A partir du moment ou le personnage principal est un chat anthropomorphe, de 37 ans, à qui on a retiré le permis scooter et qui s’amuse à péter, c’était tout gagné.
Quel plaisir de voir l’animation japonaise se renouveler !
Déjà avec l’humour, on nous propose un bon lot de blagues graveleuses, des blagues inhabituelles qui n’altèrent pas la poésie propre à l’essence de l’animation japonaise, un bon contraste !
Ensuite le thème, plutôt commun : la mort, mais revisité…
A force d’entendre des retours positifs sur le film j’avais peur d’être déçue mais TRÈS bonne surprise !
Le visuel et les décors sont incroyables, le casting est chouette (🦉) et j’ai eu la sensation de partir à l’aventure pendant 3h, c’était vraiment immersif.
Avec ce rôle Pierre Niney a (un peu) regagné mon cœur et Anaïs Demoustier m’a complètement charmée !
Et un grand merci pour ce superbe conseil qui m’a bien fait méditer : « attendre et espérer » ! (je déconne c’est évidement éclaté mais le reste est vraiment sympa)
Un plot plutôt séduisant sur le papier : suivre l’été d’un groupe de jeunes.
En réalité on est loin du monoï, des serviettes de plage et des couchers de soleil.
On y découvre plutôt un vieux réal qui se régale à filmer des femmes de manière objectivante. Entre plans inutiles sur tous les fessiers du casting féminin + hypersexulation de chaque interaction entre les personnages + une sexualisation réservée aux caractères féminins, c’est à donner la nausée.
Une image de…
« 💨 WOOOOH C’EST LE PARFUM DE TESA »
Ni plus ni moins que des petits animaux, leurs maux et une concierge qui essaie à tout prix de leur redonner le sourire.
Une trame narrative plutôt légère et pourtant très prenante.
Visuellement, l’illustration aux crayons de couleur accompagne parfaitement l’adorabilité et la douceur de l’histoire.
Un univers charmant, vraiment rigolo et super mignon !
