Izeaux
Izeaux | |||||
Vue sur Izeaux en juin 2008. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Isère | ||||
Arrondissement | Grenoble | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Bièvre Est | ||||
Maire Mandat |
Max Barbagallo 2023-2026 |
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Code postal | 38140 | ||||
Code commune | 38194 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
2 141 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 138 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 20′ 07″ nord, 5° 25′ 30″ est | ||||
Altitude | Min. 405 m Max. 700 m |
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Superficie | 15,54 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Izeaux (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Grenoble (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Grand-Lemps | ||||
Législatives | Neuvième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Isère
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | www.izeaux.fr | ||||
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Izeaux est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
La commune, autrefois située dans la province du Dauphiné, appartient au canton du Grand-Lemps. Elle est également adhérente à la communauté de communes de Bièvre Est, dont le siège est fixé dans la commune de Colombe.
Ses habitants sont dénommés les Uzelots[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation et description
[modifier | modifier le code]Le territoire communal d'Izeaux est partagé entre la plaine de la Bièvre-Valloire, situé dans la partie nord de la commune et la colline de Parménie, un relief appartenant au plateau de Chambaran et situé au sud de la commune, entre Tullins et Beaucroissant.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est situé au pied du plateau de Chambaran, face à la plaine de Bièvre-Valloire, une large vallée ouverte entre celle de l'Isère et le cours du Rhône et dont la forme régulière en auge à fond plat suggère une origine glaciaire, ce que confirme la présence de dépôts morainiques[2].
Le plateau est, quant à lui, constitué d'une ossature en molasse miocène, recouverte en grande partie par un placage de terres argilo-limoneuses ou argilo-sableuses[3].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Le Grand-Lemps | Colombe | |||
Sillans | N | Beaucroissant | ||
O Izeaux E | ||||
S | ||||
Plan | Saint-Paul-d'Izeaux |
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est traversé par le torrent de la Ravageuse, d'une longueur de 8 km[4] depuis les hauteurs de la colline de Parménie pour ensuite prendre la direction de la plaine de la Bièvre ou elle rejoint la Coule[5].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 099 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Grenoble-Saint-Geoirs », sur la commune de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs à 6 km à vol d'oiseau[8], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 915,1 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Voies de communication
[modifier | modifier le code]La RD119, route aménagée en 2x2 voies séparées, passe à l'extrémité septentrionale du territoire communal et relie le bourg d'Izeaux à l'autoroute A48 après avoir emprunté la RD73b. Cette voie qui permet également de rejoindre l'Aéroport de Grenoble-Alpes-Isère, situé plus à l'ouest, prend fin, plus à l'ouest, sur le territoire la commune voisine de Brézins.
La RD519 correspond à l'ancienne route de Grenoble à Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs (route de Beaucroissant) passe au nord du bourg central
La RD73e/73i permet de relier le bourg d'Izeaux à la commune de Tullins en passant par le col de Parménie, site d'un ancien monastère de l'ordre des Chartreux
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Izeaux est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Izeaux[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[14]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (73,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (36,4 %), zones agricoles hétérogènes (20,5 %), forêts (16,3 %), prairies (10 %), zones urbanisées (9 %), mines, décharges et chantiers (6,4 %), cultures permanentes (1,4 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Le village conserve la forme de ancien bourg médieval, autrefois entouré d'une enceinte, détruite par un incendie au XVIIIe siècle.
Logements
[modifier | modifier le code]Hameaux, Lieux-dits et écarts
[modifier | modifier le code]Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux qui composent le territoire d'Izeaux, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[18].
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Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Risques sismiques
[modifier | modifier le code]La totalité du territoire de la commune d'Izeaux est situé en zone de sismicité n°3, comme la plupart des communes de son secteur géographique, mais non loin de la zone n°4, située plus à l'est[19].
Type de zone | Niveau | Définitions (bâtiment à risque normal) |
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Zone 3 | Sismicité modérée | accélération = 1,1 m/s2 |
Autres risques
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]Au XIe siècle, la paroisse est dénommée Iseronis. Durant XVe siècle le village est denommé Iseaulx puis, à partir du XVIIe siècle le nom d'Huseaux est évoqué. Vers le début du XVIIIe siècle le nom de la paroisse est connue sous le nom de Saint-Benoit-d'Izeaux.
