Noyelles-sous-Lens
Noyelles-sous-Lens | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Lens | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Lens-Liévin | ||||
Maire Mandat |
Alain Roger 2020-2026 |
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Code postal | 62221 | ||||
Code commune | 62628 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Noyellois, Noyelloises | ||||
Population municipale |
6 659 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 1 790 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 25′ 52″ nord, 2° 52′ 25″ est | ||||
Altitude | Min. 23 m Max. 43 m |
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Superficie | 3,72 km2 | ||||
Type | Grand centre urbain | ||||
Unité urbaine | Douai-Lens (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lens - Liévin (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Harnes | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | noyelles-sous-lens.fr | ||||
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Noyelles-sous-Lens est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin qui regroupe 36 communes et compte 242 587 habitants en 2021.
En 1928, la Compagnie des mines de Courrières y ouvre sa fosse no 23, qui ferme ses portes quarante ans plus tard.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune possède au nord-est un corridor géographique limitrophe des communes d'Harnes et de Fouquières-lès-Lens.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes. Les communes limitrophes sont Fouquières-lès-Lens, Harnes, Loison-sous-Lens et Sallaumines.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 3,72 km2 ; son altitude varie de 23 à 43 mètres[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par le canal de Lens, d'une longueur de 9,41 km, qui prend sa source dans la commune de Lens et se jette dans le canal de la Deûle au niveau de la commune de Courrières[2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 738 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 16 km à vol d'oiseau[5], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Noyelles-sous-Lens est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lens - Liévin, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5],[11]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (90,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (84,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (70,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,8 %), mines, décharges et chantiers (8,8 %), zones agricoles hétérogènes (7,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,4 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Noyella (1129) ; Nigella juxta Lens (1171) ; Noella (1190) ; Noella juxta Betricurt (XIIe siècle) ; Noele (1245) ; Noyele (1247) ; Noiele (1290) ; Noiella juxta Lens (1306) ; Noielle-dessous-Lens (1323) ; Noyelle (1378) ; Noyelles sous la ville de Lens (1591)[15].
Toponyme gaulois composé de *novio, latinisé en Nigella aux IXe et Xe siècles (« neuf, nouveau » → voir Noyon) et *ialo- (« clairière, lieu défriché, essart » → voir Neuilly et Noailles).
En langue picarde, "noyé" signifie "sous l'eau - inondé" et correspond à la physionomie de la commune dont une partie des terrains est inondable[réf. nécessaire].
"sous" : Du latin subtus (« en dessous, par-dessous »). Noyelle est dans l'unité urbaine de Douai-Lens et dans la banlieue de l'aire d'attraction de Lens-Liévin (commune du pôle principal).
Histoire
[modifier | modifier le code]En l’an 1200, Michel d’Hulluch hérita de la terre de Noyelles et en prit le nom qu’il transmit à ses descendants qui l’ont possédé pendant plus de cinq siècles.
Jean de Noyelles sous Lens, Lancelot de Noyelles sous Lens et Pierre de Noyelles sous Lens, combattent et trouvent la mort lors de la bataille d'Azincourt en 1415[16].
En , par lettres données à Bruxelles, la terre et seigneurie de Noyelles, tenue du château de Lens, est érigé en comté en faveur de Hugues de Noyelles, seigneur du lieu et désormais comte, de Stade, Lo (Belgique), Roosebeke, Calonne-Ricouart, gentilhomme de la bouche (panetier) des archiducs Albert d'Autriche et Isabelle-Claire-Eugénie d'Autriche[17].
Exploitation charbonnière
[modifier | modifier le code]Années 1920
[modifier | modifier le code]Immigration polonaise
[modifier | modifier le code]Tout comme le reste du bassin minier, Noyelles-sous-Lens a accueilli des mineurs et leurs familles venus dans le cadre de l'immigration polonaise en France dans les années 1920.
La fosse no 23
[modifier | modifier le code]L'ouverture de ce puits remonte au . Le puits est creusé par la Compagnie des mines de Courrières. La fosse fonctionne à partir de 1929. La profondeur totale du puits atteint 512 mètres. La fosse a la particularité de ne posséder qu'un seul puits sur son carreau, ce qui, avec les fosses 1 et 2, fait exception dans la Compagnie des mines de Courrières.
Le , la fosse 23 est concentrée sur la fosse 9/17 d'Harnes. L'extraction cesse définitivement le . La production totale est alors de 4 351 000 tonnes de charbon.
Seconde Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]La ville est occupée par l'Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale, quand elle est placée sous administration militaire allemande.
