Difficile de parler d’un film aussi riche. Une ôde à la beauté et à la jeunesse (classique Sorentino), c’était un portrait de l’héroïne dans tous ses âges mais aussi de Naples dans chacun de ses aspects, parfois très surpenant sans être absurde et parfois au bord du tragique. J’ai eu l’impression de voir the dreamers, conclave, le caravage et stealing beauty en même temps. Un peu trop de discours philosophique à mon goût alors que le recit se suffisait.