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Don’t forget to select your favorite films!
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Le design sonore dessine l’horreur et l’indicible. Il montre ce qui ne se révèle pas à l’image, le film mobilise différents sens, il questionne sur ce point aveugle, qui pourtant se trouve sous nos yeux.
Puis ces phases de « blancs » visuels qui peuvent se traduire par un écran blanc mais aussi noire au début, et rouge qui dure. Qu’est ce que l’on perçoit de ce vide de couleur ? Qu’est ce que le spectateur y reflète ?
L’absurdité de l’être et son horreur est dépeins d’une manière assez étrange, on est mal à l’aise : c’est très sûrement l’objectif.
Le contraste noir et blanc est parfaitement maîtrisé, et le contraste psychotique aussi.
Les relations intimes et triangulaires qui se lient autours de Karin, personnage central du film, sont très intéressantes. Un sentiment d’amour profondément complexe accompagné d’une grande froideur survole tout le long du film.
Je re écrirais dessus plus tard, je vais me coucher…la nuit m’aidera à méditer dessus
L’actualité ne peut que résonner avec ce film d’une beauté contemplative très mystérieuse.
Des plans plus ou moins long mais coupés par ces différents chapitres poétiquement durs et démonstratif d’une réalité.
Notamment de la vie quotidienne du peuple arabe en Israël, qui n’est pas des plus simples.
Il y a quelque chose de l’absurde de la vie, de sa simplicité et de sa dure complexité.
Chaque personnage m’a intrigué, particulièrement cette femme qui n’apparaît que vers la fin (elle a…