Lisses
Lisses | |||||
L’hôtel de ville. | |||||
Logo | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Essonne | ||||
Arrondissement | Évry | ||||
Intercommunalité | CA Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marc Morin 2024-2026 |
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Code postal | 91090 | ||||
Code commune | 91340 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lissois | ||||
Population municipale |
7 292 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 701 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 35′ 53″ nord, 2° 25′ 28″ est | ||||
Altitude | Min. 38 m Max. 89 m |
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Superficie | 10,4 km2 | ||||
Type | Grand centre urbain | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Corbeil-Essonnes | ||||
Législatives | 1re circonscription de l'Essonne | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Essonne
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://www.ville-lisses.fr/ | ||||
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Lisses (prononcé [lis] Écouter) est une commune française du département de l'Essonne en région Île-de-France.
Ses habitants sont appelés les Lissois[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation
[modifier | modifier le code]Au sud de l'agglomération parisienne, située à trente kilomètres au sud-est de Paris, la commune a été incluse dans le périmètre de la ville nouvelle d'Évry, ce à quoi elle doit son développement urbain.
Lisses est située à trente kilomètres au sud-est de Paris-Notre-Dame, point zéro des routes de France, quatre kilomètres au sud-ouest d'Évry-Courcouronnes, quatre kilomètres à l'ouest de Corbeil-Essonnes, douze kilomètres au sud-est de Montlhéry, treize kilomètres à l'est d'Arpajon, quatorze kilomètres au nord-est de La Ferté-Alais, dix-neuf kilomètres au sud-est de Palaiseau, vingt-deux kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt, vingt-sept kilomètres au nord-est d'Étampes, trente et un kilomètres au nord-est de Dourdan.
Elle se trouve dans l'aire urbaine de Paris, ainsi que dans son unité urbaine et son bassin de vie, et dans la zone d'emploi d'Évry[I 1]
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Villabé, Bondoufle, Corbeil-Essonnes, Écharcon, Mennecy, Vert-le-Grand et Évry-Courcouronnes.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Située à l'extrême est du plateau de Vert-le-Grand, son territoire s'étend sur 10 km2 et elle est délimitée au sud par la vallée de l'Essonne, où se trouve le point le plus bas de la commune (38 m), et à l'ouest par le cirque de l'Essonne. Les limites nord et est de la commune se caractérisent par la platitude.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est limitée au sud par l'Essonne et ses marais.
Plusieurs points d'eau parsèment la ville.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 652 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Brétigny-sur-Orge à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 628,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Lisses est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[I 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].
Occupation des sols simplifiée
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune se compose en 2017 de 51,83 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 13,32 % d'espaces ouverts artificialisés et 34,85 % d'espaces construits artificialisés[12].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Lisses est situé en troisième couronne parisienne, l'urbanisation de la ville s'organise entre deux grandes infrastructures d'époques différentes, l'autoroute A6 à l'est et l'aqueduc de la Vanne à l'ouest. À l'ouest de l'aqueduc, le territoire prend un aspect rural avec la présence de vastes espaces cultivés caractéristiques du Bassin parisien et de bois utilisés comme réserves de chasses mais surtout comme lieu de promenade pour les habitants des communes alentour. Lisses se trouve dans la région naturelle du Hurepoix.
Lieux-dits et écarts
[modifier | modifier le code]La commune compte 35 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[13] dont Montauger à proximité de Villabé et Longaines à côté de Corbeil-Essonnes.
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 2 932, alors qu'il était de 2 928 en 2015 et de 2 949 en 2010[I 3].
Parmi ces logements, 95,2 % étaient des résidences principales, 0,4 % des résidences secondaires et 4,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 70,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 26,3 % des appartements[I 4].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Lisses en 2020 en comparaison avec celle de l'Essonne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (0,4 %) par rapport au département (1,8 %) et à la France entière (9,7 %).
