Quand tu sais que ce film a été réalisé par un pédocriminel, tout prend sens.
Je me suis décidée à regarder ce film après avoir lu le roman autobiographique de Flavie Flament « La Consolation » dans lequel elle dénonce les viols commis par M. David Hamilton et l’influence toxique qu’il avait sur elle lorsqu’elle n’avait que 13 ans (et lui, une cinquantaine).
« Bilitis » donne sérieusement envie de vomir. Non, ce n’est pas un film qui parle de préadolescence, de jeunes filles…