fâchez vous comme vous voulez mais ça reste un film de 4h sur du béton
+ la propagande sioniste m’a mit mal à l’aise, ils utilisent la souffrance des juifs pour justifier l’existence même d’isr@el, et des horreurs qui ont été commises sans rentrer dans le détail en oubliant (volontairement) une grande partie de l’histoire
j’avais sûrement de trop grandes attentes et la comparaison des médias de hirokazu kore-eda a faussé mon jugement mais malgré tout j’ai aimé
il y a beaucoup de non dits, de pauses, de silences dans ce film, il met vrm en avant le patinage artistique et tous les enjeux et sentiments qu’il y a derrière, c’est un sport à la fois très physique mais très mentale aussi
a travers ces enjeux, on peut voir avec les trois personnages principaux le rapport au patinage artistique, que ce soit par volonté, par perfection ou par amour
wooow une claque, un film lent et contemplatif comme on les aime !! déjà le format est plutôt atypique puisqu’il ne suit pas le format classique qu’on utilise au cinéma.
les teintes du film sont magnifiques, je retiens la couleur violette surtout. ce film est l’exemple parfait du plan fixe dans lequel le décors bouge à travers le mouvement de son environnement et de ses personnages.
l’acteur principal est tout autant incroyable, il a très peu de dialogue et pourtant…
« qu’est ce qu’il y a de drôle? »
En réalité, rien de drôle.
J’ai fait l’expérience de regarder le 2 au cinéma, puis le 1 chez moi. Je n’avais jamais vu ce film mais j’ai apprécié le faire de cette manière. Déjà, je n’ai pas eu de grandes attentes pour le 2eme et j’ai pu apprécier le regarder. D’autre part j’ai pu grâce aux informations du deuxième film, mieux comprendre le personnage, mieux le percevoir
Je n’ai jamais connu son histoire,…