Typologie | Lisses[I 4] | Essonne[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 95,2 | 91,6 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 0,4 | 1,8 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 4,4 | 6,6 | 8,2 |
Projets d'aménagement
[modifier | modifier le code]La ville de Lisses accueillera prochainement le plus gros DataCenter français, installé par le fournisseur américain de centres de données digitales CloudHQ[14]. D'une surface de 66 000m², ce centre de données accueillera 48 salles informatiques et sera installé dans la zone d'activités Léonard de Vinci, à l'ouest de la ville. Son installation nécessitera deux nouvelles lignes très haute tension pour alimenter le site. 114 groupes électrogènes seront également installés, en cas de coupures d'alimentations de RTE. CloudHQ a indiqué que l'exploitation complète du site sera possible au premier semestre 2031.
L'annonce de son installation a cristallisé de fortes tensions autour de son impact environnemental. Premièrement, CloudHQ envisage d'installer le DataCenter sur une parcelle dont une majorité est actuellement à dominante agricole. Ensuite, le fonctionnement même de l'équipement a été dénoncé, en particulier le système de refroidissement avec l'utilisation d'importantes quantités d'eau. Enfin, le DataCenter nécessite une quantité d'énergie très importante.
Le préfet a ainsi d'abord refusé l'agrément à CloudHD sur le motif que le projet n'incluait pas un système de récupération de la chaleur produite par les serveurs (réseau de chaleur, chauffage des bâtiments de la commune, etc). Il a finalement été accordé à l'opérateur le 11 janvier 2021, la commune s'engageant à récupérer la chaleur produite par le centre de données[15]. La prochaine étape pour le fournisseur américain est d'obtenir le permis de construire par la Ville, pour lequel le commissaire chargé de l'enquête publique a donné un avis favorable[16].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La ville est traversée du nord-est au sud-est par l'autoroute A6 ; la route nationale 104 rejoint cette dernière sur sa portion Nord-Est.
Le nom de la commune est utilisé pour la dénomination d'une aire de repos de l'autoroute A6, l'aire de Lisses dans le sens Paris-Province, située au point kilométrique 29[17].
La ville de Lisses est desservies par plusieurs lignes de bus.
- Par une ligne du réseau de bus Réseau de bus Essonne Sud Est, la ligne 4307 (direction Fontenay-le-Vicomte ou Évry-Courcouronnes), qui assure un accès à la gare de Mennecy et à celle d'Évry-Courcouronnes
- Par dix lignes du réseau de bus Évry Centre Essonne :
- la ligne 301 (direction Le Coudray-Montceaux, via la gare de Corbeil-Essonnes) ;
- la ligne 304 (direction Corbeil-Essonnes, via Villabé et sa gare RER) ;
- la ligne 404 (direction Ris-Orangis ou Évry-Courcouronnes), circule tous les jours ;
- la ligne 405 (direction Ris-Orangis ou Corbeil-Essonnes), circule tous les jours ;
- la ligne 409 (direction Bondoufle / Fleury-Mérogis ou Villabé), circule du lundi au vendredi ;
- la ligne 409M (direction Mennecy), circule du lundi au samedi ;
- la ligne 414D (direction Vert-le-Grand ou Évry-Courcouronnes), circule du lundi au vendredi ;
- la ligne 415 (direction Villabé ou Évry-Courcouronnes), circule tous les jours ;
- la ligne 416 (direction Évry-Courcouronnes), circule du lundi au vendredi ;
- la ligne 453 (direction Bondoufle ou Soisy-sur-Seine), circule uniquement le dimanche et les jours fériés.
Les lignes 404, 405, 414D, 415, 416 et 453 sont en liaison directe avec Évry-Courcouronnes et sa gare RER.
Les arrêts des lignes 301 et 304 sont situés dans deux zones commerciales : Exona (pour la ligne 301) et Clos-au-Pois (pour la ligne 304), situées respectivement aux limites des communes de Corbeil-Essonnes (à l'est) et de Villabé (au sud-est). Ces deux lignes assurent une liaison directe avec Corbeil-Essonnes et sa gare RER.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le lieu était connu comme Liciæ au Xe siècle, Lices[18][Quand ?].
L'origine du nom de la commune est peu connue. Une hypothèse est que le toponyme Lisses proviendrait du latin Licia villa, le hameau primitif s'étant développé à partir du domaine de Licius[19]. Une autre hypothèse est que le nom Lisses proviennent du nom d’origine germanique : Listja, signifiant barrière[19].
La commune est créée en 1793 avec son appellation actuelle[20].
