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L'apothéose. La conclusion.
Si CCA n'est pas la fin de l'univers Universal Century de Gundam, ce film clôt une histoire commencée à partir de la première série d'animation de la franchise.
L'intrigue met en scène l'incompétence, la corruptibilité et le péché de la Fédération terrienne face au renouveau zeon (donc fasciste) que Char Aznable mène. Ruses de guerre, détournement d'astéroïde, têtes nucléaires cachées, le film se termine par le combat de tous les combats : Char et Amuro s'affrontent dans…
Dans ce film, les soviets font beaucoup de dégât à Sheffield. Mais moins que ce qu'a infligé Thatcher.
Une approche similaire à La Bombe de Peter Watkins, produit 18 ans plus tôt, ce téléfilm prend la forme d'un drame et non pas un documentaire.
Poussant sur la génération suivante, avec le suivi de la fille de Ruth, vivant les conséquences à long terme de la guerre nucléaire, ce film décrit ainsi sur un temps beaucoup plus long la catastrophe,.
Précis. Déconcertant. Tape dans les tripes.
Ce "faux documentaire" de Peter Watkins, qui décrit de manière hypothétique les conséquences d'un mega-blitz nucléaire sur la Grande Bretagne des années 1960, prend le spectateur en pleine poire.
La spéculation des conséquences, aidée à grand apports de comparaisons avec les bombardements incendiaires sur l'Allemagne nazie, est précise. La mort est montrée en face. Les pompiers balayés tel des fétus de paille lors de la tempête de feu. Les mourants de l’hôpital de campagne euthanasiés par balle par les bobbies survivants. L'incinération de la myriade de victimes. Les émeutes de la faim et la répression.