Selon André Planck, auteur du livre L'origine du nom des communes du département de l'Isère, le nom d'Izeaux signifie « La ville par où l'on entre dans la vallée de l'Isère » est liée au fait qu'elle a été choisie à l'époque romaine pour surveiller la voie romaine de la Bièvre. La colline de Parménie, située au sud de cette voie était, durant cette période, était le passage obligatoire pour se rendre à Cularo depuis ce secteur[21]
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire et Antiquité
[modifier | modifier le code]Au début de l'Antiquité, le territoire des Allobroges s'étendait sur la plus grande partie des pays qui seront nommés plus tard la Sapaudia (ce « pays des sapins » deviendra la Savoie) et au nord de l'Isère. Les Allobroges, comme bien d'autres peuples gaulois, sont une « confédération ». En fait, les Romains donnèrent, par commodité le nom d'Allobroges à l'ensemble des peuples gaulois vivant dans la civitate (cité) de Vienne, à l'ouest et au sud de la Sapaudia.
Moyen Âge et Temps modernes
[modifier | modifier le code]Izeaux était un village situé très à l'écart des routes et représentait de ce fait un isolat génétique. À la fin du XVIIIe siècle, presque tous les habitants étaient porteurs d'un sixième doigt aux mains comme aux pieds (polydactylie). Cette anomalie a disparu progressivement au cours du XIXe siècle avec le développement des routes, des chemins de fer et des échanges de toute nature[22]
En 1750, la châtelain d'Izeaux est Pierre Repiton[23]. Celui-ci habitait l'actuelle maison Chevron, cette charge était héréditaire. Jean Chaperon, châtelain de Saint-Paul d'Izeaux habitait dans la maison de Mme Julian, au hameau du Moulin (route de Plan). Au XIXe siècle Joseph Pra, consul d'Izeaux habitait aux granges, maison datant de 1748 (rue Parmentier). À Izeaux, les notables faisaient placer un toit au-dessus de leurs portes cochères, celle-ci faite avec de fortes planches reliées par de solides madriers. Quelques-unes subsistent encore présentement : Clos Chevron, Maison Brizard aux Baronneaux (rue Sully), Ferme Marmonier aux Granges.
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Période révolutionnaire (1789-1815)
[modifier | modifier le code]On connaît peu de chose sur les événements qui marquèrent la Révolution dans la commune. Le les ruines et les bâtiments réparés de l'abbaye de Bonnecombe furent acquis à l'adjudication par monsieur Gillin qui exploitait le moulin du monastère. Les prairies furent adjugées à différents propriétaires qui formèrent le syndicat des Combes. La même année 1791, le , Notre-Dame de Parménie fut abandonné et la chapelle et ses dépendances furent vendues à un prêtre nommé Marion pour la somme de 14 600 livres. À la Restauration en 1814, tout le monde ou presque portait la cocarde blanche des Bourbons.
XXe siècle
[modifier | modifier le code]La tombe du résistant et ancien préfet de l'Isère Albert Reynier, dont la famille est originaire du bourg, est située au centre du cimetière municipal[24].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Ville de plus de 2 000 habitants, lors des dernières élections municipales 2014, le conseil municipal d'Izeaux est composé de 19 membres (10 hommes et 9 femmes).
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].
En 2021, la commune comptait 2 141 habitants[Note 3], en évolution de −0,6 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Au XIXe siècle, la commune d'Izeaux fut l'objet de l'attention particulière de certains médecins du fait de la généralisation des cas de sexdigitisme relevés en particulier depuis la fin du XVIIIe siècle. Ces modifications génétiques s'expliquaient par une forte endogamie due à l'isolement du village[33].
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune est rattaché à l'académie de Grenoble.
Activités sportives
[modifier | modifier le code]L'Union Sportive d'Izeaux rugby club évolue en Fédérale 3. Ses jeunes ont été champions de France juniors balandrade 2003/2004 et ont participé de nombreuses fois aux phases finales et ce dans toutes les catégories.
Les Uzelots peuvent également pratiquer le football au sein de l'Etoile Sportive d'Izeaux[34], le tennis, le basket à l'ASBBI[35], et de multiples activités (fitness, Gym'Fun, Judo, KinéForm, Pilates, Yoga, Zumba entre autres avec la MJC[36].