Histoire
[modifier | modifier le code]C’est en 752 que le nom de Lisses est apparu. Les terres de Lisses appartiennent alors aux seigneurs et les paysans cultivent les terres défrichées. Vers l’an 800 la terre de Lisses est rattachée à l’abbaye de Saint-Maur-des-Fossés[réf. nécessaire]. C’est en 998 que l’on trouve pour la première fois mention de Lisses dans un texte de donation à l’abbaye sous l’autorisation de Burchard Comte de Corbeil, de Meulun et de Paris.
Sous François Ier, l’abbaye de Saint-Maur-des-Fossés est sécularisée. Ses biens sont réunis à l’évêché de Paris en 1598. Pierre de Gondi, évêque de Paris vend cette seigneurie à Martin Langlois déjà seigneur de Beaurepaire, terre sur laquelle il fit construire l’un des plus beaux châteaux de la région avec des jardins dessinés par Le Nôtre[évasif][21].
À la mort de Martin Langlois, les terres sont dispersées entre les héritiers et il faut attendre la fin du XVIIe siècle pour retrouver rassemblés sous le même nom les fiefs de Lisses. En 1699, les terres et seigneurie appartiennent à M. Leclerc de Grandmaison. Elles deviennent ensuite propriété de sieur Neyret de le Ravoye jusqu’en 1713 où Jean Michau de Montaran l’achète à Mme de la Vallière. Ces terres restent la propriété des Montaran jusqu’en 1825. Elles comprennent le château de Beaurepaire, le fief et seigneurie de Montblin, la ferme des Plattières, la ferme des Folies, un auditoire et une prison à Lisses, le fief et seigneurie de Marcognet de Champcueil, de Courcouronnes et Bois Briard. Ce domaine s’enrichit en 1713 de Bois Chaland, de Brazeux en 1714 et de Thieux en 1722.
Le domaine de Montauger, en bordure de l'Essonne, fut la propriété de Gilbert-Jérôme Claustrier, premier commis du contrôleur général des finances, au XVIIIe siècle. En 1759-1760, il fit rebâtir le château par son architecte Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne. Disposé face à la grille d'entrée actuelle, œuvre de l'architecte, ce château fit l'objet du vandalisme de la bande noire qui sévissait au début du XIXe siècle. Ne subsiste plus que l'aile gauche, remaniée au milieu du siècle et qui constitue, avec les bâtiments de la basse-cour, le château actuel. Depuis 2002, il est la propriété du conseil général qui y a installé son observatoire des espaces naturels sensibles de la vallée de l'Essonne[réf. nécessaire].
Les ressources de Lissois sont essentiellement les fruits, le vin et les céréales. Ils travaillent la terre, très peu pour leur propre compte mais plutôt pour les seigneurs. Les plus pauvres sont les ouvriers agricoles, charretiers, bergers. Les plus aisés sont les 4 fermiers qui louent les fermes de Bois Chaland, des Plattières, de Place et des Folies au seigneur de Lisses. Entre les deux, on trouve les vignerons, les artisans et commerçants (charrons, maçons, couvreurs, tonneliers…)[réf. nécessaire].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[22], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de l'Essonne et à son arrondissement d'Évry après un transfert administratif effectif au [I 2]
Elle faisait partie de 1793 à 1964 du canton de Corbeil-Essonnes, année où elle intègre le canton de Corbeil-Essonnes-Nord du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place de l'Essonne, elle est rattachée en 1967 au canton d'Évry puis, en 1985, au canton d'Évry-Sud[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Corbeil-Essonnes[I 2]
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Essonne.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune était membre de la communauté d'agglomération Évry Centre Essonne, créée fin 2000.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, le préfet de la région d'Île-de-France approuve le un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment la « fusion de la communauté d'agglomération Évry Centre Essonne (91), de la communauté d'agglomération Seine-Essonne (91), de la communauté d’agglomération de Sénart en Essonne (91), et de la communauté d'agglomération de Sénart (77) et (l')extension du nouveau groupement à la commune de Grigny (91)[23] », antérieurement membre de la communauté d'agglomération Les Lacs de l'Essonne.
