faire travailler votre gaz comprimé, ce qui est l’enfance de l’art.
Pierre Giffard a publié un livre qu’il intitule triomphalement (tout en oubliant de me l’envoyer) la Fin du cheval.
Le temps n’est peut-être pas si loin où l’on pourra écrire, et non sans raison, la Fin du Pétrole, la Fin de l’électricité, etc., etc.
Les machines à bactéries, l’avenir ne saurait se trouver ailleurs, car ce moteur-là ne risquera jamais de s’épuiser ; quand il n’y en a plus, il y en aura encore !
Et puis, le grand avantage du système Melnikoff consiste surtout dans la facile utilisation du résidu : à peu près un litre de cognac (?) pour cinq kilos de glucose employée.
Chouette, alors ! Y aura du bon !
Et maintenant, arrachons brutalement à M. N.-P. Melnikoff, d’Odessa, la couronne apothéotique qu’il usurpe !
M. N.-P. Melnikoff arrive bon second dans cette intéressante question.
Le premier ne fut autre, une fois de plus, vous l’avez deviné, que notre glorieux ami, le Captain Cap.