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11mb Pro

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  • Sans Soleil
  • The Shining
  • Vertigo
  • Mirror

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  • Au Revoir les Enfants

    ★★★★★

  • Call Me by Your Name

    ★★★★

  • The Inquisitor

    ★★★★★

  • Indiana Jones and the Last Crusade

    ★★★★★

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  • Au Revoir les Enfants

    Au Revoir les Enfants

    ★★★★★

    Chef d’œuvre absolu. 
    La fin de l’innocence, le rapport de l’individu à l’histoire, la question de la mémoire (individuelle et collective), la présence de figures parentales absentes (le père) ou présentes (la mère) constituent autant des repères thématiques qu’une matière dans laquelle Louis Malle irait puiser l’essence de sa réflexion.
    En regardant les films de Malle on pense aussi aux films de Jean Renoir. Il y a une filiation thématique ou situationnelle. Au revoir les enfants fait penser à La grande…

  • Call Me by Your Name

    Call Me by Your Name

    ★★★★

    Le film commence par ce qui bouleversa  Wilhelm Jensen dans son roman Gradiva, la beauté d’une statue qui deviendra une obsession, un idéal de beauté, un rêve à retrouver. 
    Le film s’appliquera ensuite à être une sensation. Sensation amoureuse, sensation d’été, sentiment de liberté… rien de nouveau sous le soleil dans la découverte du premier amour et de la recherche identitaire. Néanmoins, l’intelligence et la douceur avec laquelle Guadagnino traite ses personnages fait du bien. On a envie d’être avec…

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  • Athena

    Athena

    ½

    Outre le problèmes politique et morale qui émerge de ce film cretin, qui comme Bac Nord mais puissance 10, incitera les gens à voter RN, si Athena n’est pas un bon film, c’est entre autres, parce qu’on assiste à la disparition assumée du langage cinématographique au profit de la virtuosité pyrotechnique, qui une fois passée le 14 juillet, n’a aucun intérêt. Aucune ambition de cinéma derrière ce pamphlet de gros facho, juste une volonté constante de Gavras de vouloir nous…

  • Under the Sun of Satan

    Under the Sun of Satan

    ★★★★★

    « Jamais je ne vais savoir être vieux. »
    Austère, verbeux et scandaleux, questionnant la morale des hommes, inaccessible, il est aisé de comprendre ce qui a choqué le festival de Cannes 1987 à l’annonce de sa palme d’or. 
    Pourtant, Sous le soleil de Satan est clairement de ces films qui hissent le cinéma vers le haut. Qui touche à l’absolu. 
    Dieu est forcément vaincu car Satan c’est notre conscience nous dit Pialat. À travers le personnage de l’abbé de…

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