C'est ainsi qu'a été créée au la communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine-Essonne-Sénart dont Lisses est désormais membre[I 2]
Tendances et résultats politiques
[modifier | modifier le code]Élections présidentielles
[modifier | modifier le code]Résultats des deuxièmes tours
[modifier | modifier le code]- Élection présidentielle de 2002 : 84,87 % pour Jacques Chirac (RPR), 15,13 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 83,08 % de participation[24].
- Élection présidentielle de 2007 : 50,90 % pour Ségolène Royal (PS), 49,10 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 87,15 % de participation[25].
- Élection présidentielle de 2012 : 55,02 % pour François Hollande (PS), 44,98 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 83,94 % de participation[26].
- Élection présidentielle de 2017 : 72,18 % pour Emmanuel Macron (LREM), 27,82 % pour Marine Le Pen (RN), 66,67 % de participation[27].
- Élection présidentielle de 2022 : 65,43 % pour Emmanuel Macron (LREM), 34,57 % pour Marine Le Pen (RN), 64,70 % de participation[28].
Élections législatives
[modifier | modifier le code]Résultats des deuxièmes tours
[modifier | modifier le code]- Élections législatives de 2002 : 55,60 % pour Manuel Valls (PS), 44,40 % pour Serge Dassault (UMP), 61,27 % de participation[29].
- Élections législatives de 2007 : 56,05 % pour Manuel Valls (PS), 43,95 % pour Cristella De Oliveira (UMP), 58,46 % de participation[30].
- Élections législatives de 2012 : 62,01 % pour Manuel Valls (PS), 37,99 % pour Cristella De Oliveira (UMP), 52,33 % de participation[31].
- Élections législatives de 2024 : 55,56 % pour Manuel Valls (PS), 44,44 % pour Farida Amrani (LFI), 40,39 % de participation[32].
- Élections législatives de 2022 : 50,61 % pour Farida Amrani (LFI), 49,39 % Medhy Zeghouf (ENS), 40,89 % de participation[33].
- Élections législatives de 2024 : 35,50 pour Farida Amrani (LFI), 34,02 % pour Stéphane Beaudet (IND), 30,48 % pour Thiébault Vega (RN), 66,66 % de participation[34].
Élections européennes
[modifier | modifier le code]Résultats des deux meilleurs scores
[modifier | modifier le code]- Élections européennes de 2004 : 30,29 % pour Harlem Désir (PS), 11,28 % pour Marine Le Pen (FN), 39,75 % de participation[35].
- Élections européennes de 2009 : 22,01 % pour Michel Barnier (UMP), 18,81 % pour Daniel Cohn-Bendit (Les Verts), 39,38 % de participation[36].
- Élections européennes de 2014 : 27,11 % pour Aymeric Chauprade (FN), 14,94 % pour Alain Lamassoure (UMP), 39,83 % de participation[37].
- Élections européennes de 2019 : 23,50 % pour Marine Le Pen (RN), 18,03 % pour Nathalie Loiseau (RE), 45,95 % de participation[38].
- Élections européennes de 2024 : 31,79 % pour Jordan Bardella (RN), 18,81 % pour Manon Aubry (LFI), 48,32 % de participation[39].
Élections régionales
[modifier | modifier le code]Résultats des deux meilleurs scores
[modifier | modifier le code]- Élections régionales de 2004 : 57,20 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 30,75 % pour Jean-François Copé (UMP), 64,41 % de participation[40].
- Élections régionales de 2010 : 65,44 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 34,56 % pour Valérie Pécresse (UMP), 47,31 % de participation[41].
- Élections régionales de 2015 : 39,40 % pour Claude Bartolone (PS), 35,76 % pour Valérie Pécresse (LR), 54,69 % de participation[42].
- Élections régionales de 2021 : 41,60 % pour Valérie Pécresse (LR), 34,27 % Julien Bayou (LUGE), 29,55 % de participation[43].
Élections cantonales et départementales
[modifier | modifier le code]Résultats des deuxièmes tours
[modifier | modifier le code]- Élections cantonales de 2004 : 60,88 % pour Francis Chouat (PS), 39,12 % pour Jean Hartz (UMP), 64,86 % de participation[44].
- Élections cantonales de 2011[45] : 67,27 % pour Francis Chouat (PS), 32,73 % pour Camille Houeix (FN), 43,60 % de participation[46].
