Des maladresses, certes, mais du cœur à l'ouvrage.
La première partie est très efficace. Leïla qui marche avec Roland dans les bras, pleure, hurle, de beaux moments d'émotions.
Puis la deuxième partie. Jonathan débarque : "maman j'ai 27 ans" à Leïla alors qu'il a 40 piges et qu'on sait que dans la vie, ils sont besties. Les voir en mère et fils au début, le rictus. Pas facile d'y croire.
On enchaîne avec la fameuse scène de L'IA de Sylvie…