Il fallait, à un moment donné, que je pose à l'écrit mes pensées sur le récent cinéma revivifiant mais amer de Monsieur Oizo.
Ce Deuxième Acte donne l'occasion de se moquer du cinéma, de ses acteurs et de sa condition. Quentin Dupieux expose à l'écran ce microcosme et le tourne en ridicule, lui rend sa petitesse, sa pauvreté. Perdu entre réalité et fiction (ou pas), le fait est que l'on n'assiste concrètement à rien durant ce film : un tournage…