- Élections départementales de 2015 : 59,59 % pour Jean-Pierre Bechter et Caroline Varin (LR), 40,41 % pour Gabriel Caillet et Sophie Legoff (FN), 45,11 % de participation[47].
- Élections départementales de 2021 : 56,81 % pour Karl Dirat et Caroline Varin (DVD), 43,19 % pour Fadila Chourfi et Alexandre Masquestiau (DVG), 30,25 % de participation[48].
Élections municipales
[modifier | modifier le code]Résultats des deuxièmes tours
[modifier | modifier le code]- Élections municipales de 2001 : données manquantes.
- Élections municipales de 2008 : 53,13 % pour Thierry Lafon (DVD), 46,88 % pour Christian Dron (DVG), 69,97 % de participation[49].
- Élections municipales de 2014 : 54,49 % pour Thierry Lafon (DVD), 30,53 % pour Français Petit-Jean (LUG), 14,97 % pour Roland Dimur (LDVD), 57,19 % de participation[50].
- Élections municipales de 2020 : 50,16 % pour Michel Souloumiac (LDIV), 49,83 % pour Thierry Lafon (LDIV), 43,94 % de participation[51].
Référendums
[modifier | modifier le code]- Référendum de 2000 relatif au quinquennat présidentiel : 76,38 % pour le Oui, 23,62 % pour le Non, 30,14 % de participation[52].
- Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l'Europe : 58,09 % pour le Non, 41,91 % pour le Oui, 69,23 % de participation[53].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Lisses a développé des associations de jumelage avec :
- Aue Falstein (Allemagne) depuis 1995, en allemand Aue-Fallstein, située à 706 kilomètres[61].
Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Espaces publics
[modifier | modifier le code]Lisses a été récompensé en 2010 par une fleur au concours des villes et villages fleuris[62].
Enseignement
[modifier | modifier le code]Les élèves de Lisses sont rattachés à l'académie de Versailles.
La commune dispose en 2010 des écoles primaires Jean-Baptiste Corot, Frédéric Mistral et Joachim du Bellay[63] et du collège Rosa Luxemburg[64], elle dépend du lycée François Truffaut de Bondoufle et du lycée Robert Doisneau de Corbeil-Essonnes.
Santé
[modifier | modifier le code]La commune dispose sur son territoire de la maison de retraite le Béguinage.
En 2013, un centre de la protection maternelle et infantile est implantée dans la commune[65].
Équipements sportifs
[modifier | modifier le code]La ville de Lisses dispose de nombreux équipements sportifs, réparties sur l'ensemble de son territoire.
Terrains extérieurs
[modifier | modifier le code]- 1 skatepark.
- 1 terrain de rugby (en accès libre).
- 1 terrain de tir à l'arc.
- 4 terrains multisports.
- Parc d'activités Fit'Lisses : Street workout, 3 pistes de marche, aire de jeux.
- Parcours de santé.
Bâtiments sportifs
[modifier | modifier le code]- Gymnase Long Rayage, avec 1 salle équipée pour la gymnastique.
- Gymnase Jean Moulin.
- Complexe sportif Stéphane Diagana : 1 piste d'athlétisme, 3 terrains foot (normes nationale et UEFA), 6 cours tennis dont 2 couverts.
- Complexe sportif Marcel Paul : 4 courts de tennis extérieurs, 1 gymnase.
- Complexe sportif Clarisse Agbegnenou : salles de danse, judo, musculation, boxe, polyvalente.
- Piscine "Tournesol" intercommunale : grand bassin 25m et pataugeoire.
Aires sportives privées
[modifier | modifier le code]- Centre d'escalade (Block'Out Evry-Lisses).
- Fitness (Fitness Park Lisses).
Postes et télécommunications
[modifier | modifier le code]En 2011, la commune dispose d'un bureau de poste[66].
Une tour hertzienne est implantée à Lisses.
Justice, sécurité, secours et défense
[modifier | modifier le code]La commune dispose en 2011 sur son territoire d'un centre de première intervention des sapeurs-pompiers[67]
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[68]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[69].