Médias
[modifier | modifier le code]Le quotidien régional Le Dauphiné libéré, dans son édition locale Chartreuse et Sud-Grésivaudan, ainsi que l’hebdomadaire Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné, relatent les informations locales au niveau de la commune, du canton et de la communauté de communes.
La commune est en outre située dans le bassin d’émission des chaînes de télévision France 3 Alpes (France 3 Grenoble) et de téléGrenoble Isère, ainsi que de la radio locale France Bleu Isère.
Cultes
[modifier | modifier le code]La communauté catholique et l'église d'Izeaux (propriété de la commune) dépendent de la paroisse de La Sainte-Croix qui comprend quatre autres clochers. Cette paroisse est elle-même rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[37].
Culture et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église paroissiale Saint-Benoît d'Izeaux, du XIXe siècle[38], se trouve au centre du village.
- Le manoir du Clos, du XIXe siècle[38].
- Un manoir, datant du XIXe siècle, composé de deux étages et situé au nord du territoire communal est la propriété d'une entreprise de tissus[38].
- La maison dauphinoise avec sa grange, en face de ce dernier manoir[38].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Napoléon Durand-Savoyat (1800-1859), agronome, journaliste, député de l'Isère de 1848 à 1851, né à Izeaux.
- Jean Nabert (1881-1960), philosophe, né à Izeaux.
- Albert Reynier (16 octobre 1889 - 21 janvier 1949), il a été une figure de la résistance durant la Seconde Guerre Mondiale, mais également professeur des écoles à Izeaux, et a été préfet du département de l'Isère de 1944 à 1949.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Coupé : au premier parti au I d'azur à une jarre d'or, au II d'azur à un croissant tourné d'or; au second d'azur à deux demi-vols d'argent posés en croisette[39]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 10 juillet 2019
- Site geoglaciaire.net, page "Origine de la Bièvre-Valloire", consulté le 21 février 2019
- Site geoglaciaire.net les paysages galaciaires, "Origine du plateau de Chambaran", consulté le 22 février 2019
- Sandre, « Fiche cours d'eau (V3400900) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau (V3400520) ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Izeaux et Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Grenoble-Saint-Geoirs », sur la commune de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Grenoble-Saint-Geoirs », sur la commune de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Izeaux », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Grenoble », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Site géoportail, page des cartes IGN
- Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
- [1]
- André Planck, "L'origine du nom des communes du département de l'Isère", (ISBN 2-84424-043-7) édition L'atelier, 2006, page 106
- Article su Persée " Les notions d'isolat et de population minimum" , Jean Sutter & Léon Tabah, 1951, consulté le 10 juillet 2019
- Site généanet, fiche sur Pierre Répiton, consulté le 10 juillet 2019
- Site ledauphine.com, article "Exposition sur Albert Reynier, Uzelot d’exception", consulté le 10 juillet 2019
- « Anne-Marie Brun-Buisson prend les rênes de la commune », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne).
- [2]
- Marine Langevin, « Pourquoi Anne-Marie Brun-Buisson a démissionné de son mandat de maire », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne).
« Anne-Marie Brun-Buisson a démissionné de son mandat de maire, une décision acceptée par le préfet le 9 décembre dernier. L'édile explique les raisons de son départ. Cyril Manguin, adjoint qui assure l’intérim, répond et explique les prochaines étapes pour la commune. » - Gisèle Milan, « Max Barbagallo est officiellement le nouveau maire : De nombreux Uzelots se sont réunis dans la salle du conseil municipal pour l’instauration du nouveau conseil municipal avec l’élection du maire et des adjoints, lundi 6 mars. », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- [Annales d'hygiène publique et de médecine légale Publié par J.-B. Baillière et Fils, 1862: https://books.google.com/books?id=IJgqAAAAMAAJ&pg=PA58&dq=izeaux.&as_brr=1&hl=fr. Voir aussi le roman de Yves Bichet, Les Terres froides, 2000 Annales d'hygiène publique et de médecine légale]
- Etoile Sportive d'Izeaux
- ASBBI
- MJC
- Site du diocèse de Grenoble, fiche de présentation de la paroisse de la Sainte-Croix, consulté le 10 juillet 2019
- Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 323-324.
- Izeaux sur le site de la communauté de communes de Bièvre Est
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site officiel