C'est dans la commune proche de Montigny-en-Gohelle, dans le Pas-de-Calais, à la fosse 7 de la Compagnie des mines de Dourges, que la grève patriotique des cent mille mineurs du Nord-Pas-de-Calais en mai-juin 1941 a démarré, avec Émilienne Mopty et Michel Brulé (1912-1942), privant les Allemands de 93 000 tonnes de charbon pendant près de 2 semaines[18]. C'est l'un des premiers actes de résistance collective à l'occupation nazie en France et le plus important en nombre, qui se solda par 414 arrestations en 3 vagues, la déportation de 270 personnes[19], 130 mineurs étant par ailleurs fusillés à la Citadelle d'Arras. Après-guerre, la commune est aussi au centre de trois événements nationaux, la "bataille du charbon" (1945-1947), suivie des grève des mineurs de 1947 et celles de 1948.
Le centre de formation
[modifier | modifier le code]En 1946, le Centre de formation du Groupe d'Hénin-Liétard est installé sur une partie du carreau. Dans les années 1960, le Centre est le lieu de passage obligé des travailleurs marocains recrutés au Maroc par les Houillères. En quatre semaines, ils doivent acquérir les bases du métier de mineur, et quelques notions de la langue française pour ceux qui ne la pratiquent pas[20]
La fosse servira encore pour le service du personnel et du matériel pour le 9/17 jusqu'au , date où le 9/17 est rattaché au 21/22. Le puits est remblayé en 1968 et le chevalement est abattu en . Le centre de formation est maintenu jusque dans les années 1980.
Le Centre national de gestion des retraités
[modifier | modifier le code]En 1985, création du CNGR, Le Centre national de gestion des retraités assure la gestion et le service des avantages en nature et des prestations à la charge de l’employeur aux anciens agents des HBNPC (Houillères du bassin du Nord-Pas-de-Calais). Le siège se trouvera dans les anciens bâtiments de la fosse 23. Viendront par la suite, ceux des HBCM, de CDF, du CERCHAR en 1987, et enfin aux anciens agents des HBL en 1989. Ce centre deviendra par la suite Association nationale de gestion des retraites, établissement public dépendant de Charbonnages de France.
Parution au Journal officiel du de la loi no 2004-105 du portant création de l’Agence nationale pour la garantie des droits des mineurs (ANGDM), elle remplace désormais l'ANGR. Son décret d’application est signé le .
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Lens du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin.
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée au canton d'Harnes.
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la troisième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Élections municipales 2020
[modifier | modifier le code]- Maire sortant : Alain Roger (DVG)
- 29 sièges à pourvoir au conseil municipal (population légale 2017 : 6 561 habitants)
- 2 sièges à pourvoir au conseil communautaire (CA de Lens-Liévin)
Tête de liste | Liste | Premier tour | Sièges | |||
---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | CM | CC | |||
Alain Roger[Note 6],[21] | DVG | 1 377 | 68,54 | 25 | 2 | |
Philippe Reppert[22] | SE | 632 | 31,45 | 4 | 0 | |
Votes valides | ||||||
Votes blancs | ||||||
Votes nuls | ||||||
Total | 100 | |||||
Abstention | ||||||
Inscrits / participation |
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Autres élections
[modifier | modifier le code]Aux élections présidentielles de 2017, la candidate du Front National, Marine Le Pen, arrive en tête au premier tour avec 41,05 % des voix, devant Jean-Luc Mélenchon (2ème) et Emmanuel Macron (3ème).[réf. nécessaire][30]
Jumelages
[modifier | modifier le code]La commune est jumelée avec :
Ville | Pays | Période | ||
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Roundstone[31],[32],[33] | Irlande | depuis | ||
Szczecinek[31],[32],[33] | Pologne | depuis |
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].
En 2021, la commune comptait 6 659 habitants[Note 7], en évolution de −1,35 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,5 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 3 091 hommes pour 3 555 femmes, soit un taux de 53,49 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Amand,
- Monument aux morts de la catastrophe de Courrières (),
- Monument aux morts de la Première Guerre mondiale,
- Fosse 23 de Noyelles-sous-Lens, qui a été reconvertie après sa fermeture en centre de gestion du personnel des Houillères (voir plus haut). Ce qui a permis la conservation de nombreux bâtiments, dont la mine-image souterraine (reconstitution à quelques mètres de profondeur, des galeries du fond pour la formation des apprentis-mineurs, les élèves y descendaient par une galerie faiblement pentée).
