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Voici, en effet, deux ans (le loisir me manque de retrouver la date précise) que sur les indications du Captain, nous préconisâmes le moyen d’économiser le prix du transport de nos vins nationaux depuis l’endroit de la récolte jusqu’à celui de la consommation.
Il s’agissait très simplement de les véhiculer pendant leur temps de fermentation, en utilisant leur acide carbonique sous pression pour actionner les roues de camions ad hoc.
Ajoutons, non sans humiliation, qu’aucun constructeur ne réalisa ce beau rêve.
Mais la Russie était là, qui veillait !
Vive la Russie ! monsieur !