Critique de cinéma pour Cinémaniak.net et la revue Séquences
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How to Have Sex 2023
Pour traiter de cet enjeu difficile, Molly Manning Walker fait preuve d’une grande délicatesse et expose les subtilités ravageuses liées à la sexualité avec beaucoup de pertinence. Si les zones grises du consentement sont intelligemment explorées, la cinéaste pousse ses réflexions plus loin en réfléchissant à la pression sociale qui frappe fort à l’adolescence, qui peut mettre à mal la solidarité féminine en plus de créer un isolement psychologique et une solitude souffrante.
Critique complète ici: www.cinemaniak.net/how-to-have-sex-ados-sous-pression/
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Monster 2023
Bien que le cinéaste emprunte un chemin différent de ceux auxquels il nous a habitués, amorçant son film de manière particulièrement efficace dans une atmosphère de thriller, le résultat final demeure fidèle à ce qu’il excelle à créer : un film d’une humanité infinie, magnifique, qui éveille inévitablement de profondes émotions chez le spectateur.
Critique complète ici: www.cinemaniak.net/monster-kore-eda-sous-divers-angles/
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My Salinger Year 2020
Falardeau crée un univers charmant et chaleureux dans lequel le spectateur est immergé, comme dans une douce enveloppe, à l’abri de toute menace, de toute forme de négativisme. Ainsi, tout apparaît lisse et léger dans cet univers. Même les enjeux plus sombres tels le suicide d’un collègue ou les ruptures amoureuses de Joanna semblent sans réelle gravité.
On s’engage dans le dernier film de Falardeau comme on le ferait sur une rivière tranquille où il fait bon voguer, où l’on se laisse bercer. Mais cette rivière qui ne nous secoue jamais n’apporte pas non plus l’excitation de naviguer.
Critique complète ici: www.cinemaniak.net/my-salinger-year-salinger-au-feminin/
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Fake Tattoos 2017
Plante capture bien l’essence de la jeunesse et à travers l’histoire d’amour entre deux êtres, proches et éloignés à la fois, trace en quelque sorte le portrait d’une génération. C’est une introduction à l’amour faite avec tendresse et intimité, présentée comme la vraie vie, sans artifices. Avec un montage minimal, le cinéaste favorise les longs plans, très longs plans même, sans coupures, qui permettent aux comédiens, toujours dans le même cadre l’un avec l’autre, de se laisser aller dans une…
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