Pourtant hater n°1 de Jonathan Cohen, j’ai quand même laissé sa chance au film, et j’ai bien fait parce que c’était super.
La première partie est hyper prenante, parfait équilibre entre le drame et la comédie. La seconde est moins homogène, notamment parce qu’elle est ultra rushée : on survole littéralement 40 ans de vie en 40 minutes, d’un Jonathan Cohen de 27 ans qui ressemble à Marilyn Manson à un Jonathan Cohen qui enterre toute sa famille, c’est bizarrement…
Le hasard fait que je mate deux films du même réal d’affilée, mais cette fois, contrairement à Boule de Neige et les 7 crottes de chien, y’a un semblant d’âme, c’est cool. Pareil, même meuf que dans The Happening - film que j’ai vu y’a 2 jours - et c’est cool aussi de la voir dans un autre registre que la débile écervelée : ici la putain toxique.
Touchant, drôle, doux-amer, et qui donne le sourire. Esthétique globale appréciable, même si ça…
Quand la pire journée de ma vie, la pire séance de cinéma, la ville la plus moche et la moins bien desservie de France, le pire temps, les pires musiques chiantes et sans âme de ma playlist, les chaussettes mouillées et le frigo vide s’allient pour rendre de plus en plus concrète l’idée de me jeter de ma cage d’escalier corde au cou. Heureusement que l’eau bouillante existe ; elle qui adoucit mes maux et me procure du bonheur lorsqu’elle…
À deux doigts de quitter la salle tellement je m’emmerdais. Ça n’a aucun putain de sens. Un enchaînement de scènes bizarres sans cohérence, dans l’unique but de se venter d’avoir fait un film abstrait qui sort du lot. C’est de la merde, c’est moche, débile, ça pète plus haut que son cul et en plus c’est mensonger : personnellement aucun héron denté ne m’a rendu visite pour me conduire auprès de ma défunte mère. Après je sais pas c’est ptetre à moi de faire…
