En trois petits mots : DE LA MERDE
En deux mots : À CHIER
En un seul mot : NUL
Dans Sonic 2, le spectateur est confronté à un vide abyssal maquillé sous des couches de CGI criardes et de punchlines calibrées pour le néant intellectuel. Ce n’est pas tant un film qu’une suite de stimulations visuelles et sonores, conçues non pas pour émerveiller, mais pour anesthésier toute velléité de pensée. Ce Sonic-là n’est pas un héros, c’est un symptôme…