585588552573531617
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
606560543533501568577602591
2021 - - - - - - - -
590--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

L'abbé Grosse dresse en 1836 dans son ouvrage un rapide portrait économique du bourg :

« Surface territ., 3033 hect., dont 190 en forêts, 839 en terres arables, 81 en prés et 21 en vignes dont les produits sont peu vantés… On y voit aussi une tuilerie considérable, une poterie très renommée, dont les produits sont exportés au loin ; un moulin à grains, un four à chaux, plusieurs carrières de pierres de taille, dont l'exploitation est difficile et qui paraissent extrêmement faibles ; c'est ce qui fait que ces carrières ne sont pas aussi utiles qu'elles pourraient l'être... »[18]

indiquant ainsi l'appartenance de la commune au vignoble lorrain.

Secteur primaire ou Agriculture

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Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.

D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[29]), la commune de Favières était majoritairement orientée[Note 5] sur la production de céréales et d'oléagineux (auparavant polyculture et poly- élevage) sur une surface agricole utilisée[Note 6] d'environ 400 hectares (inférieure à la surface cultivable communale) en baisse depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 370 à 200 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 8 exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 5 unités de travail[Note 7].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Édifices civils

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  • Deux maisons fortes XVIe.
  • Maisons XVe.
  • Moulin à eau début XIVe.
  • Lavoir monumental du village haut.
  • Base nautique.

Édifices religieux

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  • Église Saints-Abdon-et-Sennen XVIIIe à trois nefs.
  • Chapelle du village haut XVIIIe/XIXe.
  • Quatre croix de chemin.
  • Ancien cimetière.

Personnalités liées à la commune

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  • Village natal du docteur Ambroise-Auguste Liébeault, connu dans le cadre de l'histoire de l'hypnose et du magnétisme animal. Une plaque commémorative est apposée sur la façade de la maison où il est né : « Dans cette maison naquit le 16 septembre 1823 Liébeault Ambroise Auguste docteur en médecine, médecin modeste et homme de bien qui ouvrit une ère nouvelle aux sciences médicales en les dotant de sa découverte : l'application méthodique de la suggestion et du sommeil provoqué au traitement des maladies ».
  • Patrie de Sébastien Bottin, (1764-1853), "père" de l'annuaire, et des frères Baillard, curés et vicaires de Favières qui tentèrent au XIXe de fonder un schisme à Saxon-Sion, sujet de La colline inspirée de Maurice Barrès.

Héraldique, logotype et devise

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Blason de Favières Blason
Burelé d'argent et de sable à trois pots de terre de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  6. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
  7. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.
  1. « Réseau hydrographique de Favières » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. « Ruisseau de velle [A5400760] - Cours d'eau », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  3. « Fiche ma commune », sur BRGM.
  4. « Fiche communale de Favières », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  5. Sandre, « l'Aroffe »
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Favières et Ochey », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Favières ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nancy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c E. Grosse, Dictionnaire statistique du departement de la meurthe : contenant une introduction historique..., Nabu Press (réimpr. 2012) (1re éd. 1836) (ISBN 1278248951 et 9781278248950, OCLC 936241814, lire en ligne), p. 21.
  19. Marianne Mulon, Noms de lieux d’Île-de-France, Paris, Bonneton, , 236 p. (ISBN 2862532207).
  20. a et b Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862, notamment PP 182
  21. Jules Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes (lire en ligne), p. 61.
  22. Société d'archéologie lorraine. Auteur du texte, Mémoires de la Société d'archéologie lorraine, G. Crépin-Leblond (Nancy) Éditeur : R. Wiener (Nancy) (lire en ligne), P 298 -On croit que les comtes de Vaudémont avaient, à Favières, une maison, rendez-vous de chasse très-probablement, avantageusement située, à proximité de la forêt de Saint-Amon. On retrouve, dans cette localité, quelques débris de cette maison, auxquels la tradition donne le nom pompeux de Château.
  23. a et b « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  24. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».

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Bibliographie

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  • G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.

Articles connexes

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Liens externes

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