En 2021, la commune comptait 7 292 habitants[Note 5], en évolution de −3,88 % par rapport à 2015 (Essonne : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 1968, Lisses était un bourg d'à peine 700 habitants vivant sous la mouvance de Corbeil-Essonnes, sous-préfecture et pôle d'emplois important. Incluse dans le périmètre de la ville nouvelle d'Évry, la commune de Lisses a vu sa population multipliée par 10,6 depuis 1968. Les 4/5 de cet accroissement de population sont dus au solde migratoire (arrivée de nouveaux habitants) inhérent à la construction d'une partie de la ville nouvelle sur le territoire communal. Le dernier cinquième est dû au solde naturel positif (naissances supérieures aux décès). Mais les dernières tendances (entre 1990 - 1999) font apparaître un solde migratoire négatif (163 départs de plus que d’arrivées). La population a cependant augmenté grâce au solde naturel qui a compensé ce solde migratoire négatif.
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,9 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,8 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 3 615 hommes pour 3 735 femmes, soit un taux de 50,82 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,02 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
La population lissoise se caractérisait par sa jeunesse ; néanmoins les dernières tendances font état d'un certain vieillissement de la population (part des plus de 40 ans en hausse, celle des moins de 20 ans en baisse). Lisses était donc une commune jeune mais en cours de vieillissement.
Cultes
[modifier | modifier le code]La paroisse catholique de Lisses est rattachée au secteur pastoral d'Évry et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Saint-Germain-et-Saint-Vincent[73].
Médias
[modifier | modifier le code]L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.
Économie
[modifier | modifier le code]Emplois, revenus et niveau de vie
[modifier | modifier le code]En 2006, le revenu fiscal médian par ménage était de 21 269 €, ce qui plaçait la commune au 1 864e rang parmi les 30 687 communes de plus de cinquante ménages que compte le pays et au cent trente-huitième rang départemental[74].
Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006. | ||||||
Agriculteurs | Artisans, commerçants, chefs d’entreprise |
Cadres et professions intellectuelles supérieures |
Professions intermédiaires |
Employés | Ouvriers | |
---|---|---|---|---|---|---|
Lisses | 0,1 % | 3,6 % | 19,3 % | 33,1 % | 21,7 % | 22,2 % |
Zone d’emploi d’Évry | 0,3 % | 4,0 % | 20,2 % | 29,6 % | 28,2 % | 17,7 % |
Moyenne nationale | 2,2 % | 6,0 % | 15,4 % | 24,6 % | 28,7 % | 23,2 % |
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006. | ||||||
Agriculture | Industrie | Construction | Commerce | Services aux entreprises |
Services aux particuliers | |
Lisses | 0,2 % | 22,1 % | 5,1 % | 31,3 % | 16,0 % | 4,8 % |
Zone d’emploi d’Évry | 0,9 % | 13,5 % | 5,4 % | 14,6 % | 16,2 % | 6,9 % |
Moyenne nationale | 3,5 % | 15,2 % | 6,4 % | 13,3 % | 13,3 % | 7,6 % |
Sources : Insee[75],[76],[77] |
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Patrimoine environnemental
[modifier | modifier le code]- Maison de l'environnement de l'Essonne au Domaine de Montauger[78].
- Les bois à l'est et à l'ouest du territoire ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le département de l'Essonne[79].
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Le château de Montauger en bordure de l'Essonne, est le vestige d'un château plus vaste, rebâti en 1759-1760 par Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne pour Gilbert-Jérôme Claustrier, premier commis du contrôle général des finances, et remanié au milieu du XIXe après sa démolition partielle au début du siècle. Grille en fer forgé du dessin de l'architecte[81]. Propriété départementale depuis 2002.
- Vestiges du Château de Beaurepaire démoli en 1825 dont il reste les communs, les fossés d'entrée et la demi-lune au fond du parc[82].
-
L'église Saint-Germain-et-Saint-Vincent.
-
Le château de Montauger.
Personnalités liées à la commune.
[modifier | modifier le code]Lisses dans les arts et la culture
[modifier | modifier le code]- Lisses a servi de lieu de tournage au film Yamakasi d'Ariel Zeitoun sorti en 2001.
- Lisses est le lieu de création du parkour sport créé par David Belle en 1990.
