Trois ans plus tard Eiza González n’est toujours pas une star
Le duo Gyllenhaal et Abdul-Mateen II fonctionne à fond, mais c’est González qui fait que l’histoire jello tient debout sans trop que l’on se questionne du pourquoi de tout ça.
Oui, c’est trop long….mais la conclusion stick the landing !
Une gimmick qui fonctionne (grâce à Spielberg). JAWS sur 4 roues.
Ce qui surprend dans ce visionnement, c'est la justesse de la performance de Dennis Weaver en homme urbain pris dans une sale situation loin, très loin de la maison.
Mais surtout, il est évident que le maître avait du talent à profusion et avait besoin de combattre ses démons invisibles très tôt pour passer à autre chose.
Le fuck you à la culture populaire et la société dans dans laquelle nous vivons…le plus romantique au monde.
My jam. mon préf de la série.
Neo & Trinity forever!
Qu’est-ce qui a poussé le sympa Andrew à s’humilier de la sorte ?
Je ne pense pas que le documentaire atteint l’objectif visé.
Avec l’âge, il est important d’arriver à un point où on se sent bien dans notre peau. Même si ce n’est pas la peau que l’on rêvait….
Andrew cherche une absolution qui ne viendra jamais…
