2h20 pour un trip en forêt entre deux plans cul réguliers, c’est beaucoup trop long. Mais surtout, on a du mal à se positionner entre le récit léger des déboires sexuels d’un homosexuel en vacances ou la description d’un personnage exécrable, dont certains contours du roman — dont l’histoire s’inspire — manquent pour identifier tous le caractère raciste et problématique de son personnage principal.
Bref, Guadanigno est très bon pour filmer la sensualité et la tension sexuelle, mais quand il s’agit de raconter autre chose, ça passe ou ça casse.