A l’accueil du cinéma on nous a dit « ça raconte pas grand chose, il y a une famille mais dur d’établir les liens entre les 21 personnages, c’est spécial mais c’est une ambiance » la carte bancaire était posée sur le TPE, trop tard…
J’ai lutté pour pas dormir, et justement, la grand mère qui dort sur son stannah m’a réveillé, d’un rire. Sinon c’était long.
Je l’attendais puisque j’avais complètement oublié le livre, de lui, je me rappelais des atmosphères décrites, immersives et imagées, je les ai retrouvées.
Les couleurs rappellent la couverture du livre, que je m’étais imaginées être celles qui entouraient ces enfants.
Paul Kircher joue journal d’un dégonflé dans un grand-est vert… et gris, rouillé, aux tapisseries dépassées.
Désillusions et déterminismes , sans mépris ni esthetisation enjolivante, de ce côté là la lettre est appliquée. Pour l’accompagner une bo aux p’tits oignons,…
Si le camp existe, ce film est un camping et devrait s’appeler les flots bleus.
Un kaléidoscope queer et jouissif, pas vu passer le temps.
Dommage que les télé crochets français n’aient pas sortis billie et mimi, à défaut on a toujours les frérots delavega pour nous consoler.
Pas touche en boucle pour les prochaines semaines… des Warriors on y voit et entend que ça, longue vie Langlois!
Igor est resté dans le compartiment numéro 6.
Cette fois pas pour un voyage en Russie (quoique) mais dans les folies bourgeoises et pyrotechniques capitalistes.
Pas vu le temps passer. On retiendra qu’Anora veut dire grenade et qu’avec elle on aimerait bien tout exploser.
