Countless rewatch.
Quasi film musical, ode au blues, au gospel et au south folk, O Brother est une balade et une ballade qui nous entraîne dans une odyssée où le Diable est un homme blanc aux yeux vides et les politiciens aux promesses faciles sont les éminences du Ku Klux Klan.
Au milieu de ces lieux hantés par les horreurs du passé qui ressurgissent, trois voyous au grand coeur, traqués comme des chiens pour des menus larcins, tandis que les grands…
Mais quel gros nanar ! Ça a beau avoir été écrit par Colette, toutes ces histoires érotiques de bourgeois des années 20 et d’avant, c’est vraiment l’équivalent des Fifty Shades of Grey d’aujourd’hui ! Les liaisons dangereuses inclus, faudrait arrêter de penser que c’est des chefs-d’oeuvres de la littérature juste parce que ça a été écrit il y a 100 ans !
(À regarder en VF pour encore plus de fous rires, parce que le gars qui double Rupert Friend est à la ramasse complet. “Oh, mais dit pas ça Nounoune !”)
Nan, en vrai, c’était vachement drôle. Merci Nounoune.
Après l’avoir vue quatre fois, c’est toujours le truc le plus dingue que j’ai vu de ma vie.
“What year is this?” Poualalah… truc de fou. Et puis Dougie, “Heellooooooo!”, Bobby… “I’m the FBI!”, Ed et Norma…
Tout est trop bien.
À part cette histoire de frère du shériff Truman. Ça c’est trop nul, le gars débarque de nulle part et il fait le même taf que son frère… trop bizarre.
Mais la scène où la vieille dame vient voir Dougie en lui disant “Thank you Mr. Jackpot!” je pleure automatiquement.
Un instant qui m’a plutôt ému à la fin du dernier spectacle qu’on voit dans le film ; quand il invite tout le monde à un goûter. C’est joli.
Pour le reste, tout va trop vite et le film se résume à être un simple résumé de moments de sa vie, sans jamais nous faire ressentir vraiment ce qu’était “l’effet Kaufman”. Il aurait fallu y aller à fond ! Mais le film va trop vite pour ça.
Par exemple, réalisé…