En 2012, les bureaux, locaux sociaux, bains douches, baraque à outils, lampisterie, poste de transformation électrique, magasin, ateliers, chaufferie et centre de formation aux métiers de la mine sont encore visibles. C'est un des sites miniers du bassin Nord-Pas-de-Calais à posséder encore un grand nombre de bâtiments d'époque. Des fondations des machines et des équipements miniers sont également visibles sur une partie du site.
-
Monument aux morts de la catastrophe de Courrières.
-
Monument aux morts.
-
L'église Saint-Amand.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Henri Caron (1924-2002), champion du monde de marche athlétique, est natif de la commune.
- François Ludo (1930-1992), footballeur international français, y est né.
- Edita Piekha (1937-), chanteuse russe très populaire durant la deuxième moitié du XXe siècle, elle dispose de sa propre étoile sur le Star Square de Moscou, y est née.
- Bronisław Bebel, (1949-), est un ancien joueur polonais de volley-ball, a habité à Noyelles-sous-Lens.
- Benoît Cori, (1982-), coureur d'ultrafond, y est né.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de la ville se blasonnent ainsi : écartelé au 1) et 4) d’or aux trois bandes de gueules, au 2) de gueules à la croix de guerre 1914-1918 d’or et 3) de gueules à la herse d’or. |
Les armes anciennes de la ville "Écartelé d’or et de gueules" étaient celles de Michel d'Hulluch, en 1200.
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Douai-Lens comprend quatre villes-centres (Douai, Hénin-Beaumont, Lens, Liévin) et 63 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Liste du maire sortant ou de la maire sortante
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Sandre, « Fiche cours d'eau - canal de Lens (E3010750) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Noyelles-sous-Lens et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Noyelles-sous-Lens ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lens - Liévin », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 281.
- « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 212, lire en ligne
- Etienne Dejonghe, « Chronique de la grève des mineurs du Nord/Pas-de-Calais (27 mai - 6 juin 1941) », Revue du Nord, t. 69, no 273, , p. 323-345 (ISSN 0035-2624, e-ISSN 2271-7005, DOI 10.3406/rnord.1987.4298).
- « Grève des mineurs du Nord-Pas-de-Calais »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Chemins de Mémoire (consulté le ).
- Les gueules noires du Maroc, Pays de Nord, N° 106, pages 18-20
- « - Bilan du maire de Noyelles-sous-Lens : Alain Roger a voulu continuer «à rendre service à la population» », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
- « - Philippe Reppert présente une liste pour rassembler les Noyellois », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
- Notice GALLET Auguste, Justin, Paul, version mise en ligne le 31 mars 2009, dernière modification le 31 mars 2009
- [1]
- Noyelles Actualités N°78 (octobre 2017)
- Camille Raad, « Bilan du maire de Noyelles-sous-Lens: Alain Roger veut poursuivre le chemin tracé sur la feuille de route de son premier mandat : Suite de notre série de bilans des maires avec Alain Roger (divers gauche) qui revient sur un premier mandat sans « aucun regret » et se verrait bien en gérer un deuxième, afin de poursuivre le développement de la commune », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- M.L., « Noyelles-sous-lens : Alain Roger goûte une réélection en douceur au poste de maire : Samedi 29 mars, la salle du foyer municipal accueillait près d’une centaine de Noyellois venus observer de près la trentaine de conseillers municipaux fraîchement élus. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Auriane Stanesco, « Bilan du maire de Noyelles-sous-Lens : Alain Roger a voulu continuer « à rendre service à la population » : Notre série sur les bilans des maires nous conduit à Noyelles-sous-Lens où Alain Roger termine son deuxième mandat. Satisfait de ce qui a été accompli lors de ce mandat, il n’a pas envie de s’arrêter là car il a encore quelques projets en tête. Il est donc candidat à sa succession. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Jean-Luc Moregola (Clp), « Noyelles-sous-Lens: un troisième mandat pour Alain Roger : Afin de respecter les gestes barrières, c’est au foyer municipal que s’est tenu le conseil municipal d’installation. Gants, gel hydroalcoolique, masque, stylo ont été mis à disposition des élus et chacun avait ses 4 m² d’espace », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Résultats 1er tour présidentielle 2017 ».
- « https://pastel.diplomatie.gouv.fr/cncdext/dyn/public/atlas/rechercheAtlasFrance.html?criteres.collectiviteId=25140 »
- « https://www.jumelage.xyz/Hauts-de-France/Pas-de-Calais/Noyelles-sous-Lens »
- « https://www.noyelles.net »
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Noyelles-sous-Lens (62628) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).