DerekMadox

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  • A.I. Artificial Intelligence
  • 2001: A Space Odyssey
  • The New World
  • Persona

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  • Condemned!

    ★★★½

  • The Great Gabbo

    ★★★½

  • Bulldog Drummond

    ★★★

  • Of Human Bondage

    ★★★½

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  • Condemned!

    Condemned!

    ★★★½

    Pré-code. 1929

    Je ne connaissais pas Ronald Colman. Mais c'est la 2e fois que je le vois dans un film de 1929 (l'autre étant Bulldog Drummond). Il semblerait qu'il a été nommé aux Oscars la même année pour ces 2 rôles. Et je comprend. Il est vraiment charismatique. Pas mal de swag! L'arrivée du cinéma parlant l'aurait aidé à se faire remarquer à cause de sa voix distinguée. Je le vois comme une sorte d'Errol Flynn avant son temps. Mais…

  • The Great Gabbo

    The Great Gabbo

    ★★★½

    Pré-code. 1929. L'une des premières comédies musicales.

    Probablement l'histoire d'amour la plus cruelle avant l'ère de Bergman. Erich von Stroheim y est impérial en ventriloque psychorigide. Il possède chaque scène où il apparaît. Mais Betty Compson ne donne pas sa place en assistante bouc-émissaire qui change de voie et trouve le succès. Elle est bouleversante.

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  • Halloween Ends

    Halloween Ends

    ★★★½

    Terrifiant. Et pas pour les raisons auxquelles on s'attendait. Pas pour les jump scare, ni pour les meurtres sauvages comme sur le 2e opus. Ce 3e volet se concentre plutôt sur l'aspect psychologique de ses personnages, particulièrement l'un des nouveaux personnages. Et ce dernier apporte un côté presque punk au film. Pas le punk cool, mais le punk troublé et marginal au bord du gouffre. Et il nous amène avec lui au bord du précipice sans qu'on s'en rende compte…

  • Testament

    Testament

    ★★★

    Difficile d'aborder ce film.

    Mais comme je ne veux pas vivre dans un monde où on met les vieux de côté, j'ai essayé de comprendre ce qu'Arcand voulait raconter.

    Honnêtement, j'vois pas grand différence entre quelqu'un qui se sent étranger à son corps et quelqu'un qui se sent étranger à son environnement. Je peux comprendre la souffrance des deux. Même si la souffrance des seconds est plus facile à mépriser (dû à l'attachement de ces derniers à des idéaux dépassés).…