outsanding, a never-ending spiral of wander
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The Green Ray 1986
éric prodigue ce confort mélancolique qui vous tartine le visage
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Dear Paris 2024
Une bonne distribution anéantie par des dialogues superficiels, naïfs et incohérents. Le film se perd dès le début en arguties bourgeoises sur « la vie » où la photographie fantasme sur la violence et la mort, faisant qu’elle s’en éloigne davantage. Les tentatives d’humour échouent avec une constance qui appelle l’admiration. Satrapi brasse le vide, en espérant y trouver quelque chose. Ce film n’apporte rien, ce film n’est rien, ce film est un métrage digne du club ciné d’un collège.
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