début très solide, puis léger ventre mou, puis quatrième acte qui laissera aux enfants présents dans la salle une insomnie incurable pendant quelques années.

début très solide, puis léger ventre mou, puis quatrième acte qui laissera aux enfants présents dans la salle une insomnie incurable pendant quelques années.
MOZART : Dans le premier tiers du film, Emma interprète l’Allegro Molto de la Symphonie No. 40 de Wolfgang Amadeus Mozart, composée en 1788. À cette époque, Mozart traverse une période de grande production, mais aussi de profondes épreuves personnelles : le public se détourne de lui, ses dettes s’accumulent, et surtout, il perd sa jeune fille Theresia. Cette œuvre, marquée par une tension sombre et une mélancolie persistante, est jouée par Emma dans une scène où l’émotion est absente. Elle exécute…
mon free trial d’appletv+ ne pouvait mieux tomber.
cuarón nous met dans la peau de lydia tár, à nouveau dans une affaire de doxing. l’un des meilleurs metteur en scène en activité nous plonge dans cette sordide histoire avec son aisance habituelle à la caméra, aussi vivante que les personnages tous incroyablement bien interpretés.
je recommanderais cependant à l’entièreté des personnages de la série de suivre des cours de communication. une bonne discussion tous ensemble autour d’un bon matcha aurait sûrement réglé beaucoup de choses.
Un grand film porté par une excellente (et terrifiante) Cate Blanchett qui n’a plus rien à prouver mais qui défonce tout quand même.
Je suis sur le cul.
edit : comme The Worst Person in the World, le film arrive à la perfection à s’encrer dans notre réalité sans gâcher son récit. (Mentionner la covid, traiter de l’ère du numérique et du mouvement #MeToo)
rien de mieux que de découvrir un film dont tu t’attends à rien. une de mes claques de l’année.
aussi, une façon de filmer New York rarement vue au cinéma.
pas un film d’horreur, mais aussi oppressant, malaisant et horrifant à certains moments que les précédents longs-métrages du réalisateur.
et c’est drôle bordel
strike pour ari aster,
trois films, trois masterclass.
(meilleur 420 de ma vie)
j’ai pas de film en tête représentant aussi bien le cycle infini de la violence. The Last of Us Part II rivalise, mais c’est un jeu.
l’usage du triptyque avec les mêmes têtes tout le long du film sert à mettre en lumière le talent des comédiens et comédiennes. c’est un vrai film de performance et aucuns ne jouent à côté.
le lanthimos clinique et froid des débuts de sa carrière revient (pour mon plus grand plaisir), mais avec une touche de fun en plus.
très très drôle comme film.