Niaiserie ridicule, qui tente vainement de broder une narration à l’aide d’une voix off susurrée à l’oreille du spectateur. Documentaire qui ne raconte rien, mais qui, par cette fausse poésie en arrière fond, va peut être faire berner quelques tièdes.
Contrairement à ce que dit Bégaudeau, tout est fait pour adoucir les protagonistes, les rendre poétiques. Finalité des deux réalisateurs : se faire mousser en romantisant et esthétisant le parcours de ce gogole.