Clément Cx

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PP : L'Homme-léopard (Tourneur, 1943)

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  • Collateral
  • Mask
  • War of the Worlds
  • Deep Red

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  • Vera Cruz

    ★★★

  • From Here to Eternity

    ★★½

  • Magma

    ★★

  • The Safe House

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  • Vera Cruz

    Vera Cruz

    ★★★

    Pour Robert Aldrich, Vera Cruz est encore le début de carrière : si les coups d'éclats ne sont pas loin (En quatrième vitesse, 1955), on sent le cinéaste un poil hésitant, comme obligé de composer avec des règles académiques un peu étriquées. Le montage en pâtit particulièrement - on croirait, vu la rapidité abrupte de certaines coupes, du Sam Peckinpah en herbe.

    Mais c'est aussi là que le film impressionne. Avec ses deux salopards (presque) sans morale et ses coups…

  • From Here to Eternity

    From Here to Eternity

    ★★½

    Si Tant qu'il y aura des hommes a raflé tous les Oscars alors que, l'année précédente, Le Train sifflera trois fois trouvait son succès au travers de colibets anti-communistes, c'est peut-être parce qu'il joue bien davantage le jeu de "l'américanisme".

    Certes, les portraits psychologiques, plutôt fins, des jeunes récalcitrants (Montgomery Clift) et des sergents zélés (Burt Lancaster) s'attachent particulièrement à dépeindre la vie hors des baraquements, les histoires d'amours et les blocages personnels, alors que point au loin l'ombre de…

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  • Gladiator II

    Gladiator II

    ½

    Abyssal de fainéantise, Gladiator 2 confirme le mode opératoire stérile dans lequel s'est enfermé Scott depuis plusieurs films : planqué derrière une dizaine de caméras, le vieux mogul emballe les plans au kilo, sans même faire semblant de regarder ce qu'il filme - ou comment transformer une un énorme budget en épisode de série insipide, sans point de vue ni rythme. Rien, de Rome à la Numidie, ne le fera se lever de sa chaise et imaginer, rien qu'une fois,…

  • Parthenope

    Parthenope

    ★★

    Sans le remettre en cause, Sorrentino prend le male gaze au pied de la lettre, ce regard qui place sur un piédestal tout réduisant à une enveloppe creuse, une image rutilante. Parthenope, c'est ça, et l'incarnation d'une contradiction corolaire à ce statut d'idole : que faire de cette déesse, qu'on veut à la fois prier et posséder, vénérer et... "désacraliser" (pour être poli, le film l'est moins) ? Pris entre ces deux pulsions, l'auditoire masculin, relai parmenent de ce regard…

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