Ça casse pas trois pattes à un canard (hein Tobias) en termes de réa, surtout quand t’as vu The Brutalist deux jours plus tôt, les premières scènes piquent même un peu des yeux, mais on finit par se laisser porter par les émotions des personnages dans ce mélodrame sympathique
+ le questionnement de la mère est intéressant