Héraldique et logotype
[modifier | modifier le code]Blason | Taillé: au premier de gueules au chevalier armé d'une lance de tournoi au naturel mouvant de la partition, au 2e de sinople au chevalier armé d'une épée et d'un bouclier au naturel mouvant de la pointe; à la cotice en barre de sinople, brochant sur la partition et chargée de l'inscription « LICEA » d'or accostée de deux flèches du même, affrontées et sans empennage; le tout sommé d'un comble de sinople chargé de l'inscription « LISSES » d'or accostée de deux compons de gueules eux-mêmes accompagnés en flancs de deux étoiles à six rais d'or[83]. |
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---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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Alias | La commune de Lisses est dotée d’un logotype. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Lisses », p. 390–393
- Élisabeth Grunberg, Le Hurepoix : Évry, Ris-Orangis, Bondoufle, Courcouronnes, Lisses, t. III, Paris, J.-P. Bourgeron, , 94 p. (ISBN 978-2-903097-03-5, LCCN 81100799)
- Jacques Guyard, C'était en 1900, Bondoufle, Courcouronnes, Évry, Lisses, Ris-Orangis, Adef,
- Marie-Annick Mantzer, Lisses et les Lissois, Le Mée-sur-Seine, Amattéis, , 350 p. (ISBN 978-2-86849-144-2)
- Collectif d'auteurs, Lisses, Amattéis,
- Jean-Claude Derosin, Lisses et les Lissois : Sous la Révolution et l'Empire, 1789-1815, Le Mée-sur-Seine, Amattéis, , 174 p. (ISBN 978-2-86849-196-1)
- Philippe Cachau : Domaine départemental de Montauger (Lisses-Villabé-91), Conservatoire des espaces naturels sensibles, Conseil général de l'Essonne, 2004 (consultable aux Archives départementales à Chamarande).
- Gérard Porcher, Meurtres en eau trouble à Lisses, Lisses, Dedicaces, , 318 p. (ISBN 978-2-8106-0149-3)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Dossier complet : Commune de Lisses (91340) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, (consulté le ).
- « Lisses » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- « Commune de Lisses », Code Officiel Géographique au 1er janvier 2024, sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Lisses ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Lisses - Section LOG T1 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Lisses - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans l'Essonne - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 05/04/2009.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lisses et Brétigny-sur-Orge », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Brétigny_sapc » (commune de Brétigny-sur-Orge) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Brétigny_sapc » (commune de Brétigny-sur-Orge) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
- « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb, (consulté en ).
- Yannick SOURISSEAU, « Le plus gros Datacenter français sera installé en Essonne », sur Ville Intelligente Mag (consulté le ).
- « Avis d'enquête favorable pour le projet de data center géant de CloudHQ », sur journaldunet.com (consulté le ).
- Enquête publique unique, "Projet de création et de mise en exploitation d'un data center sur le territoire de la commune de LISSES (91090) présenté par la société CloudHQ France. Demande d'autorisation environnementale, au titre des installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE)" Arrêté préfectoral n°2021-PREF/DCPPAT/BUPPE/184 du 23 juillet 2021
- Carte des aires d'autoroute APRR sur le site officiel du concessionnaire. Consulté le 05/11/2009.
- Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak, Origine des noms de Paris et sa banlieue (91-92-93-94-95), Saint-Jean-d'Angély, Nouvelles Éditions Bordessoules, , 350 p. (ISBN 978-2-916344-41-6), p. 211.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Histoire de la Ville », sur ville-lisses.fr (consulté en ).
- Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
- « Arrêté du Préfet de la région Île-de-France du 4 mars 2015 portant adoption du schéma régional (la coopération intercommunale » [PDF], sur marneetgondoire.fr (consulté le ).
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- Résultats de l'élection européenne 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/10/2014.
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- Résultats de l'élection régionale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 04/08/2009.
- Résultats de l'élection régionale 2010 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 31/03/2010.
- Résultats de l'élection régionale 2015 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 19/12/2015.
- Ministère de l'Intérieur et des Outre-mer, « Les archives des élections en France » , sur archives-resultats-elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
- Résultats de l'élection cantonale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 04/08/2009.
- « Thierry Lafon déjà candidat aux cantonales », Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le ).
- Résultats de l'élection cantonale 2011 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 02/04/2011.
- Résultats de l'élection départementale 2015 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 19/12/2015.
- Ministère de l'Intérieur et des Outre-mer, « Les archives des élections en France » (consulté le ).
