tout le long du film je voulais planter une aiguille dans zac effron pour le dégonfler comme un ballon, le mec allait exploser quoi

En vrai, j'aime bien en général ce genre de pièces audiovisuelle qui sont très littéraires, comme un journal-vidéo-documentaire, c'est très sensible et touchant et tant pis si on comprend rien au montage. Surtout quand ça parle de mémoires familiales. Mais bon, what in the bourgeoisie parisienne hell....

mystère à mes yeux comment ce film a pu marcher à sa sortie les gamins avaient aucun autre dessin animé à regarder ou quoi ? car à leur place je me serai juste PISSÉ dessus et fait des cauchemars pendant des semaines💀💀💀 le rêve fiévreux avec des chara designs cauchemardesques et pas une seule ligne de dialogue qui veuille dire quoi que ce soit - heureusement que la moitié des répliques en VF sont hilarantes (schmendrick, quelle légende ptdr) sinon j'aurais vite abandonné.
je vais essayer de bien dormir maintenant...

no notes

bravo ma puce

Un témoignage déroutant mis en images avec sensibilité, technique, justesse : on se laisse porter par une voix qu'on aurait peut-être pas autrement entendue, par un récit personnel qui dit avec ses mots les traumatismes qui sont tus, et qu'on devine être les réponses – sans doutes pas toutes – d'une quête pour trouver son chemin, son histoire, son identité, sa famille... Bravo Déborah⭐️❤️

quelle cata, willem dafoe a un peu pansé la plaie mais c'est insauvable

et allezzzz vous me servez un film de famille avec charlotte gainsbourg alors que c'est ma femme et que mon film pref c'est little miss sunshine allezzzz c'est bonnnn bravo quoi merde

-j'avais envie de + aimer mais la vérité je me suis un peu fait chier...... genre chalamuche qui rêve de zendaya pendant 2h là pfffff
-j'ai adoré les concepts de "worm territory" et "desert power" chaque fois qu'ils le disaient j'étais cuit de rire
-ils faisaient tout le temps cette tête : 😦
-oscar isaac😳

"I wished with all my heart that we could just leave this world behind. Rise like two angels in the night and magically... disappear." SNIF

mais le banger

on est mis mal à l'aise mais sans choc, sans sensationnel, juste en constatant l'après, les conséquences du trauma, sa persistance insidieuse et les non-dits, et c'est plutôt fortiche ça
je pense beaucoup à joe...