Synopsis
Sent in Nunavik by a Deputy Minister, a cameraman who befriended the inhabitants of a small village realizes that the material he shot along the way will be used against the Natives to deport them.
Sent in Nunavik by a Deputy Minister, a cameraman who befriended the inhabitants of a small village realizes that the material he shot along the way will be used against the Natives to deport them.
Robin Aubert est un des meilleurs pour faire du très beau avec du laid. Chaque plan est encore plus sublime que le précédent et il réussit à rendre des scènes de dépeçage jolies. Apaisant et fascinant.
We stan someone choosing to educate themselves 👑👑
Really gorgeous photography (very Peter Holliday or Seph Lawless), impeccable framing, and almost no audible dialogue; instead relies on off-screen phone conversations a handful of characters. There are a few graphic, live animal killings, but they're done respectfully by Indigenous Inuit people, for practical purposes (meat and hide), and it does play a key part in the story.
j’aurais vraiment aimé ne pas m’endormir 😢😢
Tuktuq, s’est réaliser qu’on a des paysages d’une beauté inouïe au Québec qui sont habités par des peuples avec une culture riche. Ça sert à nous prévenir, qu’il faut les protéger de la meilleur façon possible en se documentant le plus possible.
J’ose espérer qu’on ne mettra pas ce documentaire aux « archives ».
TukTuq raconte l'histoire d'un caméraman engagé par le gouvernement pour filmer un reportage sur un village du Nunavik. Les dialogues se passent au téléphone avec le sous-ministre incarné par Robert Morin sur des images du grand nord. La démarche est beaucoup plus proche de celle de Morin que ce que Aubert nous a habitué, mais ça marche et c'est l'fun de retrouver ces deux cinéastes dans une même oeuvre, une oeuvre politique en plus.
C'est trippant de voir Aubert et Morin en duo dans ce film critiquant le plan nord. J'en prendrais d'autres des films québécois comme ça.
Les plans étaient magnifiques, mais les quelques dialogues étaient vraiment soso
J'aurais aimé voir ce docufiction au cinéma - les images sont sublimes et donne certainement l'envie de voir le Nord.
Ce film est le premier que j'ai vu au Québec/Canada qui parle aussi directement de notre colonialisme (en tant que colonisateurs plutôt que de colonisés), qui n'a pas été fait par des cinéastes autochtones. Et que ça se passe de nos jours. Ça reste que c'est la voix demeure la notre et pas celle des Inuits.
Je ne peux que soutenir les propos du réalisateur: "Je souhaite que des cinéastes inuit fassent des films sur eux"... et surtout que l'État leur en donne les moyens.
Récit pertinent, images importantes et magnifiques, mais les dialogues manquent franchement de réalisme.
Concept extrêmement intéressant! Belle harmonie entre le concret et l'abstrait, entre le l'image et le son, entre le documentaire et la fiction. C'est répétitif et ça manque un peu de nuances, mais y a quelque chose qui m'a gardé accroché du début à la fin.