L’atmosphère est pesante et poisseuse.
Malgré de petites longueurs lors des seules moments de repos face à la tension incessantes…le film provoque lors de scènes et séquences brillantes.
Comme (tous en restant évasif) le fou rire qui finit par être traumatisant. Ou bien (en essayant encore d’être flou) le jeux contemporain des corps lors de moments hors du réalisme.
La quête vers le summum de l’hallucination
Je note la belle référence à Jean Cocteau. Les références sont claires !
Malheureusement le chapitre 3 est le seul chapitre qui m’a attrapé. Car par enthousiasme, toute la folie surréaliste est déployée.
Même si le film est esthétiquement une belle réussite. Dans un univers semi réaliste. Les premiers chapitres sont contemplatifs mais vide.
C’est non !
Le Concept oui, mais pour 1h grand max, et puis le manque de budget pour pouvoir aller au bout du concept se fait ressentir. Sans oublier le plagiat du ´ending de "Se7en" qui en vaut clairement pas la peine.
Après "En plein feu", "Acide", "Le règne animal" voilà un nouveau film de genre français avec comme seul décor : La forêt et des embouteillages.
Dommage 🤷
1. Le patine flamboyante est le pari du film !
Mes problèmes avec cette suite étaient sa colorimétrie (trop) haute en couleur, accompagnée d'une définition de l'image "sans âmes" car bien trop net , et une bouilli numérique.
Le film se lance et je suis regrettablement extérieur au film à cause de la photographie jusqu'à un moment, jusqu'au déclic. Dans les 10 premières minutes du film un ennemie chute de sa moto et atterri la tête dans le sable et…
