Bien que Yuka soit perçue comme une fille facile, elle accorde également beaucoup d’importante à ses convictions religieuses. Pour la jeune femme le péché ne se réside pas dans le fait de donner son corps mais dans le baiser lui-même.
Yuka se soucie du bonheur de chaque homme qu’elle fréquente au-delà du simple plaisir charnel, ce qui tend à rendre les relations beaucoup plus ambiguës.
Le portrait de Yuka est bien construit. J’ai beaucoup aimé l’énergie du personnage et l’actrice l’incarne parfaitement. On y ressent beaucoup l’influence du cinéma français