- Résultats de l'élection municipale 2008 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 24/01/2013.
- Ministère de l'Intérieur et des Outre-mer, « Les archives des élections en France » , sur archives-resultats-elections.interieur.gouv.fr, (consulté le ).
- Ministère de l'Intérieur et des Outre-mer, « Les archives des élections en France » , sur archives-resultats-elections.interieur.gouv.fr, (consulté le ).
- Résultats du référendum 2000 sur le site politiquemania.com Consulté le 04/08/2009.
- Résultats du référendum 2005 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 04/08/2009.
- Les maires successifs de Lisses, sur mairesgenweb.org (consulté le 4 juin 2009)
- « Roche Marie, ancien sénateur de Seine-et-Oise », Ancien sénateur de la IVe République, sur senat.fr (consulté le ).
- Fiona Moghaddam, « En 1945, les premières femmes élues maires en France », franceculture.fr, 2 mars 2020.
- « Dernier hommage à Jean-Pierre Vervant », Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne).
- Pauline Darvey, « Municipales à Lisses : Thierry Lafon et ses dix-neuf ans de règne balayés par huit petites voix », Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne , consulté le ) « A la tête de la ville depuis 2001, Thierry Lafon (divers droite) a été détrôné sur le fil par Michel Souloumiac, qui avait quitté la majorité en 2019. Au premier tour, le maire sortant était pourtant largement arrivé en tête ».
- Amélie Com, « Lisses : le maire, Michel Souloumiac, est décédé un mois après un premier arrêt cardiaque », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ) « Adjoint au maire délégué aux finances pendant 19 ans, membre des Républicains avant de quitter le parti, le septuagénaire s’était éloigné de la majorité en 2019 à la suite d'un désaccord. Un an plus tard, Michel Souloumiac se présentait avec succès aux élections municipales : de 8 petites voix, il l’emportait au second tour face au maire sortant, Thierry Lafon ».
- « À la suite du décès de monsieur le maire Michel Souloumiac, le 14 juin dernier, le conseil municipal s'est réuni, jeudi 27 juin, pour élire en son sein le nouveau maire de Lisses. C'est monsieur Jean-Marc Morin, qui a été élu maire de la commune. » [1].
- « http://www.cncd.fr/frontoffice/bdd-projet.asp?projet_id=55307 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) Fiche du jumelage avec Lövenich sur le site du ministère français des Affaires étrangères, consulté le .
- Palmarès départementale sur le site officiel de l'association. Consulté le 15/01/2010.
- Liste des écoles du département sur le site de l'Inspection académique de l'Essonne. Consulté le 15/09/2010.
- « http://www.ac-versailles.fr/public/upload/docs/application/pdf/2010-04/repertoire_etablissements_91_avril-2010.pdf »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) Liste des établissements du second degré en Essonne sur le site de l'Académie de Versailles. Consulté le 4 octobre 2010.
- Fiche du centre de PMI de Lisses sur le site du conseil général de l'Essonne. Consulté le 15/01/2013.
- Coordonnées de l'agence postale de Lisses sur le site de La Poste. Consulté le 15/05/2011.
- Carte d'organisation des centres de secours en Essonne sur le site du SDIS 91. Consulté le 23/02/2011.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lisses (91340) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Essonne (91) », (consulté le ).
- Fiche de la paroisse sur le site officiel du diocèse. Consulté le 16/11/2009.
- « Résumé statistique national sur le site de l’Insee. »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) Consulté le 26/10/2009.
- « %5CCOM%5CDL_COM91340.pdf Rapport statistique communal sur le site de l'Insee. »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) Consulté le 20/06/2010.
- « %5CDL_ZE19901147.pdf Rapport statistique de la zone d'emploi d'Évry sur le site de l'Insee. »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) Consulté le 20/05/2010.
- Rapport statistique national sur le site de l'Insee. Consulté le 05/07/2009.
- « Maison de l'environnement de l'Essonne », sur essonne.fr (consulté en ).
- « Carte des ENS de Lisses sur le site du conseil général de l'Essonne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur essonne.fr (consulté en ).
- « Église », notice no PA00087939, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Parc du château de Montauger », notice no IA91000402, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ancien parc de Beaurepaire, actuellement exploitation agricole », notice no IA91000403, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).